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Montjaux

Montjaux, en occitan Montjòus, est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie. La commune est issue de la réunion des anciennes communes de Marzials, Montjaux et Roquetaillade.

Montjaux
Montjaux
Blason de Montjaux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes de la Muse et des Raspes du Tarn
Maire
Mandat
Colette Lembert
2020-2026
Code postal 12490
Code commune 12153
Démographie
Gentilé Montjovien(ne)
Population
municipale
426 hab. (2020 en augmentation de 9,51 % par rapport à 2014)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 06′ 12″ nord, 2° 54′ 23″ est
Altitude Min. 340 m
Max. 1 087 m
Superficie 31,48 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Millau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tarn et Causses
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Montjaux
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Montjaux

    Le patrimoine architectural de la commune comprend cinq immeubles protégés au titre des monuments historiques : le dolmen du Puech, classé en 1889, l'église Saint-Quirinus, classée en 1909, la maison Bermont, inscrite en 1930, le château bas, inscrit en 1978, et l'église Saint-Martin d'Ayguebonne, inscrite en 1978.

    Géographie

    Localisation

    Les communes limitrophes sont Castelnau-Pégayrols, Comprégnac, Saint-Georges-de-Luzençon, Saint-Rome-de-Tarn, Salles-Curan et Viala-du-Tarn.

    Site

    Le bourg chef-lieu de commune de Montjaux.

    Le territoire de la commune se situe au sud du Massif central. Il s'étend sur une partie de l'un des versants sud du Lévézou, depuis la crête du massif jusqu'aux vallées du Tarn et de son affluent la Muze.

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Montjaux.

    La commune est drainée par le Tarn, la Muze, le ruisseau de Prat Long, le ravin de Rocazel, le ruisseau de Candadès, le ruisseau de la Salesse, le ruisseau de Matazou, le ruisseau de Rigoulet, le ruisseau de Rivière Vieille, le ruisseau de Valos, le ruisseau rocazel et par divers petits cours d'eau[1].

    Le Tarn, d'une longueur totale de 380,2 km, prend sa source dans la commune de Pont de Montvert - Sud Mont Lozère (48) et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave (82), après avoir arrosé 99 communes[2].

    La Muze, d'une longueur totale de 29,3 km, prend sa source dans la commune de Vézins-de-Lévézou et se jette dans le Tarn à Montjaux, après avoir arrosé 6 communes[3].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[4].

    La commune fait partie du SAGE Tarn amont, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le territoire de ce SAGE concerne une partie des bassins du Tarn de l’Aveyron et de l’Agout. Il couvre 69 communes, sur trois départements (Aveyron, Gard et Lozère) et deux régions, pour une superficie de 2 700 km2[5] - [6]. Le pilotage et l’animation du SAGE et du contrat de rivière du Tarn-amont associé sont assurés par le Syndicat mixte du bassin versant du Tarn-amont (SMBVTAM), qualifié de « structure porteuse ». Cet organisme a été créé le et est constitué de neuf communautés de communes[7].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 185 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,2 j

    La commune bénéficie d’un « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. La température moyenne annuelle est élevée, avec des jours de froid en nombre réduit et des jours chauds compris entre 15 et 23 par an[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau de la commune[11], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[16] - [17] - [18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Montjaux comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] - [19], la « Rivière Tarn (partie Aveyron) » (2 381 ha), couvrant 41 communes dont 25 dans l'Aveyron et 16 dans le Tarn[20] et la « Vallée du Tarn et de la Muze à Saint-Rome et montjaux » (3 336 ha), couvrant 5 communes du département[21] et une ZNIEFF de type 2[Note 3] - [19], la « Vallée du Tarn, amont » (36 322 ha), qui s'étend sur 57 communes dont 31 dans l'Aveyron, 1 dans la Lozère et 25 dans le Tarn[22].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Montjaux est une commune rurale[Note 4] - [23]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Millau, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Montjaux.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44 %), prairies (21,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,2 %), terres arables (2,8 %), zones urbanisées (0,9 %)[25].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes de la Muse et des Raspes du Tarn, dont la commune est membre[26].

    La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée et un plan local d'urbanisme était en élaboration[27].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Montjaux est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers, les risques radon et minier[28] - [29].

    Risques naturels

    Zones inondables de la commune de Montjaux.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Tarn. Un plan des surfaces submersibles (PSS), premier document cartographique réglementant l'occupation du sol en zone inondable pour les cours d'eau domaniaux, a été établi en 1964. Compte tenu du peu d’enjeux exposés à ces inondations, aucun plan de prévention du risque d’inondation n’a été prescrit[28]. Néanmoins la loi Barnier du confère aux PSS un statut de plan de prévention des risques (PPR ), les rendant par conséquent opposables au tiers et faisant entrer le territoire de la commune dans le champ d'application de l'obligation d'information des acquéreurs locataires[30].

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[31].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[32] - [33].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].

    Risques particuliers

    La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[35].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Montjaux est classée à risque moyen à élevé[36]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[37] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[38].

    Toponymie

    Composé du latin mons (« mont ») et du latin gallus (« coq »).

    Histoire

    Héraldique

    Blason de la commune de Montjaux

    Les armes de la commune de Montjaux se blasonnent ainsi :
    Tiercé en pairle renversé : au premier de gueules au léopard lionné d'or, au deuxième d'argent à la tour d'azur ouverte et ajourée du champ, au troisième de sinople au dolmen d'argent.

    Préhistoire et Antiquité

    La commune de Montjaux conserve de nombreux sites préhistoriques, avec des dolmens et des tumuli. Son nom même proviendrait du latin, mons Jovis, le mont de Jupiter, d'où l'hypothèse d'un temple sur le sommet qui domine le village.

    Moyen Âge

    Au Moyen Âge, un château fort fut bâti sur ce sommet, dominant un important bourg fortifié. L'église Saint-Cyrice-et-Sainte-Julitte conserve une architecture romane[39], qui témoigne de la prospérité ancienne du lieu, comme les vestiges de demeures villageoises. Au XVe siècle, les seigneurs firent construire un nouveau château, plus proche du bourg, sur le chemin important reliant Saint-Rome-de-Tarn à Salles-Curan[40]. Alors que le lieu et la paroisse de Candas dépendaient de la seigneurie de Montjaux, Roquetaillade et Marzials constituaient une entité distincte. Le patrimoine conservé dans ces deux lieux témoigne également de leur richesse (château et église de Roquetaillade, remparts et maisons de Marzials). La vigne était l'activité agricole la plus rémunératrice du territoire. Comme dans toute la région, la guerre de Cent Ans aux XIVe et XVe siècles et les guerres de Religion au XVIe siècle sont des périodes de violence et d'insécurité rythmées par les sièges et les coups de force de bandes de pillards[41].

    Époque moderne

    Les XVIIe et XVIIIe siècles se caractérisent par l'intégration progressive dans le cadre centralisé de la monarchie absolutiste.

    Époque contemporaine

    La Révolution française a aboli les privilèges de la noblesse et du clergé, mais les familles seigneuriales, les Raymond de Montjaux et les Julien de Roquetaillade, ainsi que l'Église, ont conservé une place prééminente dans la vie locale jusqu'au cœur du XXe siècle. Au XIXe siècle, l'expansion de la ganterie millavoise a offert du travail aux femmes des campagnes environnantes, jusqu'au milieu du XXe siècle. La croissance de la production du Roquefort a également contribué à l'activité de la région. Par contre, la commune a été fortement affectée par la crise de phylloxéra de 1883-1884 qui a accéléré l'exode rural amorcé au XIXe siècle. La saignée de la Première Guerre mondiale a accentué le déclin, qui s'est poursuivi depuis[41]. L'arrivée de néo-ruraux (les hippies des années 1970 et d'autres plus récemment), l'achat de résidences secondaires par des habitants d'Europe du Nord (Belges, Hollandais, Britanniques, Allemands), le tourisme vert et l'installation de couples travaillant à Millau ou à Saint-Affrique permettent le maintien d'une vie villageoise, malgré le dépeuplement et le vieillissement de la population.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Montjaux est membre de la communauté de communes de la Muse et des Raspes du Tarn[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Rome-de-Tarn. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[42].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Tarn et Causses pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[43].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Montjaux, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[44] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[45]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[46] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 58,48 %[47]. Colette Lembert est élue nouvelle maire de la commune le [48].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[49]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes de la Muse et des Raspes du Tarn[50].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 2001 Armand Vernhettes CD
    puis apparenté PS
    puis PRG
    Agriculteur
    Conseiller général de 1970 à 2001 (canton de Saint-Beauzély)
    mars 2001 ? Jean Claude Fournier
    mars 2014 En cours Jean Froment SE Retraité
    mars 2014 mai 2020 Jean Froment[51] Retraité de profession libérale
    mai 2020 en cours Colette Lembert[51] - [52] Ancienne profession intermédiaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[54].

    En 2020, la commune comptait 426 habitants[Note 6], en augmentation de 9,51 % par rapport à 2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9689131 6021 4931 5111 4741 4841 5051 538
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4111 3121 3091 2831 3301 3191 2801 1671 132
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0811 0591 019863833845807741639
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    588501444423382388392393396
    2018 2020 - - - - - - -
    419426-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 206 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 426 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 980 â‚¬[I 5] (20 640 â‚¬ dans le département[I 6]).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 7]5,4 %8,3 %8,6 %
    Département[I 8]5,4 %7,1 %7,1 %
    France entière[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 256 personnes, parmi lesquelles on compte 73,8 % d'actifs (65,2 % ayant un emploi et 8,6 % de chômeurs) et 26,2 % d'inactifs[Note 8] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Millau, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1] - [I 10]. Elle compte 69 emplois en 2018, contre 81 en 2013 et 75 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 171, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,5 %[I 11].

    Sur ces 171 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 61 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 84,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Activités hors agriculture

    32 établissements[Note 9] sont implantés à Montjaux au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10] - [I 14].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre%%
    Ensemble32100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    618,8 %(17,7 %)
    Construction618,8 %(13 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    515,6 %(27,5 %)
    Information et communication13,1 %(1,5 %)
    Activités financières et d'assurance13,1 %(3,4 %)
    Activités immobilières13,1 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    412,5 %(12,4 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    39,4 %(12,7 %)
    Autres activités de services515,6 %(7,8 %)

    Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 18,8 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 32 entreprises implantées à Montjaux), contre 13 % au niveau départemental[I 15].

    Agriculture

    La commune est dans les Grands Causses, une petite région agricole occupant le sud-est du département de l'Aveyron[57]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 2].

    1988200020102020
    Exploitations34222521
    SAU[Note 12] (ha)1 1211 0051 0571 076

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 22 en 2000 puis à 25 en 2010[59] et enfin à 21 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 38 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[60] - [Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 121 ha en 1988 à 1 076 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 33 à 51 ha[59].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Quirinus

    Logo monument historique Classé MH (1909)[61]

    L'église romane Saint-Quirinus date du XIIe siècle aussi appelée Église Saint-Cyrice-et-Sainte-Julitte de Montjaux.

    Château de Montjaux

    Logo monument historique Inscrit MH (1978)[62]

    Le château de Montjaux date du XVe siècle.

    Maison Bermont

    Logo monument historique Inscrit MH (1930)[63]

    La maison Bermont date du XVe siècle.

    Dolmens

    Logo monument historique Classé MH (1889)[64]

    Divers

    Le monument aux morts, devant le château, et le viaduc de Millau.
    • Les fontaines gothiques,
    • Les sarcophages,
    • Les cazelles,
    • Les ruines du château vieux (XIIIe siècle).
    • Col de Montjaux ou col de la Vernhette, sur la RD 993, emprunté par le Tour de France en 1954 et 1983.

    Marzials

    • Les remparts de l'ancienne cité.
    • Église Saint-Martial de Marzials datant du XVe siècle.
    • La pierre à sacrifice.

    Candas

    Ayguebonne

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    • Pauline de La Malène, Parcours romans en Rouergue : 41 parcours sud-ouest, sud-est, t. 2, Rodez, Éd. du Rouergue, , 495 p., ill. en coul., cartes, couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN 978-2-8126-0035-7, BNF 42116450)
    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Armand Vernhettes), Sent-Bausèli : Castelnòu, Mont Jòus, Verrièiras, Lo Vialar / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sent-Bausèli, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-34-3, ISSN 1151-8375, BNF 36988822)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[58].
    • Cartes
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