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Cocumont

Cocumont est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Cocumont
Cocumont
La mairie (déc. 2009).
Blason de Cocumont
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Marmande
Intercommunalité Val de Garonne Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Luc Armand (PRG)
2020-2026
Code postal 47250
Code commune 47068
Démographie
Gentilé Cocumontais
Population
municipale
1 089 hab. (2020 en diminution de 0,55 % par rapport à 2014)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 26′ 59″ nord, 0° 01′ 37″ est
Altitude 135 m
Min. 33 m
Max. 148 m
Superficie 25,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Marmande
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marmande-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Cocumont
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Cocumont
Liens
Site web http://www.cocumont.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune de Cocumont se situe dans l'extrême ouest du département de Lot-et-Garonne, en limite du département de la Gironde, à 67 km au nord-ouest d'Agen, chef-lieu du département, à 15 km au sud-ouest de Marmande, chef-lieu d'arrondissement.

    Communes limitrophes

    Cocumont est limitrophe de huit autres communes dont deux en Gironde. Les communes limitrophes sont Meilhan-sur-Garonne, Grignols, Sigalens, Guérin, Marcellus, Montpouillan, Romestaing et Saint-Sauveur-de-Meilhan.

    Voies de communication et transports

    La route départementale D 3 qui traverse le village mène vers le nord à Sainte-Bazeille et vers le sud à Romestaing et au-delà à Grignols.

    Du village, la route départementale D 264 mène vers le nord-ouest à Saint-Sauveur-de-Meilhan puis Meilhan-sur-Garonne. Vers l'est, la route départementale D 289 mène à Samazan puis au Mas-d'Agenais tandis que la route départementale D 147 conduit vers le sud-est à Bouglon puis à Casteljaloux.

    Cocumont se situe à égale distance (11 à 12 km) de l'accès no 4, dit de La Réole, au nord-ouest, et l'accès no 5, dit de Marmande, à l'est, de l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse).

    La gare SNCF la plus proche est, à 16 km vers le nord-est, celle de Marmande sur la ligne Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 805 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin-Curton », sur la commune de Saint-Martin-Curton, mise en service en 1974[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 843 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 54 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Cocumont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,6 %), terres arables (22,4 %), cultures permanentes (21,6 %), forêts (15,1 %), prairies (9,4 %), zones urbanisées (2,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Cocumont est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Sérac. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009 et 2018[23] - [21].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cocumont.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [26].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Toponymie

    La commune tire son nom du latin coculo monte qui signifie « montagne du cri du coucou » en raison de la présence de nombreux chênes. Le point le plus élevé de la région s’appelait d’ailleurs Modèle:Grec, terme grec signifiant « mont de la forêt de chênes »[27].

    La graphie du nom de la commune est identique en gascon.

    Ses habitants sont appelés les Cocumontais[28].

    Histoire

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1947 Gilbert Thoumazeau
    1947 mars 1965 Gilbert Claverie
    mars 1965 juin 1995 Roger Boyance
    juin 1995 mars 2008 Joseph Lorenzon
    mars 2008
    (réélu en mai 2020[29])
    En cours Jean-Luc Armand PRG Enseignant
    Président de la fédération PRG de Lot-et-Garonne (depuis 2020)
    Conseiller régional depuis 2021

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[30].

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2020, la commune comptait 1 089 habitants[Note 8], en diminution de 0,55 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5281 5501 5721 5701 6761 7221 6641 7321 706
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6511 7081 6941 6621 6751 5941 4711 4351 435
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4391 4001 3501 1521 1671 1741 1921 1941 152
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 1421 1411 0221 0229378889349471 078
    2018 2020 - - - - - - -
    1 0661 089-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste de style néogothique, construite du XIXe siècle, se situe dans le centre du village.
    • Église Saint-Jean de Vidailhac de Cocumont. Au lieu-dit Vieille Église, se trouve, au milieu d'un cimetière encore en usage, l'église Saint-Jean de Vidailhac de style roman datant du XIIe siècle, souvent réaménagée et restaurée au cours des siècles suivants, aujourd'hui fermée, en état de relatif délabrement et inutilisée. Elle est classée monument historique depuis 1927[35].
    • Église Saint-Martin de Goux de Cocumont. Au lieu-dit Gouts (ou Goutz, Goux ou Goutx) l'église romane de Gouts du XIIe siècle dédiée à saint Martin, remaniée au XVIIIe siècle, appelée également église Goux de Loutrange, est classée monument historique depuis 1965[36].
    • Église Saint-Jean-Baptiste de Cocumont. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[37].
    • Église Saint-Gervais de Cocumont. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[38].
    • Une église romane du XIIe siècle dédiée à saint Jean de Vidalque puis à saint Gervais existait au lieu-dit Briolet ; elle a été classée en 1927[39] mais, en très mauvais état, elle a quasiment disparu depuis 1970 et il n'en reste que des ruines portant des peintures murales inventoriées[40] et une cloche datant de 1578 classée à l'inventaire des monuments historiques en 1910[41].
    • Une ancienne église du XIVe siècle dite Saint-Sylvestre-de-Loutrange a existé au lieu-dit Saint-Sylvestre mais, vendue comme bien national à la Révolution, elle est aujourd'hui entièrement transformée en maison et grange.
    • De nombreux « objets » (cloches, bénitiers et autres mobiliers) abrités par les églises Saint-Jean-Baptiste, Saint-Jean-de-Vidailhac et Saint-Martin de Gouts sont répertoriés à l'inventaire du ministère de la Culture[42]. Une cloche de l'église Saint-Jean-Baptiste a été offerte par la confrérie des Pénitents blancs de Cocumont[43].
    • L'église Saint-Jean-Baptiste (déc. 2009)
      L'église Saint-Jean-Baptiste (déc. 2009)
    • L'église Saint-Jean-de-Vidailhac (déc. 2009)
      L'église Saint-Jean-de-Vidailhac (déc. 2009)
    • L'église de Gouts (déc. 2009)
      L'église de Gouts (déc. 2009)
    • Le monument aux morts sur la place des Vignerons (déc. 2009)
      Le monument aux morts sur la place des Vignerons (déc. 2009)

    Personnalités liées à la commune

    Noms des rues

    • Une grande partie des noms de rues sont issus des vignes. Le bourg regroupe les cépages à vin rouge tandis que les lotissements se partagent les cépages blancs. Par exemple :
      • Place des Vignerons : anciennement place de la Mairie ou place du Marché
      • Rue des Bouilleurs de cru : rappelle l'activité passée d'un distillateur à cet endroit jusque dans les années 1960.

    Commune au nom burlesque

    De par sa toponymie, le village de Cocumont fait partie de l'association des communes de France aux noms burlesques et chantants.
    À ce titre, Cocumont a organisé la troisième rencontre en 2005.

    Héraldique

    Blason de Cocumont Blason
    D'or à la montagne de chênes de sinople, au chef d'azur chargé de trois abeilles d'or[44].
    Détails
    Créé en 1863.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Cocumont et Saint-Martin-Curton », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Cocumont et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Cocumont », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    27. Cocumont sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 septembre 2014.
    28. Nom des habitants de Cocumont sur habitants.fr, consulté le 5 juillet 2011.
    29. , « Jean-Luc Armand réélu pour son troisième mandat », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 20.
    30. Site des villes et villages fleuris, consulté le .
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Classement MH de l'église Saint-Jean-de-Vidailhac », notice no PA00084096, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Classement MH de l'église Goux de Loutrange », notice no PA00084097, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    38. « Eglise paroissiale Saint-Gervais », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    39. « Classement MH de l'église Saint-Gervais de Briolet », notice no PA00084096, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Images des peintures murales de l'église Saint-Gervais », base Mémoire, ministère français de la Culture.
    41. « Classement MH de la cloche de l'église Saint-Gervais de Briolet », notice no PM47000102, base Palissy, ministère français de la Culture.
    42. « Inventaire des objets de Cocumont », base Palissy, ministère français de la Culture.
    43. A. Veilhon, La Compagnie des Pénitents blancs de Cocumont aux XVIIe et XVIIIe siècles, p. 396-402, Revue de l'Agenais, 1925, tome 52 (lire en ligne), et p. 56-65, Revue de l'Agenais, 1926, tome 53 (lire en ligne)}
    44. Armorial de France
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