Égletons
Égletons (/e.ɡlə.tɔ̃/ ; en occitan : Aus Gletons) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.
Égletons | |||||
Le lycée Pierre-Caraminot. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Ussel | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Ventadour - Égletons - Monédières | ||||
Maire Mandat |
Charles Ferré 2020-2026 |
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Code postal | 19300 | ||||
Code commune | 19073 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Égletonnais, Égletonnaises | ||||
Population municipale |
4 274 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 254 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 24′ 26″ nord, 2° 02′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 533 m Max. 800 m |
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Superficie | 16,85 km2 | ||||
Unité urbaine | Égletons (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Égletons (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Égletons (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.egletons.fr | ||||
La ville est réputée pour la qualité de son enseignement dans le secteur du Bâtiment et travaux publics dont elle accueille de nombreuses formations allant du brevet d'études professionnelles (BEP) jusqu'au Diplôme national de master et au doctorat.
Géographie
Localisation
Péret-Bel-Air | Soudeilles | |||
Saint-Yrieix-le-Déjalat | N | Darnets | ||
O Égletons E | ||||
S | ||||
Rosiers-d'Égletons | Moustier-Ventadour |
Égletons se situe dans le Massif central au carrefour de plusieurs ensembles géographiques. La ville est adossée aux premiers contreforts de la Montagne limousine (le plateau de Millevaches au nord, et le massif des Monédières à l'ouest), et s'établit ainsi sur le haut plateau corrézien dominant à l'est les gorges de la Dordogne.
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La commune se situe sur l'ex-nationale 89 (devenue RD 1089) :
- à 30 kilomètres à l'est de Tulle
- à 29 kilomètres à l'ouest d'Ussel
- à 5 kilomètres de la sortie 22 de l'autoroute A89 reliant Bordeaux (à 260 kilomètres) et Clermont-Ferrand (à 120 kilomètres).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1997 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,6 | −0,5 | 1,7 | 4,1 | 7,8 | 11 | 12,2 | 12,1 | 8,9 | 6,7 | 2,4 | −0,2 | 5,5 |
Température moyenne (°C) | 3 | 3,7 | 6,5 | 9 | 13,2 | 16,8 | 17,9 | 17,9 | 14,6 | 11,3 | 6 | 3,3 | 10,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,5 | 8 | 11,3 | 13,9 | 18,5 | 22,6 | 23,6 | 23,7 | 20,2 | 15,9 | 9,6 | 6,8 | 15,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−12,2 30.01.04 |
−14,6 09.02.12 |
−15,5 01.03.05 |
−5,2 08.04.21 |
−1,3 03.05.21 |
2,8 05.06.14 |
4 17.07.00 |
4,8 29.08.10 |
−0,9 18.09.01 |
−6,3 25.10.03 |
−11,1 22.11.1998 |
−13 19.12.09 |
−15,5 2005 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18 01.01.22 |
24,6 27.02.19 |
24,8 14.03.12 |
27,4 07.04.11 |
29,7 17.05.06 |
37,4 27.06.19 |
37,3 23.07.19 |
37,1 12.08.03 |
31,5 13.09.19 |
27,4 02.10.11 |
23,4 08.11.15 |
17,9 19.12.15 |
37,4 2019 |
Précipitations (mm) | 131,7 | 110,1 | 140 | 151,3 | 110,3 | 92,8 | 109 | 103,1 | 102,8 | 122,5 | 155,4 | 140,7 | 1 469,7 |
Urbanisme
Typologie
Selon la terminologie définie par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) et le zonage publié en 2020, Égletons est une commune urbaine[Note 4]. Elle appartient en effet à l'unité urbaine d'Égletons une unité urbaine monocommunale[8] de 4 196 habitants en 2020, constituant une ville isolée[9] - [10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Égletons, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11] - [12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,8 %), zones urbanisées (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,5 %), prairies (8,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Égletons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau d'Égletons. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2001, 2016 et 2018[16] - [14]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Vézère », approuvé le [17].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 18,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 263 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 32 sont en en aléa moyen ou fort, soit 3 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Égletons est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].
Toponymie
Alexis de Valon avait proposé l'étymologie fantaisiste Eagle Town « la ville de l'aigle », donnée par les Anglais occupant le Limousin[21]. L'origine du toponyme Égletons (1075 : de Glutonibus ; 1251 : de Glotos, 1410 : Augloutous, 1599-1604 : Esgletons) est incertaine :
- nom d'homme germanique Gluto, employé directement comme toponyme, « au pluriel pour désigner une famille », selon Marcel Villoutreix[22].
- latin médiéval glutis, terre tenace, argile, avec préfixe ès à valeur locative, le nom de cette bourgade se rapportant à un endroit bourbeux, glaiseux où sans doute elle fut établie, selon Jean Costes[23].
Histoire
Cette importante cité médiévale est en 1059 la capitale de la famille des seigneurs de Ventadour.
Depuis leur imposante forteresse, véritable nid d’aigle sur un piton rocheux dont les vestiges (récemment restaurés et consolidés) témoignent encore de la puissance, les Ventadour firent la fortune d'Égletons, assurèrent sa prospérité et furent à l'origine d'une riche tradition d'art et de culture, celle de la fin' amor : la poésie des troubadours. Bernard de Ventadour, l'un des plus célèbres d'entre eux, a su chanter à travers toute l'Europe cette civilisation courtoise raffinée. Égletons conserve aujourd'hui encore des restes de cette place forte, ses remparts aux cinq portes qui arborent les armes des Ventadour, son église Saint-Antoine et son clocher du XIIe siècle armé de mâchicoulis, sa chapelle des Pénitents.
Entre 1929 et 1944, le maire socialiste Charles Spinasse agrandit et rénove Égletons, et il en fait une ville scolaire.
Sous la direction de Louis Godefroy, Compagnon de la Libération, les FTPF mènent des opérations à Égletons, Tulle et Eymoutiers, qu’il commande personnellement.
En , se déroula la bataille d'Égletons. Les combats féroces, les destructions nombreuses et le courage des habitants lors de la lutte pour la libération de la ville valurent, à la médiévale capitale des Ventadour, la citation à l'Ordre du Corps d'Armée avec l'attribution de la Croix de guerre avec étoile de vermeil ().
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Égletonnais et Égletonnaises[25].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27]. En 2020, la commune comptait 4 274 habitants[Note 6], en diminution de 0,7 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Enseignement
Égletons est réputé pour ses écoles et ses centres de formation dédiés aux métiers du bâtiment et travaux publics.
- Le lycée Pierre-Caraminot, diplôme de BTS.
- L'Institut universitaire de technologie du Limousin (IUT), diplôme de DUT
- L'Institut universitaire professionnalisé du Limousin (IUP), diplôme de licence.
- La faculté des sciences et techniques du Limousin, diplômes de master et doctorat.
- L'École d'application aux métiers des travaux publics (EATP)[30].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Les remparts (vestiges)
- La maison des d'Ambert de Sérilhac
- Le métier à ferrer les vaches
- L'église Saint-Antoine-l'ermite : clocher (XIIe – XVIIIe siècle), porche (fin XIIe siècle) et vitraux de Blanchet et Lesage[31] (1956). L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 2012[32].
- La chapelle de l'hôpital (XIIIe siècle) puis de la confrérie des Pénitents blancs (XVIIe siècle)
- Le presbytère
- Les fontaines
- Le Centre de découverte du Moyen Âge[33]
- Le projet d'urbanisme de la ville d'Égletons 1929-1979.
Label
En 2009, le ministère de la Culture a attribué à la ville le label « Patrimoine du XXe siècle » pour son architecture remarquable et son ensemble urbain des années 1930 à 1960.
À voir :
- la porte monumentale du stade François-Chassaing (René Blanchot, 1936)
- l'École nationale professionnelle (EATP) (Robert Danis, 1934)
- le bâtiment central du Village de vacances (Roland Schweitzer, 1966)
Parcs et espaces verts
La commune est une ville fleurie ayant obtenu deux fleurs au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[34]. Elle a conservé cette reconnaissance en 2008[35].
Historique des noms des rues
Paule Morot-Cabanac a écrit Égletons et ses rues[36] dans lequel elle recense les rues de la ville et explique l'origine des noms qui leur ont été donnés.
Dans la littérature
- Miette (1995), roman de Pierre Bergounioux.
Personnalités liées à la commune
- Bernard de Ventadour (~1125-~1195), célèbre troubadour.
- Octave Lacroix (1827-1901), journaliste et poète.
- Léonard Louis Bordas dit « Louis Bordas » (1864-?), entomologiste, spécialiste des appareils glandulaires des insectes hyménoptères, des tubes digestifs des orthoptères, etc.
- Edmond Vignard (1885-1969), ingénieur chimiste et archéologue français, préhistorien, égyptologue, il est l'inventeur du Sébilien.
- Raymond Le Charpentier (1889-1982), militaire et résistant français, y est mort.
- Charles Spinasse (1893-1979), homme politique.
- Roger Lescure, (1912-2009), résistant des Forces françaises de l'intérieur qui participa à la libération de la ville en 1944.
- Bertrand Eveno (1944-), haut fonctionnaire et patron de presse.
- Bernadette Bourzai (1945-), femme politique.
- Fabien Domingo (1976-), joueur de rugby à XV notamment à l'US d'Égletons, né à Tulle.
- Thomas Domingo (1985-), frère de Fabien Domingo, joueur de rugby à XV notamment à l'US d'Égletons, né à Tulle.
- Jean-Marie Bourre (1945-), membre de l'Académie nationale des médecins et ancien directeur des unités de recherche INSERM de neuro-toxicologie et de neuro-pharmaco-nutrition.
- Michel Paillassou (1962-2014), ingénieur, maire d'Égletons, conseiller général, président de la communauté de communes de Ventadour, président départemental de l'UMP.
Héraldique
Blason | Échiqueté d'or et de gueules de huit tires. |
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Détails | Selon d'Hozier Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Devise
La devise de la ville est « Inania Pello » ; elle signifie « je rejette les choses vaines »[37].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 19073006 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
- « Unité urbaine 2020 d'Égletons », sur insee.fr (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune d'Égletons », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « PPRI Vézère », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Égletons », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Jean Vinatier, Egletons « cité de Ventadour », Treignac, Les Monédières, , p. 13.
- Marcel Villoutreix, Les noms de lieux du Limousin, Travaux d'archéologie limousine, Supplément n° 6, (ISSN 1269-7486), p. 68.
- Jean Costes, « Les noms de lieux corréziens », Lemouzi, no 187,‎ , p. 103.
- TULLE, « Charles Ferré nouveau maire d'Egletons », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Les gentilés de Corrèze.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Site de l'EATP.
- Labellisés « Patrimoine du XXe siècle ».
- « Eglise Saint-Antoine-l'Ermite », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Site du CDMA.
- Villes et Villages Fleuris (palmarès 2007 des communes de Corrèze)
- Palmarès 2008 des Villes et Villages Fleuris
- Égletons et ses rues, éditeur : Alan Sutton, 07/2005, coll. « Mémoire en images » (ISBN 978-2-84253-848-4).
Livre très documenté d'une ancienne enseignante passionnée d'histoire.
Ouvrage actuellement indisponible. - « Bienvenue en Haute-Corrèze », sur haute-correze.fr (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Jean Vinatier, Egletons « cité de Ventadour ». L'histoire d'une ville du Limousin, 2e édition, Treignac, Les Monédières, 1988, 135 p.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la communauté de communes du Pays de Ventadour, du Doustre et de la Luzège