Accueil🇫🇷Chercher

Leyritz-Moncassin

Leyritz-Moncassin est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Leyritz-Moncassin
Leyritz-Moncassin
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Nérac
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux et Landes de Gascogne
Maire
Mandat
Jean-Louis Boyance
2020-2026
Code postal 47700
Code commune 47148
Démographie
Gentilé Leyritzais
Population
municipale
203 hab. (2020 en diminution de 7,73 % par rapport à 2014)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 19′ 41″ nord, 0° 09′ 42″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 175 m
Superficie 20,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Casteljaloux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Forêts de Gascogne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Leyritz-Moncassin
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Leyritz-Moncassin
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Voir sur la carte topographique de Lot-et-Garonne
Leyritz-Moncassin
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Leyritz-Moncassin

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans le Queyran sur l'Ourbise.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Razimet, Anzex, Calonges, Casteljaloux, Labastide-Castel-Amouroux, La Réunion, Sainte-Gemme-Martaillac et Villefranche-du-Queyran.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 814 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin-Curton », sur la commune de Saint-Martin-Curton, mise en service en 1974[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 843 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 37 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Leyritz-Moncassin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Casteljaloux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,7 %), forêts (18,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), eaux continentales[Note 7] (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Leyritz-Moncassin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment l'Ourbise et le Ruisseau de Tareyre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1993, 1999, 2009 et 2018[23] - [21].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Leyritz-Moncassin.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. 99,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [26].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Toponymie

    Le nom de Leyritz, provient du terme latin laricium qui désigne un « terrain inculte », en raison de la mauvaise qualité des terres environnantes[27].

    En occitan, le nom de la commune est Leiritz e Montcassin[28].

    Histoire

    En 1839, la commune de Leyritz, alors peuplée de 475 habitants[29] absorbe celle voisine de Moncassin peuplée de 251 habitants[30].
    Bien que moins peuplé au XVIIIe siècle, le lieu-dit de Moncassin est devenu le chef-lieu de la commune, accueillant la mairie, le lieu-dit de Leyritz se dépeuplant plus vite.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 2008 Roland Boyancé Retraité agricole
    2008 mai 2020 Marie-Françoise Dachy Retraitée de la fonction publique
    mai 2020[31] En cours Jean-Louis Boyancé

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Leyritzais[27].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2020, la commune comptait 203 habitants[Note 9], en diminution de 7,73 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    455516488445475706711642645
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    644650658664633603519509512
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    535490383407393404364325284
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    239192208251217204222208203
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    L'année 1841 est celle où il y a eu le plus d'habitants à Leyritz-Moncassin (706 habitants), juste après la fusion des deux anciennes communes. 2006 est l'année où il y en a eu le moins : seulement 204, soit 502 de moins qu'en 1841. Le dernier recensement avant la Première Guerre mondiale a été fait en 1911 et on a dénombré deux fois plus d'habitants qu'en 2006 (exactement 490 en 1911).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château de Moncassin est à l'origine une demeure féodale fortifiée. En 1287, il devient la propriété de plusieurs co-seigneurs. Un lointain comte de Foix, puis des rois de Navarre jusqu'à la Révolution. La forteresse devient la propriété de Guillaume de Pins, puis celle d'Arnaud de Lupiac, époux d'une demoiselle de Pins. En 1494, c'est Gailhard de Montlezun qui l'occupe, ainsi que sa famille, jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, avec le comte d'Artagnan (1645-1725) mousquetaire et maréchal de France. Le château fort est agrandi et encore fortifié par cette famille, mais disparaît dans un incendie en 1865. En 1868, la reconstruction du château est effectuée dans le style Renaissance pour s'achever en 1872. Il ne reste de l’ancien château que des remparts qui délimitent la cour intérieure du château actuel, une tour carrée et deux entrées principales.
    • L'église Notre-Dame-des-Prés de Saubot datant des XIe et XIIe siècles se trouve à proximité d'une route vicinale dans le nord-ouest du territoire communal. La façade à l’ouest que surmonte un pignon arcade, abrite un portail en plein cintre à trois retraites, dépourvu d’ornementation, qui date de l’époque romane. La nef de trois travées carrées, recouverte de croisées d’ogives et le chevet pentagonal sont de la dernière époque gothique.
    • L'église Notre-Dame de Lussac.
    • L'église Saint-Laurent de Moncassin.
    • L'église Saint-Pierre de Leyritz.
    • Le monument aux morts de la Première Guerre mondiale[35].
    • L'église Notre-Dame-des-Prés.
      L'église Notre-Dame-des-Prés.
    • L'église Notre-Dame de Lussac.
      L'église Notre-Dame de Lussac.
    • L'église Saint-Laurent de Moncassin.
      L'église Saint-Laurent de Moncassin.
    • L'église Saint-Pierre de Leyritz.
      L'église Saint-Pierre de Leyritz.
    • Le monument aux morts près de l'église Saint-Laurent.
      Le monument aux morts près de l'église Saint-Laurent.

    Personnalités liées à la commune

    Moncassin, 1986, par Edmond Boissonnet
    • Le peintre Edmond Boissonnet est inspiré par ces collines dans ses paysages imaginaires des années 1980.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Leyritz-Moncassin et Saint-Martin-Curton », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Leyritz-Moncassin et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Leyritz-Moncassin », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    27. Leyritz-Moncassin sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 27 octobre 2015.
    28. Leiritz e Montcassin sur Wikipèdia occitane.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Moncassin », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    31. « Après le père, le fils », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 24.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Monument aux morts (relevé no 34248).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.