Marcillé-Raoul
Marcillé-Raoul est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne, peuplée de 735 habitants[Note 1].
Marcillé-Raoul | |||||
Mairie de Marcillé-Raoul. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Fougères-Vitré | ||||
Intercommunalité | Couesnon Marches de Bretagne | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Boulmer 2020-2026 |
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Code postal | 35560 | ||||
Code commune | 35164 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Marcilléens, Marcilléennes | ||||
Population municipale |
735 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 33 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 23′ 13″ nord, 1° 36′ 21″ ouest | ||||
Altitude | Min. 25 m Max. 91 m |
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Superficie | 22,41 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Val-Couesnon | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.marcille-raoul.fr | ||||
Géographie
Situation
- Marcillé-Raoul et les communes avoisinantes.
Description
Le finage de Marcillé-Raoul forme un plan incliné vers le nord-est, ; les altitudes les plus hautes se trouvent proches de ses limites sud-ouest (89 mètres près des Fertais au sud, 86 mètres dans le Bois de Beau Séjour à sa limite ouest) et les plus basses dans l'angle nord-est du territoire communal, dans la vallée du Ruisseau du Val, à 26 mètres d'altitude. Le bourg, situé au centre-nord de la commune, est vers une cinquantaine de mètres d'altitude. La partie méridionale de la commune a conservé des bois (le Bois de Beau Séjour dans l'angle sud-ouest est un appendice de la forêt de Bourgouët qui se trouve dans la commune voisine de Dingé et le Bois de la Claie, au sud du finage communal en sont les principaux) et plusieurs toponymes de cette partie méridionale de la commune sont nommés "landes" (Les Landes au sud-ouest, La Lande Feuillée au sud-est).
La commune est draînée par plusieurs petits cours d'eau, tous sous-affluents du Couesnon, qui coulent en direction du nord ou du nord-est en direction de celui-ci : le Ruisseau de la Fontaine du Theil à l'ouest forme limite avec la commune voisine de Saint-Léger-des-Prés et conflue plus en aval, en dehors du territoire communal, avec la Tamout, affluent de rive gauche du Couesnon ; la partie centrale de la commune est parcourue par le Ruisseau du Val et ses petits affluents, qui y ont leurs sources, et rejoint aussi la Tamout, plus au nord. L'extrême sud de la commune, traversée par la ligne de partage des eaux entre le bassin du Couesnon et celui de l'Ille, possède les sources de plusieurs petits affluents et sous-affluents de cette rivière affluente de rive droite de la Vilaine, qui convergent (le principal est le Ruisseau de Bourgouët) en direction de l'Étang du Boulet situé dans la commune voisine de Feins.
La commune présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé en de nombreux écarts formés de villages et fermes isolées. Éloignée des grands centres urbains, la commune est préservée de la rurbanisation ; quelques modestes lotissements au sud-est du bourg amorcent toutefois une périurbanisation autour de celui-ci.
L'axe routier principal traversant la commune est la D 794 (ancienne Route nationale 794) qui, côté sud-est, vient de Saint-Aubin-du-Cormier et Sens-de-Bretagne, son tracé, après avoir traversé le bourg de Marcillé-Raoul, se poursuit vers le nord-ouest en direction de Combourg et Dinan. La D 91, axe routier plus secondaire, croise dans le bourg de Marcillé-Raoul la D 794, venant côté sud de Feins et allant côté nord en direction de Bazouges-la-Pérouse.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Feins Sa », sur la commune de Feins, mise en service en 2005[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 811,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 37 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Marcillé-Raoul est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,3 %), zones agricoles hétérogènes (39,8 %), forêts (12,3 %), prairies (3 %), zones urbanisées (1,5 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Marcille en 1152, Marciliaco en 1158, Ecclesia de Marcilliaco en 1185, Marcilleyum Dadulfi[21].
Marcillé : d'origine latine, d’un nom d’homme Marcilius, sans doute le propriétaire d’un domaine gallo-romain, suivi du suffixe de localisation gaulois, -akon, évolué en -é [22].
Raoul est un prénom germanique rad (rapide) et de wulf (loup). Il s’agit de Raoul III de Fougères ; c'est en 1240 que Marcillé ajouta à son nom celui du baron Raoul[22].
Histoire
Moyen-Âge
En 1136 le duc de Bretagne Conan le Gros livra bataille près de Marcillé-Raoul à des sujets rebelles dont Olivier de Pontchâteau et d'autres seigneurs. Le duc fut battu ; on voyait encore au XVIIIe siècle les vestiges des retranchements qu'avaient occupé les deux armées[23].
La seigneurie du Châtel, qui appartenait aux barons de Fougères, disposait du droit de haute justice ; les barons de Fougères créèrent à une date inconnue une maladrerie dans la paroisse[22].
En 1208 la terre de Marcillé-Raoul est donnée par Robert d'Apigné[Note 8] à Geoffroi Moisel, abbé de Saint-Melaine de Rennes. L'ancien prieuré, qui datait du XIIe siècle et joignait l'ancienne église romane, était connu sous le vocable "saint Pierre saint Paul" ; il dépendait de l'abbaye Saint-Melaine de Rennes[24].
En 1215 la seigneurie de Marcillé-Raoul, qui faisait partie de la baronnie de Fougères, fut donnée par Geoffroy de Fougères à son oncle Guillaume de Fougères[23].
Le duc de Bretagne Jean I le Roux permit, avec l'accord du Roi de France saint Louis, en 1240 à Raoul III de Fougères de fortifier Marcillé-Raoul[23]. C'est là l'origine de la motte féodale du Châtel, en bordure de l’ancienne voie romaine allant de Rennes à Avranches, étendue sur plus de 2 hectares, la plus vaste de Bretagne, qui est composée de deux mottes de terres inégales de 15 mètres et 8 mètres de hauteur, séparées par un fossé de 5 mètres de profondeur[25]. Une association, l'APPAC ("Association pour la promotion du patrimoine due l'Antrainais et du Coglais"), s'occupe depuis 2016 de la réhabilitation du site[26]. Une tour de l'ancien château a été provisoirement exhumée lors de travaux en 2020 et une fouille de reconnaissance effectuée par des archéologues afin d'identifier le site avec certitude, avant d'être à nouveau recouvert de terre afin de le protéger, dans l'attente d'une fouille plus exhaustive et peut-être d'une mise en valeur future[27].
Vers 1424, le duc d'Alençon, alors seigneur de Fougères, vendit la châtellenie de Marcillé au seigneur de la Villegontier (en Parigné), Morel ; elle devint propriété du duc de Bretagne Arthur III en 1437 ; François II la revendit en 1485 à Philippe de Montauban, seigneur de Sens ; elle redevint la propriété des barons de Fougères en 1516[28].
Temps modernes
La seigneurie du Plessis (elle appartenait en 1574 à Gilles du Chastellier) disposait au XVIe siècle du droit de haute justice[28].
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Marcillé-Raoul en 1778 :
« Marcillé-Raoul ; à 7 lieues au Nord de Rennes, son évêché, et à 2 lieues un tiers d'Antrain, sa subdélégation. Cette paroisse relève du Roi et ressortit au siège royal de Bazouges : on y compte 450 communiants[Note 9] ; c'est l'abbé de Saint-Melaine qui présente la cure. Le territoire est plat, marécageux, et couvert de pommiers et châtaigniers ; les terres en sont bien cultivées ; on y voit un bois taillis qui a environ deux lieues de circuit[29]. »
Révolution française
Le reteur Butet et son vicaire Michel de Moyteaux refusèrent de pêter le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé et devinrent donc prêtres réfractaires ; ils furent emprisonnés entre le et le à plusieurs endroits successifs (abbaye Saint-Melaine de Rennes et Mont Saint-Michel notamment)[21].
Legendre, curé constitutionnel, défraya la chronique de cette époque car il géra la commune avec une particulière incompétence[30] et se comporta en véritable tyran, terrorisant notamment les paroissiennes[21].
Le XIXe siècle
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Marcillé-Raoul en 1853 :
« Marcillé-Raoul (sous l'invocation de saint Pierre) : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale (...). Principaux villages : Piraudain, Montdoublain, le Plessis, la Julerie, Chanteloup, le Châtel, le Villarmais, la Villedeuil, Fresnais, la Chouannière, le Haut et le Bas-Mée. Superficiet totale 2 241 hectares 14 ares, dont (...) terres labourables 1 069 ha, prés et pâturages 132 ha, bois 320 ha, vergers et jardins 28 ha, landes et incultes 612 ha, étangs 17 ha (...). Moulin du Châtel, à eau. (...). Cette commune contient au sud les bois de la Fertais et de la Claie ; au nord-est l'étang du Châtel. Géologie : terrain de transition inférieur (?), modifié par le granite. On parle le français [en fait le gallo][31]. »
La Belle Époque
Barrett-Lennard, un anglais officier de marine exilé par la reine Victoria pour avoir mis enceinte une de ses demoiselles d'honneur (qu'il fut contraint d'épouser), fît construire peu après son arrivée en 1894 une demeure de caractère aux “Fertais”. Reconverti dans l'agriculture, il se lança dans l'élevage de faisans, en ayant plus de 4 000, ce qui était beaucoup pour l'époque. Il a vécu aux "Fertais" jusqu'à sa mort en 1950[32].
- Marcillé-Raoul : le "château" du Fertais au début du XXe siècle (carte postale).
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Marcillé-Raoul porte les noms de 35 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 3 (Mathurin Chalmel, Émile Corvaisier et Pierre Ory) sont morts dès 1914 en Belgique ; Émile Chevalier est mort en captivité en Allemagne à Cassel le ; tous les autres sont morts sur le sol français (parmi ceux-ci 2 (François Avril et Louis Jarry) ont été décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre et 3 (Eugène Corvaisier, Albert Lebreton et Pierre Leroux) de la Croix de guerre. Dans la liste se trouve aussi Wilfrid Barrett-Lennard, fils du propriétaire anglais du "château" de Fertais[33].
L'Entre-deux-guerres
Pendant l'Entre-deux-guerres, Marcillé-Raoul a une vocation essentiellement agricole.
- Marcillé-Raoul : le vieux bourg vers 1920 (carte postale).
- Le bourg de Marcillé-Raoul vers 1920 (carte postale).
- L'église paroissiale vers 1920 (carte postale).
- Marcillé-Raoul : la sortie du bourg vers 1920 (carte postale).
La Seconde Guerre mondiale
La plaque commémorative située dans l'église paroissiale porte les noms de 7 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles 4 (André Bertout [mort en Belgique], Julien Brugalay, Raymond Hillion et Alexandre Pain) sont des soldats morts lors de la Débâcle en mai-juin 1940 ; Jean Nollet est mort au camp de concentration de Dora (Allemagne) le et Julien Fontaine est mort en captivité au lazaret de prisonniers de guerre de Dieburg (Allemagne) le [34].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].
En 2020, la commune comptait 735 habitants[Note 20], en diminution de 7,2 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
- En 1899 une entreprise de collecte de produits fermiers, beurre et œufs est créée par la famille Clanchin ; un atelier pasteurisé de crème et beurrerie est ouvert en 1954 ; l'entreprise devient la SOVACO (Société de la vallée du Couesnon) en 1957 ; elle ouvre une division "produits frais yaourts et petits-suisses" en 1959. Des prises de contrôle successives se produisent par Sapiem en 1964, Préval en 1968, l'Union laitière normande en 1981, Andros en 1992 et l'entreprise est nommée "Novandie" en 2000 ; en 2017 elle se spécialise dans une production exclusivement de desserts végétaux[43].
Lieux et monuments
La commune compte un monument historique :
- La porte romane de l’église, datant du XIIe siècle, seul vestige de l’ancienne église qui se trouvait au milieu du cimetière ; elle a été classée par arrêté du [44].
Par ailleurs :
- Le vieux bourg, composé actuellement du cimetière, des restes de la vieille église et de quelques maisons[45]
- Église paroissiale Saint-Pierre et Saint-Paul: édifice néogothique construit en 1867 à 250 mètres environ de l'ancienne église par l'architecte Albert Béziers-Lafosse[46].
- L'église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul : vue extérieure d'ensemble.
- L'église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul : le clocher.
- 23 croix monumentales sont recensées dans la commune, dont celles du Clairay, des Primevères, de la Maladie et du cimetière[47].
- Le village du Châtel rappelle encore par son nom l'existence de l'ancien château de Marcillé-Raoul[48]. Sur l'une des deux mottes féodales se trouve un Chêne de la liberté planté en 1848, tandis que sur l'autre se trouve une grotte qui renferme une statue de Notre-Dame de Lourdes[49].
- Les manoirs du Grand et du Petit Plessis-Marcillé, désormais transformés en fermes[50].
- De nombreux écarts, fermes et maisons présentent un intérêt architectural[51].
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Seigneur d'Apigné, dans la paroisse du Rheu.
- Personnes en âge de communier.
- Pierre Debas, né le à Marcillé-Raoul.
- Claude de Kerpoisson, né en 1764 à Marcillé-Raoul, décédé le à Marcillé-Raoul.
- Pierre Lemarchand, né le à Marcillé-Raoul.
- peut-être Jean Canet, marié le à Marcillé-Raoul avec Anne Alambert.
- Peut-être Joseph Anger, né le à Marcillé-Raoul.
- Jean-Louis Thomas, né vers 1818, décédé le à Marcillé-Raoul.
- Jean Jouatel, né le à Marcillé-Raoul, décédé en avril 1920.
- Ferdinand Clanchin, né le .
- Théodore Clanchin, né le à Marcillé-Raoul, décédé le à Rennes.
- Louis Clogenson, originaire de la région d'Angers (né vers 1928), décédé en août 2015.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
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