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Liste de personnalités liées à Thiers

Liste de personnalités liées à la ville de Thiers (Puy-de-Dôme).

Personnalités nées à Thiers

  • Amblard de Thiers, archevêque de Lyon vers 957-978, originaire de Thiers fonde le monastère de Ris en 952[1].
  • Saint Étienne de Muret (ou saint Étienne de Grandmont ou saint Étienne de Thiers) (1044 ou 1046-1124), fils d'Etienne III de Thiers. À la mort de celui-ci, en 1074, il vend le mobilier du château et en distribue le produit aux pauvres puis abdique ses droits sur la seigneurie en faveur de son oncle. Il part ensuite vivre en ermite dans le Limousin où il fonde l'Ordre de Grandmont[1].
  • Philibert du Croc, proche de Charles IX de France et de Catherine de Médicis nommé en 1565 ambassadeur auprès de Marie Stuart, veuve de François II et reine d'Écosse.
  • L'abbé Jean Favier[2], précepteur de l'abbé de Rancé était un membre éminent du cercle des « beaux esprits » de Thiers au XVIe siècle avec Barthelemy Thélioux, curé de Saint-Genès, auteur d'un traité sur les machines hydrauliques, Jean Tinerel, helléniste et Bernard Astier (1587-1655), avocat et auteur d'un roman précieux[3].
  • Montdory (1594-1653 ou 1654), né Guillaume Desgilberts, comédien vedette du théâtre du Marais, créateur du personnage du Cid. Il meurt entre et à Thiers (peut-être au manoir des Molles, propriété de sa fille Catherine) ou à Escoutoux. En 1937, Thiers célèbre le tricentenaire de la création du Cid et, le , on inaugure une sculpture à l’effigie de son premier interprète. Le Lycée d'enseignement général de la ville porte son nom.
  • Guillet de Saint-George (1624-1705), artiste et érudit. Premier historiographe de l’Académie royale de peinture et de sculpture, il publie plusieurs traités très remarqués en son temps, notamment le Dictionnaire du gentilhomme en 1670 et Athènes ancienne et nouvelle en 1675.
  • Pierre Dubouchet (1737-1818), fils de papetier thiernois, il devient médecin et s'établit à Montbrison. En 1792, il siège à la Convention comme député du département de Rhône-et-Loire. Montagnard, il vote la mort du roi. La loi de 1816 sur les régicides le contraint à s'exiler en Allemagne[4].
  • Gilbert de Riberolles (1749-1828), homme politique. Descendant d'une famille de papetiers anoblie, sa proximité avec les préoccupations du peuple lui valut d'être élu député du tiers état en 1789. Il sera par la suite receveur général des Finances du Puy-de-Dôme de 1801 à 1812 et mourra à Thiers en 1828.
  • Jean-Baptiste Claude Henri Dupuy (1759-1824 à Genève), homme politique.
  • Jean-Jacques Berger (1791-1859), né dans une famille de papetiers thiernois, avoué à Paris, député du Puy-de-Dôme, préfet de la Seine de 1848 à 1853[5], prédécesseur d'Haussmann à ce poste.
  • Francisque Tapon-Fougas (1810-1893), fou littéraire remarqué par Raymond Queneau et André Blavier. Comptable de son état, il se présente sans succès à de nombreuses élections.
  • Antoine Guillemot (1822-1902) est un lépidoptériste et généalogiste local né et ayant habité à Thiers. Il repose au cimetière Saint-Jean de Thiers[6].
  • Jean-Félix Nourrisson (1825-1899), il fait ses études au collège de Thiers. Philosophe, spécialiste de Blaise Pascal, il tient la chaire de philosophie moderne au Collège de France en 1874 et participe à la création de l'université de Clermont-Ferrand.
  • Jean Jacques Anatole Bouquet de La Grye (1827-1909), ingénieur hydrographe. Il est élu membre de l'Académie des sciences en 1884, puis président en 1902. Il est aussi président de la Société de géographie en 1896.
  • Victor Louis Vincelet (1839-1871), artiste-peintre français spécialiste des compositions florales.
  • Louis Lasteyras (1851-1931), homme politique, maire radical de Vichy.
  • Joseph-André Gatteyrias (1855-1883), orientaliste et explorateur français.
  • Mauricia Coquiot (1880-1964), née Mauricia Bétant, artiste de cirque et de music-hall connue sous le nom de Mauricia de Thiers. Son mari Gustave Coquiot fera dans son livre Vagabondages le récit de leurs séjours réguliers à Thiers.
  • Georges Treille de Grandsaigne (1897-1918), s'est distingué pendant la Première Guerre mondiale à bord de son avion-canon Voisin le Thiernois.
  • Achille Mousset (1905-1962), boxeur professionnel (66 victoires pour 82 combats) a été le préparateur et l'ami d'Emile Pladner, champion du monde en 1929.
  • Jean Anglade (1915-2017) Écrivain Centenaire de l'École Naturaliste, Ami d'Henri Pourrat et d'Alexandre Viallatte, Chevalier de la Légion d'honneur de la République Italienne, Chevalier de la Légion d'Honneur de la République Française,
  • Pierre Thiers (1914-1997), joueur de rugby, il remporte, au poste de demi de mêlée le challenge Yves du Manoir en 1938 avec l'ASM. Pendant l'occupation, il revient jouer à Thiers. International à neuf reprises, il sera le premier capitaine de l'équipe de France après guerre.
  • René Barnérias (1928-2011), ancien député-maire UDF et conseiller général de Thiers.
  • Colette Guillaumin (1934-2017), sociologue, féministe.
  • Philippe Chazal (1952-), dirigeant dans l'audiovisuel.
  • Claire Chazal (1956-), présentatrice de journaux télévisés. Auteure du roman L'Institutrice, en partie inspiré des souvenirs de sa jeunesse dans le Puy-de-Dôme.
  • Patrick Berhault (1957-2004), alpiniste, aventurier.
  • Zinedine Soualem (1957-), acteur.
  • Mathieu Potte-Bonneville (1968-), philosophe, spécialiste de l'œuvre de Michel Foucault, maître de conférences à l'école normale supérieure de Lyon.
  • Pierre Jourde (1977-), artiste plasticien et graveur. Il a notamment illustré D'orage et de ruines (Léon Bralda)[7] et Il suffirait (Francis Ricard)[8].
  • Marc Fourré (1986-), champion de France du jeu vidéo Team Fortress 2, natif de la ville.
  • Ludovic Genest (1987-), footballeur professionnel évoluant en Ligue 2 (Sporting Club de Bastia, FC Istres).
  • Solène Froment (1992-), Miss Provence 2011, née à Thiers le d'un père thiernois et d'une mère bretonne[9]. Le , elle est élue troisième dauphine de Miss France 2012.

Personnalités liées à Thiers

Quelques figures locales

  • Le docteur Alphonse Lachamp (1812-1855) fut toute sa vie un militant républicain ardent. Il a mené à Thiers l'insurrection contre le coup d'État du 2 décembre 1851 avant de s'exiler aux États-Unis. Une rue de la ville porte son nom.
  • Blaise Lavelle (1816-1895), né à Meilhaud, professeur de dessin au collège de la ville, a lui aussi conduit l'insurrection de . Il sera pour cela déporté quelques mois en Algérie et fera le récit de ces évènements dans Souvenirs d'un ricochet du coup d'état de Décembre 1851 à Thiers sur Gallica.
  • Hermose Andrieu (1804-1875), né à Thiers, avocat au tribunal de la ville en 1829 puis juge en 1845, devient président du tribunal d'Ambert en 1862 et conseillé à la cour de Riom en 1867. Il participe à la création de la mutualité thiernoise. Son Histoire de la ville et de la baronnie de Thiers en Auvergne est publiée en 1878[18].
  • Antoine Guillemot (1822-1902), érudit, a publié des recherches sur l'histoire de la ville et de la coutellerie à Thiers, ainsi que des travaux sur les lépidoptères. Monarchiste convaincu, il est aussi l'auteur de nombreuses photographies qui témoignent du Thiers de son époque.
  • Gustave Saint-Joanny, né à Thiers en 1828, organise les archives de la ville et la bibliothèque municipale. Il publie notamment Simples notes pour servir à l'histoire de la coutellerie Thiernoise. Il devient archiviste en chef du département de la Seine[19]. Hubert Jacqueton publie en 1894 Études sur la ville de Thiers ; la communauté des habitants (1272-1789).
  • Matheus Hubner (1855-1901), d'origine autrichienne, a fui son Alsace natale après son annexion par l'Empire allemand en 1871. Après des études aux Beaux-Arts de Clermont-Ferrand, il s'initie à la photographie et s'installe à Thiers. Il participera activement à la vie locale, publiant un hebdomadaire radical L'indépendant de Thiers. Photographe renommé, il est en contact avec les frères Lumière. Il meurt dans un accident d'automobile[12].
  • Joseph Brugerette (1863-1943), né à Ambert. Prêtre, ses idées progressistes et dreyfusardes le mettent souvent en difficulté avec sa hiérarchie. Il est nommé curé de Saint-Jean à Thiers en 1909 et occupe ce ministère jusqu'à sa mort. Pendant la Première Guerre mondiale, il soutient le moral des combattants thiernois dans le bulletin L'Ami qui prend pour devise « Voir Naples et mourir, Revoir Thiers et y vivre ». Il anime la vie culturelle locale, montant des spectacles et publiant des livres qui célèbrent Thiers comme Les Mémoires de Jean Bitord (1913) et Le Nouveau Pauvre de la cité thiernoise (1925). Il publie aussi des articles dans Le Journal de Thiers qu'il signe Le Rat. La pedde de la rue d'Alger conserve en son souvenir l’appellation de « Trou du Rat »
  • Marie-Antoinette Fontbonne (1885-1974) a publié des romans, des pièces de théâtre, et des poèmes sous le pseudonyme d'Henry Franz. Elle fut en quelque sorte poétesse officielle de la ville.
  • Maurice Delotz (1895-1915) descend d'une vieille famille thiernoise de fabricants de cartes à jouer. Il a publié un recueil de poèmes, Heures Perdues, avant de mourir au combat pendant la Première Guerre mondiale.

Illustrateurs de Thiers

  • Prosper Marilhat (1811-1847) peint tout au long de sa vie de nombreux sujets thiernois, en particulier pendant ses années d'apprentissage (1820-1828)[14].
  • Théodore Rousseau (1812-1867) peint vers 1830 La vanne : les papeteries de Thiers, collections du musée du Louvre[20].
  • Michel Goutay-Riquet' (1804-1858) peint de nombreuses œuvres en rapport avec sa ville. Il participe au Salon entre 1827 et 1847 et y est bien accueilli. Professeur de dessin au collège de Thiers, il est le premier maître de Marilhat.
  • Louis Retru peint notamment un portrait de paysanne des environs de Thiers conservé au musée de Riom.
  • De nombreux dessinateurs et Lithographes prendront Thiers pour modèle au cours du XIXe siècle parmi lesquels on peut citer : Jules Louis Philippe Coignet (1798-1860), Edmond Tudot (1805-1861), Hippolyte Durand (1807-1867), Félix Thorigny (1824-1870) ou encore Charles Bour (1814-1881) qui s'attache aux personnes plutôt qu'aux monuments. Pendant l'entre-deux-guerres, le Riomois Charles Jaffeux (1902-1941) réalise une belle série d'eaux-fortes sur Thiers[21].
  • Louis Daguerre (1787-1851), artiste co-inventeur de la photographie, fait plusieurs séjours à Thiers. Il se serait lié d'amitié avec son logeur, Jean Pine-Chapet (1813-1895) qui deviendra le premier photographe thiernois. Une rue de la ville porte son nom.
  • Edouard Baldus (1813-1889), pionnier de l'art photographique, voyage en Auvergne en 1854 et s’intéresse particulièrement à Thiers et à sa vallée des usines.
  • Depuis le début du XXe siècle beaucoup de photographes, de Thiers ou d'ailleurs, professionnels ou amateurs, ont pris la cité coutelière pour modèle. Comme Jean Pine-Chapet ou Antoine Guillemot au siècle précédent, il témoignent des évolutions de la ville et de son activité. On peut citer, sans être exhaustif, la « dynastie » Gibert (Francis, Antony, François) et Joseph Gauvin, Gustave Deffradas, Jacques Frasiak, Jérôme Chabanne, Bruno Gautier, Bénédicte Picque, Gaëlle Batisse,Raymond Moraux.

Quelques visiteurs célèbres

Notes et références

  1. Alexandre Bigay, Histoire de Thiers, coll. « Monographies des villes et villages de France », éd. Le Livre d'histoire, 1992 (ISBN 2-87760-757-7).
  2. Elie Jaloustre, « Un précepteur auvergnat de l'abbé de Rancé », Revue d'Auvergne, p. 85-119, t. IV, 1887.
  3. Roman titré Le bouquet de la feintise, lié d'une soye desliée par la constance et que l'amour a faict d'un lis et d'une rose sans espine ou sont ensemblement pliées les amours fleuries du baron de Bellerose et de la marquise de Beaulis éd.P.Rigaud, Lyon, 1610. Cf. H.Andrieu Histoire de la ville et de la baronnie de Thiers.
  4. Cf. Fiche de Pierre Dubouchet sur le site de l'assemblée nationale.
  5. Cf. Fiche de Jean-Jacques Berger sur le site de l'assemblée nationale.
  6. Cimetières de France et d'ailleurs
  7. 2013, Cahiers de l'Entour.
  8. 2014, Cahiers des Passerelles.
  9. Isabelle Barnérias, La Gazette du .
  10. Anonyme Huit jours à Thiers, coll. « Monographies des villes et villages de France », éd. Le Livre d'histoire, 2007.
  11. Pierre-François Aleil, Histoire des communes du Puy-de-Dôme; Arrondissement d'Ambert Arrondissement de Thiers, p. 254, éd. Horvath, 1988 (ISBN 2-7171-0451-8).
  12. Georges Therre et Jacques Ytournel, Thiers t. III, coll. « Mémoire en Images ».
  13. Georges Therre et Jacques Ytournel, Thiers t. II, coll. « Mémoire en Images ».
  14. Brigitte Liabeuf, Petit journal de l'exposition : Un certain orient, Musée de Thiers, 1991.
  15. Henri Ponchon, L'Enfance de Chanel, Enquête et Découvertes, Éditions Bleu Autour,
  16. site de la FFA.
  17. « Membre de la Team Passion Vélo.fr et nouvelle reine de la descente », sur La Montagne, (consulté le ).
  18. Ambroise Tardieu, préface à l'édition de 1878 de Histoire de la ville et de la baronnie de Thiers.
  19. Hermose Andrieu, Histoire de la ville et de la baronnie de Thiers, éd. De Beauvoir, 2000.
  20. À voir dans Thiers, une exception industrielle, coll. « Images du Patrimoine » L'Inventaire d'Anne Henry (ISBN 2-905554-26-6).
  21. Cf. Le Pays Thiernois, « Thiers vu par les artistes » dans les numéros 15, 16, 17, 18.
  22. Actuel quartier du Moûtier. Grégoire de Tours cité par Pierre-François Aleil, Histoire des communes du Puy-de-Dôme; Arrondissement d'Ambert Arrondissement de Thiers, p. 232, éd. Horvath, 1988 (ISBN 2-7171-0451-8).
  23. Petite imprécision qu'il rectifie le lendemain.
  24. Georges Therre et Jacques Ytournel, Thiers t. I, coll. « Mémoire en Images ».
  25. Pierre Chevalérias, Le bulletin du cercle no 12, p. 5-7.
  26. Cf. Christiane Guéleraud, Le Bulletin du Cercle, no 18, octobre 2007.
  27. La Gazette du 19 mai 1979.
  28. « Johnny a su séduire plusieurs milliers de spectateurs », La gazette de Thiers-Ambert, .
  29. Pierre Chevalérias, Pays de Thiers, le regard et la mémoire, p. 206, Presses Universitaires Blaise Pascal, 1999 (ISBN 2-84516-116-6).
  30. Dalida Forever, « Concerts internationaux de 1955 à 1987 - Dalida, Eternelle... », Dalida, Eternelle..., (lire en ligne, consulté le ).
  31. Kiko, « Dalida site Officiel - Les récompenses », sur dalida.com (consulté le ).
  32. Dany Hadjadj, Pays de Thiers : le regard et la mémoire, Thiers, Presses Univ Blaise Pascal, , 592 p. (ISBN 978-2-84516-116-0, lire en ligne), page 209.
  33. Centre France, « Emploi - Territoire "zéro chômeur" : la ministre Myriam El Khomri soutient le projet à Thiers (Puy-de-Dôme) », www.lamontagne.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  34. Centre France, « Ministre de la ville, le centriste Maurice Leroy est attendu le jeudi 5 janvier à Thiers », www.lamontagne.fr, 2011/26/12 (lire en ligne, consulté le ).
  35. Centre France, « Un ministre chez Cartolux », www.lamontagne.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  36. Centre France, « Bus gratuit pour aller voir Annie Cordy », www.lamontagne.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  37. Centre France, « Culture - La billetterie d’Espace affiche déjà de bons résultats », www.lamontagne.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  38. Centre France, « François Valéry à Thiers - "La scène, c'est un rendez-vous d'amour" », www.lamontagne.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  39. Centre France, « Saison culturelle - Gil Alma avant son spectacle à Thiers : "Dès le début j'étais un clown" », www.lamontagne.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  40. Centre France, « Festival - « Une nouvelle édition record » pour la Pamparina, à Thiers », www.lamontagne.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  41. Centre France, « Festival - Retour en images sur un dimanche de Pamparina, à Thiers », www.lamontagne.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  42. Centre France, « Politique - Deux conventions signées hier avec le ministre Jacques Mézard : Cœur de ville, OPAH-RU et PIG », www.lamontagne.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  43. « Ville de Thiers », sur www.facebook.com (consulté le ).

Bibliographie

  • Georges Therre et Jacques Ytournel, Thiers t. I, coll. « Mémoire en Images », Joué-lès-Tours, Alan Sutton, 2001 (ISBN 978-2-84253-500-1).
  • Georges Therre et Jacques Ytournel, Thiers t. II, coll. « Mémoire en Images », Joué-lès-Tours, Alan Sutton, 2003 (ISBN 978-2-84253-745-6).
  • Georges Therre et Jacques Ytournel, Thiers t. III, coll. « Mémoire en Images », Joué-lès-Tours, Alan Sutton, 2005 (ISBN 978-2-84910-212-1).
  • Pays de Thiers, le regard et la mémoire, ouvrage collectif sous la direction de Dany Hadjadj, éd. Presses Universitaires Blaise Pascal, 1999 (ISBN 978-2-84516-116-0).
  • Histoire des communes du Puy-de-Dôme ; Arrondissement d'Ambert Arrondissement de Thiers, ouvrage collectif dirigé par André-Georges Manry, éd. Horvath, 1988 (ISBN 2-7171-0451-8).
  • Serge Combret, Auvergne, J'écris ton nom... Résistance, préface de Robert Chambeiron et Henri Rol-Tanguy, éd. AEDIS, 1994 (ISBN 978-2-95062-013-2).
  • Bulletin Le bulletin du Cercle, publication périodique de l'association « Cercle d'études de la deuxième guerre mondiale Thiers et sa région ».
  • Bulletin Le Pays Thiernois et son Histoire, publication périodique de l'association « Le Pays Thiernois ».
  • Montaigne l'intrépide 1581, un Gascon en pays Thiernois, publié par l'association « Le Pays Thiernois ».
  • Guy Rousseau, Le Temps du Gouyat ; L'enracinement socialiste dans le Puy-de-Dôme (1870-1914), éd. Institut d'Études du Massif central, 1991.
  • Hermose Andrieu, Histoire de la ville & baronnie de Thiers en Auvergne, Éditions de Beauvoir, 2000 (ISBN 2-914356-00-5).
  • Alexandre Bigay, Histoire de Thiers, coll. « Monographies des villes et villages de France », Paris, Res Universis, 1992, 160 p., 20 cm, (ISBN 978-2-87760-757-5).
  • Victor Favyé, Huit jours à Thiers, coll. « Monographies des villes et villages de France », Paris, Le Livre d'histoire 2007, (ISBN 978-2-7586-0085-5).
  • Anne Henry, Thiers, une exception industrielle, coll. « Images du Patrimoine » L'Inventaire, Clermont-Ferrand, Étude du Patrimoine Auvergnat, 2004, 64 p., 30 cm, (ISBN 9782905554260).
  • George Sand, La Ville noire, roman, Romagnat, éd. De Borée, 2007, (ISBN 978-2-84494-546-4).
  • Fernand Planche, Durolle au pays des couteliers, roman, Cournon d’Auvergne, Canope, 1986, 220 p., 18 cm.
  • Le Pain de Lamirand, récit des souvenirs de Jean Anglade, Romagnat, De Borée, 2002, 274 p., 18 cm, (ISBN 978-2-84494-101-5).
  • Jean Anglade, Les Ventres jaunes (ISBN 978-2-26600-987-4), 274 p. ; La Bonne Rosée, 1982, (ISBN 978-2-26601-170-9), 276 p., Les Permissions de mai, 1983, (ISBN 978-2-26601-259-1), 281 p., éd. Pocket, trilogie romanesque, Paris, Presses pocket.

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