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2e division blindĂ©e (France)

La 2e division blindée (2e DB) était une unité de la 1re armée française de l'arme blindée et cavalerie créée pendant la Seconde Guerre mondiale par le général Leclerc. Elle est parfois appelée Division Leclerc.

2e division blindée
Image illustrative de l’article 2e division blindée (France)
Insigne de la 2e division blindée (2e DB).

Création 24 août 1943
Dissolution 1946 (récréée en 1960)
Pays Drapeau de la France France
Branche Arme blindée cavalerie
Type Division blindée
Rôle Blindés
Effectif Environ 20 000
Ancienne dénomination 2e division française libre
Surnom « Division Leclerc »
Équipement Blindés d'origine américaine
Guerres Seconde Guerre mondiale
Batailles Bataille de Normandie
Libération de Paris
Campagne d'Allemagne
Commandant historique Général Philippe Leclerc de Hauteclocque

L'héritière actuelle de ses traditions est la 2e brigade blindée (2e BB), qui a d'ailleurs repris le nom de 2e division blindée entre 1977 et 1999.

Création et différentes dénominations

Historique des garnisons, campagnes et batailles

Seconde Guerre mondiale

M4 Sherman du 12e régiment de chasseurs d'Afrique de la 2e DB débarquant d'un Landing Ship Tank en Normandie en août 1944.

Guerre du désert

La colonne Leclerc des FFL prend l'oasis de Koufra le durant la guerre du Désert. Le lendemain, le général Leclerc prononce le serment de Koufra.

L'année suivante, en 1942, la colonne Leclerc effectue une série de raids en direction du Fezzan (en Libye). En 1943, le Fezzan est conquis et la colonne Leclerc fait sa jonction avec la 8e armée britannique qu'elle accompagne dans la campagne de Tunisie où elle s'illustrera notamment à Ksar-Ghilane.

Naissance de la 2e DB

Le , cette force est transformée en 2e division française libre à Sabratha en Libye et le , elle est renommée 2e division blindée à Témara (Protectorat français du Maroc). Le général Giraud, qui remplaçait depuis peu l'amiral Darlan (assassiné le à Alger), profite de la présence du président Roosevelt à Casablanca (lors de la conférence d'Anfa du 10 au ) pour obtenir l'aide américaine en équipement militaire moderne destiné aux troupes françaises (notoirement sous-équipées à cause des sévères clauses d'armistice de l'occupant germano-italien), ce qui permettra de transformer la 2e DB en redoutable division mécanisée et d'équiper l'Armée d'Afrique du général de Lattre de Tassigny.

Les effectifs de la 2e viennent en partie des Forces françaises libres, mais principalement de l’armée d'Afrique. Cette fusion dans une seule division d'unités provenant de ces deux armées est un cas unique.

Cette division qui doit transiter par la Grande-Bretagne, est, selon les exigences des AmĂ©ricains et des Britanniques, « blanchie » lors de sa formation durant l'Ă©tĂ© 1943 et ne compte plus qu'un soldat noir[1], Claude Mademba Sy. Selon plusieurs historiens, tels Christine Levisse-TouzĂ© et Olivier Forcade, les Nord-Africains quant Ă  eux, au nombre de 3 603, reprĂ©sentent environ 25 % de ses effectifs. Principalement rĂ©publicains espagnols, 500 volontaires Ă©trangers rejoignent aussi ses rangs[2] - [3]. Fait peu connu, la division a aussi comptĂ© des femmes, un groupe d'ambulancières volontaires, le Groupe Rochambeau, surnommĂ© Les Rochambelles et qui a participĂ© aux combats de la LibĂ©ration, jusqu'en Allemagne.

Rééquipée de matériel américain, elle s'embarque le à Casablanca et Mers el-Kébir pour le Royaume-Uni et débarque à Swansea après onze jours de traversée[4].

Armement et articulation

Chaque char, armĂ© d'un canon de 75 et de trois mitrailleuses et disposant d'un poste Ă©metteur-rĂ©cepteur, Ă©tait servi par 5 hommes (un chef de char, un conducteur, un chargeur, un tireur et un mitrailleur). Ils disposaient d'armes individuelles (pistolets semi-automatiques et pistolets-mitrailleurs)), d'une centaine d'obus perforants, explosifs ou fumigènes et de milliers de cartouches de mitrailleuses (7,62 et 12,7) et de grenades. Chaque escadron se composait de 17 chars et de 3 half-tracks dont 2 servant d'ateliers mobiles de rĂ©parations. Il y avait aussi deux camions Dodge tractant des remorques et une pièce de 57 mm antichars. Un camion GMC transportait la rĂ©serve de carburant. Deux Jeeps destinĂ©es au capitaine et au lieutenant chef d'Ă©chelon.

Au total, la division comptait 4 200 vĂ©hicules[5].

Bataille de Normandie

À partir du , elle débarque à Saint-Martin-de-Varreville, dans le secteur de débarquement d'Utah Beach, en étant rattachée à la IIIe armée américaine du général George Patton qui accueille favorablement le général Leclerc dès son arrivée.

La division française est associée à la 5e division blindée et à la 79e division d’infanterie américaines pour former le 15e corps d'armée commandé par le général Haislip. Après son regroupement à La Haye-du-Puits (Manche), la division reçoit l'ordre d'avancer plein sud sur les routes du Cotentin (avant un bref séjour aux environs d'Avranches afin de parer à une contre-attaque de la 3e Panzer allemande) puis vers Le Mans, dans l'opération Cobra. Un peloton du Groupement Tactique Langlade voit brièvement le feu à Mortain lors de l'offensive allemande du [6], mais l'unité est cependant relevée rapidement de cette mission. En effet, profitant de l'avantage du « goulot » d’Avranches, Leclerc lance sa division vers Vitré et Château-Gontier, puis vers Le Mans.

La 2e division blindée dans la Sarthe

Du Mans, l'attaque du XVe corps d'armée américain du général Haislip en direction d'Alençon est prévue pour le 10 août à 7 heures. Pour ce faire, la manœuvre nécessite de faire pivoter au Mans toute la 5e division blindée américaine plein nord, avec pour axe de progression Savigné-l'Évêque, Bonnétable, Marolles-les-Braults, Mamers, puis la forêt de Perseigne. La 2e division blindée du général Leclerc reçoit la mission de mener la même offensive sur la gauche de la 5e division blindée, dans l'axe Le Mans - Alençon.

La ville du Mans est libérée par les troupes américaines le 8 août. La 2e division blindée contourne la ville par l'ouest et le nord et traverse la Sarthe sur un pont du génie à La Chapelle-Saint-Aubin. Les Allemands ont mis en place une ligne de défense sur l'axe Saint-Marceau à Bonnétable, avec les troupes de la 9e Panzerdivision, arrivée de Nîmes peu de temps auparavant. Se joignent à ce dispositif les débris de la 308e division blindée et de la 130e Panzer Lehr, principalement destinés à ralentir la progression des Alliés par des embuscades antichars.

Fer de lance en Normandie

Le général Leclerc n'a alors de cesse de se porter à l'avant du dispositif du XVe corps. Après la Sarthe, la division Leclerc est à la pointe du dispositif américain, réalisant un mouvement d'encerclement. Rapidement, les troupes du XVe corps US se portent vers le nord, et c'est la 2e DB qui libère Alençon le , si rapidement que les Allemands en sont décontenancés. Le général Patton, commandant la IIIe armée, ne tarit pas d'éloges au sujet du général Leclerc qui appliquait les principes de l'attaque à outrance depuis que les Français étaient entrés en Normandie.

Aussi les Américains font-ils de la 2e DB le fer de lance de leur attaque vers Argentan pour fermer la poche de Falaise. Or, après de terribles combats dans le secteur de la forêt d'Écouves, les troupes françaises se dispersent et débordent de leur secteur au sud d'Argentan, à tel point qu'ils ralentissent la progression de la 5e division Blindée américaine à Sées. Les Américains, lancés vers Argentan, sont quelque peu retardés, et Leclerc se fait réprimander par le général américain commandant la 5e DB américaine car il n'a pas respecté les ordres, retardant peut-être la fermeture de la poche de Falaise-Argentan. Les Français de Leclerc, ayant libéré Carrouges et Écouché le 13 août, lancent une unité de reconnaissance au centre d'Argentan, mais cette unité est chassée par des blindés allemands lors d'une contre-attaque.

Il est clair que les Allemands vont défendre la ville avec acharnement. Leclerc, qui occupe un temps les hauteurs sud de la cité normande, demande alors l'autorisation d'envoyer le gros de ses troupes vers Paris pour libérer la capitale. Le haut-commandement américain et notamment Eisenhower doit trancher.

Libération de Paris

Défilé sur les Champs-Élysées le après la libération de Paris.

Initialement, le général Eisenhower souhaite après le débarquement réussi foncer sur l'Allemagne en contournant Paris. Convaincu par de Gaulle et les services secrets alliés de l'importance symbolique de la capitale (la ville devant être libérée par des Français) mais aussi stratégique (les Allemands de Paris constituent une menace sur les flancs de l'armée alliée), il donne finalement l'ordre à Leclerc de marcher sur Paris le . Le jour même en début d'après-midi, ce dernier a pris l'initiative (ce qui confine à l'insubordination puisqu'il désobéit au général Gerow) de diriger vers Versailles un détachement de sa division, le groupement Guillebon[7].

Suivant l'ordre reçu de leur chaîne de commandement, les unités de combat américaines s'arrêtent quelque temps devant Argentan afin de pousser la 2e DB vers l'avant en prévision de la libération de Paris. Le haut commandement finit par insister : Paris doit être libéré par des Français. Les Américains permettent ainsi aux combattants de la 2e DB de se distinguer en devenant la première unité alliée à entrer dans Paris, les 24 et et de recevoir la reddition de Dietrich von Choltitz.

La 2e DB quitte Paris le au matin et marche vers l'Est. Elle affrontera les forces allemandes de Manteuffel puis de Feuchtinger. À Dompaire, le , elle écrase la 112e Panzerbrigade (59 chars détruits) qui disparait de l'ordre de bataille allemand.

Republic P-47 Thunderbolt, avion chasseur et appui-feu au sol, grand tueur de blindés allemands, grâce à ses roquettes.

Elle libère Baccarat le 1er novembre. Malheureusement, Raymond Raccah sauta sur une mine.Elle marque une pause devant la Vor-Vogesen-Stellung, ligne allant de Blâmont à Badonviller, le long des Vosges, du Donon à la région de Bitche, puis libère Sarrebourg. Elle barrait, au nord, la trouée de Saverne et la route de Strasbourg. La 2e DB traverse quand même les Vosges en passant par Dabo grâce à une manœuvre rapide et hardie au nez et à la barbe des Allemands (comme les affectionnait Leclerc) : cette manœuvre permet de libérer Strasbourg rapidement (objectif ultime du serment de Koufra de 1941).

Libération de Strasbourg

La route menant à Strasbourg est jalonnée de sévères combats.

Le , Strasbourg est libérée. Lorsque le lieutenant-colonel Rouvillois entre dans Strasbourg, il lance la célèbre phrase codée « Tissu est dans iode » pour signaler sa réussite dans la prise de la capitale alsacienne.

Célébrations du 60e anniversaire de la libération de Strasbourg. Le 23 novembre 1944, la 2e DB entre dans Strasbourg. La ville est libérée. Leclerc s’adresse alors aux Alsaciens en ces termes: « La flèche de votre cathédrale est demeurée notre obsession. Nous avions juré d’y arborer de nouveau les couleurs nationales. C’est chose faite. »
Le « serment de Koufra » : Jurez de ne déposer les armes que lorsque nos couleurs, nos belles couleurs, flotteront sur la cathédrale de Strasbourg. Général Leclerc.

Le Berghof, la résidence secondaire de Hitler

Le , un détachement de la 2e DB arrive à Berchtesgaden. Selon certains auteurs[8], les éléments de la 2e DB sont les premiers à s'introduire dans le Kehlsteinhaus (le nid d'aigle), dès la nuit du 4 au (le Berghof et le nid d'aigle sont deux bâtiments différents, proches l'un de l'autre).

En réalité, plusieurs unités revendiquent le fait que leurs hommes aient atteint les premiers le « Nid d'aigle », notamment :

Pertes

L'unitĂ© compte 1 687 tuĂ©s dont 108 officiers, 5 000 blessĂ©s[13] et 58 tanks lĂ©gers et moyens perdus tandis qu’elle cause aux forces de l’Axe la perte de 12 000 soldats tuĂ©s, ainsi que 11 000 prisonniers allemands capturĂ©s Ă  Paris, 6 000 prisonniers allemands capturĂ©s Ă  Strasbourg, enfin 118 tanks lourds et moyens dĂ©truits.

Le Service historique de la dĂ©fense indique 1 224 tuĂ©s (dont 96 Nord-Africains) et 5 257 blessĂ©s (dont 584 Nord-Africains) du au [14].

Le Monument commĂ©moratif place du Ă  Paris liste les noms de 1 658 soldats de Leclerc morts pour la France entre 1940 et 1946. Près de 8 % sont des soldats maghrĂ©bins[15].

Après-guerre

La division revient en France à partir du [16]. Elle défile le à Paris, ouvrant le passage des unités motorisées, Leclerc en tête dans son char Sherman « Tailly »[17]. Le , la division défile à nouveau devant Leclerc qui part rejoindre l'Indochine française[16].

Le , la division forme un groupement de marche (GM), sous les ordres du lieutenant-colonel Massu. Ce groupement est destiné à accompagner Leclerc au sein du Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient. Le GM participe aux premiers combats contre le Việt Minh, en Cochinchine puis au Tonkin, avant d'être dissous en novembre 1946[18].

La 2e DB est dissoute le [16].

Héritière des traditions de la 2e division blindée à partir de 1960, la 2e brigade blindée reprend de 1979 à 1999 la désignation 2e division blindée.

Traditions

Insigne

  • Insigne de la 2e DB
    Insigne de la 2e DB[19]
  • Autre insigne de la 2e DB, type commĂ©moratif.
    Autre insigne de la 2e DB, type commémoratif.

Marche

« Ici a retenti pour la première fois la marche de la 2e D.B. le en présence du Général Leclerc maréchal de France ».

La marche de la 2e DB a été composée par Maurice Le Roux en 1944 et interprétée pour la première fois au château de Saint-Germain-en-Laye le en présence du général Leclerc. Une plaque apposée dans les jardins du château rappelle cet événement.

DĂ©corations

La 2e DB a été citée deux fois à l'ordre de l'Armée ( et ) et a reçu la Presidential Unit Citation notamment pour la libération de Strasbourg.

Unités[20]

Hommages

Monuments

Plusieurs monuments ont été érigés en hommage à la 2e DB. C'est notamment le cas à Fyé (Sarthe) au sud d'Alençon, œuvre du sculpteur G. Humeau qui porte une liste des hommes tués à l'ennemi, ainsi que les victoires de la colonne.

Quelques chars américains ayant fait partie de la 2e Division Blindée et ayant été détruits au combat, notamment des M4 Sherman, ont été préservés jusqu'à nos jours[21] :

D'autres chars et véhicules représentant la 2e Division Blindée sont préservés comme monuments ou dans des collections en France, mais ce ne sont pas les véhicules originaux ayant participé aux combats.

MĂ©moire

À partir de 1946 et jusqu'en 1952, les anciens de la division établissent leur foyer dans le petit hôtel de Villars, au no 118, rue de Grenelle (Paris), sous la protection de la veuve du marquis de La Ferronnays, propriétaire des lieux[22]. À leur départ, l'hôtel est confié à la communauté apostolique Saint-François-Xavier, fondée par Madeleine Daniélou, pour y installer l'école de jeunes filles Sainte-Marie des Invalides, devenue en 2016 le lycée Paul Claudel-d'Hulst.

En octobre 2009, huit tombes de soldats marocains de la 2e DB inhumés au carré militaire du cimetière de Montjoie-Saint-Martin ont été recouvertes de symboles nazis. Ces soldats avaient participé à la libération d’Avranches, situé à une trentaine de kilomètres, au sein de la 2e DB. Le carré militaire de ce cimetière civil comprend aussi deux tombes de soldats français qui n’ont pas été dégradées[23].

Commandants de la division

Composition

  • Colonne Leclerc : 100 Français et 300 Africains[24]
  • Force L : 800 Français et 4 000 Africains[24]
  • 2e DB : 2 500 Français libres, 4 000 Ă©vadĂ©s de France, 1 000 Nord-Africains, 63 Rochambelles, auxquels ont suivi 5 000 engagĂ©s volontaires en France[24]

Selon la Revue historique des armĂ©es du Service historique de la DĂ©fense, la 2e DB comporte, lors du dĂ©barquement de Normandie, environ 14 000 hommes dont 3 350 Â« sujets de l'Empire » et est composĂ©e Ă  Ă©galitĂ© de « marĂ©chalistes » et de « gaullistes » (anciens du Tchad, engagĂ©s de Tunisie, Corps franc d'Afrique, Ă©vadĂ©s de France…)[25].

Selon Jean-François Muracciole, la 2e DB comportait lors de la libĂ©ration de Paris, 7 000 hommes des unitĂ©s de l'ArmĂ©e d'Afrique (dont environ 1300 soldats maghrĂ©bins, soit près de 10 % des effectifs[26]), 4 000 FFL (vĂ©tĂ©rans du Tchad et de la « colonne volante ») et 2 500 Ă©vadĂ©s par l'Espagne[27]

Unités de combat

Total des véhicules de combats à la formation :

Unités organiques

  • Compagnie de transmissions 97/84
  • 97e compagnie de quartier gĂ©nĂ©ral
  • 197e compagnie de transport
  • 297e compagnie de transport
  • 397e compagnie de circulation routière
  • 497e compagnie de services
  • 13e groupe d'exploitation
  • 15e groupe d'escadrons de rĂ©paration
  • 13e bataillon mĂ©dical

Groupement de Louis Dio

Groupement de Langlade

Groupement Guillebon

Groupement RĂ©my

Appoints variables en artillerie et en génie

Pour approfondir

Bibliographie

  • Maja Destrem, L'Aventure de Leclerc, Paris, Fayard, 1984, (ISBN 2-213-01419-1); rĂ©Ă©d. 1997, Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
  • Pierre Coatpehen, En mission avec la 2e DB, Locus Solus, 2014, (ISBN 978-2368330579).
  • La 2e DB, combats et combattants en France prĂ©sentĂ©s par un groupe d'officiers et d'hommes de la division, Paris, Arts et MĂ©tiers Graphiques (AMG), 1945, copyright by GĂ©nĂ©ral Leclerc, 322 pages.
  • De Lattre de Tassigny, Histoire de la première armĂ©e française, Paris, Plon, 1949.
  • Et Leclerc prit Strasbourg, Les Dernières Nouvelles, 1970.
  • Erwan Bergot, La 2e DB, Paris, Presses de la CitĂ©, 1980, (ISBN 2266010670).
  • Gilbert LĂ©vy-Haussmann, La 2e DB vue par un 2e classe, Aigremont, Gilbert LĂ©vy-Haussmann, 2005, 160 p., 23 cm, (ISBN 2-9524349-0-5).
  • Pierre Brunaud, "La 2e DB au repos dans l'Indre" in Argenton et son histoire, no 22, Cercle d'Histoire d'Argenton, 2005.
  • Guy Chauliac, Le service de santĂ© de la France libre : du au , Paris, 1994 (ISBN 295084300X et 978-2950843005).
  • (en) M.P. Robinson et Thomas Seignon, Division Leclerc : the Leclerc Column and Free French 2nd Armored Division, 1940-1946, Osprey Publishing, (ISBN 978-1-4728-3006-7 et 1-4728-3006-7, OCLC 1057692629)

Sur la Nueve :

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. Libération de Paris : pourquoi il n'y a (presque) pas de Noirs sur les photos. Libération, 20 août 2014.
  2. "Aspect mĂ©connu de la composition de la 2e DB : en avril 1944, sur un effectif total de 14 490, elle comporte une proportion de 25 % de soldats nord-africains : 3 600". Christine Levisse-TouzĂ©, Du capitaine de Hautecloque au gĂ©nĂ©ral Leclerc, Éditions Complexe, 2000, p. 243.
  3. Olivier Forcade, Du capitaine de Hauteclocque au général Leclerc, Vingtième Siècle, Revue d'histoire, année 1998, volume 58, numéro 58, pp. 144-146
  4. Evelyn Mesquida, La Nueve, 24 août 1944 — Ces républicains espagnols qui ont libéré Paris, Paris, le Cherche-Midi, 2011, collection « Documents ». (ISBN 978-2-7491-2046-1). P. 135-137.
  5. Mesquida, op. cit., p. 141
  6. La 2e DB, Erwan Bergot, Presses de la Cité, Paris, 1980
  7. Jean-François Muracciole, La Libération de Paris : 19-26 août 1944, Tallandier, , p. 47
  8. Jacques Hardré, La France et sa civilisatíon, Dodd, Mead & Company, , p. 358
  9. Général Georges Buis, Les fanfares perdues, 1975
  10. Library of Congress: Veterans History Project: Interview with Herman Finnell
  11. Maxwell D. Taylor, Swords and Plowshares 106 (1972)
  12. Video: Allies Sign Control Law For Germany,1945/06/14 (1945) () Consulté le .
  13. Dominique Forget, Le Général Leclerc et la 2e DB • 1944-1945, Éditions Heimdal, 2009, p. 336
  14. Paul-Marie de La Gorce, L'Empire écartelé, 1936-1946, Denoël, 1988, p. 496-497, chiffres communiqués par le Service historique de la défense
  15. Soldats de Leclerc morts pour la France 1940-1946, Monument commémoratif Place du 25 août 1944
  16. Robinson et Seignon 2018, p. 57.
  17. Paul Gaujac, « 18 juin 1945, le défilé de la Victoire », Militaria, Histoire & Collections, no 147,‎ , p. 57
  18. Robinson et Seignon 2018, p. 59.
  19. Modèle d'insigne fabriqué en Angleterre avant le débarquement de Normandie
  20. « Les fouragères »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le )
  21. Pierre-Olivier Buan et Neil Baumgardner, 2008-2011, Registre des blindés historiques en France. http://the.shadock.free.fr/Blindes_en_France.pdf
  22. Société historique et archéologique de l'Orne, Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, (lire en ligne), p. 2
  23. Des tags nazis sur huit tombes de soldats musulmans de la 2e DB, France Soir, 22 octobre 2009
  24. Libération de la poche de Royan (avril 1945), Musée de Royan
  25. Ministère des armées, France, Revue historique des armées, numéros 226-229, 2002, p. 51
  26. « Observons toutefois que le « blanchiment » de la 2e DB ne sera que partiel. Si elle a perdu ses tirailleurs noirs du RTST refondu en RMT, la division a gagné environ 1300 soldats maghrébins qui la rejoignent à travers les unités de l'armée d'Afrique. Ce qui confirme à contrario qu'aux yeux des décideurs américains, se référant à leur propre histoire, le critère ultime du « blanchiment » était bien plus racial que colonial. », Jean-François Muracciole, La Libération de Paris: 19-26 août 1944, 2013, Tallandier, p.42
  27. Jean-François Muracciole, Les Français libres : L'autre Résistance, Tallandier, 2009, p. 116
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