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Saint-Briac-sur-Mer

Saint-Briac-sur-Mer est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 2 205 habitants[Note 1].

Saint-Briac-sur-Mer
Saint-Briac-sur-Mer
Le port et la plage du Béchet.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Communauté de communes Côte d'Émeraude
Maire
Mandat
Philippe Fourneyron
2023-2026
Code postal 35800
Code commune 35256
Démographie
Gentilé Briacin
Population
municipale
2 205 hab. (2020 en augmentation de 11,48 % par rapport à 2014en augmentation de 11,48 % par rapport à 2014)
Densité 274 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 13″ nord, 2° 08′ 02″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 62 m
Superficie 8,06 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Dinard
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Malo
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Malo-2
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Saint-Briac-sur-Mer
Liens
Site web www.saintbriac.fr

    Géographie

    La commune est bordée au nord par la Manche et à l'ouest par le Frémur et son estuaire qui marque la limite occidentale du département d'Ille-et-Vilaine. Un pont la relie à Lancieux (département des Côtes-d'Armor).

    Communes limitrophes

    Botanique

    Du point de vue de la richesse de la flore, Saint-Briac est à la septième place des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 611 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1 373 taxons (118 familles). On compte notamment 54 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 27 taxons protégés et 35 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237)[1].

    Plusieurs plantes de littoral comme l'armérie maritime se rencontrent sur la commune, notamment à la pointe de la Garde-Guérin avec sa pelouse littorale à silène maritime (Silene uniflora) et les orchidées des marais du Dinard Golf « espace d'une exceptionnelle richesse floristique » (Ophioglossum vulgatum)[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 669 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Briac-sur-Mer est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dinard, une agglomération inter-départementale regroupant 9 communes[17] et 32 991 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23] - [24].

    Selon le baromètre de l'immobilier, Saint-Briac-sur-Mer était, après La Trinité-sur-Mer , en 2021 la commune de Bretagne où le prix médian des maisons était le plus élevé (580 000 euros)[25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,7 %), zones urbanisées (35,9 %), terres arables (8,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,4 %), zones humides côtières (1,4 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancti Briaci en 1271, Saint Bria en 1277, Sancti Briaci en 1371, S. Briac en 1654, S. Briach en 1709[28].

    Son nom vient d'un saint nommé Briac. La tradition dit qu'il était irlandais. En fait Briac est un nom d'origine brittonique. C'est la version haute bretonne de Brioc/Brieuc, ce qui ne veut pas dire que saint Briac et saint Brieux sont les mêmes saints. Ils portent le même nom.

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Port-Briac[29].

    La dénomination bretonne de la commune est Sant-Briag et la gallèse est Saent-Beriac.

    Le gentilé est Briacin.

    Histoire

    Préhistoire

    La commune comportait plusieurs sites mégalithiques signalés dans les recensements du XIXe mais désormais détruits ou introuvables : un menhir et un dolmen près de la Garde Guérin, un alignement dénommé les Roches-Hues[30].

    Moyen Âge

    Selon l'hagiographe breton Albert Le Grand, Briac débarque en Bretagne avec saint Tugdual sur la côte du Léon vers 548. Une nouvelle version de l'histoire de Briac le voit vivre au Xe siècle.

    La paroisse est créée vers 1150 et le choix du nom est sans doute effectué par l'évêque Jean de Chatillon, ancien prieur à Guingamp et familier du Briac de Bourbriac.

    Ancien Régime

    Le premier briacin connu est Guillaume de St Briac qui en 1220 est prieur à Combourg. La paroisse est mentionnée pour la première fois en 1271. Il s’agit d’un démembrement de la paroisse primitive de Pleurtuit et elle dépendait de l'évêché de Saint-Malo.

    Du XVIe siècle et jusqu'à la Révolution, les Du Breil de Pontbriand étaient les seuls seigneurs de Saint-Briac-sur-Mer.

    Bataille de Saint-Cast

    Les 4 et , une flotte britannique, forte de plus de 113 navires et commandée par l'amiral Richard Howe, débarque dans l'anse de la Fosse, à l'est de la Garde Guérin, un corps de plus de 9 000 hommes (voire 13 000) sous les ordres du général Thomas Bligh qu'accompagnait le duc d'York, le futur roi Georges III. Elle établit un camp au village de la Plate-Roche (Saint-Lunaire), après avoir pillé Saint-Briac et ses environs : à Saint-Briac, elle incendia les villages de la Fosse, du Mesnil, du Chemin et de la Ville-au-Coq. Après avoir constaté qu'elle ne pourra pas passer à St Malo, elle se déplace et réembarque à St Cast sous le feu des troupes françaises qui sont arrivées.

    Les peintres et la villégiature

    Comme le montrent les tableaux des grands peintres de la fin du XIXe siècle et les photographies d'époque, la côte, avant l'implantation des villégiatures, était dépourvue d'arbres : ce sont les nouveaux résidents estivaux qui ont planté toutes sortes d'espèces et ainsi agrémenté le site.

    Quelques dates

    La Belle Époque

    En 1901 ouvre la ligne de tramway de Saint-Briac à Dinard. C’était une ligne de tramway à vapeur à voie métrique qui reliait les villes de Saint-Briac et Dinard en passant par Saint-Lunaire. Elle a été ouverte entre 1901 et 1902. En 1929, la ligne ferma pour être remplacée par un service d'autocar.

    La Première Guerre mondiale

    En 1914, l'hopital militaire complémentaire n°43 est ouvert à St Briac devant l'afflux des blessés. Il sera fermé en 1916.

    L'Entre-deux-guerres

    1920 est l'année de la création des tennis à la Houle.

    Au début de la décennie 1920, le grand-duc Cyrille Vladimirovitch (cousin du tsar Nicolas II) s'installe à Saint-Briac avec sa femme et ses enfants.

    En 1927 ouvre le deuxième club-house du "Dinard Golf Club", construit par l'architecte Marcel Oudin[32].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts américain érigé en l'honneur du Captain Wilner, du First Class Roy O'Posey et du First Class J. MacDaniel, tombés le à Saint-Briac.

    Saint-Briac est le flanc ouest de la « Festung » de Saint-Malo. De nombreux blockhaus[33] y sont construits, dont l'ensemble de la pointe de la Garde-Guérin[34].

    La commune est libérée par les Américains le , au prix de la vie de trois soldats américains. Tony Vaccaro y réalise les photographies de guerre.

    Le XXIe siècle

    L'opposition de certains riverains à l'ouverture du sentier littoral GR 34 au droit de leurs propriétés suscite de nombreuses polémiques[35].

    Héraldique

    Le blason de Saint-Briac.
    Blason de Saint-Briac-sur-Mer Blason
    D'azur au pont courbé de trois arches d'argent, maçonné de sable, mouvant des flancs et posé sur une champagne aussi d'azur[36].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Armes de la famille de Pontbriand : d'azur à un pont de trois arches d'argent maçonné de sable)

    Politique et administration

    La commune a eu pour maire de à , Brice Lalonde, ancien ministre de l'Environnement, fondateur de Génération écologie et bénéficiaire, par sa mère, du manoir de la fondation Forbes des Essarts.

    De mars 2008 à 2014, le maire est Auguste Senghor, un neveu de Léopold Sédar Senghor (1906-2001), l'ancien président de la république sénégalaise. Auguste Senghor avait été auparavant maire du May-sur-Èvre (en Maine-et-Loire, à côté de Cholet) de 1977 à 1989 et de 1995 à 2008[37]. Vétérinaire de profession, il a été le président du conseil régional de l'Ordre des vétérinaires pour les Pays de la Loire[38].

    À partir de mars 2014, le maire est Vincent Denby-Wilkes, franco-américain, ingénieur agronome de formation, coordonnateur EDF régional de profession, il est également président de Sciences Po Rennes et de France énergies marines[39]. À la suite de la démission de plus d'un tiers des membres du conseil municipal, une élection partielle est organisée les 26 mars et 2 avril 2023[40].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 Alexis David Capitaine au long cours, cap-hornier
    Maire honoraire

    (démission)
    Georges Bourgeois Droite

    (décès)
    Ernest Ogé[41] PSU Instituteur puis inspecteur primaire
    André Taisne Colonel retraité
    François Debonnet CNIP Ancien directeur administratif
    Michel Le Bras
    Brice Lalonde GÉ Ministre (1988-1992)
    Conseiller régional (1998-2004)
    Auguste Senghor[42] DVD Vétérinaire retraité
    Maire du May-sur-Èvre (1995-2008)
    Vincent Denby-Wilkes[43] ÉCO Coordonnateur EDF
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    [44] En cours
    (au 7 avril 2023)
    Philippe Fourneyron SE Médecin généraliste

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

    En 2020, la commune comptait 2 205 habitants[Note 8], en augmentation de 11,48 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7601 6971 8091 9822 4392 0401 8781 6681 880
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0772 1202 0712 4142 0892 1782 3172 2202 168
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9601 9812 2131 7821 9702 0421 9201 8801 947
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 7091 6661 6191 6911 8252 0541 9501 9481 955
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 9782 1932 205------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 19,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 50,3 % la même année, alors qu'il est de 23,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 019 hommes pour 1 113 femmes, soit un taux de 52,2 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,18 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[48]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,9
    90 ou +
    3,6
    15,7
    75-89 ans
    18,6
    30,8
    60-74 ans
    29,7
    17,3
    45-59 ans
    19,4
    11,6
    30-44 ans
    12,0
    10,9
    15-29 ans
    6,7
    11,7
    0-14 ans
    10,0
    Pyramide des âges du département d'Ille-et-Vilaine en 2018 en pourcentage[49]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    6,1
    75-89 ans
    8,7
    14,1
    60-74 ans
    15,2
    19,7
    45-59 ans
    18,8
    19,7
    30-44 ans
    18,8
    20,1
    15-29 ans
    18,8
    19,7
    0-14 ans
    17,9

    Économie

    Saint-Briac-sur-Mer est une station balnéaire réputée de la Côte d’Émeraude.

    Une économie tournée vers le tourisme

    En 2004, Saint-Briac comportait 913 résidences principales et 1 572 résidences secondaires. Les retraités représentaient alors 35 % de la population.

    Les services de proximité sont le secteur offrant le plus d'emplois (83), suivis par la distribution (60), le BTP (44), l'administration (40) et l'entretien/réparation (37).

    Monuments et lieux particuliers

    Monuments historiques

    La commune compte plusieurs monuments historiques :

    • l'église Saint-Briac (XVIIe siècle), reconstruite entre 1870 et 1875 à l'emplacement d'églises primitives datant de 1671 et des XIe, XIIe – XIIIe siècles. Cette reconstruction a été en partie financée par les marins de Saint-Briac ayant en échange reçu une autorisation de pêcher le dimanche[50] (des maquereaux sculptés ornent d'ailleurs l'extérieur de l'édifice). L'ancienne église, qui datait de 1671, se composait d'une nef avec deux collatéraux, d'un transept, d'une abside à pans coupés, et d'un clocher daté de 1671. La chapelle prohibitive des seigneurs de Pontbriand, comme seigneurs de la Garde, était du côté nord. Une litre aux armes des seigneurs de Pontbriand entourait l'église au XVIIe siècle. Le chÅ“ur de l'église renfermait jadis un tombeau élevé appartenant aux seigneurs de la Houlle. Un reliquaire ou charnier, avec une inscription en quatre vers, se voyait autrefois en face de la porte d'entrée. L'ancienne église a été démolie en 1870 ; seule la tour carrée à l'ouest, surmontée d'un clocher, a été conservée. Entièrement en granit, il est orné de deux galeries à balustres et coiffé d'un dôme octogonal. Ce genre de construction unique en Ille-et-Vilaine, rappelle certains autres clochers bretons du Trégor ou du Finistère[50]. Il abrite une cloche de 1690 donnée par le seigneur de Pontbriand. Ce clocher a été classé monument historique par arrêté du [51] - [52] ;
    • l’île Agot qui renferme des sites protohistoriques. Elle a été inscrite par arrêté du [53] ;
    • la boutique du 2 rue du Commandant-Pierre-Thoreux, dont le décor en mosaïque de l'atelier d'Odorico est inscrit au titre des monuments historiques depuis le [54] - [55] ;
    • le Club-House du Golf [56] - [57] - [58] (à l'exception toutefois du sas ajouté à l'entrée du bâtiment) est inscrit au titre des monuments historiques par un arrêté du 27 octobre 2014.

    Autres sites et monuments de la commune

    • La chapelle de l'Épine-Notre-Dame ou chapelle Saint-Adam, mentionnée sous ce nom dès 1628[59]. Elle est déclarée en ruine en 1682 et reconstruite en 1688 sous le nom de Notre-Dame de l'Épine. Ancienne chapelle frairienne, elle est réédifiée en 1833. Son campanile porte les dates de 1565, 1688 et 1833. La tradition prétend qu'elle est construite sur l'emplacement d'une épine où l'on trouva une statue de la Vierge. On y conserve l'ancienne cloche de la chapelle Saint-Adam et la statue de la Vierge.
    • L'ancienne chapelle du Vieux-Couvent (XIXe siècle) des sÅ“urs de la Sagesse (1700-1800)
    • Le calvaire des marins (XIXe siècle), située au bourg de Saint-Briac[60]. Il se trouve à l'emplacement d'un ancien dolmen détruit vers 1850.
    • La croix située au village de la Chapelle[61]. Cette croix remplace l'ancienne chapelle Saint-Pabu ou Saint-Tugdual.
    • Le château du Nessay (XIXe-XXe siècle)[62]. Le château de Saint-Briac qui était situé au lieu-dit la Houle a été détruit vers 1650. La seigneurie de La Houle est annexée par le roi en 1650 à la seigneurie de la famille Breil-de-Pontbriand. Le château actuel a été érigé en 1886, par le comte Maurice de Villebresme, maire (1892-1899) de la commune. Il appartient à la commune qui le fait fonctionner en centre de vacances. Le parc contient une chapelle[63] reconstruite au XIXe siècle, avec réemploi d'une porte du XVIe siècle.
    • L'ancien château fort de la Houle, mentionné dès le XIIe siècle dans le Roman d'Aquin. Il possédait jadis une chapelle privée[63]. C'était le château seigneurial de la paroisse. Propriété de la famille d'Elbiest en 1460 et en 1520[64]. Il est annexé en 1656 à la seigneurie de Pontbriand,
    • L'ancienne faïencerie (1898-1899)[65]
    • L'hôtel de La Houle (1880-1885)[66]
    • La maison (XVIIIe siècle), située au no 1, rue du Nord[67]
    • La rue pavée Emile-Bernard[68]
    • Le lavoir (XXe siècle),
    • Le boulevard de la Mer[69] et le balcon d'Émeraude[70]
    • Quatre moulins dont les moulins à vent de la Houle[71] (encore surnommé Moulin de Pierre Allée) (XVIIe siècle), de la Marche[72], de la Tourelle, et le moulin à eau de Rochegoude[73] - [74] (XIXe siècle)
    • Plusieurs monuments mégalithiques
    • Le Tertre-Girault[75] et la « pierre du diable »
    • L'ancien manoir de la Garde[76]. Propriété de la famille Boutier, puis de la famille du Breil en 1682
    • L'ancien manoir de la Ville-aux-Provôts, situé route de Pleurtuit. Propriété de la famille du Breil en 1682[64].
    • Le bureau de poste[77] construit sur les plans de Pierre-Jack Laloy en 1936 est un bon exemple de l'architecture régionaliste de l'entre-deux-guerres. Il comporte des bas-reliefs de Armel Beaufils et des mosaïques d'Odorico

    Sites naturels

    • Pointe de la Garde-Guérin

    La Garde Guérin est un promontoire rocheux culminant à 48 mètres au nord de la commune. De son sommet, la vue s'étend du cap Fréhel à Saint-Malo et au-delà. Cet espace naturel départemental abrite deux espèces de chauves-souris inscrites au livre rouge des espèces menacées en France : le grand murin et le grand rhinolophe.

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    Famille impériale russe

    Après la Révolution bolchévique, Saint-Briac servit de résidence aux membres exilés de la famille impériale russe. Le grand-duc Cyrille Vladimirovitch de Russie et son épouse, la grande-duchesse Victoria Mélita, y vécurent avec leurs enfants, le grand-duc Vladimir Kirillovitch, la grande-duchesse Maria Kirillovna, princesse de Linange et la grande-duchesse Kira Kirillovna, princesse royale de Prusse, transformant la station en véritable « capitale » de l'émigration des Russes blancs.

    Famille Forbes

    Une branche de la famille Forbes, une riche et ancienne famille américaine de Boston d'origine écossaise qui a fait fortune au XIXe siècle dans le commerce de l'opium avec la Chine et le chemin de fer, possède un domaine sur la commune, aux Essarts. James Grant Forbes (1879-1955), né à Shangaï et ayant fait ses études en Angleterre et à Harvard, à côté de Boston, conforta la fortune familiale en commerçant en Chine dans le commerce de l'opium. Il fit l'acquisition du domaine des Essarts qui allait devenir le lieu de réunion familiale. James Grant Forbes était le grand-père de Brice Lalonde, candidat écologiste à l'élection présidentielle française de 1981, ancien ministre de l'Environnement et ancien maire de la commune et de John Forbes Kerry, sénateur démocrate du Massachusetts, Secrétaire d'État, candidat à l'élection présidentielle américaine de 2004. La commune et le domaine des Essarts connurent alors une certaine notoriété médiatique.

    De nombreux membres de la famille Forbes ont passé les vacances d'été en Bretagne dans ce domaine familial. Durant l'Occupation, Les Essarts furent réquisitionnés et employés comme siège d’une société allemande. À leur départ, les occupants bombardèrent et brûlèrent la propriété. Le domaine fut reconstruit en 1954. Cousins germains, Brice Lalonde et John Kerry ont souvent passé, avec leurs parents, les vacances d'été dans la maison familiale de Saint-Briac-sur-Mer, "Les Essarts".

    Brice Lalonde s’oppose à la construction par l'État d’un sentier de randonnée en application de la loi dite du Littoral, sentier qui passerait le long de sa propriété[78] - [79].

    Personnalités politiques françaises

    • Brice Lalonde (1946), ancien maire de Saint-Briac-sur-Mer, ancien ministre de l'Environnement,
    • Yvon Bourges (1921-2009), maire de Dinard, conseiller général d'Ille-et-Vilaine, président du conseil régional de Bretagne, ministre de la Défense, y a beaucoup séjourné.
    • Valérie Fourneyron (1959), ancienne ministre et maire de Rouen, y possède une maison de villégiature. Son mari Philippe est le maire de Saint-Briac depuis .

    Artistes et œuvres inspirées par Saint-Briac

    • Jean Ajalbert (1863-1947) séjourne à Saint-Briac en 1886
    • Eugène Baudin (1853-1918) céramiste, ouvre une faïencerie à Saint-Briac en 1897, en laisse la direction à son fils adoptif, Paul Baudin, en 1906
    • Armel Beaufils, (1882-1952) sculpteur, a résidé à Saint-Briac-sur-Mer de 1929 à 1952
    • Émile Bernard (1868-1941), peintre et écrivain, a décoré, au cours des deux mois passés à Saint-Briac-sur-Mer, sa chambre de l'auberge de Mme Lemasson située dans la rue qui porte aujourd'hui son nom. Il séjourna à Saint-Briac en 1886, 1887, 1888, 1889, 1891
    • Rue à Saint-Briac (1886).
      Rue à Saint-Briac (1886).
    • Paysage à Saint-Briac (1886).
      Paysage à Saint-Briac (1886).
    • Paysage, Saint-Briac (1887).
      Paysage, Saint-Briac (1887).
    • Le port à Saint-Briac (1887).
      Le port à Saint-Briac (1887).
    • Après-midi à Saint-Briac (1887).
      Après-midi à Saint-Briac (1887).
    • Saint-Briac (date inconnue).
      Saint-Briac (date inconnue).
    • Portrait de Marie Lemasson (1892, musée d'Israël).
      Portrait de Marie Lemasson (1892, musée d'Israël).

    Cinéma

    Autres personnalités

    • Pierre-Louis Thoreux (1890 - 1971), commandant, notamment, du paquebot Normandie, est né et est enterré à Saint-Briac

    Galerie

    • Le club-house au golf.
      Le club-house au golf.
    • Au temps des P.T.T.
      Au temps des P.T.T.
    • Les mouillages au Béchet.
      Les mouillages au Béchet.
    • Le château du Nessay.
    • Le clocher de l'église.
      Le clocher de l'église.
    • La plage du Béchet.
      La plage du Béchet.
    • La plage du Béchet en été.
      La plage du Béchet en été.
    • Le port et la plage du Béchet vus du Balcon d'Émeraude.
      Le port et la plage du Béchet vus du Balcon d'Émeraude.
    • La plage de la Grande Salinette en contrebas, côté ouest, du parc du château du Nessay.
      La plage de la Grande Salinette en contrebas, côté ouest, du parc du château du Nessay.
    • La plage de la Salinette et ses cabines en bois.
      La plage de la Salinette et ses cabines en bois.
    • La mairie.
      La mairie.
    • Le chemin du perron bordé de ganivelles, avec vue sur la presqu’île du perron.
      Le chemin du perron bordé de ganivelles, avec vue sur la presqu’île du perron.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, carte p. 170.
    2. Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005. p. 38, 41.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    11. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Dinard », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Jacques Briard, Loïc Langouët et Yvan Onnée, Les mégalithes du département d'Ille-et-Vilaine, Rennes, Institut culturel de Bretagne et Centre régional d'archéologie d'Alet, coll. « Patrimoine archéologique de Bretagne », , 122 p. (ISBN 978-2-86822-092-9), p. 86-87.
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    33. Les corps de garde et blockhaus sur la commune de Saint-Briac-sur-Mer, Notice no IA35006517, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
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    68. Maison, rue de la Croix des Marins ; rue Émile-Bernard, Notice no IA35006782, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
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    71. Moulin à vent dit le Vieux Moulin, Notice no IA35006478, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    72. Moulin de la MarcheNotice no IA35006849, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    73. moulin à marée, puis minoterie de Rochegoude, actuellement maison, Notice no IA35000513, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    74. Moulin à marée, puis minoterie de Rochegoude, actuellement maisonNotice no IA35000513, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    75. Le Tertre Girault, Croix de chemin, Notice no IA35006972, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    76. La Garde, ferme, Notice no IA35006668, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
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    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

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    • Aimée Gourin et Cédric Gourin, La Côte d'Emeraude, de Saint-Lunaire à Saint-Jacut-de-la-Mer, éditions Alan Sutton,
    Roman historique qui relate les débuts du tourisme sur la Côte d'Emeraude et notamment la période de résidence des peintres à Saint-Briac. Prix Jackie-Bouquin « la Femme dans l'histoire ».
    • Auguste Lemoine, De Saint-Malo au Cap Fréhel,
    • Auguste Lemasson, La descente des Anglais à Saint-Briac et leur défaite à Saint-Cast, Paris, Lorisse - Le livre d'histoire, , 174 p. (ISBN 978-2-7586-0124-1)
    • Auguste Lemasson, La Descente des Anglais à Saint-Briac et leur défaite à Saint-Cast, l'an 1758, récit complet et authentique d'après trois relations et plusieurs autres documents inédits, F. Guyon,
    • Auguste Lemasson, La Féodalité à Saint-Briac. Les terres nobles et leurs seigneurs du XVe siècle à la Révolution, Rennes, impr. de Oberthur, (lire en ligne)
    • Auguste Lemasson, « Nouvelle relation de la descente des Anglais à Saint-Briac & de leur défaite de Saint-Cast en 1758, suivie d'une lettre inédite d'un officier du Fort La Latte », Société d'Émulation des Cotes-du-Nord - Mémoires, vol. LXI,‎ (lire en ligne)
    • Auguste Lemasson, Saint-Briac, centre de la correspondance des princes 1794-1796. Puisaye. Busnel. Prigent,
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    • Henri Fermin, Dinart avant Dinard : Dinard, Saint-Lunaire, Saint-Briac, Pleurtuit et baie de Saint-Malo, Saint-Malo, Éd. Cristel, Collection Archéologie & histoire, , 109 p. (ISBN 2-84421-052-X)
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    • Achkren Allée, La faïencerie de Saint-Briac-sur-Mer et l'histoire d'Eugène Baudin, Dinard, Association Histoire et patrimoine du pays de Dinard,
    • Henri Bellamy, La résistance dans mon village Saint Briac sur mer, Chez M Poirot Librairie Saint Briac Sur Mer 1946,
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    • Bernard de Coux, Les temps de Saint-Briac : Mémoire d'un village, Editions Cristel, (ISBN 978-2-84421-066-1 et 2-84421-066-X)
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    • François-Xavier David, Nous irons ensemble (roman), Paris, Société des Écrivains, Saint-Denis, , 514 p. (ISBN 978-2-342-01610-9, lire en ligne)
    • François-Xavier David, Benoni Rivière, cafre blanc (roman), Saint-Denis, Société des Écrivains, Saint-Denis, , 296 p. (ISBN 978-2-342-05660-0)
    • François-Xavier David, Jan Cocheril, enquêteur à Saint Briac (roman), Saint-Denis, Société des Écrivains, Saint-Denis, , 239 p. (ISBN 978-2-342-16595-1, lire en ligne)

    Liens externes

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