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Liginiac

Liginiac est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Liginiac
Liginiac
L'église Saint-Barthélemy.
Blason de Liginiac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Ussel
Intercommunalité Haute-Corrèze Communauté
Maire
Mandat
Frédéric Bivert
2020-2026
Code postal 19160
Code commune 19113
Démographie
Gentilé Liginiacois, Liginiacoises
Population
municipale
648 hab. (2020 en augmentation de 12,89 % par rapport à 2014)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ 59″ nord, 2° 20′ 03″ est
Altitude Min. 351 m
Max. 692 m
Superficie 28,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ussel
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Haute-Dordogne
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liginiac
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Liginiac
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Liginiac
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    La commune de Liginiac est traversée par la Méridienne verte.

    Localisation

    La commune est située à 9 km au nord-est de Neuvic et à 18 km au sud d'Ussel.

    Transport

    La commune est située à 17 km au sud de la sortie Sortie 23 Ussel-Ouest de l'autoroute A89.

    Liginiac possédait une gare sur l'ancienne ligne du Transcorrézien allant de Tulle à Ussel en passant par Marcillac-la-Croisille, Lapleau, le Viaduc des Rochers Noirs, Soursac, Neuvic… Cette ligne appartenait aux tramways de la Corrèze.

    Hydrographie

    La commune se trouve entre la Dordogne avec le barrage de Marèges à l'est et la Triouzoune avec son lac à l'ouest (retenue du barrage de Neuvic).

    Deux autres cours d'eau traversent aussi son territoire : le ruisseau de l'Artaude, qui se jette dans la Dordogne, et le Riffaud qui se jette dans la Triouzoune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 054 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saignes », sur la commune de Saignes, mise en service en 1981[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 001,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 55 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Liginiac est une commune rurale[Note 5] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Ussel, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (45,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,1 %), prairies (39,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), eaux continentales[Note 7] (5,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %), zones urbanisées (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Liginiac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Liginiac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 20 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 555 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 96 sont en en aléa moyen ou fort, soit 17 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, de Marèges et de Neuvic d'Ussel, des ouvrages de classe A[Note 8] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[25].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Liginiac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

    Histoire

    Héraldique

    Liginiac

    Son blasonnement est : d'azur à la tour d'argent ajourée et maçonnée de sable, accompagnée à dextre d'une étoile d'or et à sénestre d'un croissant d'argent, au franc-canton échiqueté de gueules et d'or.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1971 1993 Roger Valade -
    1993 mars 2001 Gérard Nussac -
    mars 2001 mars 2008 Robert Meynie -
    mars 2008 juillet 2020 Jean Valade[29] - Agriculteur
    juillet 2020 En cours Frédéric Bivert - Chef d'entreprise

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31]. En 2020, la commune comptait 648 habitants[Note 9], en augmentation de 12,89 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1501 2301 2081 3591 2931 4671 4861 5071 515
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4341 5261 5061 5021 5161 5631 5601 5061 519
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5231 5311 5791 5061 5341 6301 615990890
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    858725601618603630611607641
    2014 2019 2020 - - - - - -
    574644648------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Exploitation forestière et bois

    La commune abrite la scierie J. Destève, également fabrique de palettes, qui emploie une quarantaine de personnes[34].

    Des animations autour du bois sont organisées tous les ans le troisième week-end de juillet, Le Bois en fête. En 2012, l'artiste Marc Pouyet y expose la Spirale de curiosité[35].

    • Le Bois en fête en 2012.
      Le Bois en fête en 2012.
    • La Spirale de curiosité.
      La Spirale de curiosité.

    Exploitation électrique

    • Panneau d'accueil sur le site.
      Panneau d'accueil sur le site.
    • Caractéristiques.
      Caractéristiques.
    • La façade.
      La façade.
    • L'usine.
      L'usine.

    La SHEM exploite le barrage de Marèges, ce barrage-voûte est équipé de quatre turbines Francis d’un débit nominal de 60 m3/s sur la rive gauche (côté Liginiac) et d'une turbine Francis d’un débit nominal de 190 m3/s sur la rive droite (côté Saint-Pierre).

    Ces installations assurent une production annuelle d’environ 310 GWh.

    Le barrage a été conçu de 1932 à 1935 pour la Compagnie des Chemins de fer du Midi par l'ingénieur polytechnicien André Coyne, spécialiste du barrage voûte et plus tard concepteur du barrage de Malpasset.

    Vie locale

    Le village a conservé une école maternelle et primaire et il est équipé d'une bibliothèque municipale[36], d'une salle des fêtes et d'une salle polyvalente[37].

    Le secteur santé n'y est plus représenté (médecin parti, pharmacie fermée, kinésithérapeute parti, reste infirmière et maison de retraite), sans oublier de nombreux petits commerces : boucherie fermée, une épicerie, deux bar restaurant dans le bourg, un restaurant au bord du lac pour la saison estivale, un garage automobile, un fleuriste.

    Lieux et monuments

    • La mairie.
      La mairie.
    • La mairie.
      La mairie.
    • L'église.
      L'église.
    • L'église vue de la salle des sports.
      L'église vue de la salle des sports.
    • Un modillon sculpté sous la toiture de l'église.
      Un modillon sculpté sous la toiture de l'église.
    • L'église.
      L'église.
    • L'église sous la neige.
      L'église sous la neige.
    • L'église sous la neige.
      L'église sous la neige.

    Parcs et espaces verts

    • Une table d'orientation avec une vue panoramique se trouve au sommet du puy de Manzagol.
    • Le lac de la Triouzoune permet diverses activités comme la pêche, la voile, le canoé-kayak…

    Loisir et tourisme

    • Le centre touristique du Maury avec un camping, une plage, un restaurant et des activités sportives (tennis, VTT…).
    • Le camping de Chantegril presque au cÅ“ur du village.
    • Un centre VTT agréé FFC.
    • Un mur d'escalade se trouve dans la salle polyvalente.
    • L'ancien centre de vacances départemental de la Charente-Maritime[41] qui se trouve au bord de la Triouzoune et au pied du Puy de Manzagol.
    Les départements de la Corrèze et de la Charente-Maritime sont liés en matière de colonies de vacances car le département de la Corrèze possède une colonie, la Martière, sur l'île d'Oléron alors que le département de la Charente-Maritime possédait la sienne à Liginiac jusqu'en 2010. Le centre de loisir a rouvert en 2013 sous le nom de Junior Club House[42].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    7. « Station Météo-France Saignes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    8. « Orthodromie entre Liginiac et Saignes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saignes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Liginiac et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    14. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Liginiac », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Liginiac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    24. Article R214-112 du code de l’environnement
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    27. « Les maires de Liginiac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    28. J. Borde, Neuvic et son canton, Neuvic : Association Musée de la Résistance Henri-Queuille, 1989 (réédition), p. 314-317.
    29. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Voir sur jdesteve.com.
    35. Site de l'artiste Marc Pouyet.
    36. Voir sur limousin.culture.gouv.fr.
    37. Liginiac sur le site de la communauté de communes.
    38. « L'église », notice no PA00099789, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. L'église sur la Base Palissy
    40. Liginiac, une église auvergnate en Haute-Corrèze de Pierre Moulier et David Marmonie
    41. Liginiac sur le site du Conseil Général de Charente-Maritime
    42. « Site du Junior Club House », sur juniorclub.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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