LĂ©ry (Eure)
Léry est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
LĂ©ry | |
Croix hosanniĂšre Inscrit MH (1927) | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Normandie |
DĂ©partement | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Seine-Eure |
Maire Mandat |
Janick LĂ©ger 2020-2026 |
Code postal | 27690 |
Code commune | 27365 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Lérysiens |
Population municipale |
2 013 hab. (2020 ) |
Densité | 139 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 49° 17âČ 07âł nord, 1° 12âČ 23âł est |
Altitude | Min. 5 m Max. 128 m |
Superficie | 14,51 km2 |
Unité urbaine | Louviers (banlieue) |
Aire d'attraction | Louviers (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Val-de-Reuil |
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | |
Ses habitants sont appelés Lérysiens.
GĂ©ographie
Léry appartient à la Communauté d'agglomération Seine-Eure.
La commune compte une superficie totale de 15 km2 et se situe en moyenne Ă lâaltitude de 10 m.
Les villes voisines sont Pont-de-l'Arche, Val-de-Reuil, Le Vaudreuil, Les Damps, Pitres.
Voies de communication et transport
La commune est desservie par la ligne 390 ROUEN - EVREUX du RĂ©seau VTNI et par la ligne A du RĂ©seau Transbord.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Louviers », sur la commune de Louviers, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 723,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, dans le département de la Seine-Maritime, mise en service en 1968 et à 12 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Léry est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Louviers, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[17] et 39 762 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Louviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (51,3 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (51,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (48,3 %), terres arables (14,7 %), eaux continentales[Note 8] (9,4 %), zones urbanisĂ©es (9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8 %), prairies (4,3 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Leiret et Leretum en 1018 (charte de Richard II)[24] ; Lereti en 1021 et 1025, Leiret et Liretum (cartulaire de Saint-Ătienne de Caen) en 1077[25] ; Liriacum en 1082 (cart. de la Sainte-TrinitĂ© de Caen); Leiret au XIIe siĂšcle ; Leireium en 1174 (ch. de Henri II) ; Leire en 1190 (ch. de fondation de Bonport) ; Laire en 1194 (cart. de Bonport) ; Lerie en 1200 (ch. de Jean sans Terre) ; Lere, Lereii et Leericum en 1201 (ch. de Philippe Auguste) ; Lereium en 1229 ; Leirie et Leireium en 1235 ; Ler en 1284 ; Leiriacum en 1313 (cart. de Bonport) ; Lerey en 1291 (livre des jurĂ©s de Saint-Ouen) ; LhĂ©ry en 1513 (chartrier du Vaudreuil) ; Liry en 1809 (Peuchet et Chanlaire)[24].
Histoire
PeuplĂ© dĂšs la pĂ©riode prĂ©historique puis gallo-romaine, le passĂ© lointain de LĂ©ry est trĂšs liĂ© Ă lâhistoire du Vaudreuil (Vallis Rodoni) dont le village sâest peu Ă peu dĂ©gagĂ©. Vers 1018, les premiĂšres traces Ă©crites du village apparaissent au XIe siĂšcle dans les cartulaires de Richard II et de lâabbaye de Bonport, fondĂ©e en 1049 Ă Pont-de-l'Arche et dont LĂ©ry dĂ©pendra jusquâau XVIIIe siĂšcle. Entre la forĂȘt de Bord-Louviers et lâEure, LĂ©ry bĂ©nĂ©ficie dâune situation exceptionnelle proche de la Seine qui dresse ses falaises Ă lâest.
De Leretrum Ă Leriacum, plusieurs formes mĂ©diĂ©vales latinisĂ©es se rencontrent du XIe au XIVe siĂšcle pour nommer LĂ©ry, sans quâon puisse en expliciter lâorigine. Du XIIe siĂšcle est restĂ©e la belle Ă©glise Saint-Ouen de craie et dâardoise, silhouette caractĂ©ristique du village avec sa tour carrĂ©e, son porche roman et la croix hosanniĂšre. Ă cette Ă©poque, la vigne Ă©tait cultivĂ©e Ă LĂ©ry. Sa culture dĂ©clinera au XVIIe siĂšcle au profit du tabac puis, pour les besoins de lâindustrie textile encouragĂ©e par Colbert, le chardon (ou carde) fleurira dans les champs lĂ©rysiens avant dâĂȘtre utilisĂ© par les cardeurs. Le tournage sur bois, dont les produits servent aux usines de tissage et filatures de la rĂ©gion, constituera Ă©galement une activitĂ© importante de LĂ©ry au XIXe siĂšcle.
En 1972, Léry abandonne 601 de ses hectares au profit de la création de la ville nouvelle de Val-de-Reuil. La population, stable autour de 1 000 habitants depuis 1808, double alors en 30 ans pour atteindre 2 163 habitants en 1999.
Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[27].
En 2020, la commune comptait 2 013 habitants[Note 9], en diminution de 2,47 % par rapport Ă 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Dolmen néolithique des Vignettes, fouillé en 1842, 1874 et 1943. Il faisait partie des neuf sépultures collectives dénombrées pour la seule plaine alluviale de la confluence Seine/Eure. Disparu depuis[30]
- Base régionale de plein air et de loisirs de Léry-Poses
- Ăglise Saint-Ouen, XIIe siĂšcle, classĂ©e au titre des monuments historiques en 1911[31]. Le diocĂšse catholique d'Ăvreux en est l'affectataire par l'intermĂ©diaire de la paroisse Saint-Pierre-des-Deux-Rives qui dessert cette Ă©glise
- Croix hosanniĂšre, dite croix de LĂ©ry, inscrite au titre des monuments historiques en 1927[32]
- Ancienne Ă©glise Saint-AndrĂ© 49° 17âČ 16âł N, 1° 12âČ 29âł E
- Manoir de la reine Blanche, perdue Ă partir de 1814 par suite d'incendie[33]
Personnalités liées à la commune
- Nicolas-Joseph Billot de La FerriÚre, dit Florence (1749-1816), acteur, sociétaire de la Comédie-Française.
HĂ©raldique
Blason | ĂcartelĂ© en sautoir ; au 1 d'azur Ă une fleur de chardon feuillĂ©e de deux piĂšces le tout d'or ; au 2 d'argent Ă la feuille de tabac de sinople ; au 3 d'argent au fer de moulin aussi de sinople ; au 4 d'azur Ă la serpe d'argent emmanchĂ©e d'or ; sur le tout, en cĆur, une voile de planche Ă voile de gueules chargĂ©e d'un lĂ©opard surmontĂ© d'une fleur de lys, le tout d'or. |
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Détails | Le léopard d'or sur champ de gueules rappelle les armes de la Normandie. Ce blason a été adopté par le conseil municipal le 8 avril 2009[34]. |
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Louviers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Léry et Louviers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Louviers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Léry et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Louviers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du dĂ©partement de lâEure, Paris, , p. 123.
- Ernest NÚgre -Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 849 - (ISBN 2600001336).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Carte localisant les sépultures néolithiques de la boucle de Poses (Revue archéologique de l'Ouest, n°23, 2006 sur le site Journal.openedition.org.
- « Ăglise Saint-Ouen », notice no PA00099468, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- « Croix de léry », notice no PA00099467, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Manoir de la reine Blanche », notice no IA00017975, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Le blason de LĂ©ry
Bibliographie
- Claude Macherel et Jacques Le Querrec, Léry, village normand. Un croquis ethnologique, Nanterre, Laboratoire d'Ethnologie (halshs-00374833/fr Fac-similé en ligne en accÚs libre - Archives ouverts Open Access OAI), , 122 p. (lire en ligne)
- Marcel Mage, Histoire de Léry de la préhistoire à l'aube du troisiÚme millénaire, Léry, Municipalité de Léry, 2010, 104 p.