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Aillant-sur-Milleron

Aillant-sur-Milleron [ajɑ̃ syʁ milʁɔ̃] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Loiret en rĂ©gion Centre-Val de Loire.

Aillant-sur-Milleron
Aillant-sur-Milleron
Vue aérienne de Aillant-sur-Milleron.
Blason de Aillant-sur-Milleron
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Montargis
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes Canaux et ForĂȘts en GĂątinais
Maire
Mandat
Lysiane Chapuis
2020-2026
Code postal 45230
Code commune 45002
DĂ©mographie
Gentilé Aillantais
Population
municipale
376 hab. (2020 en diminution de 5,53 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 14 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 47â€Č 37″ nord, 2° 55â€Č 51″ est
Altitude Min. 138 m
Max. 196 m
Superficie 26,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Lorris
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Aillant-sur-Milleron
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Aillant-sur-Milleron
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Aillant-sur-Milleron
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Aillant-sur-Milleron
Liens
Site web aillantsurmilleron.fr

    Toponymie

    Le ruisseau le Milleron[1] est à l’origine du nom du village.

    GĂ©ographie

    Localisation et communes limitrophes

    Carte de la commune d'Aillant-sur-Milleron et des communes limitrophes.

    La commune d'Aillant-sur-Milleron se trouve extrĂȘme-est du dĂ©partement du Loiret, dans la rĂ©gion agricole de la Puisaye[2]. À vol d'oiseau, elle se situe Ă  77,3 km d'OrlĂ©ans[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  26,6 km de Montargis[4], sous-prĂ©fecture, et Ă  7,0 km de ChĂątillon-Coligny, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de ChĂątillon-Coligny[5].

    Les communes les plus proches sont : Dammarie-sur-Loing (3,8 km), Le Charme (4,9 km), Champcevrais (5,5 km, dans l'Yonne), Rogny-les-Sept-Écluses (km, dans l'Yonne), Saint-Maurice-sur-Aveyron (6,4 km), ChĂątillon-Coligny (km), Feins-en-GĂątinais (8,5 km), Sainte-GeneviĂšve-des-Bois (8,8 km), La Chapelle-sur-Aveyron (9,5 km) et Marchais-Beton (10 km dans l'Yonne)[6].

    GĂ©ologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă  mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[7].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque, l'Ăšre gĂ©ologique la plus rĂ©cente sur l'Ă©chelle des temps gĂ©ologiques, dĂ©butant il y a 66 millions d'annĂ©es, et du MĂ©sozoĂŻque, anciennement appelĂ© Ère secondaire, qui s'Ă©tend de −252,2 Ă  −66,0 Ma. Les plus anciennes sont de la craie blanche Ă  silex remontant Ă  la pĂ©riode CrĂ©tacĂ©. Les plus rĂ©centes sont des alluvions et colluvions du fond des vallĂ©es secondaires remontant Ă  l’époque HolocĂšne de la pĂ©riode Quaternaire. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « n°401 - BlĂ©neau » de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[8] - [9] et sa notice associĂ©e[10].

    Carte géologique de la commune
    Ère PĂ©riode Époque Formations gĂ©ologiques
    CĂ©nozoĂŻque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    HolocĂšne
    FC :alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires, HolocÚne
    PléistocÚne
    NĂ©ogĂšne
    (2.58 - 23.03)
    PliocÚne non présent
    MiocÚne non présent
    PaléogÚne
    (23.03 - 66.0)
    OligocÚne non présent
    Éocùne
    PaléocÚne
    e1-4Rc :complexe argilo-sableux Ă  silex = argiles Ă  silex, PalĂ©ocĂšne-ÉocĂšne infĂ©rieur
    MĂ©sozoĂŻque
    (66.0 - 252.17)
    Crétacé
    (66.0 - ≃145.0)
    c3Cr :craie blanche Ă  silex, Coniacien

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l’Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 26,93 km2[11] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 27,2 km2[9]. L'altitude du territoire varie entre 138 m et 196 m[14].

    Hydrographie

    Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 16,81 km, comprend un cours d'eau notable, le Milleron (6,418 km), et six petits cours d'eau dont le fossĂ© 01 de la Commune d'Aillant-sur-Milleron (1,371 km), le fossĂ© 01 des Piolets (0,41 km), le fossĂ© 01 des PrĂ©s des Villottes (1,788 km), le ru des Glaives (0,268 km), le ru des Pierres (2,241 km) et le ruisseau des Philiberts (4,298 km)[15].

    Le Milleron, d'une longueur totale de 14,5 km, prend sa source dans la commune de Rogny-les-Sept-Écluses et se jette dans le Loing Ă  ChĂątillon-Coligny, aprĂšs avoir traversĂ© 5 communes[16]. Sur le plan piscicole, le Milleron est classĂ© en deuxiĂšme catĂ©gorie piscicole. L'espĂšce biologique dominante est constituĂ©e essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[17].

    Différents plans d'eau complÚtent le réseau hydrographique dont l'étang des Beaupieds.

    • Le Milleron.
      Le Milleron.
    • RĂ©seau hydrographique d'Aillant-sur-Milleron.
      RĂ©seau hydrographique d'Aillant-sur-Milleron.

    Lieux-dits et Ă©carts

    Les lieux-dits suivis d'une astérisque sont situés à l'écart de la route indiquée :

    les BĂ©linieres * route de Champcevrais (D 150)

    A

    B

    • les Beaupieds, route de Fontainejean
    • les Grands Bergers*, route de Rogny
    • les Petits Bergers*, route de Rogny
    • Bel Air*, route de Saint-Maurice (D 150)
    • les Bonnards*, route de Saint-Maurice (D 150)
    • la Bottetterie*, route de Rogny
    • Les BrĂ»leries*, route du Charme (D 41)
    • les Burets*, route de Rogny

    C

    • le Camp des Cordes, route de ChĂątillon (D 41)
    • les Chanteaux*, route du Charme (D 41)
    • les Chapelles, route de Saint-Maurice (D 150)
    • les Choquettes*, route du Charme (D 41)
    • Colandon*, route de Saint-Maurice (D 150)
    • les Colliers, route de Fontainejean

    D

    • les DavaudiĂšres*, route de Saint-Maurice (D 150)
    • les DelĂ©tang, route de Fontainejean

    F

    • la FerriĂšre*, route de Rogny

    G

    • la Grande GastiĂšre*, route du Charme (D 41)
    • la Petite GastiĂšre*, route du Charme (D 41)
    • la GaudiniĂšre, chemin de la Hullerie
    • les Gojards*, route du Charme (D 41)
    • la Gorgette, route de Rogny
    • le Grand HĂŽtel*, route de Saint-Maurice (D 150)

    H

    • la HatonniĂšre*, route de ChĂątillon (D 41)
    • la Grande HatonniĂšre, route de ChĂątillon (D 41)
    • la Petite HatonniĂšre, route de ChĂątillon (D 41)
    • La Hullerie, chemin de la Hullerie

    L

    M

    • les Mossets*, route du Charme (D 41)

    P

    • les PĂ©triers*, route de Champcevrais (D 150)
    • les Piolets*, route de Fontainejean
    • les PotiniĂšres*, route de Rogny
    • la PouletiĂšre, route de Saint-Maurice (D 150)

    Q

    • les Quartiers*, route de Fontainejean

    R

    S

    T

    • la Tuilerie*, route de Dammarie (D 350)
    • le Turbin, chemin de la Hullerie

    Histoire

    HĂ©raldique

    Blason de Aillant-sur-Milleron

    Les armes d’Aillant-sur-Milleron se blasonnent ainsi :

    D'or à l'aigle de gueules surmontée d'une double jumelle potencée et contre-potencée de sable ; à la champagne d'azur.

    Adopté le 1er juillet 2010.

    Urbanisme

    Typologie

    Aillant-sur-Milleron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [18] - [19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (84,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (76,3 %), forĂȘts (13,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (7 %), zones urbanisĂ©es (1,8 %), prairies (0,9 %)[23].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orthophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Carte communale

    Le conseil municipal prescrit l'Ă©laboration d'une carte communale le . AprĂšs une enquĂȘte publique qui se dĂ©roule en , le document est approuvĂ© le [24].

    Documents supra-communaux

    La carte communale doit ĂȘtre compatible avec le SCoT du Montargois en GĂątinais arrĂȘtĂ© le [25] qui lui-mĂȘme doit ĂȘtre compatible avec diffĂ©rents documents de portĂ©e supĂ©rieure comme le SDAGE Seine-Normandie 2016-2021 adoptĂ© le [26], le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe de Beauce » approuvĂ© le [27], le plan de gestion des risques d'inondation du bassin Seine-Normandie approuvĂ© le [28], le schĂ©ma rĂ©gional d'amĂ©nagement et de dĂ©veloppement durable du territoire (SRADDT) de la rĂ©gion Centre–Val de Loire approuvĂ© le [29], le schĂ©ma dĂ©partemental des carriĂšres du Loiret approuvĂ© le [30], le plan dĂ©partemental d'Ă©limination des dĂ©chets mĂ©nagers et assimilĂ©s (PDEDMA) du Loiret approuvĂ© le [31]. À terme, le SCoT devra aussi ĂȘtre compatible avec le schĂ©ma rĂ©gional d'amĂ©nagement, de dĂ©veloppement durable et d'Ă©galitĂ© des territoires prĂ©vu par la loi NOTRe du [32].

    Le SchĂ©ma de cohĂ©rence territoriale (SCoT) est un document d’urbanisme qui permet la mise en Ɠuvre d’une vĂ©ritable stratĂ©gie de dĂ©veloppement territoriale Ă  l’échelle d’un bassin de vie. Il fixe les orientations fondamentales de l’organisation et de l’évolution d’un territoire sur une pĂ©riode de 15 Ă  20 ans. Le syndicat mixte de gestion du SCoT du Montargois en GĂątinais a Ă©tĂ© crĂ©Ă© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le et regroupe 85 communes dont Aillant-sur-Milleron. AprĂšs une phase d'Ă©laboration du diagnostic territorial de Ă  , puis du Projet d’AmĂ©nagement et de DĂ©veloppement Durable (PADD) jusqu'en et du Document d’Orientations et d’Objectifs (DOO) jusqu'en , le projet de SCoT a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© le [25].

    Voies de communication et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de Aillant-sur-Milleron (avec indication du trafic routier 2014).

    Infrastructures routiĂšres

    La commune est traversĂ©e par deux routes dĂ©partementales : la RD 40 (707 vĂ©hicules/jour en 2014), qui relie ChĂąlette-sur-Loing Ă  PrĂ©fontaines[33] et la RD 150 (177 vĂ©hicules/jour), qui relie la commune Ă  ChĂąteau-Renard[33]. ComplĂ©tant ces voies, la commune est sillonnĂ©e de plusieurs voies communales et chemins ruraux desservant ses fermes et hameaux et les bourgs environnants.

    Transports en commun

    Aucune ligne rĂ©guliĂšre du rĂ©seau Ulys, le rĂ©seau interurbain de transport par autocar du Conseil dĂ©partemental du Loiret, ne dessert la commune. Par contre la commune bĂ©nĂ©ficie du service Ulys ProximitĂ© qui emmĂšne les usagers de la commune vers un arrĂȘt desservi par la ligne rĂ©guliĂšre la plus proche[34]. À compter du , la compĂ©tence des services de transports routiers interurbains, rĂ©guliers et Ă  la demande est transfĂ©rĂ©e des dĂ©partements aux rĂ©gions, et donc localement du dĂ©partement du Loiret Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire, consĂ©cutivement Ă  la loi NOTRe du [35].

    Risques naturels et technologiques

    Carte de l'aléa retrait-gonflement des argiles concernant la commune d'Aillant-sur-Milleron

    La commune d'Aillant-sur-Milleron est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© faible)[36]. Entre 1993 et 2019, quatre arrĂȘtĂ©s ministĂ©riels ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle ont Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune d'Aillant-sur-Milleron : deux pour des inondations et coulĂ©es de boues intervenues en 1999 et 2016 et deux pour des mouvements de terrains en 1989 et 2003[37].

    Le territoire de la commune peut ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[38].

    Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[39]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[40].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante[41]. La commune, Ă  l’instar de l’ensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque sismique trĂšs faible[37].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse et bourg d'Aillant-sur-Milleron acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[42] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[43]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[44].

    Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[45].

    Localisation de la commune d'Aillant-sur-Milleron dans la communautĂ© de communes Canaux et forĂȘts en GĂątinais.

    La communautĂ© des Quatre-RiviĂšres ou district urbain de ChĂątillon-Coligny, crĂ©Ă© le , est transformĂ©e en CommunautĂ© de Communes de ChĂątillon-Coligny par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du . Aillant-sur-Milleron fait alors partie des douze communes qui composent cette nouvelle intercommunalitĂ©[46]. La commune appartient Ă  d'autres Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale, de type syndicats ou autres regroupements intercommunaux. Le dĂ©coupage territorial de ces structures est en constante Ă©volution dans une perspective de rationalisation et d'efficience des services[Note 3].

    Afin de renforcer et rĂ©duire le nombre d'intercommunalitĂ©s en France, la loi du portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (dite loi NOTRe) fait passer le seuil dĂ©mographique minimal de 5 000 Ă  15 000 habitants, sauf exceptions. Le schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale du Loiret est arrĂȘtĂ© sur ces bases le et le nombre d'Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale Ă  fiscalitĂ© propre passe dans le dĂ©partement du Loiret de 28 (2 communautĂ©s d'agglomĂ©ration et 26 communautĂ©s de communes) Ă  16 (deux communautĂ©s d'agglomĂ©ration et 14 communautĂ©s de communes dont une interdĂ©partementale)[47]. Les communautĂ©s de communes du canton de Lorris et canton de ChĂątillon-Coligny et du Bellegardois fusionnent ainsi Ă  compter du en une seule entitĂ© : la communautĂ© de communes Canaux et forĂȘts en GĂątinais, dont le siĂšge est Ă  Lorris. Cette nouvelle intercommunalitĂ© comprend 38 communes dont Aillant-sur-Milleron[48].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă  la veille des États gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse d'Aillant-sur-Milleron Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique de l'ancien diocĂšse de Sens[49] et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[50].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune d'Aillant-sur-Milleron est alors incluse dans le canton de Chatillon, le district de Montargis et le dĂ©partement du Loiret[51].

    La recherche d’un Ă©quilibre entre la volontĂ© d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exĂ©cution et le contrĂŽle des lois d’une part, et la volontĂ© d’accorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 Ă  1838[52]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă  dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'État. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit Ă  la crĂ©ation de rĂ©gions[53]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[54]. L'acte II intervient en 2003-2006[55], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune d'Aillant-sur-Milleron aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom PĂ©riode Type Évolution du dĂ©coupage territorial
    DistrictMontargis1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Montargis de 1790 à 1795[45] - [51]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[56].
    CantonChatillon (Coligny)1790-1801Administrative et électoraleLe , la municipalité d'Aillant-sur-Milleron est rattachée au canton de Chatillon (Coligny)[57]. Les cantons acquiÚrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    ChĂątillon-sur-Loing1801-2015Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă  rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă  31[58]. Aillant-sur-Milleron est alors rattachĂ©e par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X () au canton de ChĂątillon-sur-Loing[59] - [45].
    Lorris2015-ÉlectoraleLa loi du [60] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [61] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au nouveau canton de Lorris[61]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale dĂ©diĂ©e Ă  l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[62].
    ArrondissementMontargis1801-AdministrativeAillant-sur-Milleron est rattachée à l'arrondissement de Montargis depuis sa création en 1801[45] - [59].
    Circonscription lĂ©gislative4e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[63] - [64]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[65]. La rĂ©forme n'affecte pas Aillant-sur-Milleron qui reste rattachĂ©e Ă  la quatriĂšme circonscription[66].

    Collectivités de rattachement

    La commune d'Aillant-sur-Milleron est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire[67], Ă  la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivitĂ©s territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal d'Aillant-sur-Milleron, commune de moins de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin majoritaire plurinominal Ă  deux tours, les Ă©lecteurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[68], pour un mandat de six ans renouvelable[69]. Il est composĂ© de 11 membres[70]. L'exĂ©cutif communal est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    16 juin 1995[71] mars 2008 Joël Marcilly Sans Instituteur (décédé)
    mars 2008 En cours Lysiane Chapuis[72] - [73] ancienne cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Finances

    En 2011, la commune disposait d’un budget de 288 000 â‚Ź dont 209 000 â‚Ź de fonctionnement et 79 000 â‚Ź d'investissement[74], en augmentation de 37 % par rapport Ă  2005[75].

    Le budget de fonctionnement Ă©tait financĂ© Ă  hauteur de 44,5 % par les impĂŽts locaux, 12,1 % par d'autres impĂŽts et taxes et 15,5 % par la dotation globale de fonctionnement. Ces indicateurs Ă©taient cette mĂȘme annĂ©e pour les communes de la mĂȘme strate, de 250 Ă  500 habitants, respectivement de 33,2 %, 6,6 % et 25,9 %. Les taux d’imposition fixĂ©s par la commune Ă©taient de 8,4 % pour la taxe d'habitation, de 11,4 % pour la taxe fonciĂšre sur le bĂąti et 44 % pour la taxe fonciĂšre sur le non-bĂąti. Les taux de la strate des communes de 250 Ă  500 habitants Ă©taient respectivement de 9,8 %, 14,6 % et 40,7 %[74]. Le taux de la cotisation fonciĂšre des entreprises, qui a remplacĂ© la taxe professionnelle en 2010, fixĂ© par l’intercommunalitĂ©, Ă©tait de 18,4 %[76].

    La dette cumulĂ©e de la commune s’élevait au Ă  100 000 â‚Ź, soit 258 â‚Ź par habitant, en augmentation de 103 % par rapport Ă  2005. La dette moyenne par habitant de la strate des communes de 250 Ă  500 habitants s'Ă©levait quant Ă  elle en 2011 Ă  493 â‚Ź[74].

    AnnéePopulationFonctionnementInvestissementsAutofinancementEndettementFiscalité
    Produits
    (en k€)
    Charges
    (en k€)
    RĂ©sultat
    (en k€)
    Ressources
    (en k€)
    Emplois
    (en k€)
    CAF
    (en k€)
    encours
    au 31/12
    (en k€)
    encours
    par habitant
    (en € par habitant)
    TH
    TFbTFnbTpfaPotentiel fiscal
    par habitant
    Produits
    impĂŽts locaux
    communestrate
    2005[75]3652051881752217471278,4 %11,4 %44 %0 %37236197
    2006[77]3652992663295273430838,4 %11,4 %44 %0 %38537195
    2007[78]3652071753211503413368,4 %11,4 %44 %0 %375389100
    2008[79]3652151635242653138,4 %11,4 %44 %0 %391390102
    2009[80]377215198172613619128,4 %11,4 %44 %0 %426420106
    2010[81]3812292218275193101012658,4 %11,4 %44 %0 %436428108
    2011[74]387209154557996551002588,4 %11,4 %44 %0 %00112
    Notes : CAF = Capacité d'autofinancement nette du remboursement en capital des emprunts, TH = Taux de la taxe d'habitation, TFb = taux de la taxe sur le foncier bùti, TFnb = taux de la taxe sur le foncier non bùti, Tpfa = Taxe professionnelle (fiscalité additionnelle)

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de collecte et de traitement des ordures mĂ©nagĂšres des cantons de Gien, ChĂątillon Coligny, Briare et ChĂątillon-sur-Loire (SMICTOM). Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 4], des emballages mĂ©nagers recyclables et des encombrants en porte Ă  porte et du verre en points d’apport volontaire[82]. Un rĂ©seau de sept dĂ©chĂšteries accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferraille, cartons
). La dĂ©chĂšterie la plus proche est situĂ©e sur la commune de Sainte-GeneviĂšve-des-Bois[83] - [84]. L'Ă©limination et la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets mĂ©nagers et de ceux issus de la collecte sĂ©lective sont effectuĂ©es par le SYCTOM de Gien-ChĂąteauneuf-sur-Loire qui comprend un centre de transfert de dĂ©chets mĂ©nagers et un centre de stockage de dĂ©chets ultimes (CSDU) de classe II Ă  Saint-Aignan-des-GuĂ©s ainsi qu'une usine d’incinĂ©ration des ordures mĂ©nagĂšres Ă  Gien-Arrabloy[85]

    Depuis le , la « gestion des dĂ©chets mĂ©nagers » ne fait plus partie des compĂ©tences de la commune mais est une compĂ©tence obligatoire de la communautĂ© de communes Canaux et ForĂȘts en GĂątinais en application de la loi NOTRe du [86].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[87]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurĂ©es par le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable de Saint-Maurice-sur-Aveyron, un syndicat crĂ©Ă© en 1959 desservant quatre communes : Aillant-sur-Milleron, Le Charme, Dammarie-sur-Loing et Saint-Maurice-sur-Aveyron[88] - [89] - [90]. La loi NOTRe du 7 aoĂ»t 2015 prĂ©voit que le transfert des compĂ©tences « eau et assainissement » vers les communautĂ©s de communes sera obligatoire Ă  compter du . Le transfert d’une compĂ©tence entraĂźne de facto la mise Ă  disposition gratuite de plein droit des biens, Ă©quipements et services publics utilisĂ©s, Ă  la date du transfert, pour l'exercice de ces compĂ©tences et la substitution de la communautĂ© dans les droits et obligations des communes[91] - [92].

    Assainissement

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[93]. La communautĂ© de communes de ChĂątillon-Coligny a crĂ©Ă©, par dĂ©lĂ©gation de ses communes adhĂ©rentes, le le service public d'assainissement non collectif (SPANC). Celui-ci a pour mission de contrĂŽler les installations neuves et existantes, la mise en place d’un service de vidange et la rĂ©habilitation des installations[94] - [95]. Depuis le , c'est la communautĂ© de communes Canaux et ForĂȘts en GĂątinais, issue de la fusion de la communautĂ© de communes du canton de Lorris, de la communautĂ© de communes de ChĂątillon-Coligny et de la communautĂ© de communes du Bellegardois, qui assure, par substitution, le SPANC.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[96]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[97].

    En 2020, la commune comptait 376 habitants[Note 5], en diminution de 5,53 % par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    442420418496477444451532585
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    618615587631608595607650618
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    639573528504528441442416409
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    327305314286302357368367389
    2015 2020 - - - - - - -
    404376-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[98] puis Insee Ă  partir de 2006[99].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Activités hors agriculture

    25 établissements[Note 6] sont implantés à Aillant-sur-Milleron au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7] - [I 1].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre%%
    Ensemble25
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    28 %(6,9 %)
    Construction416 %(13,6 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    312 %(30,2 %)
    Activités immobiliÚres28 %(3,7 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    728 %(16,7 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    14 %(12,4 %)
    Autres activités de services624 %(9,6 %)

    Le secteur des activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, scientifiques et techniques et des activitĂ©s de services administratifs et de soutien est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 28 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (7 sur les 25 entreprises implantĂ©es Ă  Aillant-sur-Milleron), contre 16,7 % au niveau dĂ©partemental[I 2].

    Agriculture

    La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Puisaye »[100]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la production de céréales et oléoprotéagineux[101].

    198820002010
    Exploitations221811
    Superficie agricole utilisĂ©e (ha)1 44014181300

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 53 en 1988 Ă  18 en 2000 puis Ă  11 en 2010[102], soit une baisse de50 % en 22 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 58 % de ses exploitations[103]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 1 440 ha en 1988 Ă  1 300 ha en 2010. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 65 Ă  118 ha[102].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Martin, Aillant-sur-Milleron.
    Le lavoir.
    • L'Ă©glise Saint-Martin du XIIe siĂšcle : la nef date de 1680, la construction d'une sacristie au sud du clocher et le remaniement de la façade ouest ont Ă©tĂ© effectuĂ©s entre 1877 et 1891[104]. La derniĂšre restauration a Ă©tĂ© effectuĂ©e en 1981 ;
    • Le chĂąteau les Piolets ou Val Saint-Jean du dĂ©but du XXe siĂšcle[105] ;
    • Plusieurs fermes : au lieu-dit le Grand HĂŽtel du XIXe siĂšcle[106] ; au lieu-dit les Aubrys des XVIIIe et XIXe siĂšcles[107] ; au lieu-dit les Gojards de 1893[108] ; au lieu-dit les Piolets des XVIIIe, XIXe et XXe siĂšcles[109].
    • Le lavoir, datant de 1892, a Ă©tĂ© restaurĂ© puis inaugurĂ© le ; il possĂšde une enceinte close.

    Environnement

    Agrion de Mercure.

    Le service Milieux aquatiques et agriculture (SMAA) de l'agence de l'eau Seine-Normandie, a entrepris en 2011 de restaurer une partie du Milleron dans son cours originel qu'il occupait avant les travaux d’hydrauliques agricoles en 1975. Les 450 m choisis pour cette opĂ©ration RemĂ©andrage du Milleron devant s'achever fin 2012, se trouvent sur le territoire de la commune. Le but est de retrouver la diversitĂ© de milieux et d'habitats d'un cours d'eau naturel. C'est aussi l'occasion de crĂ©er des zones humides et de reproduction pour les batraciens et les odonates - l’agrion de Mercure est prĂ©sent sur le site - en n'effectuant qu'un comblement partiel du tracĂ© actuel afin de crĂ©er des dĂ©pressions humides[110].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Chaque annĂ©e au mois d'aoĂ»t, le village accueille l'un des concerts des Estivales en Puisaye, festival de musique classique qui se dĂ©roule Ă  travers une quinzaine de communes de la Puisaye, dans l'Yonne, la NiĂšvre et le Loiret.
    • FĂȘte communale : le premier dimanche de mars.
    • FĂȘte patronale : le dimanche de la saint Hubert (messe avec trompes de chasse).

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire gĂ©ographique et mĂ©thodique de la RĂ©publique française en 120 dĂ©partements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret - Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870 (ISBN 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui - Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4)

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La commune peut faire partie de diverses autres intercommunalitĂ©s qui ne sont pas reprĂ©sentĂ©es : des syndicats (syndicats intercommunaux Ă  vocation unique(SIVU), (syndicats intercommunaux Ă  vocation multiple(SIVOM), syndicats mixtes) ou d’autres regroupements intercommunaux (programme local de l'habitat (PLH), contrat local de santĂ© (CLS), centre intercommunal d'action sociale (CIAS).
    4. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    6. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    7. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    • Cartes

      Références

      • Site de l'Insee
      • Autres rĂ©fĂ©rences
      1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Milleron (F4107300) ».
      2. « Zonage en petites régions agricoles », sur http://agreste.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
      3. « Orthodromie entre "Aillant-sur-Milleron" et "Orléans », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
      4. « Orthodromie entre "Aillant-sur-Milleron" et "Montargis" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
      5. « Fiche communale », sur http://www.insee.fr/ (consulté le ).
      6. « Villes les plus proches d'Aillant-sur-Milleron », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
      7. « Histoire gĂ©ologique du Bassin parisien », sur le site du SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (consultĂ© le ).
      8. « Carte géologique d'Aillant-sur-Milleron » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2022).
      9. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune d'Aillant-sur-Milleron », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
      10. « Notice associée à la feuille n°401 - Bléneau de la carte géologique harmonisée au 1/50 000Úme de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
      11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune d'Aillant-sur-Milleron », sur le site de l'Insee (consulté le )
      12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
      13. Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Île-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
      14. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
      15. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du SystÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
      16. « Fiche Sandre - le Milleron », sur le portail national d'accÚs aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
      17. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
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      29. « Une vision de notre région de 10 à 20 ans », sur http://www.regioncentre-valdeloire.fr/ (consulté le ).
      30. « SCoT du Montargois en Gùtinais - Rapport de présentation - tome 1 », sur http://www.agglo-montargoise.fr/ (consulté le ), p. 26.
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      32. « SCoT du Montargois en Gùtinais - Rapport de présentation - tome 1 », sur http://www.agglo-montargoise.fr/ (consulté le ), p. 15.
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