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Saint-Laurent-de-la-Salanque

Saint-Laurent-de-la-Salanque [sɛ̃ loʁɑ̃ də la salɑ̃k] est une commune française, situĂ©e dans le nord-est du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales en rĂ©gion Occitanie. C'est la capitale historique de la Salanque. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existĂ© de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Saint-Laurent-de-la-Salanque
Saint-Laurent-de-la-Salanque
La rue Arago.
Blason de Saint-Laurent-de-la-Salanque
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Perpignan Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Alain Got
2020-2026
Code postal 66250
Code commune 66180
DĂ©mographie
Gentilé Laurentins
Population
municipale
10 053 hab. (2020 en diminution de 2,1 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 811 hab./km2
Population
agglomération
24 388 hab. (2018)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 46â€Č 28″ nord, 2° 59â€Č 29″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 7 m
Superficie 12,39 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Saint-Laurent-de-la-Salanque
(ville-centre)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de la CĂŽte Salanquaise
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Laurent-de-la-Salanque
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Saint-Laurent-de-la-Salanque
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Saint-Laurent-de-la-Salanque
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Saint-Laurent-de-la-Salanque
Liens
Site web saint-laurent-salanque.com

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par l'Agly. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « complexe lagunaire de Salses » et le « complexe lagunaire de Salses-Leucate »), un espace protĂ©gĂ© (l'Ă©tang de Salses-Leucate) et six zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Saint-Laurent-de-la-Salanque est une commune urbaine et littorale qui compte 10 053 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'agglomĂ©ration de Saint-Laurent-de-la-Salanque et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelĂ©s les Laurentins ou Laurentines.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Saint-Laurent-de-la-Salanque se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  12 km Ă  vol d'oiseau de Perpignan[1], prĂ©fecture du dĂ©partement [2], bureau centralisateur du canton de la CĂŽte Salanquaise dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1] La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Saint-Laurent-de-la-Salanque[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Torreilles (2,1 km), Saint-Hippolyte (2,3 km), Claira (3,2 km), Le BarcarĂšs (4,0 km), Villelongue-de-la-Salanque (5,1 km), Sainte-Marie-la-Mer (5,6 km), Pia (6,6 km), Bompas (6,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Laurent-de-la-Salanque fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[4] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[5].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Le BarcarĂšs, Torreilles, Claira et Saint-Hippolyte.

    Communes limitrophes de Saint-Laurent-de-la-Salanque[6]
    Salses-le-ChĂąteau
    (par un quinquepoint)
    Leucate (Aude)
    (par un quinquepoint)
    Saint-Hippolyte Saint-Laurent-de-la-Salanque Le BarcarĂšs
    Claira Torreilles

    GĂ©ologie et relief

    L'altitude de la commune varie entre 0 et 7 mĂštres[7].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].

    Hydrographie

    L'Agly délimite la frontiÚre méridionale de Saint-Laurent-de-la-Salanque.

    Milieux naturels et biodiversité

    Vue vers l'Ă©tang de Salses-Leucate depuis un point sur la commune de St-Laurent-de-la-Salanque.

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[9] - [10].

    Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : l'Ă©tang de Salses-Leucate, une zone humide protĂ©gĂ©e par la convention de Ramsar, d'une superficie de 7 628,1 ha[11].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats[13].

    • le « complexe lagunaire de Salses », d'une superficie de 7 818 ha, une zone littorale associant des milieux dunaires caractĂ©ristiques du littoral roussillonnais et des milieux humides littoraux. Elle comporte plusieurs bassins diffĂ©remment alimentĂ©s en eau ce qui favorise l'installation de formations vĂ©gĂ©tales trĂšs variĂ©es, tant aquatiques, herbiers de ZostĂšre naine, tapis de charas, que palustres, sansouires, roseliĂšres, scirpes, jonçaies[14] et au titre de la directive oiseaux[13]
    • le « complexe lagunaire de Salses-Leucate », d'une superficie de 7 701 ha, comprend un ensemble de zones humides pĂ©riphĂ©riques plus ou moins salĂ©es (sansouires, roseliĂšres) et plusieurs Ăźlots suffisamment isolĂ©s et quelques espaces dunaires qui constituent des espaces de grand intĂ©rĂȘt pour la nidification de diverses espĂšces de grand intĂ©rĂȘt patrimonial (Butor Ă©toilĂ©, Sterne naine...)[15].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensĂ©es sur la commune[16] :

    • l'« embouchures de l'Agly, du Bourdigou et de l'Auque » (488 ha), couvrant quatre communes du dĂ©partement[17] ;
    • l'« Ă©tang de Salses-Leucate » (4 964 ha), couvrant six communes dont deux dans l'Aude et quatre dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales[18] ;
    • « la CorrĂšge et les Dosses » (227 ha), couvrant trois communes dont une dans l'Aude et deux dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales[19] ;
    • les « prairies des rives sud de l'Ă©tang de Leucate » (38 ha)[20] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 4] - [16] :

    • le « complexe lagunaire de Salses- Leucate » (7 769 ha), couvrant six communes dont deux dans l'Aude et quatre dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales[21] ;
    • le « lido et marais de Toreilles » (703 ha), couvrant quatre communes du dĂ©partement[22].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Saint-Laurent-de-la-Salanque.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Sant Llorenç de la Salanca[23].

    Le nom Santi-Laurenci apparaßt pour la premiÚre fois en 968, en référence à un lieu situé à l'embouchure de l'Agly.

    Comme son nom l'indique, Saint-Laurent-de-la-Salanque s'étend dans une zone de salanque, type de sol correspondant à l'étang qui le borde et signifie « terre salée ».

    Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Sentinelle-de-l'Agly[7].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Laurent-de-la-Salanque est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [24] - [I 2] - [25]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Laurent-de-la-Salanque, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant quatre communes[I 3] et 24 401 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[I 6] - [I 7].

    La commune, bordĂ©e par la mer MĂ©diterranĂ©e, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[26]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[27] - [28].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (38,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (45,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (38,3 %), eaux maritimes (30,8 %), zones urbanisĂ©es (17,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (6,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (5,3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,5 %), zones humides cĂŽtiĂšres (0,3 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    L'architecture peut varier. Les appartements font de un à trois étages couramment et sont de style plutÎt rétro. La plupart des villas sont modernes. Des puits illégaux sont fréquents. Les appartements et villas sont hauts car les risques d'inondations sont élevés.

    Logement

    Saint-Laurent-de-la-Salanque comprend en 2012 5 147 logements, parmi lesquels 83,5 % sont des rĂ©sidences principales, 8,2 % sont des rĂ©sidences secondaires et 8,2 % sont vacants. 64,4 % des mĂ©nages sont propriĂ©taires de leur logement[I 8].

    Faute d'avoir respectĂ© l'objectif triennal 2011-2013 de construction de logements sociaux, avec 144 rĂ©alisĂ©s sur les 199 requis (soit un taux de rĂ©alisation de 72 %), la commune se voit sanctionnĂ©e par la prĂ©fecture en 2015 d'une pĂ©nalitĂ© de 57 000 euros[30].

    Voies de communication et transports

    Voies routiĂšres
    • La D 83, voie rapide reliant Le BarcarĂšs Ă  Perpignan, traverse la commune d'ouest en est ;
    • La D 11 traverse la partie occidentale de la commune du nord au sud, en provenance de Saint-Hippolyte et en direction de Torreilles ;
    • La D 90 traverse le sud de la commune de l'ouest vers l'est, en provenance de Saint-Hippolyte et en direction du BarcarĂšs ;
    • La D 81 traverse la partie sud-est de la commune du sud vers le nord, en provenance de Sainte-Marie-la-Mer et en direction de la D 83.
    Voies ferroviaires

    Saint-Laurent-de-la-Salanque était jadis reliée à Perpignan par la ligne de Perpignan au BarcarÚs qui a été depuis fermée.

    Transports en commun

    La commune est desservie par le réseau Sankéo avec les lignes 10, 11 et aussi en juillet et août avec la ligne 36.

    Elle possÚde aussi son propre réseau de bus nommé "Navette Laurentine", qui est gratuit.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Laurent-de-la-Salanque est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[31] - [32].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de l'Agly. La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Perpignan-Saint-Cyprien, regroupant 43 communes du bassin de vie de l'agglomĂ©ration perpignanaise, un des 31 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s le sur le bassin RhĂŽne-MĂ©diterranĂ©e. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[33] - . et Ă  un risque de submersion par surĂ©lĂ©vation de l'Ă©tang[34].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[35]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaßtre les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomÚne[36].

    Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations[37].

    • Carte des zones inondables.
      Carte des zones inondables.
    • Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des argiles.
      Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.

    Risques technologiques

    Sur le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, on dĂ©nombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dĂ©gĂąts en cas de rupture. La commune fait partie des 66 communes susceptibles d’ĂȘtre touchĂ©es par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d’un de ces barrages, le barrage de Caramany sur l'Agly, un ouvrage de 57 m de hauteur construit en 1994[38].

    Histoire

    Le ponton de la base LatécoÚre[Note 7].

    La commune du BarcarÚs est créée le par détachement de Saint-Laurent-de-la-Salanque, qui jusqu'alors comportait un débouché maritime[39].

    Pierre LatĂ©coĂšre, constructeur d’avions Ă  Toulouse, conçoit, dans les annĂ©es 1920, le projet rĂ©volutionnaire de relier Toulouse Ă  l’AmĂ©rique du Sud par la voie des airs. Il installe, sur l’étang de Saint-Laurent, son hydrobase, destinĂ©e aux avions de l’AĂ©ropostale.

    Faits-divers

    Le , une explosion d'origine inconnue, suivie d'un incendie, survient dans la rue Arago et fait huit morts dont un nourrisson et un enfant en bas Ăąge[40] - [41]. Parmi les suspects, un commerçant de la rue oĂč a eu lieu le drame, d'origine tunisienne et ĂągĂ© de 43 ans[42]. Il pourrait s'agir du gĂ©rant de l'Ă©picerie dĂ©truite ce soir-lĂ . Deux autres hommes de nationalitĂ© algĂ©rienne, qui seraient en situation irrĂ©guliĂšre, ĂągĂ©s de 27 et 28 ans, ont Ă©galement Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s[42].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis la Libération
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1944 1945 Théodore Berthomieu
    Laurent Vidal-Barragué Capitaine au long cours
    Ancien conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque (1937 → 1940)
    AmĂ©dĂ©e CadĂšne DVG Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque (1955 → 1973)
    René MarquÚs[43] DVG puis UDF-AD Médecin
    SĂ©nateur des PyrĂ©nĂ©es-Orientales (1992 → 2001)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque (1973 → 2004)
    PrĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral des PyrĂ©nĂ©es-Orientales (1987 → 1998)
    Fernand Siré DVD puis UMP Médecin généraliste retraité
    DĂ©putĂ© de la 2e circonscription des PyrĂ©nĂ©es-Orientales (2010 → 2017)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque (2004 → 2010)
    Vice-prĂ©sident de la CA Perpignan MĂ©diterranĂ©e (2001 → 2014)
    En cours Alain Got[44] DVD puis UDI puis LREM Ingénieur du CNRS retraité
    Ancien conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque (2010 → 2011)
    Conseiller communautaire délégué Perpignan Méditerranée Métropole
    PrĂ©sident de Natura 2000/Étang de Salses-Leucate

    Population et société

    DĂ©mographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1355 1365 1378 1470 1515 1553 1709 1720 1730
    47 f112 f34 f15 f19 f8 f116 f82 f202 f
    1755 1765 1767 1774 1789 1790 - - -
    317 f700 H1 181 H202 f296 f2 014 H---
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    DĂ©mographie contemporaine

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[45] - [Note 8].

    En 2020, la commune comptait 10 053 habitants[Note 9], en diminution de 2,1 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6601 8532 1312 5573 2073 4443 5263 8134 063
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 3094 4354 5964 5714 6095 0365 4764 5404 434
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 4704 3904 2594 1124 0363 6233 6303 0473 075
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2011
    3 3003 6493 9714 5237 1867 9328 2248 4409 014
    2016 2020 - - - - - - -
    10 30810 053-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[47] 1975[47] 1982[47] 1990[47] 1999[47] 2006[48] 2009[49] 2013[50]
    Rang de la commune dans le département 13 14 14 6 8 7 7 6
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Un collÚge nommé Jean-Mermoz et plusieurs écoles.

    Manifestations culturelles et festivités

    Santé

    Centre de radiologie, dentistes, cardiologue, cabinet ophtalmique, orthodontiste, gynécologue, podologue, médecins généralistes, psychologue, laboratoires d'analyse, kinésithérapeutes, vétérinaires,

    Sports

    L'Ă©quipe de football amĂ©ricain les Grizzlys Catalans[53] est le club phare de la ville, fondĂ© dans la ville et dĂ©sormais basĂ© Ă  Perpignan, ils Ă©voluent en premiĂšre division française. Saint-Laurent-de-la-Salanque compte deux clubs de rugby Ă  XIII et rugby Ă  XV, Saint-Laurent-de-la-Salanque XIII et Rugby Club Salanque XV, un club de football FC Laurentin avec 210 licenciĂ©s et un club de tennis (Tennis Club Laurentin).

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 4 647 mĂ©nages fiscaux[Note 10], regroupant 9 872 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 600 â‚Ź[I 9] (19 350 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 10]). 42 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 11] (42,1 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 11]10,8 %16,1 %14,2 %
    DĂ©partement[I 12]10,3 %12,9 %13,3 %
    France entiĂšre[I 13]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  5 447 personnes, parmi lesquelles on compte 70,2 % d'actifs (56 % ayant un emploi et 14,2 % de chĂŽmeurs) et 29,8 % d'inactifs[Note 12] - [I 11]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 2] - [I 14]. Elle compte 1 692 emplois en 2018, contre 1 708 en 2013 et 1 690 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 3 094, soit un indicateur de concentration d'emploi de 54,7 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 44,5 %[I 15].

    Sur ces 3 094 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 817 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 87 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 8,1 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

    Revenus de la population et fiscalité

    Revenus de la population

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 25 159 €[I 18].

    En 2012, le revenu fiscal mĂ©dian des mĂ©nages par unitĂ© de consommation est de 17 730 € et 56,4 % des foyers fiscaux sont imposables. Le taux de pauvretĂ© est de 17,1%[I 8].

    Fiscalité

    Entreprises et commerces

    • Le centre parachutiste d'instruction spĂ©cialisĂ©e (CPIS) de Perpignan dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales, est l'un des trois centres d'entraĂźnement des agents de la DGSE. Il utilise la piste de dĂ©collage ainsi qu'un hangar rĂ©cemment rĂ©habilitĂ© se trouvant sur la commune de Saint-Laurent-de-la-Salanque.

    Une base militaire Ă©quipĂ©e d’antennes radars est installĂ©e Ă  Saint-Laurent. Ce serait un des sites d'Ă©coute de la DGSE, appartenant au rĂ©seau Frenchelon.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Église Saint-Laurent.

    Personnalités liées à la commune

    NĂ© en 1845 Ă  Saint-Laurent-de-la-Salanque (†1907), fils de cafetier et devenu adulte, capitaine au long cours aux activitĂ©s « pirates », il vogue vers l’Abyssinie, (oĂč il rencontre Arthur Rimbaud), en proie aux affres de la guerre. Eloi Pino, dĂ©cide de s’engager dans le commerce des armes dont a cruellement besoin le roi MĂ©nĂ©lik II et s’installe Ă  « Djibouti » en faisant construire une maison en dur, crĂ©ant ainsi la ville de Djibouti[55].

    • Henri Danoy, dramaturge nĂ© en 1859 Ă  Saint-Laurent-de-la-Salanque.
    • Fernand Duron nĂ© le Ă  Saint-Laurent-de-la-Salanque. Joueur de rugby Ă  XV. Champion de France de rugby Ă  XV avec l'U.S.A.P en 1921 et finaliste en 1924. TroisiĂšme ligne aile ou talonneur (1,70 m - 74 kg).
    • Joseph Ribas, Ă©crivain nĂ© en 1931 Ă  Saint-Laurent-de-la-Salanque.
    • ThĂ©rĂšse Guibas, nĂ©e Sanchez † 19.02.2019 Ă  73 ans.

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Laurent-de-la-Salanque Blason
    TaillĂ©, au premier d’azur au bateau d’argent voguant de face, au deuxiĂšme de gueules au gril d'or en pal. Alias : De gueules au gril de cinq pals d'or, tenu par une main de carnation parĂ©e d'argent et mouvant de la pointe[56].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Robert Villaros-Sanyas, Saint-Laurent-de-la-Salanque : MĂ©moires entre terre et eaux, AmĂ©lie-les-Bains, Alter ego Ă©ditions, , 221 p. (ISBN 2-915528-04-7)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[12].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Texte sur le panneau explicatif : « Base LatĂ©coĂšre 1925-1936. Mise Ă  l'eau d'un LATE 28 (1930). En choisissant d'implanter une base d'essai d’hydroavions sur la façade maritime de Saint-Laurent de la Salanque, Pierre-Georges LatĂ©coĂšre, crĂ©ateur de la poste aĂ©rienne transcontinentale, a permis d'associer notre ville Ă  une des plus belles aventures humaines du XXĂšme siĂšcle. C'est d'ici notamment que dĂ©colleront pour la premiĂšre fois le mythique "LATE 28 - comte de la Vaulx" et de nombreux pilotes dont Jean Mermoz et Antoine Saint-ExupĂ©ry. Le ponton long de 130 mĂštres, sur lequel se dressait autrefois une grue, tĂ©moigne de ce glorieux passĂ© historique. Alain Got Maire de Saint-Laurent de la Salanque ». Le ponton LatĂ©coĂ©re est l'unique vestige de cette base d'essai d'hydroavions. C'est ici, sur prĂšs de 150 hectares, que l'industriel Pierre-Georges LatĂ©coĂšre implante sa base d'essais en 1925 pour assembler et tester les hydravions construits Ă  Toulouse. Le site est composĂ© de hangars et ateliers, d'une base mĂ©tĂ©orologique, d'un poste TSE, de bureaux et logements, d'un aĂ©rodrome, d'un ponton en bĂ©ton long de 130 m et d'une grue gĂ©ante pour tirer les hydravioms hors de l'Ă©tang. La base a servi de relais sur le trajet de la ligne aĂ©ropostale Europe-AmĂ©rique du Sud, la plus longue ligne aĂ©rienne du monde de l'Ă©poque. En 1937, le site est vendu Ă  l'ArmĂ©e française et devient une base d'entrainement. Voir : Des LatĂ©coĂšres Ă  Saint-Laurent-de-la-Salanque (2014) sur www.association-francaise-hydraviation.fr.
    8. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    11. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    Autres sources

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