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Saint-Sauveur-de-Meilhan

Saint-Sauveur-de-Meilhan est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Sauveur-de-Meilhan
Saint-Sauveur-de-Meilhan
La mairie (juin 2012).
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Lot-et-Garonne
Arrondissement Marmande
Intercommunalité Val de Garonne Agglomération
Maire
Mandat
Tanguy Clabon
2022-2026
Code postal 47180
Code commune 47277
DĂ©mographie
Gentilé Salvatoriens
Population
municipale
342 hab. (2020 en augmentation de 3,64 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 49 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 28â€Č 57″ nord, 0° 00â€Č 02″ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 132 m
Superficie 7,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Marmande
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Marmande-1
LĂ©gislatives 2e circonscription de Lot-et-Garonne
Localisation
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Saint-Sauveur-de-Meilhan
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Saint-Sauveur-de-Meilhan

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est limitrophe avec le département de la Gironde.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Noaillac, Sigalens, Aillas, Cocumont et Meilhan-sur-Garonne.

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Lisos, affluent de la Garonne, qui fait office de frontiÚre communale occidentale avec Sigalens, Aillas et Noaillac.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 817 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Martin-Curton », sur la commune de Saint-Martin-Curton, mise en service en 1974[7] et qui se trouve Ă  17 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 843 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et Ă  58 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sauveur-de-Meilhan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (77,6 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (77,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (43,1 %), forĂȘts (22,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (16,2 %), cultures permanentes (13 %), prairies (5,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 166, alors qu'il Ă©tait de 165 en 2013 et de 155 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 83,5 % étaient des résidences principales, 7,6 % des résidences secondaires et 8,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,6 % des appartements[I 1].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Sauveur-de-Meilhan en 2018 en comparaison avec celle de Lot-et-Garonne et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,6 %) supérieure à celle du département (6,3 %) mais inférieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,6 % en 2013), contre 64,5 % pour le Lot-et-Garonne et 57,5 % pour la France entiÚre[I 2].

    Le logement Ă  Saint-Sauveur-de-Meilhan en 2018.
    Typologie Saint-Sauveur-de-Meilhan[I 1] Lot-et-Garonne[I 3] France entiĂšre[I 4]
    RĂ©sidences principales (en %) 83,5 82,2 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,6 6,3 9,7
    Logements vacants (en %) 8,9 11,5 8,2

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Sauveur-de-Meilhan est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Sauveur-de-Meilhan.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[23]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 7] - [24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 1993, 1994, 1999, 2009 et 2018, par la sécheresse en 2002, 2003 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Toponymie

    Panneaux d'entrée dans le village (juin 2015).

    La commune tient son nom de celui de la paroisse dont elle est issue, consacrée au Christ, le « divin Sauveur » et de la proximité de la commune de Meilhan[25].

    Le nom gascon de la commune, Sent Salvador del Lizos, fait, quant à lui, référence à la riviÚre qui arrose la commune.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Marmande du département du Lot-et-Garonne.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Meilhan-sur-Garonne[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Marmande-1

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxiÚme circonscription de Lot-et-Garonne.

    Intercommunalité

    Saint-Sauveur-de-Meilhan est membre de la communauté d'agglomération dénommée Val de Garonne Agglomération, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1993 sous le nom de communauté de communes du Marmandais et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 mars 2001 François Henri Lafargue DVD Vétérinaire
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Meilhan-sur-Garonne (1992 → 1998)
    mars 2001 mai 2020 Francis Labeau Exploitant agricole
    mai 2020[27] septembre 2022[28] Jean-Michel Laborde Employé de coopérative vinicole
    Mort en fonction
    décembre 2022[29] En cours Tanguy Clabon Profession libérale

    DĂ©mographie

    Les habitants sont appelés les Salvatoriens[30].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[32].

    En 2020, la commune comptait 342 habitants[Note 8], en augmentation de 3,64 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    659758751704701690703664640
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    645606581592573524515512515
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    518480406424410392392406365
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    328310319284245273289313330
    2019 2020 - - - - - - -
    337342-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Viticulture : cĂŽtes-du-marmandais.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L’église paroissiale Saint-Sauveur a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e dans le style nĂ©o-gothique entre 1880 et 1882 sur les plans de l’architecte Albert Courau, en remplacement d'une ancienne Ă©glise romane ruinĂ©e, dĂ©molie en 1877. Son clocher est couronnĂ© d’une flĂšche construite vers 1902 par l’architecte Charles Bouillet[34]. Elle est inscrite Ă  l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[35].
    • Ancienne Église Saint-Sauveur de Saint-Sauveur-de-Meilhan. Elle est inscrite Ă  l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[36].
    • L’église paroissiale Saint-Sauveur (juin 2012)
      L’église paroissiale Saint-Sauveur (juin 2012)
    • Le monument aux morts entre l'Ă©glise et la mairie (juin 2012)
      Le monument aux morts entre l'Ă©glise et la mairie (juin 2012)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Sauveur-de-Meilhan et Saint-Martin-Curton », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Sauveur-de-Meilhan et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Sauveur-de-Meilhan », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    25. Saint-Sauveur-de-Meilhan sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 28 juillet 2015.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    27. Jean-Paul Biason, « Jean-Michel Laborde élu », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 20.
    28. Marie-Pierre Caris, « Le maire de Saint-Sauveur de Meilhan est mort dans les PyrĂ©nĂ©es : Alors qu'il Ă©tait parti faire une randonnĂ©e vers Luz Saint-Sauveur, le maire de Saint-Sauveur-de-Meilhan, Jean-Michel Laborde, a probablement chutĂ© dans la montagne », Le RĂ©publicain Lot-et-Garonne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Jean-Michel Laborde avait Ă©tĂ© Ă©lu maire de Saint-Sauveur-de-Meilhan, joli petit village Ă  cĂŽtĂ© de Meilhan-sur-Garonne, en 2020, lui qui travaillait Ă  la Cave de Cocumont ».
    29. Mathieu Vich, « Un nouveau maire Ă©lu dans la commune de Saint-Sauveur-de-Meilhan : AprĂšs le dĂ©cĂšs de Jean-Michel Laborde, l'ancien maire, un nouveau a Ă©tĂ© Ă©lu la semaine derniĂšre du cĂŽtĂ© de Saint-Sauveur-de-Meilhan. Il s'agit de Tanguy Clabon. », Le RĂ©publicain Lot-et-Garonne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « une personne a pris les rĂȘnes de Saint-Sauveur-de-Meilhan pendant deux mois, par intĂ©rim : Tanguy Clabon. Sans surprise, c’est ce dernier qui a Ă©tĂ© Ă©lu au dĂ©but du mois de dĂ©cembre 2022 ».
    30. Nom des habitants de la commune sur le site Habitants.fr, consulté le 28 juillet 2015.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Église paroissiale Saint-Sauveur sur le site « Visites en Aquitaine - RĂ©gion Aquitaine » (CC-BY-SA), consultĂ© le 28 juillet 2015.
    35. « Eglise paroissiale Saint-Sauveur », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    36. « Eglise paroissiale Saint-Sauveur dite Sent Saoubadou Del Lysos », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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