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Tende (Alpes-Maritimes)

Tende (prononcer [tɑ̃d]; Tenda en italien, niçois, occitan, piĂ©montais, brigasque et ligure) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des Alpes-Maritimes, en rĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur.

Tende
Tende (Alpes-Maritimes)
Vue de Tende.
Blason de Tende
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d’Azur
DĂ©partement Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Riviera française
Maire
Mandat
Jean-Pierre Vassallo
2020-2026
Code postal 06430
Code commune 06163
DĂ©mographie
Gentilé Tendasques
Population
municipale
2 144 hab. (2020 en diminution de 0,92 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 12 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 05â€Č 19″ nord, 7° 35â€Č 39″ est
Altitude 815 m
Min. 552 m
Max. 2 920 m
Superficie 177,47 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Contes
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Tende
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Tende
Liens
Site web www.tende.fr

    Partie de la province de Coni (Italie) jusqu'aprĂšs la Seconde Guerre mondiale, Tende est rattachĂ©e Ă  la France en septembre 1947, Ă  la suite du traitĂ© de Paris et aprĂšs consultation des habitants. Par une loi du , entrĂ©e en vigueur le 17 septembre 1947, la commune de Tende est crĂ©Ă©e « Ă  partir d'une partie Ă©trangĂšre » ; le code Insee 06163 ne correspond donc pas Ă  l'ordre alphabĂ©tique. Ses habitants sont appelĂ©s les Tendasques.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Tende est la plus vaste du dĂ©partement des Alpes-Maritimes. Elle est situĂ©e Ă  km de La Brigue et de 16 km du tunnel routier du col de Tende Ă  la frontiĂšre italienne.

    PrĂšs d'un tiers de la commune, la plus grande des Alpes-Maritimes, est inclus dans le Parc national du Mercantour[1].

    Écarts et lieux-dits

    • CastĂ©rino ; Granile[2] ; Les Mesches ; Saint-Dalmas-de-Tende ; ViĂ©vola.

    GĂ©ologie et relief

    La frontiĂšre italienne limite le nord et l'est de la commune par une ligne de sommets Ă©levĂ©s (plus de vingt sommets dĂ©passant 2 000 m, culminant aux cimes de l'Agnel, 2 852 m, avec la brĂšche du col de Tende Ă  1 871 m).

    La partie occidentale de la vallée de la Roya est pratiquement occupée par l'ensemble dit de la « vallée des Merveilles » et du massif du mont Bégo (voir ci-aprÚs).

    À l'est, les massifs rocheux dĂ©croissent des crĂȘtes italiennes (plus de 2 000 m) Ă  la vallĂ©e (environ 1 000 m). On peut y admirer de magnifiques forĂȘts de mĂ©lĂšzes (implantĂ©s)[3].

    Catastrophes naturelles - Sismicité

    19 Ă©vĂšnements ont Ă©tĂ© recensĂ©s sur la commune depuis 1982 et le "Document d'information communal sur les risques majeurs (DICRIM)[4] et un plan de prĂ©vention des risques (PPR) "Risque d'avalanche" ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s sur un certain nombre de communes du dĂ©partement des Alpes-Maritimes et notamment pour la commune de Tende[5].

    Le , de nombreux villages des diverses vallĂ©es des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, RoquebilliĂšre, St-Martin-VĂ©subie et Tende) sont fortement touchĂ©s par un Ă©pisode mĂ©diterranĂ©en de grande ampleur[6]. Certains hameaux de la commune restent inaccessibles jusqu'Ă  plus d'une semaine aprĂšs la catastrophe et l'Ă©lectricitĂ© n'a Ă©tĂ© rĂ©tablie que vers le 20 octobre. L'ArrĂȘtĂ© du portant reconnaissance de l'Ă©tat de catastrophe naturelle a identifiĂ© 55 communes, dont Tende, au titre des "Inondations et coulĂ©es de boue du 2 au 3 octobre 2020"[7].

    La commune se trouve dans une zone de sismicité moyenne[8] - [9].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou Ă  son aval[10] :

    • La haute VallĂ©e de la Roya reçoit Ă  Tende son affluent, le RĂ©frĂ©i[11], et coupe en son milieu nord-sud l'immense territoire rectangulaire de montagne et de haute montagne, orientĂ© est-ouest ;
    • fleuve cĂŽtier la Roya ;
    • vallons de Lamentargue, de Fontanalba, de la MiniĂšre, de Groa, de Bergue, du Refrei[12] ;
    • riou de CouĂ© ;
    • torrent la LĂ©vensa ;
    • ruisseaux[13] de Cabane, des Conques, de Durmiose, du Gat, de Mouga, du TaupĂ©, Profond de Rorf ;
    • 23 lacs[14].

    Stations d'Ă©puration[15] :

    Climat

    Climat océanique avec été tempéré, classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[18].

    Voies routiĂšres

    Le principal axe de communication de la vallée de la Roya est la départementale D6204 (ex N204), qui permet l'accÚs à Tende par le sud (Vintimille), par le sud-ouest (par Nice via Sospel et le col de Brouis), et par le nord (Coni).

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur

    La commune de Tende possÚde trois gares de chemin de fer (Gare de Viévola, Gare de Tende, Gare de Saint-Dalmas-de-Tende).

    Tende est desservie par la ligne internationale Nice - Coni (gestion mixte SNCF et Ferrovie dello Stato Italiane, avec un embranchement vers Vintimille à Breil). Le matériel roulant est français sur le segment Nice - Breil, italien sur le trajet Vintimille - Breil et mixte sur le segment Breil - Tende - Coni.

    Saint-Dalmas-de-Tende est desservie par des trains TER PACA qui effectuent des missions entre les gares de Nice-Ville et celle de Tende. Elle est Ă©galement desservie par des trains italiens circulant entre Vintimille et Coni.

    La communautĂ© d'agglomĂ©ration de la Riviera française dĂ©finit et met en Ɠuvre l’offre de transport public[19]. Le rĂ©seau de la Roya assure la liaison entre le littoral, depuis la Gare RoutiĂšre de Menton, et les communes de la vallĂ©e de la Roya.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Tende est une commune rurale[Note 1] - [20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[21] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23] - [24].

    Étude en cours du plan local d'urbanisme[25]. Faute de PLU approuvĂ©, la commune est actuellement soumise au RĂšglement national d'urbanisme (RNU).

    Le Schéma de cohérence territoriale (SCOT) recouvre l'ensemble de la Communauté de la Riviera Française[26].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous prĂ©sente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 0,4 % 77
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 0,3 % 53
    SystĂšmes culturaux et parcellaires complexes 0,2 % 32
    ForĂȘts de feuillus 0,4 % 63
    ForĂȘts de conifĂšres 39,2 % 6948
    ForĂȘts mĂ©langĂ©es 3,4 % 595
    Pelouses et pĂąturages naturels 30,2 % 5348
    Landes et broussailles 0,4 % 70
    ForĂȘt et vĂ©gĂ©tation arbustive en mutation 12,5 % 2219
    Roches nues 4,7 % 829
    Végétation clairsemée 8,0 % 1425
    Plans d'eau 0,3 % 53
    Source : Corine Land Cover[27]

    Toponymie

    Le nom de la commune est Tenda en ligure/royasque et italien. Le mot « Tende » découlerait de « tente », allusion au campement établi à cet endroit par les troupes romaines[28].

    Histoire

    Moyen Âge

    La localitĂ© est peuplĂ©e de maniĂšre avĂ©rĂ©e dĂšs 690[29]. CitĂ©e au XIe siĂšcle sous son vocable actuel, Tende relevait du comtĂ© de Vintimille[30]. En 1261, Guillaume-Pierre I comte de Vintimille, seigneur de Tende, Ă©pouse Eudoxie Lascaris, sƓur du jeune empereur grec d'Orient, Jean IV Lascaris ; d'oĂč les fils Lascaris de Vintimille.

    En 1574, le comté de Tende fut acquis par la Maison de Savoie[Note 2].

    Renaissance et RĂ©forme

    La prĂ©sence des vaudois est attestĂ©e dans les vallĂ©es de la Roya et de la BĂ©vĂ©ra, notamment Ă  Tende, ainsi que dans des villages situĂ©s de l’autre cĂŽtĂ© du col de Tende dĂšs le XIIIe siĂšcle. Ceux-ci prĂȘchent une rĂ©forme de l’Église dans une rĂ©gion oĂč nombre de superstitions, voire d’hĂ©rĂ©sies, fleurissent, et oĂč les procĂšs en sorcellerie sont courants[31]. Au XVIe siĂšcle, ces protestants font de nombreux adeptes dans la haute vallĂ©e de la Roya, d'autant que Claude de Savoie (1507–1566), comte de Tende, fils d’Anne Lascaris et de RenĂ© le Grand, BĂątard de Savoie, et son frĂšre, HonorĂ© II (1511–1580), comte de Villars, ont embrassĂ© le parti huguenot. Les ducs de Savoie, convaincus de leur mission divine de dĂ©fendre la religion catholique contre toutes les hĂ©rĂ©sies, entendent bien lutter contre la montĂ©e du protestantisme dans leur duchĂ©, mais se heurtent Ă  LesdiguiĂšres, capitaine protestant qui cherche Ă  constituer un bloc homogĂšne et ouvrir un passage vers la pĂ©ninsule italique. La cession de Nice Ă  la Savoie, effective en 1575, sonne toutefois l'heure de la rĂ©pression et de l'Ă©touffement progressif du protestantisme dans la vallĂ©e de la Roya[31].

    Époque contemporaine

    La partie du comté de Nice annexée par la France en 1860.

    En 1860, les communes de Tende et de La Brigue situĂ©es en haute vallĂ©e ne furent pas comprises dans les territoires cĂ©dĂ©s Ă  la France par le traitĂ© de Turin, malgrĂ© le vƓu des populations exprimĂ© par plĂ©biscite. NapolĂ©on III accepta de laisser au nouvel État italien ces communes, officiellement pour permettre au roi Victor-Emmanuel II de conserver ses territoires de chasse. En rĂ©alitĂ©, ce compromis garantissait Ă  l'Italie le contrĂŽle des crĂȘtes auquel elle attachait une valeur stratĂ©gique[32].

    En 1945, une fois les troupes nazi-fascistes retirĂ©es, Tende est libĂ©rĂ©e par les partisans italiens de la 5e brigade « Luigi Nuvoloni », pour ĂȘtre occupĂ©e le lendemain par le 29e rĂ©giment de tirailleurs algĂ©riens, chassant les formations partisanes antifascistes. Le mĂȘme jour, un comitĂ© gaulliste entame une intense activitĂ© de propagande pour demander un plĂ©biscite, d'ailleurs dĂ©jĂ  organisĂ© par les mĂȘmes autoritĂ©s Ă  Paris, pour l'annexion de Tende et de Briga Marittima (successivement La Brigue) Ă  la France.

    L'occupation française de la VallĂ©e de la Roya pour acquĂ©rir la ville par une annexion n'aboutit pas Ă  la suite de la pression amĂ©ricaine. Mais aprĂšs des tractations, et conformĂ©ment aux accords fixĂ©s par le traitĂ© de paix de Paris du , ces territoires furent cĂ©dĂ©s par l'Italie. Ils passent sous souverainetĂ© française par une loi du 16 septembre de la mĂȘme annĂ©e, puis un rĂ©fĂ©rendum confirme un mois plus tard la volontĂ© des habitants de devenir Français.

    Depuis 1967, le professeur Henry de Lumley et ses équipes effectuent des relevés et moulages des roches gravées depuis la Préhistoire sur les sites naturels de la vallée des Merveilles et de la vallée de Fontanalbe (moulages exposés au Musée départemental des Merveilles de Tende[33]).

    Benedetto Croce et Tende

    Se prononçant contre la ratification du Traité de paix devant l'Assemblée constituante dans son discours du 24 juillet 1947, Benedetto Croce affirmait : « Et finalement vous avez, comme pour vous déshonorer, arraché de sa frontiÚre occidentale des terres qui lui avaient été unies pendant des siÚcles et qui sont chargées de souvenirs de son histoire. »[34]

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1949 André Carabalona Nommé par décret gouvernemental
    1949 1953 Pierre Dalmasso 1er maire français élu[35]
    1953 mars 1965 Marius Barucchi
    mars 1965 mars 1971 Aimable Gastaud (1900-1974) CD Concierge
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Tende (1951 → 1970)
    mars 1971 mars 2001 José Balarello UDF-PR puis DL Avocat
    SĂ©nateur des Alpes-Maritimes (1984 → 2008)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Tende (1970 → 2015)
    mars 2001[36] En cours Jean-Pierre Vassallo DL puis UMP-LR
    puis DVD
    Conseiller technique à la CCI retraité

    Budget et fiscalité 2019

    La mairie

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[37] :

    • total des produits de fonctionnement : 3 107 000 €, soit 1 391 € par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 2 752 000 €, soit 1 232 € par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 1 479 000 €, soit 662 € par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 884 000 €, soit 396 € par habitant ;
    • endettement : 2 511 000 €, soit 1 124 € par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 15,34 % ;
    • taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s bĂąties : 13,28 % ;
    • taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s non bĂąties : 29,75 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s non bĂąties : 0,00 % ;
    • cotisation fonciĂšre des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2017 : mĂ©diane en 2017 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 19 310 €[38].

    Intercommunalité

    Depuis 2014, la commune fait partie de la Communauté d'agglomération de la Riviera française.

    Jumelages

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[40].

    En 2020, la commune comptait 2 144 habitants[Note 3], en diminution de 0,92 % par rapport Ă  2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1946 1954 1962
    1 5001 4911 6542 0572 4412 6592 1582 0801 954
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    2 0531 9511 9542 0891 8442 0252 1142 1842 144
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements :

    • Tende possĂšde une Ă©cole maternelle[43] Ă  Tende et Ă  Saint Dalmas de Tende, une Ă©cole primaire Ă  Tende et Ă  Saint Dalmas de Tende, un collĂšge (Ă  Saint-Dalmas-de-Tende)[44] , avec son propre ramassage scolaire.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[45] :

    Cultes

    Manifestations culturelles et festivités

    • Le premier week-end du mois de juillet se tient la fĂȘte de Notre-Dame de la Visitation Ă  Vievola ainsi que la fĂȘte patronale de la Saint Pierre Ă  Saint Dalmas de Tende.
    • Le deuxiĂšme week-end de juillet a lieu la fĂȘte patronale de la Saint-Éloi
    • Le deuxiĂšme dimanche du mois d'aoĂ»t : fĂȘte de la Saint Roch[47]
    • Le dernier week-end du mois d'aoĂ»t a lieu la fĂȘte du « vieux tende »,
    • Le premier week-end du mois d'octobre se tient la fĂȘte des chĂątaignes et des « classes » (20 ans, 25 ans, 30 ans, 35 ans, etc.)

    Économie

    Agriculture

    Tourisme

    La commune bénéficie du réseau Villes et Pays d'art et d'histoire "Les vallées Roya-Bévéra"[48].

    Activités, commerces et services

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La collégiale et les deux chapelles de pénitents.
    Monument aux morts de Tende

    Patrimoine religieux

    Patrimoine civil

    • Le site de la vieille ville est sombre et sĂ©vĂšre dans son environnement montagneux oĂč les terrasses de culture montent trĂšs haut. Les demeures dont certaines datent du XVe siĂšcle, sont souvent habillĂ©es des schistes verts et violets de la haute vallĂ©e de la Roya. Balcons Ă  tous les Ă©tages pour profiter du soleil, larges toits dĂ©bordants contre les chutes de neige, l'architecture est dĂ©finie par le climat alpin. Dans le lacis des rues Ă©troites, notamment de rue de France, ancienne Route Royale, des nombreux linteaux armoriĂ©s ou historiĂ©s rappellent un passĂ© glorieux. On voit, au passage, les clochers Renaissance des chapelles des PĂ©nitents noirs et des PĂ©nitents blancs.
    • La route spectaculaire du col de Tende et celles, pittoresques, de Granile et du vallon du RĂ©frĂ©i.
    • Les gravures rupestres de la vallĂ©e des Merveilles[62] et de la rĂ©gion du mont BĂ©go classĂ©es au titre des monuments historiques le .
    • La ligne ferroviaire Nice - Vintimille - Breil - Limone.
    • Tour de l'horloge[63] - [64].
    • La fontaine du Traou[65].
    • Ancien tribunal (Maison de la "Curie")[66] et le gibet[67].
    • Les vestiges du ChĂąteau des Lascaris[68].
    • Le monument aux morts prĂ©sente la particularitĂ© d'avoir Ă©tĂ© mis en place par l'Italie aprĂšs la premiĂšre Guerre mondiale et complĂ©tĂ© par la France aprĂšs la Seconde Guerre mondiale. L'inscription portĂ©e sur la plaque visible face au monument se lit : "Il municipio di Tenda ai suoi figli gloriosamente caduti nella Grande Guerra 1915-1918" ("La commune de Tende Ă  ses enfants tombĂ©s glorieusement pendant la Grande Guerre 1915-1918" - puisque l'Italie est entrĂ©e en guerre en 1915). L'inscription sur la plaque apposĂ©e sur une face latĂ©rale du monument se lit quant Ă  elle : "La commune de Tende Ă  ses fils glorieux tombĂ©s ou disparus au champ d'honneur 1939-1945"[69] - [70].
    • La Villa Alpina[71], maison de FrĂ©dĂ©ric Mader de 1893, accueille la mairie.
    • La Maison Chianea, du XVIIe siĂšcle, situĂ©e rue de France.
    • La Porte d'Italie, porte mĂ©diĂ©vale en arc brisĂ©, accolĂ©e Ă  la chapelle de l'Annonciation.
    • Place du Traou et place du Ponte.
    • La porte de l'enceinte mĂ©diĂ©vale donnant sur la place Antoine Balarello.
    • La maison mĂ©diĂ©vale[72].
    • Le fort central du col de Tende[73].
    • dans la Haute Roya, les anciennes cuisines militaires, du 35e Groupe d’Artillerie Garde FrontiĂšre.
    • Le fort de la Marguerie[74].
    • Le relais de poste, relais de diligences de la Ca[75].

    Patrimoine naturel

    Patrimoine culturel

    Musée des Merveilles.
    • Les services de l'État, du DĂ©partement et de la commune, conscients que les gravures rupestres de la vallĂ©e des Merveilles et de la rĂ©gion du Mont BĂ©go constituent un patrimoine archĂ©ologique exceptionnel qui doit ĂȘtre portĂ© Ă  la connaissance du public tout en Ă©tant impĂ©rativement prĂ©servĂ© de toute dĂ©gradation humaine ont par ailleurs pris des mesures compte tenu de la trĂšs grande vulnĂ©rabilitĂ© de ces gravures et de la configuration des lieux.
    • La Direction rĂ©gionale des Affaires culturelles (DRAC) de la rĂ©gion Povence-Alpes-CĂŽte d'Azur et le Parc national du Mercantour ont Ă  cet effet, depuis 1990, progressivement mis en place un dispositif de valorisation du site et de gestion de sa frĂ©quentation. Les dispositifs de protection, de valorisation et de gestion de la frĂ©quentation du site ont Ă©tĂ© pĂ©rennisĂ©s et renforcĂ©s Ă  travers des conventions fixant le cadre gĂ©nĂ©ral du partenariat entre le PNM et la DRAC[78]. Elle prĂ©cise les conditions dans lesquelles la DRAC a mandatĂ© le PNM pour la surveillance et la gestion des gravures rupestres des VallĂ©es des Merveilles et de Fontanalba protĂ©gĂ©es au titre de la loi de 31 dĂ©cembre 1913 sur les monuments historiques.

    Le tendasque

    Le ligurian en France
    Le ligurian en France

    Le tendasque est un parler royasque. Voici quelques exemples :

    Tendasque NiçoisFrançaisItalienPhonétique
    ër louleil(arl) en fait dans ër le r se prononce comme avalé par un l
    camin caminchemincammino(camin)
    ciabĂČtu cabanacabanerifugio (mais aussi "capanno")(tchabhauttou)
    lei trei ure es tre ourail est trois heuresle (ore) tre(là aussi et comme partout le r est avalé et le u se prononce en une longue syllabe)
    ër tendascu lou tendascle tendasqueil tendasco(téndAchkou)
    marĆĄi mercĂŹ , grĂ ciamercigrazie(marlchi)
    bundĂŹ bouĂČnjoĂčbonjourbuongiorno (mais aussi "buondĂŹ")(boundi)

    Voir tendasque pour plus de détails sur ce dialecte.

    Spécialités

    Les Sugelli sont une variété de pùtes trÚs appréciée avec du gibier.

    HĂ©raldique

    Tende
    Blason de Tende Blason
    ÉcartelĂ© : au 1er et au 4e de gueules Ă  la croix d'argent, Ă  la traverse de sable brochant sur le tout, au 2e et au 3e contre-Ă©cartelĂ© : au 2e-1er, au 2e-4e, au 3e-2e et au 3e-3e d'or Ă  l'aigle bicĂ©phale de sable, aux autres, de gueules au chef d'or[79].
    DĂ©tails
    Les armoiries correspondent à la croix de Savoie, dont Tende est affilié de 1576 à 1861, ainsi qu'à celui des Lascaris de Vintimille.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Thierry COUZIN Thierry, Passer par le XIXe s. Les frontiĂšres, le capitalisme et l’occident, Berne, Ed. Peter Lang., 2009. L’autre comtĂ© de Nice, Tende d’aprĂšs l’inventaire du fonds Paesi de l’Archivio di Corte de Turin (XIIe – XVIIIe siĂšcle). In RecherchĂ© rĂ©gionale, 2009. No 193 : « Le 1er septembre 1574 s’engage une procĂ©dure de dĂ©pĂŽt du chĂąteau de Tende Ă  l’initiative du comte Giacinto d’UrfĂ©, mari de Renata, fille de Claude de Savoie comte de Tende, en hommage au seigneur de Beuil, gouverneur de Nice au nom du duc de Savoie, dĂšs que le diffĂ©rend entre le susdit comte et le marquis de Villars serait rĂ©glĂ©. Le 7 septembre 1574 est enregistrĂ© l’acte de dĂ©pĂŽt d’HonorĂ© de Savoie auprĂšs du baron de Beuil, gouverneur de Nice, dĂ©lĂ©guĂ© par le duc de Savoie et le comte de Tende, afin d’en terminer avec le diffĂ©rend qui opposait, pour le dit comtĂ©, HonorĂ© et le comte Giacinto d’UrfĂ©, mari de Renata, fille de feu le comte Claude de Tende. Un document prĂ©sentant les demandes et prĂ©tentions d’HonorĂ© contre Renata de Savoie d’UrfĂ© comtesse de Tende et son neveu sur le comtĂ© de Tende, Limone, Vernante, est dĂ©posĂ© auprĂšs du 1er prĂ©sident du parlement d’Aix-en-Provence. Le 14 septembre 1574 fut enregistrĂ© l’acte de rĂ©mission du chĂąteau et autres places fortes du comtĂ© de Tende suivant la procĂ©dure de l’hommage de Giacinto d’UrfĂ© dans les mains du baron de Beuil et gouverneur de Nice pour le duc de Savoie jusqu’à la fin du diffĂ©rend dĂ©posĂ© par HonorĂ© de Savoie. »
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

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    8. Didacticiel de la rĂšglementation parasismique
    9. Zonage administratif
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    44. Établissements d'enseignements
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    46. Paroisse Notre-Dame de la Roya
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    48. Pays d'art et d'histoire : Pays des Vallées Roya-Bévéra
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    52. Église CollĂ©giale Notre-Dame de l'Assomption
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    56. Église Sainte-Anne (Granile)
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    83. Capitaine Jean Marie Auber
    84. Artisanat et art

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton Ă  Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)
      Canton de Tende : pp. 936 Ă  946 : Tende
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des chĂąteaux et fortifications de la France au Moyen Âge, Strasbourg, Ă©ditions Publitotal, 1978, reprint 1991, 1288 p. (ISBN 978-2-86535-070-4)
      Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Tende : p. 1162
    • François Gaziello, Tende et la Brigue Ă  la France. I. - RĂ©volution et Empire (1794-1814), p. 22-24, Nice Historique 1948, no 119 Lire en ligne
    • LĂ©o Imbert, Tende et la Brigue Ă  la France. II. L'annexion manquĂ©e (1860), p. 25-28, Nice-Historique, annĂ©e 1948, no 158, Lire en ligne
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    • LĂ©o Imbert, La route et le col de Tende dans l'histoire, p. 33-41, Nice-Historique, 1948, no 159 Lire en ligne
    • Ernest Hildesheimer, Tende et La Brigue sous les seigneurs de la Maison de Vintimille, p. 11-19, Nice-Historique, 1948, no 139 Lire en ligne
    • Émile Isnard, Les derniers comtes de Tende, p. 20-21, Nice-Historique, 1948, no 172 Lire en lignr
    • Lucien Barbera, Les richesses archĂ©ologiques et artistiques de Tende et de la Brigue (Sites, monuments historiques, objets d'art), p. 55-57, Nice-Historique, 1948, no 157 Lire en ligne
    • Philippe de Beauchamp, Photographies LoĂŻc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN 2-85744-485-0)
      Vallées de la Roya et de la Bévéra : Tende, L'église Notre-Dame-de-l-Assomption, pp. 35 à 36
    • Coordination gĂ©nĂ©rale : RenĂ© Dinkel, Élisabeth DecugniĂšre, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. RĂ©daction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie RĂ©ol. Direction rĂ©gionale des antiquitĂ©s prĂ©historiques (DRAP) : GĂ©rard Sauzade. Direction rĂ©gionale des antiquitĂ©s historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-CongĂ©s Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la MĂ©diterranĂ©e - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes CĂŽte d’Azur, Marseille, Direction rĂ©gionale des affaires culturelles et Conseil rĂ©gional de Provence – Alpes - CĂŽte d’Azur (Office RĂ©gional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
      Guide prĂ©sentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – CĂŽte - d'Azur, avec cartes thĂ©matiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Tende, p. 77
    • Association Saint Jean le Vieux, Peintures murales dĂ©cors peints, VallĂ©es de la BĂ©vĂ©ra et de la Roya, Alpes-Maritimes, Association Saint Jean le Vieux, 18 p.
      * Sospel; *Breil-sur-Roya; *Saorge; *La Brigue; *Tende; *Les peintures murales et les décors peints dans les vallées de la Roya et de la Bévéra; *Technique de la peinture murale
    • Articles consacrĂ©s au Village de Tende, sur www.archeo-alpi-maritimi.com : * Cotta Giambattista; * datations gothiques gravĂ©es; * gibets piloris potences; * inscriptions pathĂ©tiques et maximes; jhs avec entrelacement; * le ComtĂ© de Nice en 1850; * lions stylophores; * mythe de la sirĂšne; * mythe de la spirale; * Murs et linteaux; * Nice Tende en 1792 selon Mariana Starke; * Maison de la C Ă  Tende; Nice Tende 1736; * prĂ©mices du tunnel de Tende; * Tende suivant casalis; * Travaux du tunnel de tende 1878, selon le lieutenant colonel Wagner
    • Tende : L'Ă©glise Notre-Dame de l'Assomption, sur le site La lumiĂšre de Dieu
    • Chiffres clĂ©s publiĂ©s par l'institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques (INSEE). Dossier complet
    • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
    • CavitĂ©s souterraines : 7 cavitĂ©s naturelles et 2 carriĂšres

    Articles connexes

    Liens externes

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