Ăchillais
Ăchillais [eÊilÉ][1] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Charente-Maritime (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).
Ăchillais | |||||
Une rue du centre-ville d'Ăchillais. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Charente-Maritime | ||||
Arrondissement | Rochefort | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Rochefort Océan | ||||
Maire Mandat |
Claude Maugan 2020-2026 |
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Code postal | 17620 | ||||
Code commune | 17146 | ||||
DĂ©mographie | |||||
GentilĂ© | Ăchillaisiens | ||||
Population municipale |
3 548 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 241 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 53âČ 54âł nord, 0° 57âČ 06âł ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 18 m |
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Superficie | 14,72 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rochefort (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Tonnay-Charente | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Charente-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | ville-echillais.fr | ||||
Ses habitants sont appelĂ©s les Ăchillaisiens[2].
Petit centre résidentiel de la banlieue sud de Rochefort dont elle est séparée par le fleuve Charente, elle est la troisiÚme ville de l'unité urbaine de Rochefort.
GĂ©ographie
La ville dâĂchillais est situĂ©e dans la partie sud-ouest de la France[Note 1], au centre de la cĂŽte atlantique dont elle est distante d'une dizaine de kilomĂštres Ă vol d'oiseau, faisant partie du « Midi atlantique »[3].
Ville fluviale et estuarienne, elle est longĂ©e uniquement sur sa rive gauche par la Charente. Ăchillais est reliĂ© Ă Rochefort par un viaduc qui est le dernier pont franchissant le fleuve avant son embouchure.
La commune, qui appartient à la couronne urbaine de l'agglomération de Rochefort, formant de fait sa banlieue sud, est située juste au sud-est d'un méandre de la Charente, pour partie dans le lit majeur du cours d'eau.
Communes limitrophes
Environnement
La commune bénéficie de la proximité du fleuve (corridor de migration pour les oiseaux et pour divers poissons migrateurs). Elle bénéficie aussi d'une ceinture verte constituée d'un réseau de bois en forme de fer à cheval situé au sud-ouest de la commune, au nord d'un vaste complexe de zones humides, trÚs artificialisés, mais à fort potentiel de biodiversité dans le cadre de la Trame verte promue par le Grenelle de l'environnement.
Urbanisme
Typologie
Ăchillais est une commune rurale[Note 2] - [5]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[6] - [7]. Elle appartient Ă l'unitĂ© urbaine de Rochefort, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 5 communes[8] et 38 599 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9] - [10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rochefort, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11] - [12].
La commune, bordĂ©e par l'estuaire de la Charente, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[14] - [15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (76,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (55,7 %), zones urbanisĂ©es (14,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,7 %), forĂȘts (7,7 %), prairies (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,7 %), eaux continentales[Note 4] (2,4 %), mines, dĂ©charges et chantiers (2,1 %), zones humides intĂ©rieures (1,2 %)[16].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ăchillais est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[17]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[18].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire Ă risques importants d'inondation (TRI) du littoral charentais-maritime, regroupant 40 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂŽtiĂšre, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation, mais annulĂ© en 2020[19]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siĂšcles antĂ©rieures Ă 2019 sont celles liĂ©es Ă la tempĂȘte du , Ă la tempĂȘte du , aux tempĂȘtes Lothar et Martin des 26 et et Ă la tempĂȘte Xynthia des 27 et . Dâune violence exceptionnelle, la tempĂȘte Xynthia a fortement endommagĂ© le littoral de la Charente Maritime : douze personnes ont perdu la vie (essentiellement par noyade), des centaines de familles ont dĂ» ĂȘtre relogĂ©es, et, sur un linĂ©aire de lâordre de 400 km de cĂŽte et de 225 km de dĂ©fenses contre la mer, environ la moitiĂ© de ces ouvrages a subi des dommages plus ou moins importants. Câest environ 5 000 Ă 6 000 bĂątiments qui ont Ă©tĂ© submergĂ©s et 40 000 ha de terres agricoles[20]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[21] - [17].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[22]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 71 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 597 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 784 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 49 %, Ă comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[23].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2011, 2017 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[17].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[25].
Politique et administration
Liste des maires
RĂ©gion
à la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.
Canton
La commune d'Echillais fait partie du canton de Saint-Agnant, elle en est la commune la plus peuplée. Elle appartient à l'arrondissement de Rochefort.
Intercommunalité
Echillais fait partie de la communauté d'agglomération du Pays Rochefortais dont le siÚge administratif est fixé à Rochefort. Elle en est la quatriÚme ville par sa population aprÚs Rochefort, Tonnay-Charente et Fouras.
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[28].
En 2020, la commune comptait 3 548 habitants[Note 5], en augmentation de 2,9 % par rapport Ă 2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Ăglise d'Ăchillais
L'église Notre-Dame, bùtie au XIIe siÚcle, est une des plus belles créations romanes de la Saintonge. Elle a été classée aux Monuments Historiques en 1840[31].
- La façade de l'église romane.
- Le portail de l'Ă©glise.
- Le chevet de l'Ă©glise.
- Un chapiteau de la façade de l'église : le « Grand'Goule ».
Pont transbordeur
Ce pont, dont le systÚme fut proposé par l'ingénieur Ferdinand Arnodin (1845 - 1924), a été inauguré le , aprÚs 27 mois de construction.
Ce pont repose sur deux pylÎnes métalliques hauts de 66 mÚtres et situés de part et d'autre de la Charente. Un tablier de 175 mÚtres de long, culminant à 50 mÚtres au-dessus des plus hautes eaux, relie ces deux pylÎnes entre eux. Une nacelle suspendue à ce tablier permet alors aux passagers de passer d'une rive à l'autre.
Lors de son ouverture, ce pont qui avait coûté 586 500 francs de l'époque, pouvait contenir à chaque traversée, 9 voitures à 2 attelages et 50 personnes ou 200 personnes. Sa capacité était de 26 tonnes. La traversée durait, temps d'embarquement et débarquement compris, 3 minutes.
Mais l'augmentation continue du trafic eut raison du transbordeur, et en 1967, il fut remplacé par un pont à travée levante et en 1975, un budget de 1,4 million de francs fut alloué à sa démolition. Le pont sera finalement classé aux monuments historiques et 1993, 7 millions de francs seront utilisés à la rénovation globale. Aujourd'hui, le pont est de nouveau en activité de maniÚre touristique. Il est ouvert aux piétons et aux vélos.
Le transbordeur est apparu dans le film de Jacques Demy, Les Demoiselles de Rochefort.
- Le pont transbordeur Ă Ăchillais.
- Vue depuis la rive droite de la Charente, avec la nacelle.
- Vue du tablier Ă la verticale de la nacelle.
- Vue générale du pont transbordeur.
Viaduc de Martrou
Ce pont construit en 1991 est situé en aval du pont transbordeur. Il y eut donc un temps trois ponts alignés sur la Charente à ce niveau, mais le pont central levant de 1967 a finalement été démoli. AprÚs avoir été payant pour les véhicules non immatriculés en Charente-Maritime, le viaduc est gratuit pour tous les véhicules depuis le . Ainsi, le trafic routier a plus que doublé en deux ans et les ralentissements entre le viaduc et la sortie de l'autoroute venant de La Rochelle sont presque quotidiens.
Le viaduc permet le franchissement de la Charente en deux minutes pour se rendre vers Royan ou l'ßle d'Oléron dans un sens et vers Rochefort et La Rochelle de l'autre.
Un projet de contournement de Rochefort, par l'est, est à l'étude. Il pourrait permettre un désengorgement du trafic automobile du viaduc de Martrou ainsi qu'une liaison directe entre La Rochelle et le futur aéroport départemental de Saint-Agnant d'une part et Royan de l'autre. Le projet est contesté par une association de riverains et des élus écologistes locaux qui lui préféreraient un prolongement de la liaison ferrée cadencée existant déjà entre Rochefort et La Rochelle[32].
Personnalités liées à la commune
Pierre Gautier, dit Saguingoira (1629-1703) est natif d'Ăchillais (voir aussi Jean Gaultier dit Larouche, 1655-1690). Il quitte le pays pour la Nouvelle-France en 1667 ou 1668. Il y Ă©pouse Charlotte Roussel, originaire d'Ăvreux, en Normandie, puis s'Ă©tablit Ă Lachine, sur l'Ăźle de MontrĂ©al. Il aura huit enfants. Lui et ses enfants portent depuis 1671 le surnom de Saguingoira, dont l'origine et la signication sont inconnues. Ce surnom disparaĂźt avec la gĂ©nĂ©ration de ses petits-enfants[33]. Lors du recensement de 1681, il dĂ©clare possĂ©der « deux fusils, cinq bĂȘtes Ă cornes et vingt-six arpents de terre en valeur », ce qui en fait un colon relativement prospĂšre.
Pierre Gautier Saguingoira et Charlotte Roussel comptent parmi les victimes du massacre de Lachine de 1689. Enlevés par les Iroquois, lors de ce raid à grande échelle, ils sont longtemps donnés pour morts. Un document de décrit Pierre Gauthier comme « captif chez les Iroquois nos ennemis ». Nous ignorons la date exacte de sa libération, mais il signe comme témoin au mariage de son fils Joseph en . Charlotte Roussel meurt en captivité le [34]. Pierre Gautier Saguinoira meurt à Montréal le [35] - [36].
Le patronyme Gauthier est actuellement le 6e plus frĂ©quent au QuĂ©bec ; environ 39 500 QuĂ©bĂ©cois portent ce nom[37]. Pierre Gautier Saguingoira n'est pas le seul fondateur de la famille - plusieurs autres colons appelĂ©s Gautier ont aussi eu une descendance - mais c'est certainement le plus pittoresque et l'un des plus prolifiques. Ses descendants actuels se comptent par milliers au Canada et aux Ătats-Unis. Une rue de Lachine rappelle aujourd'hui sa mĂ©moire.
Maison du Transbordeur
Ce petit musée, géré directement par la communauté d'agglomération du Pays Rochefortais, s'inscrit dans un ensemble muséographique original autour du pont transbordeur du Martrou.
Au pied du pont transbordeur, un ancien hangar de bac a été recyclé en lieu d'interprétation dédié aux ponts du Monde.
La Maison du transbordeur est situĂ©e sur la rive gauche de la Charente, Ă Ăchillais, et sur un sentier de dĂ©couverte[38].
Musée du jouet ancien
Ăchillais dispose Ă©galement d'un musĂ©e ludique renfermant des collections privĂ©es d'environ 15 000 jouets anciens. Ce musĂ©e se situe dans le site agrĂ©able d'un petit logis dans le quartier de la Limoise oĂč avait demeurĂ© le cĂ©lĂšbre romancier Pierre Loti[39].
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Certains y voient une appartenance gĂ©ographique au Midi de la France â en rĂ©fĂ©rence au « Midi atlantique » cher au gĂ©ographe Louis Papy - ainsi Ăchillais comme l'ensemble de la Charente-Maritime peuvent ĂȘtre rattachĂ©s Ă deux grands ensembles gĂ©ographiques, le Grand Sud-Ouest français et parfois le Grand Ouest français.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Echillais, une commune en développement qui franchit le cap des 3500 habitants », sur France 3 Nouvelle-Aquitaine (consulté le )
- Les gentilés de Charente-Maritime
- Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p.21
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Rochefort », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative Ă lâamĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prĂšs de chez moi - commune d'Ăchillais », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Un approfondissement des connaissances sur ces priorités : la cartographie des risques sur les TRI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « cartographie des risques d'inondations du TRI du littoral charentais-maritime », sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavitĂ©s souterraines localisĂ©es sur la commune d'Ăchillais », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consultĂ© le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- Les maires dâĂchillais, sur ville-echillais.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Ăchillais,d'aprĂšs Charles ConnouĂ«
- in journal Sud-Ouest du 10 février 2009
- « Pierre Saguingoira Gauthier et de Charlotte Roussel » (sur Internet Archive)
- Fiche généalogique de Pierre Gauthier et Marie-Charlotte Roussel http://www.nosorigines.org/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Pierre_Gauthier&pid=22230&lng=fr&partID=22231
- « Pierre Gautier dit Saguingoira - Un tout premier pionnier de Lachine » (sur Internet Archive)
- Voir aussi Abbé Cyprien Tanguay, Dictionnaire Généalogique des Familles Canadiennes, 1975.
- Selon les donnĂ©es de l'Ătat civil du QuĂ©bec, 2006. http://www.stat.gouv.qc.ca/donstat/societe/demographie/noms_famille/stock_1000.htm
- Sentier de découverte du Martrou
- / La Limoise, demeure de Pierre Loti Ă Ăchillais