Lapleau
Lapleau est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.
Lapleau | |||||
Le Viaduc des Rochers Noirs sur les gorges de Luzège | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Ussel | ||||
Intercommunalité | cc de Ventadour - Égletons - Monédières (siège) |
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Maire Mandat |
Sofia Barbosa 2022-2026 |
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Code postal | 19550 | ||||
Code commune | 19106 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lapleaucois | ||||
Population municipale |
373 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 17′ 40″ nord, 2° 10′ 03″ est | ||||
Superficie | 17,76 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Égletons (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Égletons | ||||
Législatives | 1re circonscription de la Corrèze | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | https://mairiedelapleau-correze.net/ | ||||
Ses habitants sont les Lapleaucois.
Géographie
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Lamazière-Basse, Laval-sur-Luzège, Saint-Hilaire-Foissac, Saint-Pantaléon-de-Lapleau et Soursac.
Hydrographie
La commune est délimitée pour une grande partie par la Luzège, un affluent de la Dordogne. Cette rivière forme une véritable frontière physique avec les communes de Soursac, Saint-Pantaléon-de-Lapleau et Lamazière-Basse.
Sur le site du Gour noir, légèrement en aval du confluent entre le Vianon et la Luzège, le barrage de la Luzège a été construit. Il s'agit d'un barrage voûte construit pour EDF[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marcillac », sur la commune de Marcillac-la-Croisille, mise en service en 1963[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 333,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 46 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,2 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Lapleau est une commune rurale[Note 5] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Égletons, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70 %), prairies (27,2 %), zones urbanisées (1,5 %), mines, décharges et chantiers (1,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2013 et 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 379, alors qu'il était de 369 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 50,4 % étaient des résidences principales, 44,6 % des résidences secondaires et 5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,7 % des appartements[I 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lapleau en 2018 en comparaison avec celle de la Corrèze et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (44,6 %), très supérieure à celle du département (15,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (68,4 % en 2013), contre 68,5 % pour la Corrèze et 57,5 % pour la France entière[I 2].
Risques naturels et technologiques
Le territoire de la commune de Lapleau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 33,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 296 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 8 sont en en aléa moyen ou fort, soit 3 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues et de l'Aigle, des ouvrages de classe A[Note 7] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[26].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Lapleau est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[27].
Toponymie
En 813, le village s’appelait In Plebius Vel Baptismalibus Aecclesiis puis 937 Ecclesiam Quae Plevis Dicitur avant de devenir, vers 1315, de Lapluou puis Lapleau.
Lapleau vient du bas latin plebs, plebes, « église baptismale, église paroissiale » qui est l'origine de son nom.
L'église de Lapleau est placée sous le vocable de saint Étienne indice de la grande ancienneté du village.
La localité est appelée La Pléu en occitan
Histoire
Lapleau possédait une gare sur l'ancienne ligne du Transcorrézien allant de Tulle à Ussel en passant par Marcillac-la-Croisille, le viaduc des Rochers Noirs, Soursac, Neuvic, Liginiac…
Cette ligne faisait partie du réseau des tramways de la Corrèze.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Tulle du département de la Corrèze.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Lapleau[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Égletons
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Corrèze.
Intercommunalité
Lapleau est le siège de la communauté de communes de Ventadour - Égletons - Monédières, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2020, la commune comptait 373 habitants[Note 8], en diminution de 6,05 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Le château dit « Rouby » du XVIIe siècle (propriété privée) dont les façades et la toiture en lauze sont inscrits aux monuments historiques, par arrêté du [39].
- L'église Saint-Étienne de Lapleau, de style néo-romane du XIXe siècle cache un véritable trésor religieux médiéval : des châsses reliquaires caractéristiques des fameux émaux médiévaux du Limousin.
- Le château de Lestrange : il ne reste qu'une colline boisée avec un point de vue sur les gorges de la Luzège, sur la vieille église de Saint-Pantaléon-de-Lapleau. Les pierres du château ont été récupérées par les habitants pour construire leurs demeures et diverses dépendances. La grande famille limousine des vicomtes de L'Estrange[40] posséda des seigneuries en Marche et Limousin (Magnat), en Auvergne (titrée vicomte de Cheylane(s) à Laveissenet), en Vivarais (Boulogne, Grozon/Garezon, St-Martial : voir des précisions et références à aux articles Boulogne et Cheylane). Les familles de Hautefort, puis de Saint-Nectaire et de Crussol-Florensac, furent, en bonne part et par mariage, les héritières des Lestrange.
- La Gentilhommière (XVIe siècle) fut une maison d'habitation des Badets de Burg. Elle est flanquée d'une tour à bretèche et d'une échauguette. Elle est le siège de la communauté de communes de Ventadour.
- Le viaduc des Rochers Noirs (ou de Roche-Taillade), classé aux monuments historiques depuis le , appartenant au conseil départemental de la Corrèze, est un pont suspendu reliant les communes de Lapleau et de Soursac suivant le tracé du Transcorrézien. Ce viaduc fut élaboré selon les procédés du commandant Albert Gisclard, procédés ancêtres du pont à haubans[41].
- Pour de nombreux petits Rochefortais, Lapleau était le lieu de la colonie de vacances de la ville. Après l'arrêt de la colonie, les locaux ont été repris par la commune. Il faut noter aussi que les liens entre les départements de la Corrèze et de la Charente-Maritime sont forts en matière de colonie car le département de la Corrèze possède une colonie, la Martière, sur l'île d'Oléron alors que le département de la Charente-Maritime possédait la sienne à Liginiac jusqu'en 2010.
Personnalités liées à la commune
- Jacques Durand (1920-2009), fondateur de la Scora (Société CORrézienne d'Automobile), il construit une dizaine de voitures dans un atelier situé à Lapleau avant de déménager dans les Alpes-Maritimes.
- Bernadette Bourzai (1945-), née à Lapleau, sénatrice (PS) de la Corrèze, ancienne maire d’Égletons.
Héraldique
Blason | De gueules à deux lions adossés d'or, surmontés d'un léopard d'argent. |
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Détails | Ce blason est celui de la famille de Lestrange, dont les vestiges du château se trouvent sur les hauteurs de Lapleau. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Lien externe
- « Dossier complet : Commune de Lapleau (19106) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- « Lapleau » sur Géoportail.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Site de l'Insee
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lapleau - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lapleau - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Corrèze - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
- Barrage de la Luzège (1951) sur Structurae.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Marcillac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lapleau et Marcillac-la-Croisille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Marcillac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lapleau et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Lapleau », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lapleau », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Hippolyte, Jean, Pierre, Bernard, Antoine Rouby (1860-1920) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- https://maitron.fr/spip.php?article174396, notice ROUBY Élie, Roger, Jean-Baptiste par Gilles Morin, version mise en ligne le 11 juillet 2015, dernière modification le 5 juillet 2015.
- Gilles Morin, « CLAIR Charles, Antonin : Né le 16 décembre 1915 à Saint-Pardoux-la-Croisille (Corrèze), mort le 26 mai 2005 à Tulle (Corrèze) ; instituteur, puis directeur général de la mutualité agricole de la Corrèze ; militant socialiste, maire de Lapleau (1976-1983), conseiller général de Lapleau (1970-1985) », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
- « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de le République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 4786.
- Laetitia Soulier, « Qui pour succéder au nouveau député LR de la Corrèze Francis Dubois à la mairie de Lapleau ? : Qui pour remplacer Francis Dubois, le nouveau député, à la tête de la mairie de Lapleau ? La première adjointe va assurer l’intérim dans l’attente d’une élection complémentaire pour avoir un conseil municipal au complet (11 élus) et élire un nouveau maire. », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « « C’est Sofia Barbosa, ma première adjointe, qui va assurer l’intérim », poursuit Francis Dubois qui souhaite rester conseiller municipal. De même, il va démissionner de son poste à la communauté de communes Ventadour-Egletons-Monédières qu’il préside depuis 2014 ».
- Corinne Merigaud, « Les deux candidats LR Frédérique Meunier et Francis Dubois : Frédérique Meunier et Francis Dubois l’emportent dans les 2 circonscriptions de la Corrèze », Aqui!,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Sofia Barbosa, nouveau maire : Maire depuis 20 ans, Francis Dubois lorsqu’il a été élu député de la Corrèze ne pouvait cumuler les mandats. Lapleau a donc dû élire un nouveau maire », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le nouveau premier magistrat de la commune est entrée au Conseil municipal en 2008. Elle devient 3 e adjointe. En 2014 elle est 2 e adjointe et, en 2020, elle est la 1 re adjointe ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Château », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'Estrange, p. 212-217 », sur Nobiliaire universel de France, t. VII, par Nicolas Viton de Saint-Allais, 1816.
- « Le viaduc des Rochers Noirs », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.