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Verdun (Ariège)

Verdun est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale.

Verdun
Verdun (Ariège)
Verdun au premier plan et Les Cabannes à l'arrière
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Foix
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Ariège
Maire
Mandat
Alain Miquel
2020-2026
Code postal 09310
Code commune 09328
Démographie
Gentilé Verduniens
Population
municipale
213 hab. (2020 en diminution de 4,91 % par rapport à 2014)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 47′ 43″ nord, 1° 41′ 20″ est
Altitude Min. 513 m
Max. 1 461 m
Superficie 11,71 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Haute-Ariège
Législatives Première circonscription
Localisation
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Verdun
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Verdun

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Ariège, l'Aston et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (les « quiès calcaires de Tarascon-sur-Ariège et grotte de la Petite Caougno », les « quiès calcaires de Tarascon-sur-Ariège et grotte de la Petite Caougno » et « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« Quié de Lujat ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Verdun est une commune rurale qui compte 213 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 744 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Verduniens ou Verduniennes.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Blaise, classée en 1910.

    Géographie

    Localisation

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    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Verdun se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 20 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à 15 km d'Ax-les-Thermes[2], bureau centralisateur du canton de Haute-Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarascon-sur-Ariège[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Les Cabannes (1,0 km), Aulos (1,1 km), Pech (1,3 km), Château-Verdun (1,5 km), Senconac (2,0 km), Sinsat (2,2 km), Albiès (2,2 km), Caychax (2,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Verdun fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale[4].

    Verdun est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Albiès, Aulos-Sinsat, Les Cabannes, Cazenave-Serres-et-Allens, Ornolac-Ussat-les-Bains et Senconac.

    Géologie et relief

    La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Elle est traversée par la Faille nord-pyrénéenne, qui sépare la Zone axiale pyrénéenne (ZA) ou haute chaîne primaire de la Zone nord-pyrénéenne (ZNP), au nord. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches pour partie sédimentaires et pour partie métamorphiques datant pour certaines du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 Ã  −66,0 Ma, et pour d'autres du Protérozoïque, le dernier éon du Précambrien sur l’échelle des temps géologiques. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1087 - Vicdessos » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[6] - [7] et sa notice associée[8].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 11,71 km2[9] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 11,72 km2[7]. Son relief est particulièrement escarpé puisque la dénivelée maximale atteint 948 mètres. L'altitude du territoire varie entre 513 m et 1 461 m[12].

    Située dans la haute vallée de l'Ariège, sur la route de la principauté d'Andorre, Verdun comporte traditionnellement deux parties que des constructions récentes tendent aujourd'hui à relier : le Barry-d'en-haut, partie ancienne autour de l'église, et le Barry-d'en-bas, entre la mairie et le pont menant à la commune voisine, Les Cabannes, par laquelle se font les dessertes routière (RN 20) et ferroviaire (ligne Paris-Latour-de-Carol).

    Dominé par le Quié de Lujat, le fond de vallée abrite le village. Dans la partie haute du territoire communal, un plateau (altitude 1 000 m environ) de forme triangulaire marque une étape intermédiaire avant les pentes abruptes des sommets. Il est traversé par la Route des corniches, qui mène à Ax-les-Thermes par des villages reculés.

    Vue de la commune sur la droite, et montagne du Quié sur la gauche.

    Géologie

    L'extrémité du rocher du Quié (env. 1 400 m d'altitude) est classée en réserve naturelle pour abriter une espèce rare de rapace, le gypaète barbu[13], que l'on voit planer haut les jours de beau temps. Sur la falaise voisine, on pratique l'escalade.

    L'Aiguille de Souloumbrie est située sur la face nord du Quié de Sinsat, à mi-chemin entre le Pas de Souloumbrie et Estremiès.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Verdun.

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par l'Ariège, l'Aston, un bras de l'Ariège, le ruisseau de Quiélong, le ruisseau des Moulines et le ruisseau du Fourquet, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[15] - [16].

    L'Ariège, d'une longueur totale de 162,91 km, prend sa source dans la commune de Porta et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Portet-sur-Garonne, après avoir traversé 56 communes[17].

    L'Aston, d'une longueur totale de 23,5 km, prend sa source dans la commune d'Aston et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège sur le territoire communal[18].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune est du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[20].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[19].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 023 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 8,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] - [24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tarascon-sur-Ariège », sur la commune de Tarascon-sur-Ariège, mise en service en 1959[25] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[26] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 769,3 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 52 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[29], à 12,3 °C pour 1981-2010[30], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[31].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[32] - [33].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le « Quié de Lujat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 338,3 ha[34].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[36] :

    • les « quiès calcaires de Tarascon-sur-Ariège et grotte de la Petite Caougno », d'une superficie de 2 478 ha, un espace constitué des massifs calcaires de la vallée de l'Ariège avec station "intra pyrénéenne" de nombreuses espèces méditerranéennes[37] ;
    • « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste », d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs, avec des zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[38] ;

    et un au titre de la directive oiseaux[36] :

    • les « quiès calcaires de Tarascon-sur-Ariège et grotte de la Petite Caougno », d'une superficie de 2 479 ha, des milieux rupestres exceptionnels. Sont présents deux couples de vautours percnoptères, l'aigle royal (plusieurs couples), des sites de nidifications pour le faucon pèlerin et le hibou grand-duc[39].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[40] :

    et trois ZNIEFF de type 2[Note 8] - [40] :

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Verdun.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Verdun est une commune rurale[Note 9] - [47]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2] - [48]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27,2 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8,7 %), prairies (2,5 %), zones urbanisées (1,8 %)[49].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 225, alors qu'il était de 217 en 2013 et de 208 en 2008[I 5].

    Parmi ces logements, 51,3 % étaient des résidences principales, 44,6 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,1 % des appartements[I 5].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Verdun en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (44,6 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].

    Le logement à Verdun en 2018.
    Typologie Verdun[I 5] Ariège[I 7] France entière[I 8]
    Résidences principales (en %) 51,3 65,7 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 44,6 24,6 9,7
    Logements vacants (en %) 4,1 9,7 8,2

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Verdun est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[50] - [51].

    Risques naturels

    Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Verdun.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, l'Ariège, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant le cours d'eau de l'Ariège figurent la crue torrentielle de 1982 et les inondations de plaine de 1996 et de 2005 de la Basse vallée de l'Ariège[52].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Verdun[53]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[54].

    Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Verdun[53]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[54].

    Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 24 novembre 2006[55].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[56].

    Sur le département de l’Ariège on dénombre cinq grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 80 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[57].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Verdun est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[58].

    Histoire

    Après un puissant orage, un barrage s’est érigé au ruisseau des Moulines, il se rompit dans la nuit faisant 81 morts le et détruisant 50 maisons sur 70 dans le village[59]. Une compagnie du génie appelée de Montpellier vint déblayer les ruines du village. Le maréchal de Mac-Mahon, président de la République, y vint .

    L'histoire du village est surtout celle des catastrophes naturelles qui l'ont plusieurs fois dévasté, ainsi, dès 1613, une inondation avait détruit 25 maisons.

    La politique de "restauration des terrains en montagne" (RTM), mise en place par l'État à partir des années 1880, tend à prévenir de nouveaux sinistres.

    En 2018 et en accord avec la mairie, un étudiant de 24 ans, Jacob Karhu[60], a vécu 7 mois en autarcie à 1700 m d'altitude à la cabane d'Artaran qu'il rénovait par ailleurs.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Verdun est membre de la communauté de communes de la Haute Ariège[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Luzenac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[61].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Foix, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Haute-Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[62].

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[63] - [64].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800 1806 Bernard ALZIEU
    1806 Bernard ALZIEU
    1807 Bernard ALZIEU
    1807 1814 Jean-Baptiste DOUMENS Jouanny
    1815 Ignace ALZIEU
    1815 1820 Jean-Baptiste DOUMENS Jouanny
    1821 1822 François SABATHIER
    1822 1827 Jean MIQUEL Peyrette
    1827 1830 Augustin ROUZAUD maçon et charpentier[65]
    1830 1831 Gabriel ALZIEU Seguéla
    1832 1835 Augustin ROUZAUD maçon et charpentier[65]
    1835 1837 Augustin ROUZAUD maçon et charpentier[65]
    1837 Augustin ROUZAUD maçon et charpentier[65]
    1838 1840 Jean BERNADAC Fustié
    1840 1843 Jean BERNADAC Fustié
    1843 Augustin ROUZAUD maçon et charpentier[65]
    1843 1846 Augustin ROUZAUD maçon et charpentier[65]
    1846 1848 Augustin ROUZAUD maçon et charpentier[65]
    1848 1855 Jean BERNADAC Fustié
    1855 1860 François SABATHIER
    1860 1863 Pierre DOUMENS
    1863 1864 Barthélemy RÉGNIER
    1864 1866 Célestin SABATHIER
    1866 1871 Célestin SABATHIER
    1871 Célestin SABATHIER
    1872 1874 Crépin RÉGNIER
    1874 1876 Barthélemy RÉGNIER
    1876 1880 Mathieu SOULÉ
    1881 1883 Mathieu SOULÉ
    1883 1885 Pierre DOUMENS
    1885 1889 Jean BERNADAC Fustié
    1889 1897 Mathieu SOULÉ
    1897 1899 Pierre ALZIEU
    1899 1901 Félix BRIBES
    1901 1904 Félix BRIBES
    1904 1905 Félix BRIBES
    1905 1909 Célestin BUC
    1909 1920 Martin AUGÉ
    1920 1924 Bernard FAURÉ
    1925 1930 Osmin MIQUEL
    1930 1935 Baptiste PAPY
    1936 1947 Albert LAUGIÉ
    1947 1953 Henri ROUZOUL
    1953 1959 Etienne RAUZY
    1959 1965 Etienne RAUZY
    1965 Joseph MOURAREAU
    1965 1988 Paul BERNADAC
    1988 1989 Paul BERNADAC
    1989 1993 Christian ROQUES
    1993 1995 Marcel PAPY
    mars 1995 mars 2001 Michel CASTELLS
    mars 2001 mars 2008 Michel CASTELLS
    mars 2008 mars 2014 Jean-Claude KEFF DVD Retraité
    mars 2014 juin 2019 Jean-Claude KEFF DVD Retraité Décédé en fonction[66]
    juin 2019 septembre 2019 Alain MIQUEL Maire par intérim[67]
    septembre 2019 mars 2020 Alain MIQUEL Élu maire au cours d'une élection municipale partielle[67]
    2020 en cours Alain MIQUEL

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[69].

    En 2020, la commune comptait 213 habitants[Note 10], en diminution de 4,91 % par rapport à 2014 (Ariège : +0,9 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    549428587653704703672744714
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    635594541492453439433408397
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    352322319286295283270265269
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    247210184160154183220237231
    2014 2019 2020 - - - - - -
    224216213------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[70] puis Insee à partir de 2006[71].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[72] 1975[72] 1982[72] 1990[72] 1999[72] 2006[73] 2009[74] 2013[75]
    Rang de la commune dans le département 110 131 127 141 137 114 118 124
    Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

    Enseignement

    Verdun fait partie de l'académie de Toulouse.

    Activités sportives

    Escalade[76], cyclisme, pêche, randonnée pédestre...

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 106 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 217 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 460 â‚¬[I 10] (19 820 â‚¬ dans le département[I 11]).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 12]3,1 %8,1 %9,5 %
    Département[I 13]8,9 %11,1 %11,2 %
    France entière[I 14]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 106 personnes, parmi lesquelles on compte 75,2 % d'actifs (65,7 % ayant un emploi et 9,5 % de chômeurs) et 24,8 % d'inactifs[Note 12] - [I 12]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2] - [I 15]. Elle compte 16 emplois en 2018, contre 22 en 2013 et 19 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 73, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,2 %[I 16].

    Sur ces 73 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 8 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 97,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].

    Activités hors agriculture

    11 établissements[Note 13] sont implantés à Verdun au [I 19]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,3 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 11 entreprises implantées à Verdun), contre 14,4 % au niveau départemental[I 20].

    Agriculture

    198820002010
    Exploitations1065
    Superficie agricole utilisée (ha)306414544

    La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[77]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage d'ovins et de caprins[78]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 15] de 2010 (dix en 1988). La superficie agricole utilisée est de 544 ha[78].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • L'église romane de Verdun.
      L'église romane de Verdun.
    • Vue d’ensemble.
      Vue d’ensemble.
    • Chevet.
      Chevet.
    • Chapelle sud.
      Chapelle sud.
    • Chapelle de Sourdeign de Pontillet.
      Chapelle de Sourdeign de Pontillet.

    Patrimoine civil

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Jacques Guérola, « Verdun », sur www.histariege.com, (consulté le )

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10] - [11]
    3. Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[35].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[79].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Verdun » (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Verdun - Section LOG T2 » (consulté le ).
    6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Verdun - Section LOG T7 » (consulté le ).
    7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
    8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
    9. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Verdun » (consulté le ).
    10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Verdun » (consulté le ).
    11. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Verdun » (consulté le ).
    13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
    14. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    16. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Verdun » (consulté le ).
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    18. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    19. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Verdun » (consulté le ).
    20. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Verdun et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Verdun et Ax-les-Thermes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Verdun », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 365-366.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. « Carte géologique de Verdun » sur Géoportail (consulté le 23 avril 2022).
    7. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Verdun », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    8. « Notice associée à la feuille n°1087 - Vicdessos de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    9. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Verdun », sur le site de l'Insee (consulté le )
    10. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    12. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    13. D’après communiqué OFB du 19 mars 2021, « Activités de plein air et conservation des rapaces : l’OFB veille sur les sites de reproduction en Ariège », La Gazette ariégeoise,‎ (lire en ligne)
    14. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
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    16. « Carte hydrographique de Verdun » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
    17. Sandre, « l'Ariège »
    18. Sandre, « l'Ruisseau Aston »
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    20. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    21. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    22. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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