Poses
Poses est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Poses | |
Bord de Seine à Poses. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Seine-Eure |
Maire Mandat |
Georgio Loiseau 2020-2026 |
Code postal | 27740 |
Code commune | 27474 |
Démographie | |
Gentilé | Posiens |
Population municipale |
1 143 hab. (2020 ) |
Densité | 159 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 18′ 17″ nord, 1° 14′ 44″ est |
Altitude | Min. 8 m Max. 12 m |
Superficie | 7,2 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Louviers (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Val-de-Reuil |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Géographie
Localisation
Le village de Poses (département de l'Eure) est riverain de la Seine à une centaine de kilomètres de la mer et de Paris à vol d'oiseau. Il est par le fleuve à 170 km de Honfleur et 200 km de Notre-Dame de Paris. Il est à l'intérieur du méandre de la boucle de Poses en rive gauche au confluent des vallées de l'Eure en rive droite et de celle de l'Andelle en rive droite.
La commune est limitrophe de celles de Léry, Val-de-Reuil, Tournedos, Le Manoir, Pitres et Amfreville-sous-les-Monts.
Hydrographie
La commune est riveraine de la Seine.
Caractéristiques géographiques
La commune occupe une emprise de près de 7 km2 sur la rive convexe du fleuve au droit du barrage de Poses dernier barrage sur la Seine avant la mer en englobant de multiples iles de la Seine. La plaine de Poses est calée à moins de 10 m NGF et la rive opposée avec ces coteaux surplombent le site à 130 m NGF environ avec sur l'éperon, le panorama des Deux-Amants, délimitant la vallée de l'Andelle au débouché vers la Seine. La côte des Deux-Amants marque la limite des plateaux s'étendant vers le Vexin Normand.
Empreintes écologiques
Le barrage de Poses est un ouvrage artificiel à déversoir sur la Seine construit à la fin du XIXe siècle (1885), comme une dizaine d'autres entre Paris et la mer à cette époque. Une petite centrale hydro-électrique lui a été adjointe en 1991 afin d'exploiter la chute d'eau. Le barrage régule le niveau de la Seine pour la rendre navigable en maintenant une cote de 8,35 m GNF dans le bief amont, et est accolé aux écluses d'Amfreville-sous-les-Monts, séparées du barrage par la Grande Île[3]. Une passerelle piétonne emprunte le barrage sur la Seine et surplombe les écluses pour franchir le fleuve. Des passes à poissons sur les deux rives ont vocation de sauvegarder la continuité écologique en permettant aux poissons migrateurs d'assurer leur périple comme c'était le cas avant l'aménagement de la Seine.
La plaine de Poses, autrefois occupée par des bois et des terres cultivées, a été le siège d'importantes exploitations de carrières alluvionnaires (ballastières) fournissant du gravier à béton pour la région parisienne puis la construction de la ville nouvelle de Val-de-Reuil. Cela a donné naissance à de grands étangs largement réaménagés pour l'environnement et les oiseaux (réserves de la Grande Noë) et les loisirs nautiques avec la création de la base régionale de plein air et de loisirs de Léry-Poses.
Voies de communication et transports
Le sentier de grande randonnée 2 (GR2) passe par la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968[10] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Poses est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Louviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des surfaces en eau (58,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux continentales[Note 7] (58,7 %), zones agricoles hétérogènes (23,6 %), zones urbanisées (9,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,9 %), forêts (3,4 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Pausus en 700 (chron. de Fontenelle), Pausa en 1026 (charte de Richard le Bon), Posas au XIe siècle, Poses vers 1043, Posæ en 1198, Poze en 1631 (Tassin, Plans et profilz), Posez en 1748 (lettres patentes de Louis XV)[22].
Du latin pausum, variante attestée de pausa « pause, arrêt, repos, station »[23].
Histoire
Un bac permettait de traverser la Seine ce qui donnait droit à une taxe ; le droit de travers[24].
Le village de Poses est très marqué par son passé fluvial et très ancré dans la culture marinière et batelière[25] - [26]. Des bateaux-musées, la péniche Midway II et la Fauvette, remorqueur fluvial, retracent ce passé très présent. Le village abrite de nombreux mariniers en retraite et l'on dit même que ce village a été fondé par des pêcheurs.
Poses est le point le plus haut où était autrefois ressenti le mascaret sur la Seine, à près de 175 km de la mer.
Depuis la construction du barrage (1885), le trafic navigant ne passe plus dans le village. Il emprunte le passage derrière les îles de Seine par la rive droite qui mène aux écluses d'Amfreville-sous-les-Monts.
Risque d'inondation
Le village a connu, à l'instar des communes riveraines du fleuve, de nombreuses inondations. Les plus anciennes remontent à l'hiver 358-359 ou encore 588. Depuis lors, les crues mémorables, dont celle de , ont été marquées dans la pierre (un repère de crue d'une église à Rouen en témoigne). Les textes anciens révèlent que presque tous les hivers, les crues se produisaient, empêchant le travail des chevaux de halage, d'autant que les chemins étaient en mauvais état.
Par la suite, les statistiques établies au XXe siècle rappellent les crues des années 1910, 1920, 1924, 1945, mars- et mai-. Celle de janvier- est restée ancrée dans les archives, étant qualifiée de centenaire : un débit journalier de l'ordre de 2800 m3/s. On estime que, dans la boucle de Poses, un tiers du débit du fleuve s'écoulait en dehors du lit mineur[27], et que la rupture de la digue en amont du village (et s'étendant jusqu'à Saint-Pierre-du-Vauvray) a favorisé ces déversements.
La crue de 1910 est dite « crue de référence » (Plus Hautes Eaux Connues) pour établir le plan de prévention du risque inondation de la boucle de Poses, approuvé par le préfet, qui est en vigueur depuis une quinzaine d'années.
Depuis plusieurs décennies le barrage a protégé le village de Poses des inondations. Le niveau d'eau n'a pas monté en 2001, ni 2016.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].
En 2020, la commune comptait 1 143 habitants[Note 8], en diminution de 2,14 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Quentin (XIIe, XVe, XVIe – XIXe siècle)
Le diocèse catholique d'Évreux en est l'affectataire par l'intermédiaire de la paroisse Saint-Pierre-des-Deux-Rives qui dessert cette église.
L'église est située dans le cimetière le long de la route. Elle adopte un plan allongé à un vaisseau avec un transept saillant du coté sud. L'édifice est précédé d’un bâtiment en brique faisant office de porche. La nef d’origine romane est scandée par trois travées. Une tour de section carrée s’élève au-dessus du carré du transept, flanquée d’un escalier en vis sans jour. Elle est suivie par un chœur à deux travées avec une abside à trois pans flanquée d’un bâtiment annexe.
La façade principale, à l’ouest, en saillie par rapport à la nef, est constituée d’un porche couvert d'une toiture en bâtière. Cette façade en mur pignon s’élève sur deux niveaux séparés par une corniche saillante. Le premier niveau est constitué d’un portail en bois encadré de pilastres. De part et d’autre de la porte se trouvent deux fines baies cintrées. Au deuxième niveau une triple baie cintrée perce le fronton triangulaire. La nef est couverte en bâtière et percée de baies cintrées. La tour-clocher, percée de fines baies et épaulée de contreforts angulaires, surmonte le transept par sa toiture en pavillon prolongée par une flèche polygonale à égout retroussé. Le transept en saillie par rapport à la face méridionale, couvert en bâtière, est percé d’une large baie cintrée à remplage gothique. Le chœur, épaulé de contreforts, est éclairé par des baies en arc brisé à remplage flamboyant.
L'édifice s’élève sur un seul niveau. La nef est couverte d’une voûte lambrissée à poutres apparentes. Le chœur est constitué de croisées d’ogives successives.
Les fenêtres dans les murs de la nef sont les seuls vestiges de l'édifice du XIIe siècle. La tour-clocher date du quatrième quart du XVe siècle. Le chœur et la chapelle sud ont été édifiées au XVIe siècle. Le porche à tribune a été construit en 1879. La toiture de l'église a été restaurée en 2012.
À l'intérieur : retables, sculpture monumentale, et des graffiti datés du XVIe au XIXe siècle représentants d'immenses besognes (bateaux à fond plat emblématiques de la marine de Seine à voile de 30 à 60 m de long pour 175 à 600 tonnes de fret). Les sculptures et les vitraux mettent à l'honneur saint Nicolas, le protecteur des marins, et sur un vitrail contemporain saint Adjutor, le patron des mariniers et de Vernon. À voir également l'ancre qui sert de support au Christ surplombant la nef et dans la chapelle des mariniers, la maquette d'un remorqueur suspendue en guise d'ex-voto[24].
- Liste des curés
Les registres les plus anciens datent de 1586.
- Louis Le Febure -1606
- Jacques Lequeu 1606-
- Sylvestre Delacroix - vers 1670
- Jean Moulin -1690 ; il se résigne en faveur de Pierre Poussin.
- Pierre Poussin 1690-1719
- Langlois 1720-1721
- Estienne Marie 1721-1753
- Jacques Guerard 1755
- Jacques Philippe Germaine 1756 ; il est pourvu de la cure de Landepéreuse la même année.
- Léonard Calon 1757-1790< ; il se résigne en faveur de Denis Lefèbvre.
- Denis Lefèbvre 1790-
Autres lieux
- Site archéologique « Sur la Mare », Groupe de Villeneuve-Saint-Germain, Néolithique ancien.
Patrimoine naturel
Site inscrit
- Les falaises de l'Andelle et de la Seine, Site inscrit (1981)[32].
Personnalités liées à la commune
- Marcel Niquet (1889-1968), peintre.
Économie, loisirs et culture
Ce village de charme avec son bord de Seine[33] de plusieurs kilomètres et son paysage grandiose attire des milliers de visiteurs tous les ans. C ‘est la promenade du dimanche des personnes des alentours et des touristes qui apprécient cette partie de Seine préservée.
- La centrale hydro-électrique sur le barrage de Poses, et qui possède une « passe à poissons » où a été aménagée une chambre d'observation sous-marine ouverte au public (selon les périodes).
- La base de loisirs de Léry-Poses.
- Poses, est le village du ski nautique qui se pratique sur la Seine. Le Cercle Nautique Rouen-Poses a abrité des champions d'Europe, dont le fils de Guy Leprince, ancien président de la FFSN et Patrice Martin qui y a effectué à neuf ans sa première compétition.
- Regroupés dans le Musée de la batellerie, la péniche Midway et le Fauvette retracent l'histoire de la batellerie sur la Seine. Le Fauvette, remorqueur fluvial de 1928, est classé monument historique[34].
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- ZNIEFF 230009097 - La Grande Île à Poses et Amfreville-sous-les-Monts sur le site de l’INPN..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Rouen-Boos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Poses et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 174 (lire en ligne sur DicoTopo)
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 364.
- Virginie Michelland, « Les bateliers de Poses : Une vie de labeur au rythme de la Seine », Patrimoine normand, no 119,‎ octobre-novembre-décembre 2021, p. 24-30 (ISSN 1271-6006).
- Hubert Labrouche, Le village de Poses sous la troisième République 1870-1940, .
- René Dumontier, Poses mon beau village, .
- PPRI de la boucle de Poses
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Les Falaises de l'Andelle et de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
- « Poses voyage en Vallée de Seine », sur Voyage en Seine de Paris à la Normandie (consulté le ).
- Base Palissy