Vaux-Lavalette
Vaux-Lavalette (Vau en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Vaux-Lavalette | |||||
Mairie de Vaux-Lavalette. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Charente | ||||
Arrondissement | AngoulĂȘme | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Lavalette Tude Dronne | ||||
Maire Mandat |
Francis Blanchardie 2020-2026 |
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Code postal | 16320 | ||||
Code commune | 16394 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
82 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 25âČ 18âł nord, 0° 14âČ 04âł est | ||||
Altitude | Min. 72 m Max. 188 m |
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Superficie | 6,78 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Tude-et-Lavalette | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Charente
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation et accĂšs
Vaux-Lavalette est une commune du Sud Charente, du pays de Lavalette, limitrophe du dĂ©partement de la Dordogne, situĂ©e Ă 8 km au sud-ouest de Villebois-Lavalette et 26 km au sud d'AngoulĂȘme.
Le bourg de Vaux-Lavalette est aussi à 8 km au nord-est de Montmoreau, 13 km au nord-ouest de Verteillac en Dordogne, 18 km au nord d'Aubeterre, et 21 km de Ribérac[1].
La commune est traversĂ©e par la D 17 et la D 19, routes nord-sud qui passent sur les cĂŽtĂ©s de la commune, la D 17 dans la vallĂ©e de la Lizonne Ă l'est et la D 19 sur la crĂȘte sĂ©parant la Lizonne de la Tude Ă l'ouest. Le bourg est desservi par une route transversale, la D 143[2].
Communes limitrophes
Vaux-Lavalette est limitrophe de quatre autres communes, dont une dans le département de la Dordogne.
GĂ©ologie et relief
GĂ©ologiquement, la commune est situĂ©e dans les coteaux calcaires du Bassin aquitain datant du CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur. On trouve le Campanien, calcaire crayeux, sur toute la surface communale. La crĂȘte Ă l'extrĂȘme ouest de la commune est recouverte de dĂ©pĂŽts du Tertiaire (LutĂ©tien et Cuisien) composĂ©s de galets, sables et argiles, propice aux bois de chĂątaigniers.
La vallée de la Lizonne, à l'est, est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire composées de sable et tourbe[3] - [4] - [5].
Le relief est assez prononcĂ© entre le bas de la commune situĂ© Ă l'est dans la vallĂ©e de la Lizonne (72 m), et le sommet situĂ© sur la crĂȘte Ă l'ouest, 188 m, occupĂ© par un point gĂ©odĂ©sique IGN et un rĂ©servoir d'eau. Le bourg est situĂ© sur une crĂȘte secondaire reliant la vallĂ©e de la Lizonne Ă la crĂȘte principale Ă l'ouest.
RĂ©seau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Lizonne, un bras de la Lizonne, le Rivallis et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
La commune de Vaux-Lavalette est située sur la rive droite de la Lizonne ; elle est de forme allongée d'ouest en est, assez petite en surface et entourant la petite vallée d'un ruisseau affluent de la Lizonne, de sa source à son confluent : le Rivallis, qui conflue face aux tourbiÚres de Vendoire.
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[8]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [9].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
ZNIEFF
Selon l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), le site « Marais alcalins de la vallĂ©e de la Nizonne »[10] concerne la commune de Vaux-Lavalette. Dans les faits, les communes du dĂ©partement de la Charente mentionnĂ©es par la fiche ne font que tangenter cette zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), intĂ©gralement comprise dans le dĂ©partement de la Dordogne, comme le montre la carte du site[11]. Ces communes de Charente, dont Vaux-Lavalette, sont traitĂ©es dans une autre ZNIEFF dĂ©crite ci-dessous.
à Vaux-Lavalette, la vallée de la Nizonne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[12] - [13].
Vingt-deux espÚces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[12] :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacĂ©, l'Ăcrevisse Ă pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptÚres : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laßches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifĂšres : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin Ă moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la SĂ©rotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pĂȘcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prĂ©s (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espÚces animales (quatre mammifÚres et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[12].
Inclus dans la ZNIEFF ci-dessus, le site « TourbiÚres de Vendoire » est une ZNIEFF de type I[14] - [15] qui s'étend sur 148,62 hectares, dont un peu moins d'un tiers sur le territoire de Vaux-Lavalette, le long du cours de la Lizonne et du canal des Moulins. Les communes de Gurat et Salles-Lavalette sont également concernées.
Onze espÚces déterminantes d'animaux ont été répertoriées sur cette ZNIEFF[14] :
- cinq insectes dont trois lépidoptÚres en 2000 : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laßches (Coenonympha oedippus) et deux odonates: l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- quatre mammifĂšres : le Campagnol amphibie (Arvicola sapidus), le Crossope aquatique (Neomys fodiens), la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola) ;
- un oiseau, le Martin-pĂȘcheur d'Europe (Alcedo atthis) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Cinquante-trois autres espÚces animales y ont été recensées[14] : dix-huit mammifÚres et trente-cinq oiseaux.
Six espÚces déterminantes de plantes ont été recensées sur la ZNIEFF[14] : la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), la Léersie faux-riz (Leersia oryzoides), l'Orchis des marais (Anacamptis palustris), le Potamot coloré (Potamogeton coloratus), le Souchet jaunùtre (Cyperus flavescens) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis), ainsi que 102 autres espÚces végétales.
Natura 2000
Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée[16] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espÚces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[17] :
- sept insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), le Fadet des laßches (Coenonympha oedippus) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- dix mammifÚres : la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et huit chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le MinioptÚre de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Petit murin (Myotis blythii) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Urbanisme
Typologie
Vaux-Lavalette est une commune rurale[Note 1] - [18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,5 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (81,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (69,1 %), forĂȘts (18,5 %), prairies (7,3 %), cultures permanentes (3,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Hameaux et lieux-dits
L'habitat est trÚs dispersé en fermes. Le bourg n'est qu'un hameau.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Vaux-Lavalette est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par ruissellement et coulĂ©e de boue, notamment la Lizonne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2007[26] - [24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 60 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 60 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 81 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[28].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[24].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[29].
Toponymie
Le nom est attesté par la forme ancienne latinisée de Vallibus vers 1300[30] - [Note 2].
Le nom de Vaux a pour origine valles, mot latin féminin signifiant « les vallons »[Note 3]. Le masculin est plus tardif[31].
La paroisse puis commune est orthographiĂ©e Vaux sur les cartes de Cassini (XVIIIe siĂšcle) et d'Ătat-Major (XIXe siĂšcle)[2].
Créée Vaux en 1793 à partir du nom de la paroisse, la commune s'est appelée Vaux-Lavalette vers la fin du XIXe siÚcle, probablement pour la distinguer de Vaux prÚs de Rouillac.
Le nom Lavalette provient de Villebois-Lavalette, chef-lieu de son canton, c'est-Ă -dire du duchĂ© de La Valette datant de 1622, du nom de Jean-Louis Nogaret de La Valette, duc d'Ăpernon, gouverneur de l'Angoumois et seigneur de Villebois[Note 4].
Limite dialectale
La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est proche du limousin. Elle marque la limite avec la langue d'oĂŻl Ă l'ouest[32]. Elle se nomme Vau en occitan[33].
Histoire
Au Moyen Ăge, l'Ă©glise Ă©tait rattachĂ©e au diocĂšse de PĂ©rigueux. La paroisse Ă©tait Ă la limite de l'Angoumois et du PĂ©rigord, et mĂȘme de la Saintonge en 1650[34] - [Note 5].
Au tout début du XXe siÚcle, l'industrie était représentée par une petite centrale électrique à la Barde[35].
Administration
DĂ©mographie
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[37].
En 2020, la commune comptait 82 habitants[Note 6], en diminution de 17,17 % par rapport Ă 2014 (Charente : â0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 18 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 51,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,3 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 40 hommes pour 48 femmes, soit un taux de 54,55 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
Agriculture
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrÎlée du cognac[42].
La commune fait aussi partie de l'AOP Noix du PĂ©rigord[43].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Vaux-Rouillac a la mĂȘme forme ancienne dans le livre des fiefs.
- Dont dérive valls, en occitan valls.
- Voir aussi Magnac-Lavalette-Villars et Salles-Lavalette.
- Montmoreau et Aubeterre Ă©taient en Saintonge en 1650.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Vaux-Lavalette » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous GĂ©oportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Vaux-Lavalette », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 720008181, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] 540003487 - TourbiÚres de Vendoire, Jean Terrisse, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 540003487, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- Carte du site FR7200663, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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