Rue de Grenelle
La rue de Grenelle est située à Paris dans les 6e et 7e arrondissements.
6e, 7e arrts Rue de Grenelle
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Situation | ||
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Arrondissements | 6e 7e | |
Quartiers | Saint-Germain-des-Prés Saint-Thomas d'Aquin Invalides Gros-Caillou |
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Début | 44, rue du Dragon | |
Fin | 83, avenue de La Bourdonnais | |
Morphologie | ||
Longueur | 2 250 m | |
Largeur | 10-12 m | |
Historique | ||
Création | XIVe siècle | |
Ancien nom | Chemin Neuf Chemin aux Vaches Chemin de la Justice Chemin du Gibet Petit chemin du Port Grand chemin des Vaches Grand chemin de Garnelle Chemin de la Forest Petit chemin de Grenelle Rue Garanella Chemin de Guarnelles Rue de Guernelles Rue de Grenelle-Saint-Germain Rue de Grenelle-Gros-Caillou |
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Géocodification | ||
Ville de Paris | 4276 | |
DGI | 4314 | |
Géolocalisation sur la carte : Paris
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Images sur Wikimedia Commons | ||
Situation et accès
D'une longueur de 2 250 m, elle traverse les quartiers suivants : quartier Saint-Germain-des-Prés, nos 1-7 et 2-10 ; quartier Saint-Thomas-d'Aquin, nos 9-91 et 12-106 ; quartier des Invalides, nos 95-127 et 108-152 ; quartier du Gros-Caillou, nos 135-201 et 158-218. En sens unique, elle débute au carrefour de la Croix-Rouge et s'achève dans l'avenue de La Bourdonnais (quelques mètres avant le Champ-de-Mars auquel elle donne accès de fait puisque l'avenue n'est pas bâtie sur le carrefour).
Origine du nom
Elle porte ce nom car elle reliait Paris à l'ancien village de Grenelle, qui, lui-même, tenait son nom d'une garenne (garanella), appartenant à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, dont on a fait successivement « Garnelle », « Guarnelle », « Guernelles » et enfin « Grenelle ».
Historique
Dès le XIVe siècle la rue existe en tant que chemin, appelé le « chemin Neuf », et est indiquée sur l'arpentage de 1529.
Elle est aussi mentionnée avec les noms de « chemin aux Vaches », « chemin de la Justice », « chemin du Gibet » ou « petit chemin du Port ».
Au XVe siècle, elle prend de l'importance et les noms de « grand chemin des Vaches » ou « grand chemin de Garnelle ».
Au XVIIe siècle, elle est dénommée « chemin de la Forest » ou « petit chemin de Grenelle ». Enfin, on l'a plus tard désignée sous les noms de « rue Garanella », « chemin de Guarnelles » ou « rue de Guernelles ».
Elle est citée sous le nom de « rue de Grenelle » dans un manuscrit de 1636.
Au XVIIIe siècle, une partie de la rue est appelée « rue de Grenelle-Saint-Germain » et l'autre partie « rue de Grenelle-Gros-Caillou ». Chacune a un numérotage particulier.
En vertu d'un arrêté préfectoral du , ces deux parties sont réunies sous la seule et même dénomination de « rue de Grenelle-Saint-Germain », avec un nouveau numérotage.
Le 11 mars 1918, durant la Première Guerre mondiale, le no 18 de la rue de Grenelle est touché lors d'un raid effectué par des avions allemands[1].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- No 6 : emplacement de la première boutique de Sonia Rykiel ouverte en mai 1968[2].
- No 9 : dernier domicile et lieu de décès du sculpteur français César (1921-1998) ; une plaque lui rend hommage.
- No 11 : emplacement des Éditions Fasquelle, fondées en 1896.
- No 15 : hôtel de Bérulle, construit en 1775-1776 par Claude-Pierre Convers pour Amable-Pierre-Thomas de Bérulle. Louis Aragon y a tenu le Bureau de recherches surréalistes entre 1924 et 1925.
- Plaque au no 9.
- No 15 : l'hôtel de Bérulle.
- No 36 : À la petite chaise (1890), dessin de Jules-Adolphe Chauvet.
- No 36 : façade À la petite chaise, restaurant ouvert depuis 1700, bâtiment classé ; dans la cour, siège de la Conférence Olivaint, doyenne des associations étudiantes de France, local légué par Robert Schuman.
- No 38 : boutique du chausseur Christian Louboutin.
- No 42 : Centre Saint-Guillaume.
- No 44 : lycée Saint-Thomas-d'Aquin.
- No 45 : lieu de naissance du compositeur Vincent d'Indy le [3].
- Nos 53-55 : immeuble construit par Denis Honegger dans lequel se trouve une des entrées de l'allée du Beau-Passage[4].
- Entre les nos 57 et 59 : la Fontaine des Quatre-Saisons construite en 1739-1745 par le sculpteur Edmé Bouchardon, dans le style néo-palladien.
- La Fontaine des Quatre-Saisons, dessin de 1789.
- La Fontaine des Quatre-Saisons en 2012.
- No 59 : Alfred de Musset passe presque toute sa vie d'écrivain dans cet hôtel, jusqu'en 1839, date à laquelle il entreprend, avec George Sand, son voyage à Venise[5].
- No 59-61 : le musée Maillol, ouvert par la fondation Dina Vierny et consacré à Aristide Maillol, dans lequel se déroule régulièrement des expositions d'autres artistes.
- No 73 : hôtel de Galliffet, construit en cœur d'îlot à partir de 1784 par Étienne-François Le Grand pour Simon de Galliffet (aujourd'hui Institut culturel italien[6]).
- No 75 : hôtel de Furstenberg, construit en 1687-1693 par Pierre Delisle-Mansart.
- No 77 : hôtel bâti en 1708 pour la comtesse de Lamothe-Houdancourt par l'architecte Pierre Delisle-Mansart.
- No 79 : hôtel d'Estrées, construit en 1711-1713 par Robert de Cotte (1656-1735), architecte du roi pour Madeleine-Diane de Bautru de Vaubrun, veuve du duc d'Estrées, anciennement ambassade de Russie en France (aujourd'hui résidence de l'ambassadeur de Russie)[7].
- No 81 : Didier Faure-Beaulieu, directeur de cabinet du directeur général du SDECE (ancienne DGSE), a vécu dans cet hôtel particulier[8]. La légende veut qu'il ait autorisé les équipes du SDECE à percer le mur mitoyen pour écouter les diplomates de l'ambassade de Russie en France, auparavant sise au no 79[8]. Pierre Daru, comte d'Empire et ministre chargé de l'administration de la guerre, en a été propriétaire.
- No 83 : hôtel de Monceaux, dit aussi de Bonneval, construit en 1672 par l'architecte Jean Marot.
- No 84 : siège de la Société nationale d'horticulture de France et du Nouveau Centre[9].
- Nos 85 et 87 : les hôtels d'Avaray et de Beauffremont (ou d'Orrouer) disposent de cadrans solaires notables. Le premier, construit en 1720 par Jean-Baptiste Leroux (aujourd'hui résidence de l'ambassadeur des Pays-Bas[10]). Le couturier Hubert de Givenchy vivait dans le second[11], racheté par la suite par Xavier Niel[12].
- Nos 86 et 88 : l'hôtel du président Hénault et l'hôtel de Noaillac, construits par Pierre Delisle-Mansart.
- No 90 : immeuble réalisé par l'architecte Henri Deglane en 1906[13] et primé en 1908 au Concours de façades de la ville de Paris[14].
- No 85, l'hôtel d'Avaray.
- No 87, l'hôtel de Beauffremont.
- No 90.
- Nos 97-99 : Conseil supérieur du gaz et de l'électricité. Siège du Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes.
- No 100.
- No 101 : hôtel de Rothelin-Charolais, construit vers 1703, peut-être par Pierre Cailleteau dit Lassurance pour le marquis de Rothelin. L'hôtel appartient en 1735 à Louise-Anne de Bourbon-Condé (1695-1758), la scandaleuse Mlle de Charolais, qui lui donne son nom et le lègue en 1758 au comte de La Marche (prince de Conti en 1776), qui en fait sa résidence parisienne. Appartenant à l'État, l'hôtel abrite jusqu'en 2010 le ministère de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire, puis le ministère de la Fonction publique. Depuis mai 2017, il est occupé par le secrétariat d'État aux relations avec le Parlement, le porte-parolat du Gouvernement, l'Observatoire de la laïcité et plusieurs services du Premier ministre.
- Façade du no 101.
- No 102 : hôtel de Maillebois, construit en 1660 par Antoine Le Pautre et reconstruit partiellement par Denis Antoine vers 1771. Le duc de Saint-Simon y vécut.
- No 102, l'hôtel de Maillebois.
- No 102.
- No 103 : immeuble construit en 1841 et surmonté de la tour du télégraphe (tour Chappe). Le bâtiment abrite le ministère des Postes et Télégraphes jusqu'en 1960 puis devient le siège d'une des directions de France Télécom jusqu'en 2007. La tour du télégraphe possède un rôle symbolique fort, pour avoir été pendant des années le centre des communications de la France. Comme le rappelle une plaque commémorative apposée sur la façade du bâtiment, c'est à partir de cet endroit que sont diffusés les premiers programmes réguliers de la télévision française en novembre 1935, Georges Mandel étant ministre des PTT et René Barthélémy le responsable technique.
De nos jours, le bâtiment abrite l'ambassade de Nouvelle-Zélande en France et l'Autorité européenne des marchés financiers.
- Tour Chappe au no 103.
- Plaque commémorative.
- Nos 104-106 : ancienne abbaye de Penthemont, qui relevait de l'ordre de Citeaux (dite abbaye des Bernardines de Penthémont) et s'installa en 1671 rue de Grenelle. C'était à la fois une maison de retraite et une maison d'éducation pour les jeunes filles de la noblesse. Les anciens bâtiments conventuels qui s'alignent rue de Bellechasse sont occupés jusqu'en 2014 par le secrétariat d'État aux anciens combattants.
- No 104.
- No 107 : hôtel de Martignac, ancien hôtel de Jean-Baptiste Sylvère Gay, vicomte de Martignac.
- No 110 : hôtel de Rochechouart, construit en 1776 par Mathurin Cherpitel, remanié à partir de 1839 par Alphonse de Gisors pour le ministère de l'Éducation nationale[15], actuel occupant des lieux.
- No 115 : hôtel de Sommery, à l'entrée duquel on trouve une plaque à la mémoire de l'actrice Adrienne Lecouvreur (1692-1730). Cette plaque, gravée par d'Argental, amant et légataire universel de l'actrice, fut retrouvée dans les combles de l'hôtel.
- No 116 : mairie du 7e arrondissement[16], abritant la bibliothèque Saint-Simon depuis 1983 qui offre plus de 40 000 volumes. Ayant subi de nombreux aménagements à travers le temps, notamment par Joseph Uchard au XIXe siècle, il ne reste d'éléments d'origine de l'hôtel de Villars (ou grand hôtel de Villars) qu'un portail en forme d’arc de triomphe attribué à Germain Boffrand.
- Nos 118-120 : petit hôtel de Villars, ancienne dépendance de l'hôtel du duc et maréchal de France Claude Louis Hector de Villars, situé au no 116. Un temps propriété de la famille Cahen d'Anvers et, à partir des années 1880, résidence du compositeur Albert Cahen, il accueille aujourd'hui les élèves de collège de l'établissement scolaire Paul Claudel-d'Hulst.
- Porte du petit hôtel de Villars (no 118).
- Vue globale.
- Plaque indiquant la présence de l'établissement Paul Claudel.
- No 122 : emplacement d'un couvent de carmélites qui fut transformé en caserne à la Révolution. La caserne de Grenelle abritera à partir de 1800 la Garde consulaire. C'est à cette adresse que l'architecte décorateur et artiste peintre Louis Süe (1875-1968) s'installe avec son neveu Gilbert Olivier Süe, devenu son associé de 1952 à 1968.
- No 123 : domicile de Pierre Brossolette de 1932 à 1944.
- Plaque au no 123.
- No 125 : hôtel de Damas d'Antigny, ambassade de Corée du Sud[17], construit par Mathurin Cherpitel[18].
- No 125.
- No 127 : hôtel du Châtelet, construit de 1770 à 1776 par Mathurin Cherpitel, aujourd'hui ministère du Travail[19].
- No 129 : hôtel des Invalides abritant le musée de l'Armée.
- No 134 : (angle de la rue de Bourgogne) immeuble de rapport construit en 1903 par l'architecte Jules Lavirotte pour l'entrepreneur Jules Pinardon[20]. Il y a habité.
- No 136 bis : ancien siège de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN)[21].
- No 138 : Hôtel de Noirmoutier, construit en 1720-1723 par Jean Courtonne pour Antoine François de La Trémoille, duc de Noirmoutier. Le duc était aveugle et « le prodige », écrit Saint-Simon, « fut que, quoique pauvre, il se bâtit une maison charmante, qu'il en régla la distribution et les proportions, et en gros et en détail les dégagements, les commodités et jusqu'aux ornements, aux glaces, aux corniches, aux cheminées et, au tact, choisit les étoffes pour les meubles en lui disant les couleurs ». Initialement, le premier étage ne couvrait que les sept travées centrales du rez-de-chaussée. L'hôtel fut attribué comme logement au maréchal Foch en 1919. Il y résida jusqu'à sa mort en 1929. Il est aujourd'hui la résidence du préfet de la région d'Île-de-France, préfet de Paris.
- No 138 bis : maison de l'Entrepreneuriat, fondée par Raise France.
- No 142 : hôtel Chanac de Pompadour, dit aussi hôtel de Besenval, construit en 1704 par Pierre-Alexis Delamair et remanié par Alexandre-Théodore Brongniart en 1767 pour Pierre Victor de Besenval de Brünstatt, qui l'achète à la maréchale de Luxembourg (aujourd'hui ambassade de Suisse[22]).
- No 142.
- No 147.
- No 147 : église protestante luthérienne Saint-Jean, fondée en 1910 et membre de l'Église protestante unie de France.
- No 149 : anciennement le siège de l'Institut national de la recherche agronomique.
- No 151 : immeuble de style Art nouveau de l'architecte Jules Lavirotte (1898)[23].
- No 164 : bibliothèque Amélie ouverte en 1981 et disposant d'environ 35 000 volumes.
- No 174 : adresse de l'atelier du peintre Henri Goetz en 1959.
- No 188 : domicile de Jules Rimet durant sa jeunesse, fondateur de la Coupe du monde de football[24].
- No 199 : l'homme politique Maurice Viollette y a résidé.
- No 204 : immeuble construit en 1898 par Louis-Pierre Marquet, primé au Concours de façades de la ville de Paris[25].
- No 210 : siège du Gros-Caillou Sportif, club omnisports.
- No 321 : Charles-Joseph Panckoucke (1736-1798), écrivain, éditeur, libraire français résidait ici vers 1762.
- No 204.
Autres
- La rue a laissé son nom aux accords de Grenelle, négociés au ministère du Travail (sis au no 127) en pleine crise de mai 1968.
- Dans plusieurs romans de La Comédie humaine, Honoré de Balzac situe des hôtels particuliers de l'aristocratie la plus raffinée. Notamment dans Béatrix : « Béatrix de Rochefide avait écrit à la duchesse de Grandlieu l'histoire de Calyste, en lui annonçant qu'elle vendait sa maison de la rue du Mont-Blanc, de laquelle quelques spéculateurs offraient deux millions cinq cent mille francs. Son homme d'affaires venait de lui remplacer cette habitation par l'un des plus beaux hôtels de la rue de Grenelle, acheté sept cent mille francs[26]. » Ainsi que dans Le Père Goriot où habite la vicomtesse de Beauséant : « Aussi, madame de Nucingen laperait-elle toute la boue qu'il y a entre la rue Saint−Lazare et la rue de Grenelle pour entrer dans mon salon[27]. »
- Au début de Meurtre sur le Léviathan du romancier Boris Akounine, le lieu du crime est un hôtel particulier de la rue de Grenelle.
- Maupassant situe l'action de sa nouvelle, Apparition, dans un hôtel particulier situé dans la rue de Grenelle.
- Dans L'Élégance du hérisson de Muriel Barbery, un hôtel particulier fictif, cadre du roman, est situé au no 7.
- L'artiste américain James Abbott McNeill Whistler a réalisé en 1894 une lithographie intitulée La Fruitière de la rue de Grenelle.
- L'artiste peintre Jim Dine a réalisé en 1981 un tableau intitulé A Heart on the Rue de Grenelle (Un cœur sur la rue de Grenelle).
Notes et références
- Exelsior du 8 janvier 1919 : Carte et liste officielles des bombes d'avions et de zeppelins lancées sur Paris et la banlieue et numérotées suivant leur ordre et leur date de chute.
- Philippe Dufay, « Que faisaient-elles en Mai 68 ? », Madame Figaro, 12 avril 2008.
- Vincent d'Indy
- « Séance plénière du 22/10/2015 », Commission du Vieux-Paris, , p. 44-49 (lire en ligne [PDF])
- Paris. Guide bleu, Hachette livre, 1988.
- Présentation de l'hôtel de Galliffet sur le site de l'Institut culturel italien, www.iicparigi.esteri.it.
- Le 79, rue de Grenelle par le photographe Eugène Atget sur bibliotheque-numerique.inha.fr.
- Jean-Christophe, Notin, Le maître du secret : Alexandre de Marenches, Paris, Tallandier, 555 p. (ISBN 979-10-210-3129-6, 9789791021036 et 9791021031, OCLC 1030779675, lire en ligne).
- Marion Joseph et Laure Kermanac'h, « Où les candidats ont installé leur QG de campagne 2012 », Le Figaro, (lire en ligne).
- Histoire de l'hôtel d'Avaray sur le site de l'ambassade des Pays-Bas, www.amb-pays-bas.fr.
- Claire Bommelaer et Béatrice de Rochebouët, « Les nouvelles fortunes en quête d'adresses », Le Figaro, , p. 28 (lire en ligne).
- Claire Bommelaer et Béatrice de Rochebouët, « Ces hôtels particuliers parisiens qui font tourner les têtes », Le Figaro (supplément Le Figaro et vous), , p. 32-33 (lire en ligne).
- « Henri Deglane », pss-archi.eu, consulté le 29 janvier 2021.
- « Échos et nouvelles », Le Matin, , sur RetroNews.
- Visite virtuelle de l'hôtel de Rochechouart sur le site du ministère, front.education.gouv.fr.
- Site officiel de la mairie du 7e, www.mairie7.paris.fr.
- Site officiel de l'ambassade de Corée du Sud.
- « Paris 7e, le long de la rue de Grenelle »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), www.paristoric.com, consulté le 9 octobre 2013.
- « Visite et histoire de l'hôtel du Châtelet » sur le site du ministère, www.travail-solidarite.gouv.fr.
- Y. Lavirotte et O. Barancy, Jules Lavirotte : L'audace d'un architecte de l'Art nouveau, Paris JLA éd., 2017, p. 74.
- Par Julien Duffé Le 22 janvier 2007 à 00h00, « Le siège de l'IGN quitte la rue de Grenelle Un premier débat participatif sur le logement », sur leparisien.fr, (consulté le )
- Site officiel de l'ambassade de Suisse, www.amb-suisse.fr.
- Deux photographies du no 151 sur cambridge2000.com : 1, 2.
- « La jeunesse de Jules Rimet », sur www.ballon-football.com (consulté le ).
- La Construction moderne, 1er avril 1899.
- Édition Furne, 1845, vol. 3, p. 473.
- Furne, 1845, vol. 9, p. 366.
Bibliographie
- Adolphe Berty et Lazare-Maurice Tisserand, avec la collaboration de Théodore Vacquer, Topographie historique du vieux Paris, tome 3 : Région du Bourg Saint-Germain, 1876 (en ligne sur Gallica).
- Adolphe Berty et Lazare-Maurice Tisserand, avec la collaboration de Théodore Vacquer, Topographie historique du vieux Paris, tome 4 : Région du Faubourg Saint-Germain, 1882 (en ligne sur Gallica).
- Collectif, Exposition. Le faubourg Saint-Germain, la rue de Grenelle, Action artistique de la Ville de Paris, 1985, p. 60.
- Jacques Silvestre de Sacy, Philippe Siguret et Yvan Christ, Le Faubourg Saint-Germain, de l'abbaye à l'École militaire, Paris, Éditions des Deux-Mondes, 1966, 411 p., p. 230-279.