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Luynes (Indre-et-Loire)

Luynes est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Luynes
Luynes (Indre-et-Loire)
Vue sur la ville.
Blason de Luynes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Tours Métropole Val de Loire
Maire
Mandat
Bertrand Ritouret
2020-2026
Code postal 37230
Code commune 37139
DĂ©mographie
Gentilé Luynois
Population
municipale
5 093 hab. (2020 en diminution de 1,18 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 150 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 23′ 28″ nord, 0° 33′ 19″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 105 m
Superficie 34,01 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Cyr-sur-Loire
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Luynes
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Luynes
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Luynes
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Luynes
Liens
Site web www.luynes.fr

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    La commune a une superficie de 34,01 km2. Son altitude varie de 39 Ă  105 m[3].

    Hydrographie

    RĂ©seau hydrographique de Luynes.

    La commune est traversĂ©e par la Loire (4,234 km). Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 38,46 km, comprend un autre cours d'eau notable, la Bresme (8,469 km), et divers petits cours d'eau pour certains temporaires[4] - [5].

    Le cours de la Loire s’insère dans une large vallĂ©e qu’elle a façonnĂ©e peu Ă  peu depuis des milliers d’annĂ©es. Elle traverse d'est en ouest le dĂ©partement d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'Ă  Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire prĂ©sente des fluctuations saisonnières de dĂ©bit assez marquĂ©es. Sur le plan de la prĂ©vision des crues, la commune est situĂ©e dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-NĂ©gron et la confluence de la Vienne[6], dont la station hydromĂ©trique de rĂ©fĂ©rence la plus proche est situĂ©e Ă  Tours [aval pont Mirabeau]. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 62 ans pour cette station) varie de 112 m3/s au mois d'aoĂ»t Ă  622 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 3 050 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 5,78 m ce mĂŞme jour[7] - [8]. La hauteur maximale historique a Ă©tĂ© atteinte le avec une hauteur inconnue mais supĂ©rieure Ă  6,20 m[9]. Sur le plan piscicole, la Loire est classĂ©e en deuxième catĂ©gorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constituĂ© essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[10].

    La Bresme, d'une longueur totale de 26,9 km, prend sa source sur la commune de Semblançay au lieu-dit le Plessis de la Gagnerie, Ă  120 m d'altitude[11] et se jette dans la Loire sur la commune de Saint-Étienne-de-Chigny, Ă  39 m d'altitude[12] Ă  la pointe de l'Ă®le Belle Fille, après avoir traversĂ© 7 communes[13]. Sur le plan piscicole, la Bresme est Ă©galement classĂ©e en deuxième catĂ©gorie piscicole[10].

    Trois zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Bresme de Pernay à la Houssière », « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin » et « la vallée de la Bresme du Bas Launay au Pont de Grenouille »[14] - [15].

    Urbanisme

    Typologie

    Luynes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 2] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Tours, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 38 communes[19] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34,9 %), terres arables (25,4 %), prairies (17,5 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), zones urbanisées (6,4 %), eaux continentales[Note 4] (2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Luynes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Bresme et la Loire. La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Tours, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portĂ©s Ă  22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂŞme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout système de protection)[28] - [29]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1983 et 1999[30] - [26].

    Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Bourgueil, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[31].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Luynes.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[32]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 892 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1839 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 97 %, Ă  comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [34].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1992, 1993, 1996, 1997, 2005, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2001[26].

    Toponymie

    Au haut Moyen Âge, le village s'appelait Maillé. Maillé prit le nom de Luynes au XVIIe siècle[35]. Le premier texte citant le nom du hameau serait issu du testament de l'évêque Perpet de Tours en 475, document religieux d'époque mérovingienne rédigé en langue latine et qui mentionne le site d'Indre-et-Loire sous la forme Malleium ou sous celle de presbyterum de Malleio[36]. Toutefois, l'historien Charles Lelong a démontré de manière irréfutable que le testament de Perpert de Tours se révèle être une contrefaçon littéraire (ou apocryphe) réalisée au XVIIe siècle par Jérôme Vignier, un prêtre de l'oratoire[37]. En raison de ces faits matériels, les termes Malleium et presbyterum de Malleio ne peuvent être considérés comme recevables[37]. Un siècle plus tard, avec Grégoire de Tours, c'est Malliagense. La charte fondant la paroisse Sainte-Geneviève (961) dit Malliace. Puis l'on trouve Malliacensis, Malliaci, Malleum, Malleacum, Malle, Malleyus, Mailé et Maillé, au fil des époques.

    Histoire

    L'emplacement du prieuré Saint-Venant aurait été occupé dès l'époque gallo-romaine (IIIe siècle ou IVe siècle). Un aqueduc est encore visible sur le territoire de la commune[38].

    Maillé

    Blason de la Famille de Maillé.

    La paroisse est démembrée au VIIIe siècle, de celle de Saint-Venant de Luynes pour créer la paroisse de Fondettes.

    Toutefois, certains auteurs, tels que l'historien Jean-Mary Couderc, estiment que la paroisse de Fondettes aurait possiblement été séparée de celle de Saint-Venant de Luynes[Note 5], au tournant des Xe et XIe siècle av. J.-C. (vers l'an mil)[40] - [41].

    Au Xe siècle, le château appartient à Gelduin de Saumur, premier du nom, seigneur d'Usée et de Pontlevoy, dont le fils Gelduin II fut un des fervents partisans de Eudes II, comte de Touraine. Ayant perdu la ville de Saumur tombée entre les mains de Foulque Nerra, Gelduin II reçut en compensation de son suzerain le château de Chaumont-sur-Loire, et il donna alors à son féal Gosbert la seigneurie de Maillé. Gosbert a été le premier chef de la famille de Maillé. Les premiers seigneurs de Maillé apparaissent au début du XIe siècle, ils oscillent entre les comtes d'Anjou, et les comtes de Blois.

    En 1084, Hardouin II de Maillé, petit-fils de Gosbert, fit bâtir l'église Saint-Venant qu'il donna à l'abbaye de Marmoutier.

    Le château de Maillé est assiégé et pris en 1096, par Foulque le Réchin, à la suite de l'excommunication de Hardouin II de Maillé.

    Hardouin IX de Maillé, baron de Maillé, vend la seigneurie du Montils-les-Tours (Plessis) à Louis XI contre l'union des seigneuries de Maillé et Rochecorbon et la vicomté de Tours sous la même foi et hommage en 1463.

    Françoise, petite-fille de Hardouin IX, porta par mariage la terre de Maillé à Gilles de Laval. Un de ses descendants Jean de Laval, fait ériger Maillé en comté en 1572.

    Luynes

    Le duché-pairie de Luynes est érigé en 1619 pour Charles d'Albert, 1er duc de Luynes, à partir du comté de Maillé et de ses dépendances, lui-même constitué à partir de la baronnie de Maillé et de la seigneurie de Rochecorbon.

    Sous la Révolution, Luynes devint Roche-sur-Loire[42], alors que le peuple souhaitait « Belle-Varenne ». En 1800, avec Napoléon, Luynes reprend son nom.

    Politique et administration

    Liste des maires

    liste des maires de Luynes
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1959 mars 1989 Jean Pagès CD puis UDF Médecin
    mars 1989 mars 2001 Gérard Lavollée DVD Maire honoraire
    mars 2001 mars 2008 Olivier Rafin SE Chef comptable
    mars 2008 En cours Bertrand Ritouret UMP puis LR Avocat

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[43].

    Jumelages

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].

    En 2020, la commune comptait 5 093 habitants[Note 6], en diminution de 1,18 % par rapport Ă  2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 1362 1692 0962 0042 1652 0982 0032 1872 127
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 1092 0572 0471 9811 9701 9922 0141 9481 948
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8461 8691 7341 5301 5511 5171 5331 6631 688
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 6991 9482 6143 8344 1284 5014 9455 0025 025
    2014 2019 2020 - - - - - -
    5 1545 1015 093------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee Ă  partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Événements

    • La commune de Luynes rassemble chaque annĂ©e de nombreux visiteurs Ă  son Festival de Théâtre en Val de Luynes, sa FĂŞte de la Saint-Jean, son Festival de Court-mĂ©trage et le festival Luynes Ă  l'assaut de l'AmĂ©rique.
    • : premier raid du val de Luynes, Ă©preuves d'endurance Ă©questre de 20 Ă  90 km.

    Enseignement

    Luynes se situe dans l'Académie Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint-Cyr-sur-Loire. La commune compte plusieurs établissements scolaires :

    • L'Ă©cole maternelle Suzanne-Herbinière-Lebert
    • L'Ă©cole Ă©lĂ©mentaire Camus
    • L'Ă©cole Ă©lĂ©mentaire Pasteur
    • L'Ă©cole primaire privĂ©e Sainte-Geneviève
    • Le collège Lucie-et-Raymond-Aubrac.

    Le Pôle Européen des Arts du Cirque est basé sur la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Luynes.
      Château de Luynes.
    • Vestiges de l’aqueduc romain.
      Vestiges de l’aqueduc romain.
    • Manoir de Malitourne.
      Manoir de Malitourne.
    • La Mignonnière.
      La Mignonnière.
    • halle du XVe siècle.
      halle du XVe siècle.

    Patrimoine immatériel

    Patrimoine naturel

    La commune est située dans le périmètre du Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO)[50] - [51].

    Personnalités liées à la commune

    Portrait de Charles d'Albert, duc de Luynes

    Cinématographie

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    Les armes de Luynes se blasonnent ainsi : Écartelé : au premier et au quatrième d'or au lion de gueules, au deuxième et au troisième à deux louves ravissantes et affrontées d'argent, sur le tout de gueules à la massue d'or, armée de piquetons d'argent et dressée en pal, au chef du même chargé d'un gonfanon de deux pendants de gueules[52].
    Commentaires : Armes de Charles d'Albert, duc de Luynes.
    Blason Blasonnement :
    D'or, à deux louves rampantes et affrontées d'azur.[53]
    Commentaires : Armes de la ville au XVIIe s.

    Notes et références

    Notes

    1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Au cours du Xe siècle av. J.-C. la paroisse de Saint-Venant de Luynes était connue sous le nom de Saint-Venant de Maillé ou Vicaria Mallacencis[39].
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Visualiseur InfoTerre », sur le site InfoTerre du Bureau de recherches géologiques et minières (consulté le ).
    2. « Visualiseur InfoTerre », sur le site InfoTerre du Bureau de recherches géologiques et minières (consulté le ).
    3. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire Géographique des Communes [lire en ligne].
    4. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    5. « Carte hydrologique de Luynes », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
    7. « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    8. « Station hydrométrique K4900030, la Loire à Tours [aval pont Mirabeau] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    9. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
    10. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Source de la Bresme » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
    12. « Confluence de la Bresme avec la Loire » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
    13. « Fiche Sandre - la Bresme », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    14. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    15. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
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    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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    27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    28. « cartographie des risques d'inondations du TRI de Tours », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
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    33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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    Bibliographie

    Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

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    • Casimir Chevalier (dir.) et al., « Luynes », dans C. Chevalier (directeur d'ouvrage) et al., Annales de la SociĂ©tĂ© d'Agriculture : sciences, arts et belles-lettres du dĂ©partement d'Indre-et-Loire., vol. 47 Ă  48, Tours, Imprimerie Ladevèze, (lire en ligne), pages 353 Ă  356.
    • Jean-Mary Couderc (dir.), Dictionnaire des communes de Touraine, Chambray-lès-Tours, C.L.D., , 967 p. (ISBN 2-85443-136-7). Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
    • P. Louis LainĂ©, « De MaillĂ© », dans P. Louis LainĂ©, Archives gĂ©nĂ©alogiques et historiques de la noblesse de France., t. 5, Paris, (lire en ligne), pages 1 Ă  22.
    • Denis Jeanson. Sites et Monuments du Val de Loire 3. Tours, 1985. Étude consacrĂ©e Ă  l'histoire de la formation et de l'architecture de la commune de Luynes.
    • Dans le roman Rama II d'Arthur C. Clarke, Nicole, l'hĂ©roĂŻne, habite avec sa famille Ă  Luynes, prĂ©cisĂ©ment Ă  Beauvois. Sa fille frĂ©quente l'Ă©cole de Luynes, et Nicole et sa famille frĂ©quentent l'Ă©glise de Saint-Étienne-de-Chigny.

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