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Dingé

DingĂ© est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en rĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 1 660 habitants[Note 1].

Dingé
Dingé
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Communauté de communes Bretagne Romantique
Maire
Mandat
Annabelle Quentel
2022-2026
Code postal 35440
Code commune 35094
DĂ©mographie
Population
municipale
1 660 hab. (2020 en diminution de 1,19 % par rapport Ă  2014en diminution de 1,19 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 31 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 21â€Č 27″ nord, 1° 42â€Č 58″ ouest
Altitude Min. 54 m
Max. 108 m
Superficie 52,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Combourg
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Dingé
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Dingé
Liens
Site web dinge.fr

    GĂ©ographie

    Commune de Haute-Bretagne, Dingé est située entre Rennes et Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine, à proximité de Combourg.

    Carte de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 767 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Feins Sa », sur la commune de Feins, mise en service en 2005[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 811,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  32 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Dingé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (69,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (42,2 %), forĂȘts (28,3 %), terres arables (18,7 %), prairies (8,6 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,3 %), zones urbanisĂ©es (0,7 %), eaux continentales[Note 8] (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Dingiaco en 1080 et en 1122, Dingeum en 1146, Dinge en 1199 et 1453[21] - [22].

    Le nom est formé du gaulois din « eau »[23], mais on ne voit pas comment analyser la mécoupe -giaco > -gé. En outre, *din « eau » est absent des dictionnaires de la langue gauloise.

    Il s'agit d'un type toponymique gallo-roman en -(i)acum[24], comme le montrent d'ailleurs les formes anciennes latinisées de 1080 et de 1122 qu'Albert Dauzat ne connaissait pas. En effet, le suffixe -(i)acum a réguliÚrement abouti à la terminaison -é, caractéristique de plusieurs centaines de noms de lieux à l'ouest de la France. Alors qu'ailleurs au nord et au centre, la terminaison est plutÎt -y.

    Le premier Ă©lĂ©ment Ding- reprĂ©sente pour le mĂȘme Dauzat, l'anthroponyme latin Dimius, d'oĂč un hypothĂ©tique *Dimiacum « propriĂ©tĂ© de Dimius ». Il rapproche en outre DingĂ© de Dingy en Savoie, bien qu'il n'en connaissait pas non plus les formes anciennes[24]. Cependant, certaines formes anciennes de Dingy (Dungiacus en 1227) sont effectivement proches de celles de DingĂ©. On interprĂšte Dingy par *Tinciacum, toponyme basĂ© sur le nom de personne latin Tincius[25], hypothĂšse Ă©galement plus satisfaisante pour DingĂ©.

    Histoire

    La population de la commune est favorable aux changements apportĂ©s par la RĂ©volution française, surtout aprĂšs la fin de la Terreur. La principale fĂȘte rĂ©volutionnaire est celle cĂ©lĂ©brant l’anniversaire de l’exĂ©cution de Louis XVI, accompagnĂ©e d’un serment de haine Ă  la royautĂ© et Ă  l’anarchie, fĂȘtĂ©e Ă  partir de 1795[26]. La fondation de la Ire RĂ©publique est aussi fĂȘtĂ©e tous les ans.

    Durant la premiĂšre guerre mondiale, le village perd 84 jeunes soldats au front[27].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Dingé appartient à l'arrondissement de Saint-Malo depuis 2017 et au canton de Combourg depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Hédé.

    Pour l’élection des dĂ©putĂ©s, la commune fait partie depuis 1986 de la deuxiĂšme circonscription d'Ille-et-Vilaine, reprĂ©sentĂ©e depuis 2017 par Laurence Maillart-MĂ©haignerie (RE). Auparavant, elle a successivement appartenu Ă  la circonscription de Rennes (Second Empire), la 2e circonscription de Rennes (1876-1919), la 1re circonscription de Rennes (1928-1940) et la 1re circonscription (1958-1986).

    Intercommunalité

    Depuis le , Dingé appartient à la communauté de communes Bretagne Romantique.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Michel François
    Les données manquantes sont à compléter.
    Élu maire en 1912 ? EugĂšne Papail RĂ©publicain PropriĂ©taire
    Chevalier du MĂ©rite agricole
    décembre 1919[29] ? M. Bataille

    (démission)
    Armand Chabot[30] RGR Marchand de bois, résistant[31]
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de HĂ©dĂ© (1945 → 1949)
    av. 1949 apr. 1960 Émile Riollier Ind.G Menuisier
    av. 1965 Constant Girouard
    1984
    (démission)
    André Arribard Agriculteur retraité, maire honoraire (1989)
    Chevalier du MĂ©rite agricole
    1984 [32] Jean-Yves Aoustin DVD Agriculteur
    SupplĂ©ant du dĂ©putĂ© Yvon Jacob (1993 → 1997)
    RĂ©my Bourges[33]
    (1947-2022)
    PS Cadre supérieur retraité
    1er vice-président de la CC Bretagne Romantique
    [34] [35]
    (démission)
    Pierre Girouard Agriculteur retraité
    [36] [37]
    (démission)
    Patricia Bénis Aide médico-psychologique, ancienne 1re adjointe
    [38] En cours Annabelle Quentel Commerciale, ancienne 1re adjointe

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[40].

    En 2020, la commune comptait 1 660 habitants[Note 9], en diminution de 1,19 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5381 6251 6471 7631 8271 8291 7571 9021 874
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9471 8922 0322 1082 2142 2492 3382 5112 513
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5142 5072 1081 8011 8101 7571 6531 7041 585
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 5121 4361 2591 2681 2651 3271 4721 4931 653
    2017 2020 - - - - - - -
    1 6361 660-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune dispose de quelques commerces : une boulangerie-pĂątisserie, une Ă©picerie, une boucherie-traiteur et un bar-tabac-PMU[43].

    Lieux et monuments

    • Ancienne motte fĂ©odale du Plessis aux Chats vraisemblablement situĂ©e au lieu-dit la Butte d’Ille et appartenant Ă  la famille Le Chat branche issue de la famille des seigneurs de Combourg et Dol[44].
    • Le chĂąteau du Plessis-au-Chat (XVIIe siĂšcle). Le premier chĂąteau date du XIe siĂšcle et est Ă©difiĂ© par Haimon Cattus et son pĂšre Gimondus. En 1445, est mentionnĂ©e l'existence d'un chĂąteau de bois. L'ancien manoir ou chĂąteau du Plessis-au-Chat appartient d'abord Ă  la famille Le Chat alias Bouttier ; puis successivement aux familles Plesguen : en 1445 et 1552, Pierre de Plesguen le possĂšde en 1480 ; La Haye en est propriĂ©taire en 1580 et en 1674 ; puis Ă  nouveau la famille Bouttier — branche des seigneurs du Boishamon en 1678 ; Thierry en 1704 ; Fresne, seigneurs de Virel au XVIIIe siĂšcle. Le manoir du Plessix-au-Chat tirait vraisemblablement son nom de la famille Le Chat, premier seigneurs et dont le nom fut changĂ© pour Bouttier Ă  l'Ă©poque de Thomas Le Chat surnommĂ© Bouttier[45], puissante famille au XIIe siĂšcle tant Ă  DingĂ© qu'Ă  Combourg. Les seigneurs du Plessix-au-Chat, qui devaient au seigneur de Combourg une paire de gants blancs Ă  chaque Angevine, fondĂšrent la chapelle voisine de leur demeure et desservie en 1663 par Julien Mary[46].
    • Le manoir de Hanault ou de Hunault (XVe siĂšcle). PropriĂ©tĂ© successive des familles Langan en 1441, Plesguen en 1540, de La Haye en 1580 et 1622, et enfin propriĂ©tĂ© de Julienne le Liepvre, veuve et donataire de Bertrand Bouttier, sieur du Boishamon.
    • Église paroissiale Saint-Symphorien, Ɠuvre nĂ©o-romane de Jacques et Jules Mellet[47].
    • Marais des Petits-Vaux[48].
    • Le clocher-porche de l'Ă©glise Saint-Symphorien.
      Le clocher-porche de l'Ă©glise Saint-Symphorien.
    • L'entrĂ©e de l'Ă©glise.
      L'entrée de l'église.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Feins Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Dingé et Feins », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Feins Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Dingé et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. KEROFIS : base de données du service Patrimoine linguistique de l'Office public
    22. « Étymologie et histoire de DingĂ© », infobretagne (consultĂ© le ).
    23. François Falc'hun, Les noms de lieux celtiques, Volume 1, Page 80..
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 247a.
    25. Henry Suter, « Dingy-Saint-Clair », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
    26. Louis Dubreuil, « FĂȘtes rĂ©volutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
    27. « Monument à Dingé | Les monuments aux morts », sur monumentsmorts.univ-lille.fr (consulté le )
    28. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. Les Ă©lections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 dĂ©cembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
    30. « Les obsĂšques de M. Armand Chabot, ancien maire de DingĂ© et ancien conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de HĂ©dĂ© », Ouest-France (archives du journal),‎ (lire en ligne AccĂšs payant)
    31. http://memoiredeguerre.free.fr/cvr/prison-vitre.htm
    32. « Élections municipales 2001 », sur municipales2001.ouestfrance.fr, Ouest-France (consultĂ© le ).
    33. « L'ancien maire de DingĂ©, RĂ©my Bourges, est dĂ©cĂ©dĂ© Ă  74 ans », Le Pays Malouin,‎ (lire en ligne)
    34. « Municipales Ă  DingĂ©. Pierre Girouard a Ă©tĂ© Ă©lu maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    35. « DingĂ©. En dĂ©saccord avec ses adjoints, le maire, Pierre Girouard, dĂ©missionne », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    36. « DingĂ©. Patricia BĂ©nis a Ă©tĂ© Ă©lu maire, samedi », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    37. « PrĂšs de Combourg : Patricia BĂ©nis dĂ©missionne de sa fonction de maire de DingĂ© », Le Pays Malouin,‎ (lire en ligne).
    38. « PrĂšs de Combourg : DingĂ© vient d'Ă©lire son 3e maire... depuis 2020 », Le Pays Malouin,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    43. « commerçants et artisans de Dingé », sur dinge.fr, mairie de Dingé (consulté le )
    44. Manoirs et chĂąteau dans le comtĂ© de Rennes. Michel Brand’Honneur, PUR, Rennes
    45. Les descendants de la famille Boutier auraient dĂ» normalement s'appeler Le Chat. Ce fut Thomas filius Buterus Catus qui en dĂ©cida autrement en se faisant appeler Thomas Boutier.
    46. Chanoine Guillotin de Corson, pouillé de Rennes
    47. « Église paroissiale Saint-Symphorien », notice no IA00130842, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    48. Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, p. 67.

    Liens externes

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