AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Val-de-Reuil

Val-de-Reuil est une commune située dans le département de l'Eure, en région Normandie. Elle est l'une des neuf villes nouvelles créées en France à la fin des années 1960.

Val-de-Reuil
Val-de-Reuil
Le menhir de la Basse Crémonville.
Blason de Val-de-Reuil
Blason
Val-de-Reuil
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté d'agglomération Seine-Eure
Maire
Mandat
Marc-Antoine Jamet
2020-2026
Code postal 27100
Code commune 27701
DĂ©mographie
Gentilé Rolivalois
Population
municipale
12 702 hab. (2020 en diminution de 3,47 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 477 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 16â€Č 30″ nord, 1° 12â€Č 40″ est
Altitude Min. 4 m
Max. 120 m
Superficie 26,61 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Louviers
(ville-centre)
Aire d'attraction Louviers
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Val-de-Reuil
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Val-de-Reuil
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Val-de-Reuil
GĂ©olocalisation sur la carte : Eure
Voir sur la carte topographique de l'Eure
Val-de-Reuil
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Val-de-Reuil
Liens
Site web www.valdereuil.fr

    Elle est parfois citée comme la plus récente commune française créée ex nihilo en 1981[1], car avant cette date, sa population était inexistante. Depuis, d'autres communes ont aussi été créées par détachement mais, contrairement à Val-de-Reuil, leur population était déjà constituée.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Communes limitrophes de Val-de-Reuil (enclave nord)[2]
    Le Manoir, PĂźtres
    Les Damps Val-de-Reuil (enclave nord) Poses
    LĂ©ry

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Seine et l'Eure.

    Transport ferroviaire

    La commune est traversée par la ligne ferroviaire de Paris à Rouen.

    Le bùtiment voyageurs de la gare de Val-de-Reuil est implanté sur son territoire.

    Transport urbain et interurbain

    Le réseau urbain est organisé et exploité en concession de service public par Seine-Eure Mobilité (SEMO)[3], sous compétence de la CASE.

    La commune est desservie par la ligne interurbaine 216 du réseau Nomad.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 746 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Louviers », sur la commune de Louviers, mise en service en 1960[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 723,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, dans le dĂ©partement de la Seine-Maritime, mise en service en 1968 et Ă  13 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[16].

    Toponymie

    Val, est une forme de relief au sens plus restreint que celui de la vallée.

    Val-de-Reuil peut se traduire par « Le val de la clairiÚre du gué », du Vaudreuil. La traversée de l'Eure était facilitée par un dédoublement de la riviÚre qui a donné naissance à une grande ßle dite l'Ile l'Homme[17].

    Histoire

    Étapes du projet de la Ville Nouvelle de Val-de-Reuil

    Le territoire de la commune du Vaudreuil accueille l’une des neuf villes nouvelles initiĂ©es Ă  partir de 1965 et crĂ©Ă©es par la loi du . Leur objectif Ă©tait, aux termes de la loi du , « d'assurer un meilleur Ă©quilibre social, Ă©conomique et humain dans des rĂ©gions Ă  forte concentration de population, en offrant des possibilitĂ©s d'emploi et de logements, ainsi que des Ă©quipements publics et privĂ©s »[18] - [19].

    Ce projet d'urbanisme a Ă©tĂ© mis en Ɠuvre de 1959 Ă  1978 par « l'Atelier de Montrouge », une Ă©quipe d’architectes, avec l'idĂ©e de « changer la ville, changer la vie[20] », de donner les villes « Ă  faire » Ă  leurs habitants[21], et de faire naĂźtre une prise de conscience collective des problĂšmes de l’architecture et de la ville.

    Catherine Blain analyse les espoirs mis dans le dĂ©veloppement de la ville nouvelle comme dĂ©mesurĂ©s (100 000 habitants en 2000), et le reflet des prĂ©visions conjoncturelles de l'Ă©poque calculĂ©es sur la base de l'envolĂ©e Ă©conomique des Trente Glorieuses et des extrapolations des acteurs politiques et des offices HLM. La crise Ă©conomique de 1973, intervenue juste au dĂ©but de la rĂ©alisation de la ville nouvelle est une des raisons qui expliquent le frein de son expansion[22] - [23].

    Les Ă©tapes importantes de ce projet de ville nouvelle sont :

    • Juin 1972 : crĂ©ation de l'Établissement public d'amĂ©nagement de la ville nouvelle du Vaudreuil ;
    • DĂ©cembre 1972 : crĂ©ation de l'ensemble urbain du Vaudreuil qui s'Ă©tend sur des parcelles de plusieurs communes dont Le Vaudreuil. Parmi les neuf villes nouvelles, elle sera la seule Ă  choisir ce statut. Les habitants de l'ensemble ne dĂ©pendent plus des communes, mais ont un statut particulier qui amĂšnera de nombreuses contestations ;
    • Juillet 1975 : les tout premiers habitants s'installent dans l'immeuble prototype, plus tard, le titre de premier habitant donnera lieu Ă  une polĂ©mique[24] ;
    • : pour rĂ©pondre aux contestations, l'ensemble urbain devient une commune, dont la crĂ©ation ampute le territoire du Vaudreuil et prend le nom de Le Vaudreuil-Ville nouvelle ;
    • : pour Ă©viter les confusions de nom avec Le Vaudreuil, la nouvelle commune prend le nom de Val-de-Reuil ;
    • DĂ©cembre 1985 : dissolution de l'Ă©tablissement public d'amĂ©nagement (EPV), dont les compĂ©tences sont transfĂ©rĂ©es Ă  la commune ;
    • 1996 : Val-de-Reuil s'associe en communautĂ© de communes avec Louviers et Incarville ;
    • 2000 : Val-de-Reuil participe Ă  la crĂ©ation de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Seine-Eure, dont elle est la principale ville aprĂšs Louviers.
    • Entre 2001 et 2005, la ville bĂ©nĂ©ficie d'une vaste opĂ©ration de renouvellement urbain grĂące Ă  l'aide du ministre de la ville Claude Bartolone. 300 logements sont dĂ©construits, permettant au quartier sur dalle de se dĂ©densifier et aux habitants de bĂ©nĂ©ficier d'un cadre de vie plus agrĂ©able.
    • Entre 2010 et 2015, l'agence nationale pour le renouvellement urbain (ANRU) poursuit le programme de rĂ©novation sous l'impulsion de Jean-Louis Borloo. La plupart des espaces publics, qui avait Ă©tĂ© mal conçus Ă  l'origine de la ville, sont refaits. De nombreux Ă©quipements publics sont Ă©galement rĂ©novĂ©s (CCAS/hĂŽtel d'entreprises des 4 Soleils) ou reconstruits (thĂ©Ăątre de l'Arsenal). 1 300 logements sont rĂ©novĂ©s. La ville reprend des couleurs et retrouve une attractivitĂ© auprĂšs des salariĂ©s des entreprises des parcs d'activitĂ©s qui s'installent dans les nouvelles opĂ©rations de logements des quartiers des NoĂ«s, des Coteaux et du CavĂ©.
    • En 2019, le prĂ©sident de l'ANRU Olivier Klein et le directeur gĂ©nĂ©ral de l'ANRU Nicolas Grivel viennent signer la convention permettant Ă  la ville de bĂ©nĂ©ficier du nouveau programme de renouvellement urbain.

    Urbanisme et architecture

    Typologie

    Val-de-Reuil est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [25] - [26] - [27]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Louviers, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 7 communes[28] et 39 762 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[29] - [30].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Louviers, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[31] - [32].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (47,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (59,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (32,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (14,9 %), eaux continentales[Note 8] (11,8 %), zones urbanisĂ©es (10,7 %), forĂȘts (9,1 %), prairies (7,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (7,4 %), mines, dĂ©charges et chantiers (3,5 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2,7 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[34].

    Morphologie urbaine

    C'est dans cet espace privilĂ©giĂ© d’échanges et de passages, un large mĂ©andre intĂ©rieur de la Seine en confluence avec l'Eure, d'une grande beautĂ©[35] - [36], dĂ©jĂ  habitĂ© 7 000 ans av. J.-C.[37] (qui a connu la domination romaine, le pouvoir mĂ©rovingien, le long rĂšgne de Charlemagne dit le Pieux, la premiĂšre, puis la seconde vague d'invasion des Vikings, vĂ©cu la crĂ©ation de la province de Normandie, la guerre de Cent Ans[38]), que va naĂźtre une opĂ©ration d'urbanisme volontaire — une « ville-pilote en matiĂšre de qualitĂ© environnementale, d'Ă©conomie d'Ă©nergie, de gestion parcimonieuse des sols, d'innovation dans les procĂ©dĂ©s de construction et de lutte contre les nuisances » (GĂ©rard Thurnauer) — conçue, Ă  la fin des annĂ©es 1960[39].

    Le projet urbain est confié aux architectes de l'Atelier de Montrouge (notamment Gérard Thurnauer) et à l'équipe pluridisciplinaire dirigée par Jean-Paul Lacaze et dans laquelle figurent notamment Alain Sallez (économiste) ou François Gay (géographe). La ville est organisée selon le principe du « Plan de voirie en grille » qui permet de ne pas établir à l'avance l'emplacement des fonctions centrales. Cette méthode a été mise en place justement en réaction contre la rigidité de l'urbanisme fonctionnaliste. Son centre se caractérise par une forme d'urbanisme opérationnel particuliÚre, appelée urbanisme sur dalle et par le concept du Germe de ville. Elle dispose également d'un systÚme de voirie orthogonal, ou plan hippodamien dans lequel les rues se coupent à angle droit.

    Le plan local d'urbanisme de la commune, validé en décembre 2007, vise à préserver cet important patrimoine urbain et architectural. Des démarches sont en cours pour faire classer la ville au label architecture contemporaine remarquable.

    Politique et administration

    En 2016, la commune détient le label « Ville Internet @@@@ »[40].

    Liste des maires

    Liste des maires du Val-de-Reuil
    Année Maire Parti Autres mandats[41] Notes
    1981-2001 Bernard Amsalem PS Premier maire de la ville nouvelle
    Depuis 2001 Marc-Antoine Jamet PS Conseiller régional de Haute-Normandie (2004-2015) puis de Normandie (2016-2021)
    Conseiller départemental de l'Eure (depuis 2021)
    Premier secrétaire de la Fédération PS de l'Eure (2012-2017)

    Le , Val de Reuil a reçu une Marianne d'Or (25 lauréats en 2008).

    Politique de développement durable

    Un des premiers Ă©coquartiers de France, l'Ă©covillage des NoĂ«s a Ă©tĂ© construit par le bailleur Siloge et la ville entre 2010 et 2016. DessinĂ© par Philippe Madec, il a remplacĂ© un ancien champ d'agriculture intensive par 97 logements, un vaste parc et une Ă©co-crĂȘche. Il est drainĂ© par un rĂ©seau de canaux et de bassins permettant Ă  la fois l'infiltration des eaux pluviales mais aussi une excellente gestion des eaux en cas de crue de l'Eure. L'opĂ©ration a Ă©tĂ© rĂ©compensĂ©e Ă  plusieurs reprises notamment le prix de l'Équerre d'argent du Moniteur (2019), le grand prix villes durables (2017) et les victoires du paysage (2020). L'amĂ©nagement du quartier des NoĂ«s (48 ha) se poursuit dans le mĂȘme esprit avec la rĂ©alisation d'un Ă©co-lotissement de 100 parcelles le long de la voie Dagobert entre 2018 et 2020, l'amĂ©nagement d'une ferme pĂ©dagogique (Anymania/2020) et la rĂ©alisation d'un parc Ă©cologique de 30 hectares entre la ville et la base de loisirs.

    Dans le cadre du Nouveau Projet de Renouvellement Urbain, de nombreuses opérations sont menées pour laisser une large part aux vélos et aux piétons:

    - une avenue cyclable de km, entre la gare et les zones d'activités, pour permettre aux salariés d'aller travailler en sécurité mais aussi pour permettre aux villes voisines d'accéder aux principaux équipements publics.

    - la promenade des Tilleuls, mail piéton de km, traversant la ville du nord du sud, qui sera bordé par un nouveau gymnase dessiné par James Cowey du cabinet Studios Architecture et par la nouvelle école Victor-Hugo dessinée par Jean-François Bodin.

    - la transformation de 14 km de voies rapides, dimensionnĂ©es au dĂ©but des annĂ©es 70 pour une ville qui devait faire 200 000 habitants, pour laisser une place plus grande aux piĂ©tons et aux vĂ©los.

    En 2017, la commune a été labellisée « 3 fleurs » par le Conseil national de villes et villages fleuris de France[42].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1975. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[43] - [Note 9].

    En 2020, la commune comptait 12 702 habitants[Note 10], en diminution de 3,47 % par rapport Ă  2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    4214 52411 37313 24513 59513 23313 60112 702
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee Ă  partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La ville nouvelle a vu sa population passer de 421 habitants en 1975 Ă  11 373 en 1990. La croissance s'est ensuite poursuivie plus lentement et le nombre d'habitants stagne depuis l'an 2000. En 2010, la ville compte plus de 13 000 habitants et les nombreux projets de construction (notamment la ZAC des Coteaux, la ZAC de la Ferme Ă©questre et l'ex-ZAC des NoĂ«s) permettent d'envisager une lĂ©gĂšre augmentation de population dans les annĂ©es Ă  venir.

    La population est trĂšs jeune, puisque Val-de-Reuil se place en quatriĂšme position des villes de plus de 1 000 habitants les plus jeunes de France[46], avec 38,7 % de la population de moins de 20 ans.

    Gentilé : Rolivalois.

    Économie

    La notion de parc d'activités, par opposition aux zones industrielles, est apparue dans les années 1970 avec la création du Parc de la Fringale et l'installation de l'Institut Pasteur. Le cahier des charges prévoyait un important volet paysager imposant notamment la création d'arbres et d'espaces verts. En outre, de nombreux espaces verts publics ont été créés. La ville compte désormais une dizaine de parcs d'activités.

    Les entreprises installées sur le domaine communal sont notamment spécialisées dans :

    Le Centre de détention de Val-de-Reuil.

    Avec 18 000 m2 de bĂątiments d'activitĂ©s construits chaque annĂ©e en moyenne, Val-de-Reuil se caractĂ©rise par un dynamisme important, la plaçant au mĂȘme rang que des villes comme Chartres, Dreux ou Caen.

    Enseignement

    • Val-de-Reuil compte 7 groupes scolaires : LĂ©on-Blum, les Cerfs-Volants, le Pivollet, Coluche, les Dominos, Louise-Michel et Jean-Moulin. À l'exception du groupe scolaire les Cerfs-Volants qui a fusionnĂ© depuis 2011, chaque groupe scolaire comporte deux directeurs distincts, un pour la maternelle et un pour l'Ă©lĂ©mentaire. Pour rĂ©sumer, il existe donc sur le secteur de Val-de-Reuil 6 Ă©coles maternelles, 6 Ă©coles Ă©lĂ©mentaires ainsi qu'une Ă©cole primaire (maternelle + Ă©lĂ©mentaire).
    • Val-de-Reuil compte 2 collĂšges (Alphonse Allais et Michel de Montaigne, sur la commune du Vaudreuil) ainsi que le lycĂ©e Marc-Bloch[50]. Ce dernier est rĂ©guliĂšrement classĂ© meilleur lycĂ©e du dĂ©partement depuis son ouverture en 1992.
    • De 1976 Ă  2008, Val-de-Reuil a accueilli l'École supĂ©rieure d'ingĂ©nieurs et de techniciens pour l'agriculture (ESITPA), crĂ©Ă©e en 1919 Ă  Paris, elle est dĂ©sormais implantĂ©e sur le campus de Mont-Saint-Aignan prĂšs de Rouen[51].
    • De 2009 Ă  2012 Ă©tait implantĂ© un Ă©tablissement d'enseignement supĂ©rieur privĂ©, ELISA Aerospace. Aujourd'hui, cette Ă©cole est implantĂ©e Ă  Saint-Quentin (Picardie)[52].

    Sports

    • Meeting national indoor d'athlĂ©tisme tous les ans depuis 2010.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments historiques

    La commune compte plusieurs monuments historiques :

    • le menhir de la Basse CrĂ©monville, classĂ© par arrĂȘtĂ© du 27 juin 1927[53] ;
    • la ferme de la Haute-CrĂ©monville, inscrite par arrĂȘtĂ© du 6 septembre 1978[54]. Les Ă©curies des Haras nationaux occupent une partie du site, qui est Ă©galement renommĂ© pour son restaurant gastronomique ;
    • la ferme de la Motte, qui abritait au Moyen Âge les Ă©curies du chĂąteau du Vaudreuil, et dont le parc est encore visible sur les plans du cadastre ;
    • le chĂąteau des Sablons, oĂč s'est implantĂ© le centre Ă©questre du mĂȘme nom en 2010.

    Sites et monuments de la ville nouvelle

    • Le centre-ville constitue l'une des plus grandes opĂ©rations d'urbanisme sur dalle rĂ©alisĂ©es en France avec 2 500 logements, un ensemble de rues piĂ©tonnes et de nombreux Ă©quipements publics. Il a Ă©tĂ© dessinĂ© par les architectes de l'atelier de Montrouge Ă  la fin des annĂ©es 60 et les premiers immeubles livrĂ©s en 1975. Il constitue un tĂ©moignage aussi rare qu'exceptionnel de l'urbanisme des annĂ©es 70. De nombreux chantiers ont Ă©tĂ© menĂ©s par l'État et la ville pour moderniser ce patrimoine avec l'aide de l'agence nationale pour la rĂ©novation urbaine.
    • Le thĂ©Ăątre de l'Arsenal, dessinĂ© par Jean-François Bodin, a Ă©tĂ© construit en lieu et place de l'ancienne caserne des pompiers. Il a Ă©tĂ© inaugurĂ© en 2015.
    • L'Ă©cole Les Dominos, situĂ©e voie de la Ferme, a Ă©tĂ© dessinĂ©e par Annette Tison dans l'esprit des barbapapa. Il s'agit d'un des rares bĂątiments publics rĂ©alisĂ©s dans l'esprit des maisons bulles ou du palais bulle cher Ă  Pierre Cardin.
    • L'astrolabe, crĂ©Ă© par Alain Le Boucher, est situĂ© dans le centre-ville de Val-de-Reuil. Il prĂ©sente en direct sur son pupitre les diffĂ©rentes rĂ©gions du ciel, et il fut notamment reprĂ©sentĂ© sur le timbre de Val-de-Reuil en 2001.
    • La nouvelle Ă©cole Louise-Michel a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă  l'architecte designer Jean-Michel Wilmotte.
    • La place des 4-Saisons, centre commercial de la ville, a Ă©tĂ© rĂ©amĂ©nagĂ©e en 2005/2006 par Jean-Jacques Ory. Elle est le point d'appui du projet de village commercial qui opĂ©rera la jonction entre la rue Courtine et la place des 4-Saisons.
    • La mĂ©diathĂšque crĂ©Ă©e dans les annĂ©es 1970 a Ă©tĂ© rĂ©novĂ©e par Jean-Baptiste Pietri en 2005. À cette occasion, elle a Ă©tĂ© rebaptisĂ©e mĂ©diathĂšque Le Corbusier.
    • Le Monument de la Paix, confiĂ© aux architectes Jakob + MacFarlane et Franck Vialet, est inaugurĂ© le 6 juillet 1996 Ă  l'entrĂ©e de ville (rond-point route des Falaises et chaussĂ©e de Ritterhude). RĂ©pondant Ă  une demande des anciens combattants, la ville nouvelle n'ayant pas de monument aux morts, son architecture dĂ©routante est cependant diversement apprĂ©ciĂ©e[55].
    • La base rĂ©gionale de plein air et de loisirs de LĂ©ry-Poses est situĂ©e Ă  60 % sur le territoire de la ville nouvelle. Lieu d'activitĂ©s et de loisirs, elle accueille chaque Ă©tĂ© plusieurs centaines de milliers de touristes.
    • La halle d'athlĂ©tisme, construite en 2008 par Vincent Rivoire, est un complexe multisport couvert de 15 000 m2 permettant d'accueillir des manifestations sportives nationales.
    • Construit en 1989, le centre de dĂ©tention Les Vignettes Ă©tait Ă  l'Ă©poque, avec ses 54 000 m2, le plus grand d'Europe. Il accueille les dĂ©tenus condamnĂ©s Ă  un an de dĂ©tention et plus.
    • Il existe au sein de la ville nouvelle l'un des vingt-deux centres d'Ă©ducation avec un encadrement militaire dĂ©nommĂ© DĂ©fense 2e chance ou Ă©tablissement public d'insertion de la DĂ©fense (Épide).
    • L'Ă©glise de la FraternitĂ© a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e par l'architecte Hubert Lefrançois, et la premiĂšre pierre a Ă©tĂ© posĂ©e en 1987 par Jacques Gaillot, alors Ă©vĂȘque d'Évreux. Le diocĂšse catholique d'Évreux en est le propriĂ©taire et la paroisse Saint-Pierre-des-Deux-Rives dessert cette Ă©glise.
    • Gare de Val-de-Reuil
    • Depuis 2012, Biotropica, un parc zoologique, est ouvert au bord de la base rĂ©gionale de plein air et de loisirs de LĂ©ry-Poses, il dispose d'une des plus grandes serres tropicales d'Europe[56]. La serre a Ă©tĂ© totalement construite dans une butte de terre, permettant de bĂ©nĂ©ficier de la gĂ©othermie tout en maximisant les apports solaires. Elle accueille chaque annĂ©e plus de 300 000 visiteurs, devenant ainsi le 2e site touristique le plus visitĂ© du dĂ©partement aprĂšs les jardins de Claude Monet Ă  Giverny.

    Site inscrit

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Val-de-Reuil se blasonnent ainsi :

    De gueules aux deux ensembles d'immeuble d'argent ajourĂ©s de sable mouvant des flancs, l'un de trois piĂšces de hauteurs dĂ©croissantes en bande Ă  dextre l'autre aussi de trois piĂšces de hauteurs dĂ©croissante en barre Ă  senestre, lesdits ensemble reliĂ©s par un pont-poutre-voĂ»tĂ© Ă  l'Ă©tais mĂ©tallique aussi d'argent, posĂ©s sur une riviĂšre mouvant de la pointe chargĂ© de cinq trangles ondĂ©es aussi d'argent et surmontĂ©s celui de dextre de deux lĂ©opards d'or passant l'un sur l'autre et celui de senestre de trois flĂšches du mĂȘme passĂ©es en sautoir et en pal pointes en haut.


    Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

    Personnalités liées à la commune

    Jumelages

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Source : France-Inter, émission « Va chez ton maire » du 8 février 2008
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. « Transbord, le réseau de bus de l'agglomération Seine-Eure », sur http://www.transbord.fr/ (consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Louviers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Val-de-Reuil et Louviers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Louviers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Val-de-Reuil et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. René Lepelley, Les toponymes gaulois du passage de l'eau en Normandie : Rouen et les autres, t. 4, Annales de Normandie, , p. 460.
    18. Source : Revue urbanisme, no 301, juillet-août 1999, « Villes nouvelles de France : 1968-1998 ». Bibliographie réalisée par le Centre de Documentation de l'Urbanisme, 192 p., supplément au no 301 de la revue Urbanisme.
    19. « Présentation de la ville nouvelle de Val-de-Reuil », sur Programme interministériel d'histoire et d'évaluation des villes nouvelles françaises, (consulté le ).
    20. « Changez de vie, venez vivre au Vaudreuil » était le slogan de l'affiche pour l'exposition de 1972 (coll. IFA /DAF direction des archives de France)
    21. ATM/Riboulet, 1968, IFA.
    22. La ville nouvelle du Vaudreuil a Ă©tĂ© retenue comme un Ă©chec : cet ambitieux projet d'une ville nouvelle de 100 000 habitants (conduit sans concertation locale), qui prĂ©tendait ĂȘtre Ă  la fois une opĂ©ration tĂ©moin d'urbanisme et d'architecture modernes et une ville pilote pour l'environnement, n'aura finalement donnĂ© naissance qu'Ă  une petite commune de 13 500 habitants, qui a pris le nom de Val-de-Reuil en 1995 - Source : Entame de la prĂ©sentation de l'article de Catherine Blain « L'atelier de Montrouge et le Vaudreuil », parue dans la revue Ethnologie française, 2003, 1 La mĂ©moire des villes nouvelles.
    23. Les objectifs d'occupation n'ont pas Ă©tĂ© remplis, mais « il est pourtant admis que ce projet, et notamment l’approche mise en avant par l’équipe pluridisciplinaire de la ville nouvelle, reprĂ©sente un fragment significatif de l’histoire du XXe siĂšcle en cela qu’il marque le point d’aboutissement d’une sĂ©rie de recherches ayant tentĂ©, en rĂ©action aux mĂ©thodes et modĂšles privilĂ©giĂ©s dans l’aprĂšs-guerre, de (re)donner une « qualitĂ© » au cadre de vie - L’Atelier de Montrouge et le Vaudreuil, Catherine Blain. Presses Universitaires de France. Ethnologie française 2003/2 - tome XXXVII, (ISSN 0046-2616), (ISBN 2-13-053399-X), pages 41 Ă  50. ».
    24. Claire Brossaud, Le Vaudreuil, ville nouvelle - Le Val de Reuil et son imaginaire Collection Villes et entreprises, L'Harmattan, 2003, pages 209-210 Val de Reuil, le premier habitant.
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Unité urbaine 2020 de Louviers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    29. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    30. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    31. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    33. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    34. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    35. « Ce site d'une grande beautĂ©, gĂ©ographiquement bien dĂ©limitĂ© dans cette typologie de confluence de riviĂšres (Seine, Eure, Andelle), devait permettre de dĂ©velopper une vaste base de loisirs avec ses plans d'eau (celle-ci fonctionne de maniĂšre active aujourd'hui) et une ville pouvant atteindre 140 000 habitants, si la croissance dĂ©mographique, Ă©conomique et urbaine suivait les mĂȘmes pentes ascendantes des annĂ©es 1950-1960. » « Val-de-Reuil peut redevenir une ville- pilote », HORIZONS, No 5235 du 26/03/2004 - page 456. http://www.valdereuil.fr/pdf/articlevillepilote.pdf]
    36. « Dans le fil de ce questionnement, l’attention se centre rapidement sur un site : la plaine de Poses qui, situĂ©e au confluent des vallĂ©es de la Seine, de l’Eure et de l’Andelle [...] et, surtout, recĂšle des qualitĂ©s paysagĂšres indĂ©niables.» L’Atelier de Montrouge et le Vaudreuil Catherine Blain
    37. La fouille prĂ©ventive menĂ©e sur le site de Val-de-Reuil (Eure) au lieu-dit Les Varennes a permis la dĂ©couverte d'une sĂ©pulture isolĂ©e, datĂ©e du MĂ©solithique, situĂ©e Ă  faible distance d'une allĂ©e sĂ©pulcrale du NĂ©olithique final
 Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française (ISSN 0249-7638).
    38. Histoire de la Normandie, publiée sous la direction de Michel de Bouard, Privat, 1970.
    39. « Val-de-Reuil peut redevenir une ville-pilote », Horizons, no 5235, 26 mars 2004, p. 456.
    40. [PDF]PalmarÚs 2016 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 27 mars 2017.
    41. simultanément à celui de maire du Val-de-Reuil
    42. Site des villes et villages fleuris, consulté le 9 février 2018.
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    46. L'internaute : Encyclopédie des villes de France
    47. https://actu.fr/normandie/val-de-reuil_27701/covid-19-a-val-de-reuil-fareva-va-participer-a-la-fabrication-d-un-vaccin_38041240.html
    48. L'Expansion.com, 02/06/2009
    49. À Val-de-Reuil, l’excellence d’Hermùs entre leurs mains
    50. Section Éducation et Formation du site de la ville :
    51. Historique sur le site officiel de l'Ă©cole.
    52. Site de l'Ă©cole Elisa.
    53. Notice no PA00099550, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    54. Notice no PA00099549, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    55. Un signe de paix à Val-de-Reuil
 Article sur Libération.fr, le 19 juillet 1996.
    56. Site officiel Biotropica.
    57. « Les Falaises de l'Andelle et de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.