Accueil🇫🇷Chercher

Labastide-Castel-Amouroux

Labastide-Castel-Amouroux est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Labastide-Castel-Amouroux
Labastide-Castel-Amouroux
La mairie (octobre 2015).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Marmande
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux et Landes de Gascogne
Maire
Mandat
Nicole Bernadet
2020-2026
Code postal 47250
Code commune 47121
Démographie
Gentilé Labastidois
Population
municipale
307 hab. (2020 en diminution de 3,15 % par rapport à 2014)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 20′ 25″ nord, 0° 07′ 34″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 172 m
Superficie 11,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Marmande
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Forêts de Gascogne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Labastide-Castel-Amouroux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Labastide-Castel-Amouroux
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Voir sur la carte topographique de Lot-et-Garonne
Labastide-Castel-Amouroux
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Labastide-Castel-Amouroux

    Géographie

    Localisation

    Commune située au nord-est de Casteljaloux dans les Landes de Gascogne en landes de Lot-et-Garonne.

    Communes limitrophes

    Labastide-Castel-Amouroux est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Sainte-Gemme-Martaillac, Casteljaloux, Grézet-Cavagnan, Leyritz-Moncassin et Poussignac.

    Communes limitrophes de Labastide-Castel-Amouroux[1]
    Grézet-Cavagnan Sainte-Gemme-Martaillac
    Poussignac Labastide-Castel-Amouroux Leyritz-Moncassin
    Casteljaloux

    Lieux-dits et écarts

    Les principaux lieux-dits de la commune sont :

    • Archambaud, à proximité du bourg de Veyries, où se situe un château du XIXe siècle,
    • L'enclos de Maupas, au sud-ouest, sur la route départementale D933 (Marmande au nord et Casteljaloux au sud),
    • Gravillon, au nord-ouest, également sur la route départementale D933,
    • Labastide, au nord-nord-ouest, dont l'église est en ruine,
    • Massilos, au sud-est,
    • Le Plantey, à l'ouest, où est implantée une ferme de Midatest[2], station d’évaluation sur descendances des qualités maternelles en race Blonde d'Aquitaine et où se trouve un château du XIXe siècle,
    • Saint-Gény, à l'est, où se trouvent les vestiges d'une église romane,
    • Veyries, au centre, chef-lieu de la commune, où se trouvent la mairie et l'église paroissiale,

    Hydrographie

    Le territoire communal est arrosé par l'Avance qui coule, du sud vers le nord, en limite communale ouest de Casteljaloux et de Poussignac.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 802 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin-Curton », sur la commune de Saint-Martin-Curton, mise en service en 1974[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 843 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 40 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Labastide-Castel-Amouroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (31,6 %), terres arables (28,3 %), prairies (26 %), forêts (14 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Labastide-Castel-Amouroux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le Ruisseau de Tareyre et l'Avance. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009 et 2018[24] - [22].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Labastide-Castel-Amouroux.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. 99,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [27].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Toponymie

    Le nom de la commune proviendrait du terme bastide en tant que bâtiment ou en tant que ville provenant du terme gascon bastida qui désigne une « maison à terre » par opposition à la maison en hauteur ou une ville neuve au XIIIe siècle, et de son nom ancien Castelamoros cité par la charte anglaise de 1287 (cf. Histoire).
    Une légende, au sujet de l'origine du nom de la ville voisine de Casteljaloux, raconte qu'il serait dû à la jalousie d’un seigneur des environs. Le CRDP de Bordeaux va plus loin en attribuant cette jalousie au seigneur de Casteljaloux à l'encontre de celui de Castel-Amouroux et pose la question de savoir s'ils étaient amoureux de la même dame[28] ; il n'y a qu'un léger pas à faire pour en déduire l'attribution de surnoms auxdits seigneurs...

    En gascon, le nom de la commune est usuellement La Bastida, sans déterminant[29], celui-ci, Castèthamorós, permettant en principe de distinguer la commune des nombreuses autres portant lo nom de La Bastida.

    Histoire

    L'historien local Jean Lepargneur, raconte, en 1948, le choix du parti anglais par la cité de Castelamouroux :

    « En 1286, au nom de leur cité, les six consuls de Castelamouroux rendirent hommage au roi Édouard Ier d'Angleterre, lui prêtant serment de fidélité et d'obéissance. La bastide adopta la charte des coutumes et privilèges accordée le par l'Angleterre. La « ville » fut officiellement unie à la couronne anglaise en 1317 par Édouard II et traversa ensuite non sans mal les conflits qui se succédèrent[30]. »

    Avec les siècles, il ne reste rien de ladite bastide et le village, composé de plusieurs lieux-dits et écarts, a vu son habitat majoritairement concentré dans le bourg de Veyries où se trouve la mairie et l'église paroissiale.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 2008 Colette Téchené Retraitée comptabilité
    mars 2008
    (réélue en mai 2020[31])
    En cours Nicole Bernadet Assistante de production[32]

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Labastidois[33].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35]. En 2020, la commune comptait 307 habitants[Note 8], en diminution de 3,15 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2149091 0501 2181 0221 0831 0811 1051 062
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0821 0921 0851 0971 105516516465459
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    417420402343349343326278299
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    284237258326296291319319307
    2020 - - - - - - - -
    307--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale actuelle, Notre-Dame de Veyries, d'architecture romane, serait une fondation des Templiers ; elle a été abondamment remaniée au cours du XIXe siècle, rehaussement en 1832, ajout de chapelles en 1882, restauration du sanctuaire en 1896[38].
    • L'église Notre-Dame de Labastide, construite au XIIIe siècle et d'architecture gothique, ne subsiste plus aujourd'hui qu'à l'état de vestiges[39].
    • L'église Saint-Gény, construite au XVe siècle présente une architecture de la dernière époque gothique, n'est plus aujourd'hui qu'amas de ruines[40].
    Dans l'enclos de l'église, une croix de cimetière sans ornementation subsiste parmi des pierres tombales éparses[41].
    • Le château du Plantey, au lieu-dit Plantey dans le nord-ouest du territoire communal, a été construit au XIXe siècle dans le style néo-médiéval[42].
    • Le Château de Lacaze
    • L'église Notre-Dame de Veyries (octobre 2015).
      L'église Notre-Dame de Veyries (octobre 2015).
    • La façade occidentale de Notre-Dame de Veyries (octobre 2015).
      La façade occidentale de Notre-Dame de Veyries (octobre 2015).
    • L'église Notre-Dame de Labastide (octobre 2015).
      L'église Notre-Dame de Labastide (octobre 2015).
    • L'église Saint-Gény (octobre 2015).
      L'église Saint-Gény (octobre 2015).
    • La croix de cimetière de Saint-Gény (octobre 2015).
      La croix de cimetière de Saint-Gény (octobre 2015).
    • Le château du Plantey (mars 2014).
      Le château du Plantey (mars 2014).
    • Le monument aux morts devant l'église de Veyries (octobre 2015).
      Le monument aux morts devant l'église de Veyries (octobre 2015).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Site de France Génétique Élevage, consulté le 10 octobre 2015.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Labastide-Castel-Amouroux et Saint-Martin-Curton », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Labastide-Castel-Amouroux et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Labastide-Castel-Amouroux », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    28. [PDF] Casteljaloux, la ville aux multiples visages sur le site Canopé de Lot-et-Garonne, Littérature jeunesse.
    29. Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des communes, Lot-et-Garonne, Éd. CAIRN e Institut Occitan, Pau, 2012, p. 138
    30. La baylie royale s'est oubliée, Emmanuelle Pédezert pour Sud Ouest.fr du 9 août 2011, consulté le 10 octobre 2015.
    31. « Nicole Bernadet aussi », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 20.
    32. http://www.adm47.asso.fr/annuaire.php?fiche=202&type=0 sur le site de l'Amicale des Maires de Lot-et-Garonne
    33. Labastide-Castel-Amouroux sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Église de Veyries sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.
    39. Vestiges de l’église de Labastide sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.
    40. Église Saint-Gény sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.
    41. Croix de cimetière de Saint-Gény sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.
    42. Château du Plantey sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.