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Allons (Lot-et-Garonne)

Allons est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Allons
Allons (Lot-et-Garonne)
La mairie, en .
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Nérac
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux et Landes de Gascogne
Maire
Mandat
Jean-Marie Pons
2020-2026
Code postal 47420
Code commune 47007
Démographie
Gentilé Allonais
Population
municipale
165 hab. (2020 en diminution de 3,51 % par rapport à 2014)
Densité 2,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 12′ 10″ nord, 0° 03′ 11″ ouest
Altitude 138 m
Min. 98 m
Max. 156 m
Superficie 76,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Forêts de Gascogne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Allons
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Allons
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Allons
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Allons

    Géographie

    Localisation

    Située dans les Landes de Lot-et-Garonne sur le ruisseau d'Allons affluent du Ciron, la commune est limitrophe des départements de la Gironde et des Landes.

    Elle se trouve à 58 km à l'ouest d'Agen, chef-lieu du département, à 35 km à l'ouest-nord-ouest de Nérac, chef-lieu d'arrondissement et à 7,5 km à l'ouest de Houeillès, chef-lieu de canton[1].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Lartigue, Giscos, Losse, Lubbon, Maillas, Houeillès, Pindères et Sauméjan.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 900 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin-Curton », sur la commune de Saint-Martin-Curton, mise en service en 1974[9] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 843 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 50 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Allons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27,5 %), terres arables (10,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    • Routes départementales D154, D157 et D433.
    • Autoroutes A62, accès no 6 dit d'Aiguillon, à 32 km vers l'est-nord-est et no 5 dit de Marmande, à 33 km vers le nord-nord-est et A65, accès no 2 dit de Captieux, à 19 km vers le nord-ouest.
    • Gare d'Aiguillon à 38 km vers l'est-nord-est.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Allons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Allons est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[24] - [25].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Allons.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. 7,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6] - [28].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009, par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Toponymie

    La commune tiendrait son nom de sa situation sur l'emplacement d'un ancien village gallo-romain nommé Aluntium[29], selon le site Visites en Aquitaine. Cette référence, éventuellement convenable pour Allons (Alpes-de-Haute-Provence), semble tirée du Dauzat et Rostaing, qui ne fournissait aucune date, mais suggérait seulement l'exemple d'une localité de Sicile qui portait ce nom[30]. De toute façon, l'étymologie proposée va à l'encontre de toutes les attestations médiévales : Alon (XIIIe siècle), Alanum, Alonum (1276, en latin), Alan (1276), Alon (1317), Lan (1326), Lon (1328); même à notre époque, la prononciation gasconne reste imperturbablement [a'luŋ][31]; la sifflante finale d'un supposé *Alonç (< Aluntium) n'aurait pas manqué d'être prononcée en occitan, surtout au XIIIe siècle.

    L'origine, pour Bénédicte Boyrie-Fénié, est peut-être un nom de personne d'origine germanique Alon ou le cognomen Alonus. Les formes Lan et Lon s'expliquent par confusion de la première syllabe avec une préposition[31].

    Bénédicte Boyrie-Fénié ne s'interroge pas sur la raison de l's finale en français. Il se trouve que le village n'est pas éloigné du Bazadais girondin qui connaît de nombreux cas de noms de paroisses mis au pluriel, ce qui correspond à des collectifs (l'ensemble des habitants). Souvent le nom du village se confond ensuite avec celui des habitants[32], mais il peut arriver que ça ne se produise pas ou que le phénomène soit réversible.

    En gascon, le nom de la commune est logiquement Alon (phonetiquement: Aloun)

    La plupart des lieux-dits d'Allons sont explicables par le gascon, par exemple Bouchoc, Hourticon, Benquet, Capchicot, Pouchiou, l’Aygue Clare, Herran, Pélebusoc, le Hourquey, etc.[33]

    Histoire

    • Située sur le passage d'une voie romaine.
    • Rendez-vous de chasse d'Henri IV.
    • Un drame sanglant se déroula au XVIIe siècle au château d'Allons, entre trois familles seigneuriales.
    • En 1646, la lutte acharnée de deux familles seigneuriales pour la concession d'un titre de sépulture et de banc (privilège attribuant à perpétuité un banc de l'église à une famille) va jusqu'à la perpétration d'un quadruple assassinat dans l'église et le cimetière[34] à l'encontre du seigneur de Capchicot, son fils et leurs valets[35].
    • En 1827, la commune absorbe celle voisine de Luban ou Lubans[36] peuplée de 134 habitants au recensement de 1821[37] ; aujourd'hui écart situé au nord-ouest du territoire communal en limite du département voisin de la Gironde.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1953 1966 Adrien Caule
    1966 1981 Jean-François Pons
    1981 1995 Jacques Pons
    1995 2001 Patrice Astre Pisciculteur
    mars 2001 mars 2014 Olivier de la Fage Agriculteur
    mars 2014 mai 2020 Pascal Cucchi
    mai 2020 En cours Jean-Marie Pons
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Allonais[38].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40]. En 2020, la commune comptait 165 habitants[Note 7], en diminution de 3,51 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    725613600812911797757948919
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    892817833847826842858886883
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    865867832767668631558428357
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    304247185152152172174177164
    2020 - - - - - - - -
    165--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La maison forte de Capchicot, dite aussi château de Capchicot, située à environ km au sud-est du bourg, a été inscrite au titre des monuments historiques en 1998[42] ; une légende locale court sur le charbonnier de Capchicot exempté de droits d'entrée de ville par Henri de Navarre qu'il abrita et nourrit alors qu'il s'était égaré lors d’une partie de chasse[35].
    • Le logis de la maison noble de Luxurguey[43], à environ km au sud-ouest du bourg est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1993[44].
    • L'église Saint-Clair de Gouts, écart au nord du territoire communal, a été construite au XIIIe siècle et revêt un aspect de fortification défensive[45] ; elle a été classée au titre des monuments historiques en 1995[46].
    • L'église Saint-Christophe, dans le bourg, a été reconstruite au XVIIe siècle sur les ruines d'une église détruite en 1568 par les troupes protestantes[34].
    • L'église Notre-Dame-de-Lubans, écart au nord-ouest du territoire communal, date du début du XIVe siècle et se présente comme une construction « rurale » et d’architecture sobre[47].
    • Maison forte de Tourneuve[48].
    • Forêt des Landes.
    • L'église Saint-Christophe, vue sud-ouest (août 2014).
      L'église Saint-Christophe, vue sud-ouest (août 2014).
    • L'église Saint-Christophe, vue nord-ouest (août 2014).
      L'église Saint-Christophe, vue nord-ouest (août 2014).
    • L'église Saint-Clair de Gouts (juil. 2012).
      L'église Saint-Clair de Gouts (juil. 2012).
    • L'église Saint-Clair, vue sud-ouest (juin 2011).
      L'église Saint-Clair, vue sud-ouest (juin 2011).
    • Le monument aux morts au carrefour du centre bourg (août 2014).
      Le monument aux morts au carrefour du centre bourg (août 2014).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 53,7 km pour Agen, 31,9 km pour Nérac et km pour Houeillès. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 11 septembre 2014.
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Allons et Saint-Martin-Curton », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Allons et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune d'Allons », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    29. Allons sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 11 septembre 2014.
    30. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984.
    31. Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des communes Lot et Garonne, ed. CAIRN, Pau, 2012, p. 46.
    32. Miquèu Audoièr, Ua solucion unica a un problèma doble : lo grop -ts, fonetica istorica e toponimia, País Gascons no 269, novembre-décembre 2013
    33. « Lòcs / Lieux-dits gascons d'Allons - Gasconha.com », sur www.gasconha.com (consulté le )
    34. Église Saint-Christophe d’Allons sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 11 septembre 2014.
    35. Château de Capchicot sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 11 septembre 2014.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Luban », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    38. Nom des habitants de la commune sur habitants .fr, consulté le 11 septembre 2014.
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. « Inscription MH de la maison forte de Capchicot », notice no PA47000034, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. Maison noble de Luxurguey sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine », consulté le 11 septembre 2014.
    44. « Inscription MH de la maison noble de Luxurguey », notice no PA00125248, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. Église Saint-Clair de Gouts sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine », consulté le 11 septembre 2014.
    46. « Classement MH de l'église Saint-Clair », notice no PA00125247, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. Église de Lubans sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine », consulté le 11 septembre 2014.
    48. Maison forte de Tourneuve sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine », consulté le 11 septembre 2014.
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