La Trinité-sur-Mer
La TrinitĂ©-sur-Mer [la tÊi.ni.te syÊ mÉÊ] est une commune française, crĂ©Ă©e en 1864, situĂ©e dans le dĂ©partement du Morbihan en rĂ©gion Bretagne.
La Trinité-sur-Mer | |
La Trinité-sur-Mer. | |
Blason |
Logo |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Bretagne |
DĂ©partement | Morbihan |
Arrondissement | Lorient |
Intercommunalité | Auray Quiberon Terre Atlantique |
Maire Mandat |
Yves Normand 2020-2026 |
Code postal | 56470 |
Code commune | 56258 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Trinitains |
Population municipale |
1 698 hab. (2020 en augmentation de 3,98 % par rapport Ă 2014) |
Densité | 274 hab./km2 |
Population agglomération |
7 859 hab. |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 47° 35âČ 10âł nord, 3° 01âČ 42âł ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 31 m |
Superficie | 6,2 km2 |
Type | Commune rurale et littorale |
Unité urbaine | Carnac (banlieue) |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Quiberon |
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.la-trinite-sur-mer.fr |
La Trinité-sur-Mer est connue pour son port et pour ses compétitions nautiques.
GĂ©ographie
Localisation
BĂątie sur une hauteur, la ville de La TrinitĂ©-sur-Mer s'Ă©tire sur 800 mĂštres en bordure de la riviĂšre de Crach dont le vaste estuaire, bien abritĂ©, accueille les nombreux parcs Ă huĂźtres destinĂ©s Ă la rĂ©colte du naissain. Un petit port de pĂȘche, un port de plaisance trĂšs frĂ©quentĂ© et des chantiers navals apportent une grande animation Ă la citĂ© balnĂ©aire qui possĂšde de belles plages le long de la presqu'Ăźle de Kerbihan.
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
- La pointe de Men Du et l'Ăźle de Stuhan vus depuis la plage du Men Du.
Voies de communication et transports
Le premier pont de Kerisper permettant de franchir la RiviÚre de Crac'h et de relier La Trinité-sur-Mer à Crac'h et Locmariaquer via Saint-Philibert fut construit entre 1899 et 1901[1] (sa construction était réclamée par les habitants de la région depuis des décennies[2]). Ce pont était constitué d'arches en pierres à ses deux extrémités, avec un tablier métallique (type Eiffel) de 100 mÚtres de long et à voie unique dans sa partie centrale. Ce pont fut détruit par les Allemands le . Le nouveau et actuel pont de Kerisper a été inauguré en 1956 et a connu une rénovation importante en 2009-2010[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Carnac », sur la commune de Carnac, mise en service en 1993[10] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 832,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Vannes-SĂ©nĂ© », sur la commune de SĂ©nĂ©, mise en service en 1998 et Ă 22 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,3 °C pour 1981-2010[14] Ă 12,4 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
La Trinité-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Carnac, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[19] et 12 856 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22] - [23].
La commune, bordĂ©e par l'OcĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[24]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[25] - [26].
En 2020, 67,7 % des logements de La Trinité-sur-Mer étaient, selon l'INSEE, des résidences secondaires[27].
Selon le baromĂštre de l'immobilier, La TrinitĂ©-sur-Mer Ă©tait en 2021 la commune de Bretagne oĂč le prix mĂ©dian des maisons Ă©tait le plus Ă©levĂ© (627 500 euros) [28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (41,4 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (33,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (34,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (27 %), forĂȘts (18,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (6,8 %), zones humides cĂŽtiĂšres (5 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,8 %), eaux maritimes (2,1 %), terres arables (0,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (0,3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,2 %)[29].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[30].
Toponymie
Le nom de la localité tire son nom de la chapelle du village édifiée en 1682 en remplacement d'une ancienne chapelle Saint-Gildas. Avant 1864, elle s'appelait encore Locqueltas, en breton Lokeltaz, « lieu de Gweltas (Gildas) »[31].
Le nom de la commune en breton est An Drinded-Karnag, ce qui traduit en français donne La Trinité-Carnac. An Drinded rappelle La Sainte Trinité des Chrétiens.
Histoire
Moyen-Ăge
C'est Ă partir du XIIIe siĂšcle que l'on trouve des traces du village et de son port. L'activitĂ© saline est trĂšs importante pendant plusieurs siĂšcles. Une maison de douanier postĂ©e en vigie Ă lâentrĂ©e du chenal tĂ©moigne de cette Ă©poque.
La Trinité-sur-Mer comprend 15 des 70 villages recensés dans la paroisse de Carnac en 1475. Parmi ceux-ci, Locqueltas (frairie de Larmor) ; une chapelle de la Sainte-Trinité y est construite en 1682, succédant à une chapelle Saint-Gildas. Locqueltas devient alors le village de la Trinité (bourg actuel).
Le XIXe siĂšcle
La commune de la Trinité-sur-Mer est créée en 1864, la paroisse en 1865.
La Belle Ăpoque
Un vĆu en faveur d'un projet de construction d'une ligne de chemin de fer Ă voie Ă©troite allant d'Ătel Ă Vannes en passant par La TrinitĂ©-sur-Mer, Crach, Le Bono, Baden et Arradon, qui aurait nĂ©cessitĂ© la construction de plusieurs ouvrages d'art, fut votĂ© en 1916 par le Conseil gĂ©nĂ©ral du Morbihan, mais ce projet n'aboutit pas[32]. Seule la ligne de tramway allant de la TrinitĂ© Ă Ătel fut construite en 1901, mais elle ferma en 1915 et rouvrit, transformĂ©e en ligne de chemin de fer Ă voie Ă©troite, entre 1922 et 1935[33].
L'Entre-deux-guerres
Le village se dĂ©veloppa autour du commerce maritime et la petite communautĂ© prospĂ©ra. Mais en 1931, le gouvernement prit une mesure protectionniste pour favoriser les Charbonnages de France. Le commerce maritime s'arrĂȘta Ă la TrinitĂ©-sur-Mer. Le village se tourna alors vers la pĂȘche. L'ancienne criĂ©e, dĂ©molie en 1923, fut reconstruite, et les goĂ©lettes laissĂšrent la place aux bateaux de pĂȘche.
La Seconde Guerre mondiale
L'épave d' un bombardier de la Royal Air Force, qui s'abima en mer à l'entrée du chenal du port de La Trinité pendant la Seconde Guerre mondiale a été retrouvée en 2015 par le Groupement de recherche archéologique, historique et maritime de Bretagne Sud (GRAHMBS)[34].
Le XXIe siĂšcle
Aujourd'hui, le port de pĂȘche s'est transformĂ© en port de plaisance avec l'essor du tourisme nautique. L'ostrĂ©iculture est aussi bien prĂ©sente Ă la TrinitĂ©-sur-Mer.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[37].
En 2020, la commune comptait 1 698 habitants[Note 6], en augmentation de 3,98 % par rapport Ă 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 2018, selon l'Insee, 67,3 % des logements étaient des résidences secondaires à La Trinité-sur-Mer.
Enseignement
La ville possÚde une école publique maternelle et primaire baptisée Les Crevettes Bleues. Elle se compose de deux classes : une maternelle-CP et une CE1-CM2. L'école possÚde aussi 3 cours de récréation. La ville possÚde également une école privée baptisée " Notre Dame", comprenant 3 classes.
Sports
En complément au tourisme terrestre, La Trinité a développé son port à flot, qui est aujourd'hui un des principaux ports de plaisance en Bretagne. Sa position privilégiée au fond d'un estuaire lui permet d'accueillir les multicoques (catamarans, trimarans) qui viennent se préparer pour les courses autour du monde.
Mais La TrinitĂ©-sur-Mer est surtout un des lieux de rĂ©gate les plus importants d'Europe. La SociĂ©tĂ© Nautique de La TrinitĂ©-sur-Mer organise de nombreuses rĂ©gates, forme les marins Ă travers son Ă©cole de voile et de sport. Toutes les sĂ©ries de course-croisiĂšre s'y retrouvent le weekend de PĂąques oĂč plus de 400 bateaux peuvent se retrouver dans une quinzaine de sĂ©ries diffĂ©rentes, pour les rĂ©gates du Spi Ouest-France.
La situation géographique de La Trinité permet d'organiser des régates complexes mais équitables dans la baie de Quiberon ainsi que des courses hauturiÚres le long des cÎtes de Bretagne sud et autour des ßles du Ponant.
La ville avait aussi un casino qui complétait l'offre en terme d'activités de loisirs et de tourisme ; il contribuait à financer une partie des équipements de la ville et leur entretien. Fermé depuis le , le Casino sert maintenant d'hÎtel sous le nom "HÎtel de la Trinité".
Patrimoine, personnalités et héraldique
Lieux et monuments
- Le pont de Kerisper rejoint Saint-Philibert en franchissant la riviÚre de Crac'h. à l'origine, il s'agissait d'un pont en acier, conçu par Gustave Eiffel et inauguré en 1901. Il fut détruit en 1944 par les Allemands et reconstruit entre 1956 et 1958, sous la forme d'un pont en arc de 203 mÚtres de long. La structure attaquée par la corrosion due à l'environnement marin, des travaux de réfection ont été engagés fin 2009[40]. AprÚs avoir été interrompus et reportés de plusieurs mois, ils ont repris en , pour une durée prévue d'un an[41].
- La Trinité-sur-Mer possÚde plusieurs sites mégalithiques, tous classés aux monuments historiques :
- Alignements du Petit-Ménec ( Classé MH (1889))
- Allée couverte d'Er-Roh ( Classé MH (1929))
- Dolmen de Kermarker ( Classé MH (1899))
- Dolmen de Mané Rohr ( Classé MH (1947))
- Dolmens de Mané-Kervilor ( Classé MH (1927))
- Tumulus d'Er-Velenc-Losquet ( Classé MH (1931))
- Les deux grandes plages exposĂ©es au sud sur la baie, celle de Kervillen surveillĂ©e par un poste de secours de la SNSM et celle du Men-DĂ» face Ă lâĂźle de Stuhan Ă laquelle elle est reliĂ©e Ă marĂ©e basse par un tombolo, accueillent les baigneurs et amateurs de pĂȘche Ă pied Ă marĂ©e basse ; avec leurs clubs de loisirs, et Ă©quipĂ©es de toilettes publiques et douches, elles sont accessibles aux personnes Ă mobilitĂ© rĂ©duite et bordĂ©es de parkings.
- De plus petites plages exposĂ©es Ă lâest sâouvrent sur le chenal du Cracâh, traversĂ© par les nombreux bateaux de plaisance qui rejoignent le port : elles permettent Ă©galement la pĂȘche Ă pied dans la vasiĂšre de la Vaneresse, dĂ©couverte Ă marĂ©e basse et qui sâĂ©tend tout le long du chenal jusquâau port, mais aussi la baignade Ă marĂ©e haute dans des espaces rĂ©servĂ©s interdits Ă la navigation.
- Ăglise Saint-Joseph.
Personnalités liées à la commune
- La Famille Le Pen, dont le patriarche Jean-Marie Le Pen est né à La Trinité-sur-Mer, et dont d'autres membres comme Marine Le Pen et Marion Maréchal-Le Pen y ont leurs habitudes[42] - [43] - [44]
- Alain BarriÚre (1935-2019), chanteur français, auteur-compositeur, né et enterré à La Trinité-sur-Mer ;
- Alain Souchon (1944-), chanteur français, possÚde une résidence secondaire à La Trinité-sur-Mer ;
- Jacques Botherel (1946-), coureur cycliste français, champion du monde amateur sur route en 1965[45] ;
- Philip Plisson (1947-), photographe, établi à La Trinité-sur-Mer ;
- Thomas Coville (1968-) navigateur français.
HĂ©raldique
|
Les armoiries de La Trinité-sur-Mer se blasonnent ainsi : |
---|
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- "Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan", n° du 22 août 1898, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57791490/f205.image.r=Crach?rk=128756;0
- « Une lettre de Bretagne.. », sur Journal Le Rappel, (consulté le ).
- http://locmariaquer.info/f221_%20le%20pont%20de%20Kerisper.htm
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Carnac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre La Trinité-sur-Mer et Carnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Carnac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Trinité-sur-Mer et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Carnac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative Ă lâamĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
- Martin Vaugoude, « Limiter les résidences secondaires : le sujet qui divise la Bretagne. », sur https://www.letelegramme.fr, (consulté le ).
- « Immobilier en Bretagne : le marchĂ© a-t-il atteint son pic ? », Journal Le TĂ©lĂ©gramme,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Ătymologie et Histoire de La TrinitĂ©-sur-Mer », sur infobretagne.com (consultĂ© le ).
- « Nos futurs chemins de fer », L'Ouest-Ăclair,â , p. 5 (lire en ligne sur Gallica, consultĂ© le )
- « Voies ferrĂ©es d'intĂ©rĂȘt local. Ligne de La TrinitĂ©-sur-Mer Ă Ătel », sur Rapports du PrĂ©fet et dĂ©libĂ©rations du Conseil gĂ©nĂ©ral / Conseil gĂ©nĂ©ral du Morbihan, (consultĂ© le ).
- Sophie Paitier, « Une nouvelle carte bretonne des Ă©paves de la Seconde Guerre mondiale », JournalLe TĂ©lĂ©gramme,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Municipales à La Trinité-sur-Mer. Yves Normand élu », sur Ouest-France, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Conseil général du Morbihan, Morbihan Hebdo no 165, du 9 au 15 novembre 2009. Page consultée le 4 juin 2010.
- Le Télégramme.com, Pont de Kerisper. 12 mois de réfection, 7 août 2010. Consulté le 29 octobre 2010.
- François Krug, « A La Trinité-sur-Mer, la demeure historique du clan Le Pen », sur Le Monde, (consulté le ).
- Thierry Charpentier, « à La Trinité-sur-Mer, « les Le Pen, des citoyens lambda » », sur Le Télégramme, (consulté le )
- Tugdual Denis, « Voyage à la Trinité: le fief du clan Le Pen », sur L'Express, (consulté le )
- Le TĂ©lĂ©gramme, « Tour de France : Jacky Botherel, le Trinitain au cĆur arc-en-ciel battant pour la Grande boucle », Le TĂ©lĂ©gramme,â (lire en ligne)
Voir aussi
Bibliographie
- Xavier Dubois, Histoire de Carnac et de La TrinitĂ©-sur-Mer, Ăditions du Menhir, Carnac, 2010
Articles connexes
- Liste des communes du Morbihan.
- La bataille des Cardinaux ayant opposĂ© en 1759 durant la guerre de Sept Ans les flottes française et britannique, au sud de la TrinitĂ©-sur-Mer, dans la baie de Quiberon contrĂŽlant lâentrĂ©e du golfe du Morbihan, et sâest poursuivie aprĂšs la dĂ©faite française jusquâaux estuaires de la Vilaine et de la Loire.
Liens externes
- Site de la ville
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de l'office de tourisme
- Carte de Cassini de La Trinité-sur-Mer sur le site de GenCom
- La Trinité-sur-Mer sur le site de GenCom
- Architecture de La Trinité sur Mer - Base Mérimée
- La Trinité-sur-Mer sur le site de l'Institut géographique national