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Vaux-Lavalette

Vaux-Lavalette (Vau en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Vaux-Lavalette
Vaux-Lavalette
Mairie de Vaux-Lavalette.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente
Arrondissement AngoulĂȘme
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Francis Blanchardie
2020-2026
Code postal 16320
Code commune 16394
DĂ©mographie
Population
municipale
82 hab. (2020 en diminution de 17,17 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 12 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 25â€Č 18″ nord, 0° 14â€Č 04″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 188 m
Superficie 6,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Tude-et-Lavalette
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Vaux-Lavalette
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Vaux-Lavalette
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Vaux-Lavalette

    GĂ©ographie

    Localisation et accĂšs

    Vue des collines vers le sud-ouest, prĂšs de la D 143, direction Gurat.

    Vaux-Lavalette est une commune du Sud Charente, du pays de Lavalette, limitrophe du dĂ©partement de la Dordogne, situĂ©e Ă  km au sud-ouest de Villebois-Lavalette et 26 km au sud d'AngoulĂȘme.

    Le bourg de Vaux-Lavalette est aussi Ă  km au nord-est de Montmoreau, 13 km au nord-ouest de Verteillac en Dordogne, 18 km au nord d'Aubeterre, et 21 km de RibĂ©rac[1].

    La commune est traversĂ©e par la D 17 et la D 19, routes nord-sud qui passent sur les cĂŽtĂ©s de la commune, la D 17 dans la vallĂ©e de la Lizonne Ă  l'est et la D 19 sur la crĂȘte sĂ©parant la Lizonne de la Tude Ă  l'ouest. Le bourg est desservi par une route transversale, la D 143[2].

    Communes limitrophes

    Vaux-Lavalette est limitrophe de quatre autres communes, dont une dans le département de la Dordogne.

    Communes limitrophes de Vaux-Lavalette
    Gurat
    Montmoreau Vaux-Lavalette Vendoire
    (Dordogne)
    Salles-Lavalette

    GĂ©ologie et relief

    GĂ©ologiquement, la commune est situĂ©e dans les coteaux calcaires du Bassin aquitain datant du CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur. On trouve le Campanien, calcaire crayeux, sur toute la surface communale. La crĂȘte Ă  l'extrĂȘme ouest de la commune est recouverte de dĂ©pĂŽts du Tertiaire (LutĂ©tien et Cuisien) composĂ©s de galets, sables et argiles, propice aux bois de chĂątaigniers.

    La vallée de la Lizonne, à l'est, est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire composées de sable et tourbe[3] - [4] - [5].

    Le relief est assez prononcĂ© entre le bas de la commune situĂ© Ă  l'est dans la vallĂ©e de la Lizonne (72 m), et le sommet situĂ© sur la crĂȘte Ă  l'ouest, 188 m, occupĂ© par un point gĂ©odĂ©sique IGN et un rĂ©servoir d'eau. Le bourg est situĂ© sur une crĂȘte secondaire reliant la vallĂ©e de la Lizonne Ă  la crĂȘte principale Ă  l'ouest.

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleurs présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Vaux-Lavalette.

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Lizonne, un bras de la Lizonne, le Rivallis et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    La commune de Vaux-Lavalette est située sur la rive droite de la Lizonne ; elle est de forme allongée d'ouest en est, assez petite en surface et entourant la petite vallée d'un ruisseau affluent de la Lizonne, de sa source à son confluent : le Rivallis, qui conflue face aux tourbiÚres de Vendoire.

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[8]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [9].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    ZNIEFF

    Selon l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), le site « Marais alcalins de la vallĂ©e de la Nizonne »[10] concerne la commune de Vaux-Lavalette. Dans les faits, les communes du dĂ©partement de la Charente mentionnĂ©es par la fiche ne font que tangenter cette zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), intĂ©gralement comprise dans le dĂ©partement de la Dordogne, comme le montre la carte du site[11]. Ces communes de Charente, dont Vaux-Lavalette, sont traitĂ©es dans une autre ZNIEFF dĂ©crite ci-dessous.

    À Vaux-Lavalette, la vallĂ©e de la Nizonne fait partie de la ZNIEFF de type II nommĂ©e « VallĂ©es de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[12] - [13].

    Vingt-deux espÚces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[12] :

    Vingt-neuf autres espÚces animales (quatre mammifÚres et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[12].

    Inclus dans la ZNIEFF ci-dessus, le site « TourbiÚres de Vendoire » est une ZNIEFF de type I[14] - [15] qui s'étend sur 148,62 hectares, dont un peu moins d'un tiers sur le territoire de Vaux-Lavalette, le long du cours de la Lizonne et du canal des Moulins. Les communes de Gurat et Salles-Lavalette sont également concernées.

    Onze espÚces déterminantes d'animaux ont été répertoriées sur cette ZNIEFF[14] :

    Cinquante-trois autres espÚces animales y ont été recensées[14] : dix-huit mammifÚres et trente-cinq oiseaux.

    Six espĂšces dĂ©terminantes de plantes ont Ă©tĂ© recensĂ©es sur la ZNIEFF[14] : la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), la LĂ©ersie faux-riz (Leersia oryzoides), l'Orchis des marais (Anacamptis palustris), le Potamot colorĂ© (Potamogeton coloratus), le Souchet jaunĂątre (Cyperus flavescens) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis), ainsi que 102 autres espĂšces vĂ©gĂ©tales.

    Natura 2000

    Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée[16] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espÚces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[17] :

    Urbanisme

    Typologie

    Vaux-Lavalette est une commune rurale[Note 1] - [18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (81,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (69,1 %), forĂȘts (18,5 %), prairies (7,3 %), cultures permanentes (3,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Hameaux et lieux-dits

    L'habitat est trÚs dispersé en fermes. Le bourg n'est qu'un hameau.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Vaux-Lavalette est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par ruissellement et coulĂ©e de boue, notamment la Lizonne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2007[26] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vaux-Lavalette.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 60 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 60 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 81 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[28].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[29].

    Toponymie

    Le nom est attesté par la forme ancienne latinisée de Vallibus vers 1300[30] - [Note 2].

    Le nom de Vaux a pour origine valles, mot latin féminin signifiant « les vallons »[Note 3]. Le masculin est plus tardif[31].

    La paroisse puis commune est orthographiĂ©e Vaux sur les cartes de Cassini (XVIIIe siĂšcle) et d'État-Major (XIXe siĂšcle)[2].

    Créée Vaux en 1793 à partir du nom de la paroisse, la commune s'est appelée Vaux-Lavalette vers la fin du XIXe siÚcle, probablement pour la distinguer de Vaux prÚs de Rouillac.

    Le nom Lavalette provient de Villebois-Lavalette, chef-lieu de son canton, c'est-Ă -dire du duchĂ© de La Valette datant de 1622, du nom de Jean-Louis Nogaret de La Valette, duc d'Épernon, gouverneur de l'Angoumois et seigneur de Villebois[Note 4].

    Limite dialectale

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est proche du limousin. Elle marque la limite avec la langue d'oĂŻl Ă  l'ouest[32]. Elle se nomme Vau en occitan[33].

    Histoire

    Au Moyen Âge, l'Ă©glise Ă©tait rattachĂ©e au diocĂšse de PĂ©rigueux. La paroisse Ă©tait Ă  la limite de l'Angoumois et du PĂ©rigord, et mĂȘme de la Saintonge en 1650[34] - [Note 5].

    Au tout début du XXe siÚcle, l'industrie était représentée par une petite centrale électrique à la Barde[35].

    Administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 mai 2020 Gilbert Parnaudeau SE Retraité
    mai 2020 En cours Francis Blanchardie

    DĂ©mographie

    Évolution dĂ©mographique


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[37].

    En 2020, la commune comptait 82 habitants[Note 6], en diminution de 17,17 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    322466289313333296298272287
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    280260253255256216201215200
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    211207220192171174164152151
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    131961011069090899999
    2019 2020 - - - - - - -
    8382-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  18 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 51,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,3 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 40 hommes pour 48 femmes, soit un taux de 54,55 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    4,4
    15,8
    75-89 ans
    11,1
    31,6
    60-74 ans
    40,0
    18,4
    45-59 ans
    15,6
    13,2
    30-44 ans
    13,3
    13,2
    15-29 ans
    0,0
    7,9
    0-14 ans
    15,6
    Pyramide des ùges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrÎlée du cognac[42].

    La commune fait aussi partie de l'AOP Noix du PĂ©rigord[43].

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise paroissiale.
      L'Ă©glise paroissiale.
    • La salle des fĂȘtes.
      La salle des fĂȘtes.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Vaux-Rouillac a la mĂȘme forme ancienne dans le livre des fiefs.
    3. Dont dérive valls, en occitan valls.
    4. Voir aussi Magnac-Lavalette-Villars et Salles-Lavalette.
    5. Montmoreau et Aubeterre Ă©taient en Saintonge en 1650.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Vaux-Lavalette » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous GĂ©oportail
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le )
    6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale de Vaux-Lavalette », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    8. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    9. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    10. [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    11. Carte de la ZNIEFF 720008181, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    12. [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    13. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    14. [PDF] 540003487 - TourbiÚres de Vendoire, Jean Terrisse, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    15. Carte de la ZNIEFF 540003487, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    16. Carte du site FR7200663, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    17. [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    18. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Vaux-Lavalette », sur Géorisques (consulté le )
    25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Vaux-Lavalette », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    30. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, Ă©vĂȘque d'AngoulĂȘme [« Liber feodorum »], t. 5, SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique de la Charente, (1re Ă©d. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 201
    31. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 694.
    32. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
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    35. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Chùteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 395
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    Articles connexes

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