AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Sos (Lot-et-Garonne)

Sos [sɔs] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de Lot-et-Garonne (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).

Sos
Sos (Lot-et-Garonne)
Église Saint-BarthĂ©lemy de Gueyze
Blason de Sos
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Lot-et-Garonne
Arrondissement NĂ©rac
Intercommunalité Albret Communauté
Maire
Mandat
Didier Soubiron
2020-2026
Code postal 47170
Code commune 47302
DĂ©mographie
Gentilé Sotiates
Population
municipale
653 hab. (2020 en diminution de 2,83 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 12 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 02â€Č 36″ nord, 0° 08â€Č 28″ est
Altitude 132 m
Min. 63 m
Max. 162 m
Superficie 52,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales L'Albret
LĂ©gislatives premiĂšre circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sos
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sos
GĂ©olocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Voir sur la carte topographique de Lot-et-Garonne
Sos
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Sos
Liens
Site web http://www.sos-gueyze-meylan.fr/

    GĂ©ographie

    Localisation

    SituĂ©e dans la forĂȘt des Landes au confluent de la GĂ©lise et de la Gueyze, sur l'ancienne route nationale 656 entre MĂ©zin et Barbotan-les-Thermes. La commune est limitrophe avec le dĂ©partement des Landes.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont RĂ©aup-Lisse, Saint-PĂ©-Saint-Simon, Arx, Escalans, Rimbez-et-Baudiets, Poudenas et Sainte-Maure-de-Peyriac.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 11,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 798 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Reaup », sur la commune de RĂ©aup-Lisse, mise en service en 1952[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 848,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et Ă  36 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Sos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sos est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue Ă   dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment la GĂ©lise, le Rimbez et la Gueyze. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2009[22] - [20].

    Sos est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[23] - [24].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements diffĂ©rentiels[25]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sos.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[27]. 41,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[28]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 6] - [29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2005, 2006, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Toponymie

    Le toponyme Sos dérive d'un nom prélatin, indiquant un éperon rocheux[30]. Il est latinisé en Sotium[31] ou oppidum Sotiatum[32] en référence au peuple local, les Sotiates.

    Histoire

    Les Sotiates, dont l'oppidum pourrait ĂȘtre situĂ© Ă  Sos[33], furent l'un des peuples aquitains soumis, avec leur chef Adiatuanos, par Publius Crassus, lieutenant de Jules CĂ©sar, en 56 avant notre Ăšre, lors de la guerre des Gaules[32] - [34]. La ville Ă©tait une place forte importante pour l’époque[30].

    HĂ©raldique

    Sos
    Blason de Sos Blason
    De gueules à deux clés d'argent passées en sautoir et nouées d'azur[35]
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1988 1989 Bernard Sicardon
    mars 1989 mars 2008 Jean Buisson
    mars 2008 Bernard Martin[Note 7] DVD Coiffeur
    juin 2017 En cours Didier Soubiron SE Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[37].

    En 2020, la commune comptait 653 habitants[Note 8], en diminution de 2,83 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7005727628608988621 3451 3551 372
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3281 3461 4101 3781 3401 2881 3331 1981 251
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1441 1151 0371 0079921 023971845926
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    884829926769718643681691708
    2014 2019 2020 - - - - - -
    672651653------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    7. Bernard Martin est décédé le 16 juin 2017 dans l'exercice de ses fonctions de maire du village
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Reaup - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Sos et Réaup-Lisse », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Reaup - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr.
    11. « Orthodromie entre Sos et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Sos », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    24. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sos », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    29. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    30. BĂ©nĂ©dicte Boyrie-FĂ©niĂ©, avec la collaboration d’AndrĂ© Bianchi, PĂšire BoissiĂšre, Patrice GentiĂ© et Maurice Romieu, Dictionnaire toponymique des communes - Lot-et-Garonne, Pau, Éditions Cairn, , 320 p. (ISBN 978-2-35068-231-0)..
    31. Tertia Vita Sancti Severi
    32. Jules CĂ©sar, Commentaires sur la guerre des Gaules, Livre III, 20-22
    33. « Une piÚce de monnaie Sotiate », sur albret-tourisme.com (consulté en ).
    34. RenĂ©e Mussot-Goulard, Histoire de la Gascogne, Paris, Presses universitaires de France, 1996, collection « Que sais-je Â», 127 p. (ISBN 2-13-047519-1) Notice BnF n° 366878343
    35. http://blason-des-villes.e-monsite.com/rubrique,sos-47,1205593.html
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Visites en Aquitaine : Église Saint-BarthĂ©lemy de Gueyze
    41. « Eglise Saint-Barthélémy de Gueyze », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    42. Visites en Aquitaine : Église Saint-Saturnin de Sos
    43. « Eglise paroissiale Saint-Saturnin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    44. « Eglise paroissiale Saint-Pierre-de-Vérone », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    45. Visites en Aquitaine : ChĂąteau de Saint-Pau Ă  Meylan
    46. Visites en Aquitaine : Église Saint-Paul de Saint-Pau
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.