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Losse

Losse est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Losse
Losse
L'Ă©glise Saint-Georges.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes des Landes d'Armagnac
Maire
Mandat
Bruno Lacoste
2020-2026
Code postal 40240
Code commune 40158
DĂ©mographie
Population
municipale
274 hab. (2020 en augmentation de 2,62 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2,7 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 06â€Č 36″ nord, 0° 06â€Č 06″ ouest
Altitude Min. 95 m
Max. 157 m
Superficie 102,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Haute Lande Armagnac
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Losse

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cette commune est située en Armagnac sur les routes (route nationale 656 et route nationale 524) entre Cazaubon et Bazas et sur l'itinéraire à Grand Gabarit. Elle est limitrophe du département de Lot-et-Garonne.

    Sa superficie est presque aussi importante que celle de Paris.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Bourriot-Bergonce, Estigarde, Herré, Lubbon, Maillas, Rimbez-et-Baudiets, Saint-Gor, Vielle-Soubiran et Allons.

    Hameaux et lieux-dits

    Elle comprend plusieurs quartiers isolés comme ceux d'Estampon et de Lussolle.

    Hydrographie

    L'Estampon, affluent droit de la Douze, traverse les terres de la commune. Ses affluents (rive droite), le Bergonce et le Chatéou, prennent leur source sur la commune.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 910 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Roquefort », sur la commune de Roquefort, mise en service en 1988[8] et qui se trouve Ă  19 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 921,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  40 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Losse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (84,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (87,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (52,7 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (32,2 %), terres arables (10,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,8 %), zones humides intĂ©rieures (0,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Losse est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Estampon, la Losse et . La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999, 2009 et 2020[23] - [21].

    Losse est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Losse.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 6,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 231 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 35 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 15 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Histoire

    Étymologie

    Traditionnellement, le nom de Losse vient du latin « Laossa » qui signifie « lieu humide », tradition compatible avec le fait que Losse a pris le nom du cours d'eau la Losse qui coule non loin, et qui est un hydronyme extrĂȘmement rĂ©pandu sous des formes Osse, Ousse, OursoĂŽ et mĂȘme Ossau, sans compter Losa, l'ancien nom de la Gourgue, de Sanguinet.

    Son évolution au cours des siÚcles est la suivante : « Loza » en 1197, « Lossa » en 1274 et « Laossa » au XVe siÚcle.

    Faits historiques

    En 1491, Antoine de Losse, qui donna son nom au chĂąteau puis Ă  la commune,  accompagna Alain d’Albret dans son expĂ©dition en Bretagne[28] - [29].

    Le vicomte de Juliac[30], cherchant querelle avec le seigneur de Losse, lui tira dessus le , et reçu en lĂ©gitime dĂ©fense de celui-ci une balle mortelle. Par dĂ©cision de justice, le seigneur de Losse fut condamnĂ© Ă  l’exil et ses chĂąteaux rasĂ©s, dont celui de Goallard prĂšs de Losse et de Cazaubon. Il s’agissait de GĂ©rard de Mibielle, dernier seigneur de Losse[31] - [32].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    ? 1977 Raphael Jourdan
    1977 2020 Serge Jourdan[33] DVG[34]

    puis RES

    Exploitant agricole
    Président de la communauté de communes du Gabardan (2001-2012)
    Président de la communauté de communes des Landes d'Armagnac depuis 2013
    2020 En cours Bruno Lacoste
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[36].

    En 2020, la commune comptait 274 habitants[Note 6], en augmentation de 2,62 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0786737119901 1651 1481 0271 1131 159
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1831 1911 1881 1131 1511 1701 1251 1811 190
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0981 0941 031870860794727704553
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    426399356340347308276271259
    2017 2020 - - - - - - -
    275274-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Martin d'Estampon.

    Centrale solaire

    EDF Ă©nergies nouvelles a inaugurĂ© sur le territoire de la commune en la premiĂšre tranche de la centrale photovoltaĂŻque de Losse qui affiche au total environ 70 mĂ©gawatts[39]. À la fin du 3e trimestre 2011, aprĂšs l'achĂšvement de trois tranches supplĂ©mentaires, la centrale (qui occupe au total 314 hectares au sol) comporte presque un million de panneaux[40], couvrant 300 hectares de panneaux. Aussi est-elle, au moment de sa mise en service, une des plus grandes centrales solaires au monde[39], devant celle de Moura au Portugal.

    La communauté de communes du Gabardan dont fait partie Losse reboisera une superficie équivalente sur des espaces défrichés du canton.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Roquefort - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Losse et Roquefort », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Roquefort - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Losse et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Losse », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. « Page Histoire sur le site de la mairie », sur losse.fr (consulté le ).
    29. « Fiche sur Losse », sur visites.aquitaine.fr (consulté le ).
    30. « Fiche généalogique du vicomte de Juliac, Joseph-Marie de Pujolé », Notes en bas de fiche, sur geneanet.org (consulté le ).
    31. P. H. Dorgan, « Histoire politique religieuse et littéraire des Landes depuis les temps les plus anciens jusqu'à nos jours », p. 383, sur books.google.fr, (consulté le ).
    32. « Fiche généalogique de Gérard de Mibielle », note en bas de fiche, sur geneanet.org (consulté le ).
    33. Serge Jourdan, fut l'un des plus jeunes maire de France et succĂ©da Ă  son pĂšre Raphael Jourdan, dont une salle de fĂȘte du village porte son nom
    34. http://operations.evenement.lemonde.fr/aquitaine-limousin-poitou-charentes/landes,40/losse,40158/
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Frank Niedercorn, Les Landes inaugurent la plus grande centrale solaire au monde, Les Échos, p. 14, 12 juillet 2010.
    40. La centrale solaire des Landes en service complet, sur Europe1.fr, 6 octobre 2011. Consulté le 4 juillet 2012.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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