Accueil🇫🇷Chercher

Laplume

Laplume est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne en région Nouvelle-Aquitaine.

Laplume
Laplume
Vue du village.
Blason de Laplume
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Séverine Coudert
2020-2026
Code postal 47310
Code commune 47137
Démographie
Gentilé Pennaviens
Population
municipale
1 342 hab. (2020 en diminution de 8,08 % par rapport à 2014)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 06′ 46″ nord, 0° 31′ 56″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 218 m
Superficie 32,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Agen (commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Ouest agenais
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Laplume
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Laplume
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Voir sur la carte topographique de Lot-et-Garonne
Laplume
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Laplume
Liens
Site web Site de la mairie

    Ses 1402 habitants sont appelés les Pennaviens et Pennaviennes.

    Elle fait partie de l'arrondissement d'Agen et de son aire d'attraction qui compte une population de 120 576 habitants.

    Géographie

    Localisation

    Commune de l'aire d'attraction d'Agen située dans le Brulhois, sur la route nationale 131 entre Agen et Condom.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Sainte-Colombe-en-Bruilhois, Aubiac, Lamontjoie, Marmont-Pachas, Moirax, Moncaut, Roquefort, Saint-Vincent-de-Lamontjoie et Saumont.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 750 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1999 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records LAPLUME (47) - alt : 160 m 44° 06′ 48″ N, 0° 34′ 54″ E
    Statistiques établies sur la période 1999-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1999 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,5 2,8 5,2 7,6 11,1 14,7 16 15,9 13,1 10,7 5,7 2,9 9
    Température moyenne (°C) 5,8 7 10,2 12,9 16,6 20,6 22,1 22,1 19,1 15,3 9,2 5,9 13,9
    Température maximale moyenne (°C) 9 11,1 15,3 18,2 22,1 26,5 28,3 28,2 25 19,9 12,6 8,9 18,8
    Record de froid (°C)
    date du record
    −9,4
    27.01.07
    −12
    09.02.12
    −9
    01.03.05
    −1,7
    07.04.21
    1,7
    06.05.19
    6,3
    05.06.14
    9,5
    17.07.00
    9,4
    29.08.21
    5
    27.09.10
    −2
    25.10.03
    −7,2
    18.11.07
    −10,5
    17.12.01
    −12
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,8
    02.01.03
    25,2
    27.02.19
    27,5
    20.03.05
    31,4
    30.04.05
    34,3
    29.05.01
    38,6
    29.06.19
    40,6
    23.07.19
    41,7
    04.08.03
    37
    03.09.05
    31
    02.10.11
    25
    07.11.15
    19,6
    08.12.10
    41,7
    2003
    Précipitations (mm) 65,9 48,2 51,7 79,3 71,2 56,5 55,3 49,3 68,8 63,6 76,9 71,1 757,8
    Source : « Fiche 47137003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Laplume est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [9] - [10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,3 %), zones agricoles hétérogènes (14,6 %), forêts (2,8 %), zones urbanisées (1,5 %), prairies (0,9 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Laplume est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le Ruisseau de Jorle, le Ruisseau de Brimont, le Ruisseau Labourdasse et le Petit Auvignon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999, 2008 et 2009[17] - [15].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[18]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[19].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Laplume.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6] - [21].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002, 2003, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

    Risque technologique

    La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de km se mettent à l'abri[Note 7]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 8] - [22] - [23].

    Toponymie

    Le nom ancien de la ville était Penna, du mot pré-latin d'origine celto-ligure penn désignant une hauteur rocheuse (penne ou pène, toponymes fréquents dans le Sud de la France). Il a été traduit littéralement d'après le latin penna, « plume » : confusion fréquente car le blason de Penne (Tarn), également bâtie sur un éperon rocheux, porte une plume.

    Histoire

    Laplume a été la capitale de la vicomté et du bailliage d'appel de Bruilhois ou Brulhois.

    La commune de Laplume accueillit des habitants de Lemud, en Moselle, expulsés par les Allemands à l'automne 1940, à l'instar du village voisin de Roquefort.

    Héraldique

    Blason de Laplume Blason
    D'azur aux trois tours couvertes d'argent, girouettées de sable.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Laplume
    Alias du blason de Laplume
    D'azur à trois tours d'or, celle de la pointe sommée d'un bouquet de trois plumes d'argent, le tout enfermé dans une filière du même.
    Alias du blason de Laplume
    Alias du blason de Laplume
    D'azur à trois tours terrassées et couvertes d'argent, girouettées de gueules, celle du milieu plus haute, sommée d’une croisette pattée de sable[24].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 mars 2008 Bernard Villes Boulanger-pâtissier
    mars 2008 mai 2020 Éric Bacqua DVG Enseignant
    mai 2020[25] En cours Séverine Coudert DVG Psychologue du travail

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2020, la commune comptait 1 342 habitants[Note 9], en diminution de 8,08 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 8101 7891 7241 7861 8241 6551 7071 7701 742
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7351 7421 6241 6381 5591 5901 5641 4131 305
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1891 2771 2391 0861 1421 0971 0821 1781 218
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 2481 0781 1011 0811 0421 2051 3271 3621 446
    2018 2020 - - - - - - -
    1 3541 342-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • E. d'Antin, Une commune pendant les guerres de religion d'après les archives de Laplume, p. 311-330, 473-494, Revue de l'Agenais, année 1893, tome 20 (lire en ligne)
    • E. d'Antin, Une commune pendant les guerres de religion d'après les archives de Laplume, p. 52, 152, 230, 352, 535, Revue de l'Agenais, année 1894, tome 21 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    7. Le périmètre de km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
    8. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Fiche du Poste 47137003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. « Les risques près de chez moi - commune de Laplume », sur Géorisques (consulté le )
    16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    17. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Laplume », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    22. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Golfech - plaquette de présentation. », sur www.edf.fr (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    24. Armorial de France
    25. « Séverine Coudert à la tête de la mairie », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 22.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - pp. 191-192 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN 2-7084-0421-0).
    31. Notice no PA00084149, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Eglise Saint-Barthélemy », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.