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Anzex

Anzex est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Anzex
Anzex
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Nérac
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux et Landes de Gascogne
Maire
Mandat
Josiane Chopis
2020-2026
Code postal 47700
Code commune 47012
Démographie
Gentilé Anzexois
Anzexoises
Population
municipale
310 hab. (2020 en diminution de 0,32 % par rapport à 2014)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 17′ 06″ nord, 0° 10′ 00″ est
Altitude Min. 58 m
Max. 172 m
Superficie 23,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Casteljaloux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Forêts de Gascogne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Anzex
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Anzex
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Anzex

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans le Queyran, entre Casteljaloux et Damazan.

    Hameaux

    Les principaux hameaux sont Laubessa à 3.200 mètres de l’église, Labache à 2.700 mètres, Lasson à 1.900 mètres, Corbian à 5.000 mètres, Peyré à 400 mètres, Le Basque à 3.500 mètres, Duclau à 3.800 mètres...

    Communes limitrophes

    Anzex est limitrophe de cinq autres communes. Les communes limitrophes sont Leyritz-Moncassin, Caubeyres, Fargues-sur-Ourbise, La Réunion et Villefranche-du-Queyran.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par l'Ourbise, un affluent de la Garonne mais aussi par le Ruisseau d'Anzex et le Ruisseau de Courbian.

    Géologie et relief

    Tumulus d'Anzex (1842)

    La superficie de la commune de Anzex est de 2 324 hectares. Son altitude varie de 58 à 172 mètres[2].

    Tumulus au lieu-dit de Perdigon, sur l’extrême limite occidentale de la commune. A été fouillé sans résultat (Samazeuilh, Dictionnaire, p. 53. Ducourneau, Guyenne, t. I, pl. 16, vu du tumulus d’Anzex).

    Voies de communication et transports

    Accès avec les routes départementales D 11 et D 120.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 830 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin-Curton », sur la commune de Saint-Martin-Curton, mise en service en 1974[9] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 843 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 35 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Anzex est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Casteljaloux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,5 %), terres arables (38,4 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %), prairies (0,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Anzex est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment l'Ourbise . La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1992, 1999 et 2009[24] - [22].

    Anzex est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[25] - [26].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[27]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Anzex.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 94,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [30].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Histoire

    Cartulaire d’Agen (XIIe siècle). Bulle R. Ecclesis Sancte Christine d’Anzex. Bulle c. s. Parrochia d’Anzex. Bulle T. CH. : parrochia d’Ansces. Compte de 1326 :capella des Anzex. Th Cartes Casal des rolles gascons. 1341 : parocchia de Danzeys.

    Saint Patron

    Tous les documents antérieurs à la Révolution donnent Sainte Christine pour patronne à cette paroisse. Depuis la Révolution Sainte Radegonde a été rajoutée à Sainte Christine. Sur Sainte Radegonde dont la fête se célèbre le , voir art. Bon-Encontre. Sainte-Christine, vierge et martyre du IIIe ou IVe siècle, fêtée le . Voir le martyrologe romain. Extraits de ses actes (sujets à caution) dans Adon Pierre Natal MOMBRICE, etc. Cette sainte était née dans la petite ville depuis longtemps disparue de Tyr en Toscane. Son corps fut transporté de la Toscane en Sicile (voir relation de cette translation dans les Saints de Sicile, tome II par CAJETAN). Reliques de cette sainte à Prague en Bohême (cf. BAILLET, t. V, p. 346).

    Titres

    Sous l’ancien régime, la paroisse Sainte Christine d’Anzex, avec ses annexes : Saint-Roc d’Aguassas (plus récemment Saint-Pierre de Gassac) et Notre-Dame de Beyrac, était une cure du diocèse de Condom, archiprêtré du Queyran, à la nomination de l’Évêque. Les Constitutionnels lui conservèrent son titre de cure dans leur projet de circonscription de 1792. Elle a été érigée à l’organisation (1803) en succursale du canton de Casteljaloux. Des deux annexes, Notre-Dame de Beyrac a été unie au Sendat (voir art. Sendat), Gassac à Casteljaloux. Nota : Dans le pouillé LAGUTÈRE, on trouve simultanément une cure de Saint-Pierre de Gassac et une annexe Saint-Roc d’Aguassac. Il s’agit sans doute d’une seule et même paroisse qui d’abord indépendante était tombée à l’état d’annexe vers la fin du XVIe siècle (voir art. Casteljaloux).

    Eglises disparues. 1° Saint-Martin de Corbian. Paroisse ainsi mentionnée dans le Cartulaire d’Agen (XIIIe siècle). Bulle A. B. Ramundus de Laporta resignavit D. N. A. E de cirnam parrochie de Corobian. C’était avant la Révolution une cure du diocèse de Condom, archiprêtré du Queyran, à la nomination de l’Évêque. Le curé jouissait d’une langue de pré de 3 escats et d’une friche de 20 escats, le tout entier estimé 72 livres. Il y avait aussi un presbytère, situé dans le bourg avec un jardin et un petit pré, d’une valeur locative de 74 livres 15 sols et capitale de 1.404 livres 10 sols, qui fut vendu pendant la Révolution pour le prix de l’estimation. Cette paroisse était destinée dans le projet des Constitutionnels de 1792 à être une succursale de Villefranche. Elle fut supprimée à l’organisation et son territoire uni à la paroisse d’Anzex. Érigée en annexe par décret du . Vendue en 1820 au profit de l’église et du presbytère d’Anzex.

    2° de Saint-Caprais. Cette église depuis longtemps démolie est portée ainsi sur une affiche de Biens Nationaux : Un ancien cimetière avec un clocher appelé à Saint-Caprais, paroisse de Courbian, de 1 journal à la fabrique de Courbian, estimé 36 livres. Nota. Une autre affiche datée du nous révèle dans les mêmes parages, l’existence d’une autre église mais si complètement détruite avec les ruines et même le nom avaient péri : 20 escats de terre en bois, paroisse de Corbian, jouis par la même fabrique, lieu-dit à la Gleysace, estimés 50 livres.

    3° de Saint-Etienne ou de Laberon, plus connue sous le nom de Peyré. Annexe de Villefranche avant la Révolution, supprimé dans le projet des Constitutionnels de 1792, supprimée à l’organisation, elle est depuis unie à Anzex. Par décret du , Napoléon autorisa le maire d’Anzex à aliéner l’église supprimée de Saint-Pierre (sic) de Crespian avec le cimetière, estimée 600 francs pour en employer le produit aux réparations de l’église d’Anzex.

    Temporel

    Il est fait plusieurs fois mention de la dime de cette paroisse dans le Cartulaire d’Agen. Bulle R. : Gassias de Sancto Martino, Petrus Vitalis et Vitalis de Sancto Martino senior, necnom plures alii quitaverunt D.N.A.E. quartam partem decime ecclesie Sancte Christine d’Anzet. Bulle C.S. : B. de Pindera et Guilhermus B. de PIndera, frater ejus, quitaverunt D.N.A.E. omnes portes decime quas habebant in parrochia d’Anzex. Bulle T. CH. : Pindera gurpivit D.N.A.E. decimam quan habbebat in parrochia d’Ansces. Sous l’ancien régime, l’Évêque de Condom était gros décimateur dans cette paroisse. En 1789 sa part de dime à Anzex, Lupiat et Saint-Pé de Labartère (sic) était affermée 2 822 livres. Sur quoi il donnait au curé d’Anzex 148 livres sans doute pour l’indemniser des novales. Ce curé devait prendre le quart des dimes. Il possédait en outre certains biens. 1° Une terre labourable et pré, situés paroisse de Gassac, au lieu de Saint-Rouman, de 2 journaux, estimés 330 livres ; 2° Deux petites pièces de terre labourable de 1 journal ½ dans la paroisse d’Anzex, estimées 220 livres ; 3° D’une pièce de terre d’un quart de journal 6 escats, dépendante du presbytère, estimés 300 livres. Son revenu en 1790 fut de 890 livres. Le presbytère avec cour et jardin de ½ journal, d’une valeur locative de 75 livres et capitale de 1.422 livres, fut vendu pendant la Révolution pour le prix de l’estimation. IL fut racheté en 1820 avec le prix de vente de l’église de Corbian.

    Revenu de la fabrique : 200 francs en 1876.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[31] - [32].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de l'arrondissement de Nérac de la communauté de communes des Coteaux et Landes de Gascogne et du canton des Forêts de Gascogne (avant le redécoupage départemental de 2014, Anzex faisait partie de l'ex-canton de Casteljaloux).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    juin 1995 mars 2008 Claude Binet
    mars 2008 En cours Josiane Chopis
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2020, la commune comptait 310 habitants[Note 8], en diminution de 0,32 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    535665646658555567574615618
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    595570541589515530545510458
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    420413355353304328318349307
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    247193216266255259259296313
    2020 - - - - - - - -
    310--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[37] 1975[37] 1982[37] 1990[37] 1999[37] 2006[38] 2009[39] 2013[40]
    Rang de la commune dans le département 229 256 193 199 219 217 212 200
    Nombre de communes du département 326 311 313 317 317 319 319 319

    Économie

    Viticulture (Buzet (AOC)), et asperge des Sables des Landes.

    Enseignement

    Anzex fait partie de l'académie de Bordeaux.

    Culture

    La fête locale se célèbre le dimanche qui suit le .

    Activités sportives

    Pétanque, randonnée pédestre.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église d'Anzex
    • La mairie
    • Le lavoir
    • La cabine téléphonique anglaise
    • La tombe du soldat anglais
    • L'église Sainte-Radegonde et Sainte-Christine : édifice du XIe siècle. M. Tholin (dans Supplément aux Études, p. 17), lui a consacré la notice suivante : « Le chÅ“ur, voûté en berceau plein cintre, est délimité du côté de l’abside par des demi-colonnes portant un doubleau. Leurs chapiteaux sont simplement épannelés. Deux chapelles, ajoutées à la nef, en face l’une de l’autre, forment une sorte de transept. C’est une addition du XIVe siècle, à en juger pour le style de leurs croisées d’ogives. Â» Ces deux chapelles sont respectivement dédiées à la Sainte-Vierge et à Saint-Joseph. Il y a une cloche de 6 quintaux.

    Personnalités liées à la commune

    Curés titulaires depuis le Concordat :

    1° Joseph COUDERC, né le . Il était curé de Lubans (diocèse de Bazas) avant la Révolution. Ayant refusé de prêter le serment, il subit la déportation. Il desservit Sauviac, près de Bazas à son retour de l’exil. Nommé curé d’Anzex à l’organisation (1803), il refusa ce poste pour rester dans le diocèse de Bordeaux.

    2° Guillaume COUDERC, ordonné prêtre par M. CONSTANT (?) d’abord vicaire d’Auradou puis curé constitutionnel de Hautefage, abdiqua la prêtrise pendant la Terreur. Sur le refus de son homonyme, il fut nommé à Anzex où il mourut le .

    3° Jean DUCASSE, né le à Vianne, capucin avant la Révolution, adhéra au schisme, fut élu curé constitutionnel de Saint-Martin-de-Curton le , après l’avoir été de Durance le . Il se rétracta après la Terreur et desservait Cavagnan au moment du Concordat. A l’Organisation (1803) il avait été nommé curé de Sainte-Gemme. Il démissionna ou fut démissionné presque aussitôt. Enfin le , il fut nommé à Anzex où il mourut en 1839.

    4° MAROLLE était curé d’Anzex en 1847.

    5° Antoine TORNELLS, né à Peramea en Catalogne, le , prêtre le , vicaire de Sainte-Catherine de Villeneuve, desservant d’Anzex le , de Saint-Marcel au mois de , décédé le .

    6° Hippolyte FAUGÈRES, nommé à Anzex le jusqu’au (voir art. Saint-Médard).

    7° Caprais Eugène ESCARAGUEL, né à Agen le , prêtre le , vicaire au Mas, desservant d’Anzex le , de Saint-Pierre-del-Pech au mois d’, de Roquefort le , décédé le .

    8° Antoine TORNELLS (voir plus haut).

    9° Jean Baptiste DESPUJOLS, né à Bordeaux le , prêtre à Bordeaux le , desservant de Donnezac (Gironde) du au , prêtre habitué à Sainte-Foy d’Agen en 1852, aumônier, desservant d’Anzex le… .

    10° Pierre Jean Basile LACROIX, né à Liancons (Aveyron) le , prêtre le (Rodez), après 3 mois de ministère entre dans les Missions Étrangères où il reste 9 ans, 4 ans chez les Oblats de Marie, 4 ans de ministère dans le diocèse de Périgueux, recteur de Bonne-nouvelle le , d’Allons le , d’Anzex le , de Cailladelles le .

    11° Jean BONNEFIN, né le , nommé à Anzex le , transféré à Antagnac (voir art. Antagnac).

    12° Antoine SAIGNES, né à Lavit-de-Lomagne (Montauban) le , prêtre le , ancien aumônier militaire aux Indes orientales en 1857, ancien aumônier militaire en 1870, curé à Couloussac (Montauban) jusqu’en 1877, missionnaire du Sacré-Cœur en 1877, desservant d’Anzex le tout en étant missionnaire, Boé le dans les mêmes conditions, Saint-Léger-de-Penne le , vicaire de Beauville le , recteur de Sauveterre le , de Lagarrigue le , cessation en , rentré à Valence-d’Agen, décédé le .

    13° Guillaume LHOSTE (LAUSTE), né le , nommé à Anzex le , transféré à Caubeyres le (voir art. Sénestis).

    14° Antoine LAFARGUE, né le , nommé à Anzex le , transféré à Poussignac le (voir art. Poussignac).

    15° Jean SÉRÉ, né à Tournon le , prêtre le , vicaire à Saint-Étienne de Villeneuve, , à Tournon le , recteur d’Anzex le , de Saint-Martin-de-Beauville le , de Saint-Pierre-les-Bois le , de Brimont le , quitte le diocèse le , rentre fin 1899, recteur de Meylan le , retiré du ministère au mois d’, prêtre habitué au Sacré-Cœur à Agen.

    16° Jean Paul Léon MAGOT, né à Tonneins (Notre-Dame) le , prêtre le , professeur à Villeneuve au mois d’, à Saint-Caprais au mois d’, vicaire à Duras au mois d’, recteur d’Anzex le , de Saint-Sernin de Labarthe le .

    17° Valentin BONADETTE, né le , nommé à Anzex le , retiré le (voir art. Brimont).

    18° Jean LIDON, né le , nommé à Anzex le , transféré à Tayrac le (voir art. Galapian).

    19° Nicolas Jean MARIE (civil Emmanuel), né à Meilhan le , prêtre le , vicaire à Casteljaloux le , desservant d’Anzex le , de Saint-Sauveur-de-Meilhan le , hospitalisé au Bon-Sauveur d’Albi fin 1909.

    20° Marie Joseph Emmanuel SEMPÉ, né à Luz-Saint-Sauveur le , prêtre le , vicaire du Mas le , de Fumel le , de Nérac le , curé d’Anzex en 1912.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
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