Saint-Avit (Charente)
Saint-Avit est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Avit | |||||
Le bourg blotti au pied de la colline. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Lavalette Tude Dronne | ||||
Maire Mandat |
Patrick Florent 2020-2026 |
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Code postal | 16210 | ||||
Code commune | 16302 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Stavistois | ||||
Population municipale |
217 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 59 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 14′ 51″ nord, 0° 03′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 33 m Max. 128 m |
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Superficie | 3,66 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Tude-et-Lavalette | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation et accès
Saint-Avit est une petite commune du Sud Charente (3,7 km2). Elle est située à 3 km au sud-est de Chalais et à 45 km au sud d'Angoulême.
Le bourg de Saint-Avit est aussi situé 2 km au nord de la Dronne qui est la limite avec le département de la Dordogne et 5 km de la Charente-Maritime, 8 km au nord-ouest de Saint-Aulaye, 10 km à l'ouest d'Aubeterre, 11 km au nord de La Roche-Chalais, 53 km de Périgueux et 67 km de Bordeaux[1].
La route d'Angoulême à Libourne (D 674) traverse l'ouest de la commune, ainsi que la voie ferrée Paris-Bordeaux[2].
La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.
Lieux-dits et hameaux
La commune compte quelques gros hameaux, comme le Bertaud à l'ouest, le Grélis au sud, ou Godichaud au nord-ouest.
Elle est assez boisée, surtout sur les collines qui sont localisées à l'est (bois de Puygoyon) et au sud du bourg (la Malaizie), collines séparées par les prés de la Fontaine, jolie petite vallée descendant vers le Grélis et qui passe au pied du château de Bellevue avec un étang.
Le bourg, situé à l'est du territoire communal au pied d'une colline, n'est qu'à 100 m de la limite avec Saint-Quentin-de-Chalais.
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente. Les sommets boisés de la commune sont couverts de dépôts du Tertiaire (sable, argile, galets) et altérites ou colluvions du Quaternaire. La vallée de la Tude est occupée par des alluvions récentes et anciennes accumulées en terrasses (au Bertaud)[3] - [4] - [5].
La commune occupe le versant oriental de la vallée de la Tude, avec une ligne de crête sur la partie orientale, et un massif de collines au centre (la Malaizie). Le point culminant de la commune est à une altitude de 128 m, situé dans le bois de la Barde au nord du bourg. Le point le plus bas est à 33 m, situé le long de la Tude à l'extrémité sud-ouest, non loin du bourg de Médillac. Le bourg de Saint-Avit, lové au pied de la côte, est à 100 m d'altitude[2].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Tude et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
La Tude, affluent de la Dronne qui passe à moins d'un kilomètre au sud de la commune, fait la limite ouest de la commune.
Au pied du bourg, une source donne naissance à un ruisseau à sec en été qui passe au pied du château de Bellevue avec un étang et se jette dans la Tude au Grélis[2].
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Natura 2000
Bordé à l'ouest par la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espèces animales européennes menacées[10] - [11].
Seize espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[10].
- un amphibien : le Sonneur à ventre jaune (Bombina variegata) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- six insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), le Cerf-volant (mâle) ou la Grande biche (femelle) (Lucanus cervus), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- cinq mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et trois chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-six autres espèces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.
ZNIEFF
À Saint-Avit, sur un périmètre quasi identique à celui du site Natura 2000 ci-dessus, la vallée de la Tude fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[12] - [13].
Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[12] :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptères : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prés (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[12].
Urbanisme
Typologie
Saint-Avit est une commune rurale[Note 1] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,9 %), forêts (28,4 %), zones agricoles hétérogènes (25,8 %), prairies (7 %), zones urbanisées (3,9 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Avit est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 122 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 122 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].
Toponymie
Le nom est attesté par la forme ancienne latine Sanctus Avitus (non datée)[25].
Avit était le nom d'un saint chrétien du VIe siècle. D'après Talbert, il s'agirait d'Avit de Micy, ermite en Orléanais, mort en 530. D'après Dauzat, il pourrait aussi s'agir d'Avit de Vienne, évêque, mort en 525, à moins qu'il ne s'agisse d'Avit du Périgord, plus proche géographiquement et célébré dans le diocèse de Périgueux dont Saint-Avit faisait partie. Mort en ermite en 570, il s'était d'abord battu contre les Francs avec les Aquitains avant de se convertir au catholicisme[26] - [27].
Le nom de la paroisse a aussi été orthographié Saint-Avi[28] ou Saint-Avy[29], nom qu'on retrouve dans le nom de la commune de Charente-Maritime Avy.
Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Les Monts[30].
Histoire
Des substructions romaines (murs, tegulae et fragments de céramiques) ont été dégagées en 1882 par un cultivateur, à l'Ombrière et à 300 m de la route d'Angoulême à Libourne[31].
Le château de Bellevue, au sud de la commune, peut dater du tout début du XVIIe siècle. Sous l'Ancien Régime, il était la propriété de la famille de Poncharral, dont deux membres, Daniel-Louis de Poncharral, marquis de Pouillac (ou Pouliac[32]), et son fils, Jean-Baptiste de Poncharral, furent lieutenants des maréchaux de France, en Saintonge. Le fils de ce dernier, Eutrope-Louis-Alexandre de Poncharral, marquis de Pouillac, ne put divorcer de sa femme, mena une vie dissolue et fut bientôt ruiné. Ses héritiers durent vendre le château en 1861 à M. Paulin de Lamballerie. Il fut ensuite la propriété de M. Auger, négociant à Montmoreau, qui l'a fait restaurer en le reconstruisant quasiment entièrement.
La Maure (ou Lamaud, aujourd'hui Lameau, près du Grélis) était un autre fief de la paroisse, créé en 1623 en faveur de Champlong, seigneur de la Boisse (à Montboyer). Il passa ensuite à la famille de Morel et fut aliéné à la Révolution[33].
Administration
Intercommunalité
Saint-Avit fait partie du canton de Tude-et-Lavalette (canton de Chalais avant 2014) et de la communauté de communes de Chalais.
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2020, la commune comptait 217 habitants[Note 2], en augmentation de 6,9 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 111 hommes pour 97 femmes, soit un taux de 53,37 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Agriculture
La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »[40] et de l'AOP Noix du Périgord[41].
Commerces
Il y a une boulangerie, un marchand de voitures et un marchand de pneus, une épicerie.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Avit date du XIe siècle[42]. La cloche en bronze de 30 kg, datant de 1624, est classée monument historique depuis 1944[43].
Patrimoine civil
Le château de Bellevue, du XVIIe siècle, est dans la commune de Saint-Avit, mais la châtellenie englobait aussi une partie de Bazac[32]. Il a appartenu aux Poncharral de Pouillac. Il a été reconstruit en 1905[44] et accueille des chambres d'hôtes[45].
Patrimoine environnemental
La Malaizie (la forêt de Saint-Avit).
Personnalités liées à la commune
- Poncharal ou Poncharail de Pouillac, comtes et marquis ; famille propriétaire du château de Bellevue dès la fin du XVIIe siècle. Le dernier des Poncharal a disparu en 1885, son titre de noblesse avec, car il n'a eu qu'une fille comme héritière[32].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Avit » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Avit », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site « Vallée de la Tude », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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