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MĂ©dillac

Médillac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

MĂ©dillac
MĂ©dillac
L'Ă©glise Saint-Laurent au milieu du vignoble.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente
Arrondissement AngoulĂȘme
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Joëlle Boizot
2020-2026
Code postal 16210
Code commune 16215
DĂ©mographie
Gentilé Médillacais
Population
municipale
154 hab. (2020 en diminution de 2,53 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 26 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 13â€Č 58″ nord, 0° 01â€Č 36″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 108 m
Superficie 5,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Tude-et-Lavalette
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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MĂ©dillac
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MĂ©dillac
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MĂ©dillac
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MĂ©dillac

    Ses habitants sont les MĂ©dillacais et les MĂ©dillacaises[1].

    GĂ©ographie

    Localisation et accĂšs

    Située dans le canton de Chalais, Médillac est la commune la plus au sud du département de la Charente. Elle est limitrophe à la fois des départements de Charente-Maritime à l'ouest et de Dordogne au sud-est.

    MĂ©dillac est situĂ©e Ă  km au sud de Chalais, le chef-lieu de son canton, et Ă  48 km au sud d'AngoulĂȘme. Elle est aussi Ă  km de La Roche-Chalais et de Saint-Aulaye, 12 km d'Aubeterre-sur-Dronne, 17 km de Montguyon, 65 km de Bordeaux[2].

    La route la plus importante est la D 674, route d'AngoulĂȘme Ă  Libourne, qui passe Ă  l'est de la commune. La D 78 traverse le sud de la commune du nord au sud. Cette petite route longe la rive droite de la Dronne depuis Aubeterre et va en direction de Saint-Aigulin (Charente-Maritime). Elle coupe la D 674 prĂšs de Pont de Corps. Le bourg est aussi desservi par la D 136, qui mĂšne Ă  Chalais. La D 462 va Ă  Rioux-Martin au nord-ouest et la D 463 au sud-ouest vers La GenĂ©touze[3].

    La voie ferrée Paris-Bordeaux traverse la commune, et Médillac possédait une gare, qui desservait aussi Parcoul, et qui était aussi l'embranchement de l'ancienne ligne vers Ribérac qui remontait la vallée de la Dronne.

    La gare actuelle la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER Ă  destination d'AngoulĂȘme et de Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    La mairie est située à un kilomÚtre au sud du bourg, à Pont de Corps prÚs de l'ancienne gare.

    La commune compte de nombreuses fermes et quelques autres hameaux : Devanne, la Gayaudrie, Guildon jouxtant le bourg, etc.[3].

    Communes limitrophes

    MĂ©dillac est limitrophe de six autres communes, dont deux en Charente-Maritime et une en Dordogne.

    GĂ©ologie et relief

    La quasi-totalitĂ© de la commune est occupĂ©e par un terrain composĂ© d'argile sableuse et de galets, dĂ©pĂŽt datant du Tertiaire. Ces landes, sols peu fertiles, sont souvent boisĂ©es en pins maritimes, chĂątaigniers, chĂȘnes (rouvres, pĂ©donculĂ©s, tauzins), et bruyĂšre et constituent la Double saintongeaise, vis-Ă -vis occidental de la Double du PĂ©rigord et qui couvre une grande partie des cantons de Brossac et Baignes.

    Le Campanien, calcaire crayeux du CrĂ©tacĂ© supĂ©rieur, affleure dans l'extrĂȘme nord de la commune, talus Ă  l'est et au nord du bourg.

    Les vallées (Tude et Dronne) sont occupées par des alluvions récentes du Quaternaire, parfois accumulées en terrasses pour les plus anciennes[4] - [5] - [6].

    La commune occupe le versant occidental de la vallée de la Tude et de la Dronne.

    Le point le plus bas de la commune, 22 m, situĂ© Ă  Champagne, est l'endroit oĂč la Dronne quitte le dĂ©partement. C'est aussi le point le plus bas du Sud Charente, c'est-Ă -dire de celui du bassin versant de la Gironde en Charente, ainsi que le point le plus mĂ©ridional du dĂ©partement.

    Le point culminant de la commune est Ă  une altitude de 108 m, situĂ© sur la bordure occidentale au Maine Machon. Le bourg, surplombant la vallĂ©e de la Tude, est Ă  75 m d'altitude[3].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de MĂ©dillac.

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Dronne, la Tude, l'Argentonne et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Elle est située sur la rive droite de la Tude, qui fait la limite de commune avec Bazac, puis aprÚs le confluent de cette derniÚre, sur la rive droite de la Dronne qui fait limite avec Parcoul (Dordogne)[3].

    La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de BussiĂšre-Galant, et se jette dans l'Isle en Gironde Ă  Sablons, aprĂšs avoir traversĂ© 51 communes[9].

    La Tude, d'une longueur totale de 43,3 km, prend sa source dans la commune de BoisnĂ©-La Tude et se jette dans la Dronne en Dordogne, Ă  Parcoul-Chenaud, aprĂšs avoir traversĂ© 15 communes[10].

    L'Argentonne, d'une longueur totale de 10,93 km, prend sa source dans la commune de Bardenac et se jette dans la Tude sur la commune, aprĂšs avoir traversĂ© 5 communes[11].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[12]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [13].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Natura 2000

    Bordé à l'est par la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espÚces animales européennes menacées[14] - [15].

    Seize espÚces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[14].

    Vingt-six autres espÚces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.

    ZNIEFF

    À MĂ©dillac, les vallĂ©es de la Dronne et de son affluent la Tude font partie de la ZNIEFF de type II nommĂ©e « VallĂ©es de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[16] - [17].

    Vingt-deux espÚces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[16] :

    Vingt-neuf autres espÚces animales (quatre mammifÚres et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Médillac est une commune rurale[Note 1] - [18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (50,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (54,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (49,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (29,5 %), prairies (12,9 %), terres arables (8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de MĂ©dillac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    MĂ©dillac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© pour la pĂ©riode 2017-2026, faisant suite Ă  un plan 2007-2016[26]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂšglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 2] - [26] - [27] - [28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Médillac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 118 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 118 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 81 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1988, 1999, 2012 et 2021. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Medilhaco au Moyen Âge[31].

    L'origine du nom de Médillac remonterait à un nom de personne gallo-romain Metelius ou Medillus auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Meteliacum, « domaine de Metelius »[32] - [Note 3].

    Histoire

    Quelques vestiges romains ont été trouvés aux abords de l'église. Au nord-est du bourg, sur une roche escarpée, ont été trouvés des vestiges d'épaisses murailles. Il pourrait s'agir d'un poste d'observation de la voie passant en contrebas[33].

    Au début du XXe siÚcle, l'industrie dans la commune était représentée par une scierie et des carriÚres d'argile réfractaire. La gare de Parcoul-Médillac était aussi le point de départ de la ligne de Ribérac, en service entre 1906 et 1940, qui s'embranchait sur la ligne Paris-Bordeaux[34].

    Le nom de « Pont de Corps Â» viendrait du fait qu'aprĂšs la bataille de Coutras, il fallait Ă  Henri de Navarre traverser la Dronne, et pour faire un guĂ© Ă  cet endroit, il aurait fait tuer des prisonniers et entasser leurs corps dans la riviĂšre pour faire passer son armĂ©e et ses chariots.

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Gilles Devaire
    2008 En cours Joëlle Boizot SE Retraitée des hÎpitaux

    DĂ©mographie

    Évolution dĂ©mographique


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[36].

    En 2020, la commune comptait 154 habitants[Note 4], en diminution de 2,53 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    294261287272348304332328346
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    319325284277255252242247212
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    287283236249267254214252266
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    234209204177168158156156158
    2020 - - - - - - - -
    154--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  25,3 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 38,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,3 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 80 hommes pour 77 femmes, soit un taux de 50,96 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    2,5
    90 ou +
    6,5
    8,6
    75-89 ans
    13,0
    21,0
    60-74 ans
    26,0
    24,7
    45-59 ans
    20,8
    11,1
    30-44 ans
    15,6
    12,3
    15-29 ans
    6,5
    19,8
    0-14 ans
    11,7
    Pyramide des ùges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrÎlée du cognac[41].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Les Ă©coles et collĂšge sont Ă  Chalais.

    Lieux et monuments

    Le portail de l'Ă©glise.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mĂštres minimum de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    3. Le nom de la commune de Montpellier-de-MĂ©dillan (Charente-Maritime) a la mĂȘme origine (ref: Dauzat).
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Médillac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous GĂ©oportail
    4. Carte du BRGM sous GĂ©oportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Médillac », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. Sandre, « la Dronne »
    10. Sandre, « la Tude »
    11. Sandre, « l'Argentonne »
    12. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    13. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    14. [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    15. Carte du site « VallĂ©e de la Tude », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    16. [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    17. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    18. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Médillac », sur Géorisques (consulté le )
    25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    26. « Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consultĂ© le )
    27. « ArrĂȘtĂ© portant classement de massifs forestiers et obligation de dĂ©broussaillement. », sur www.charente.gouv.fr, (consultĂ© le )
    28. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    30. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Médillac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    31. Jean Nanglard, PouillĂ© historique du diocĂšse d'AngoulĂȘme, t. III, AngoulĂȘme, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 414
    32. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 445.
    33. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 105
    34. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Chùteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 237
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de MĂ©dillac (16215) », (consultĂ© le ).
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    41. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
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