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La Forêt-du-Temple

La Forêt-du-Temple (La Forest dau Temple en occitan marchois) est une commune française située à l'extrême nord du département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine, et frontalière de la région Centre-Val de Loire. Au dernier recensement de 2012, la commune comptait 145 habitants.

La Forêt-du-Temple
La Forêt-du-Temple
Fronton de la mairie et monument aux morts de la Forêt-du-Temple, situés place du Pilori.
Blason de La Forêt-du-Temple
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes Portes de la Creuse en Marche
Maire
Mandat
Éveline Moulin
2020-2026
Code postal 23360
Code commune 23084
Démographie
Gentilé Forestiers, Forestières
Population
municipale
145 hab. (2020 en augmentation de 3,57 % par rapport à 2014)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 25′ 18″ nord, 1° 54′ 12″ est
Altitude Min. 360 m
Max. 462 m
Superficie 7,72 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bonnat
Législatives Circonscription unique
Localisation
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La Forêt-du-Temple
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La Forêt-du-Temple
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La Forêt-du-Temple

    La Forêt-du-Temple fait historiquement partie de la Marche. Elle se trouve aux confins septentrionaux de l’ancienne province, face au Berry. Jusqu'au , elle fait partie de l'ancienne région Limousin.

    Géographie

    Localisation

    Hydrographie

    Le territoire communal est arrosé par le Ruisseau de la Forêt, le Ruisseau des Gannettes dont il possède la source, et la rivière Vauvre dont il possède les sources[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 946 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bonnat », sur la commune de Bonnat, mise en service en 1970[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 859,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Châteauroux Déols », sur la commune de Déols, dans le département de l'Indre, mise en service en 1893 et à 48 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Faune et flore

    La Forêt-du-Temple est en majorité couverte par des exploitations agricoles. La commune compte 201 espèces indigènes (en particulier les genres ou espèces chêne, Trifolium, grenouille, crapaud, triton), 10 espèces introduites (non-envahissantes : Châtaignier, Claytonie perfoliée, Jonc grêle, Matricaire odorante, Myosotis des forêts, coucou, Oseille commune, Stellaire graminée, Véronique de Perse) parmi lesquelles une est envahissante (Perche-soleil). Il n'y a aucune cryptogène et une domestique (Sumac à bois glabre)[15].

    La zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique des Sources de la Vauvre et ses affluents se trouve en partie sur le nord du territoire de la commune[16] - [17].

    Voies routières

    Panneau à l'entrée du village, rue du Puits.

    Transports

    Le territoire de la commune est traversé par les vestiges de la voie ferrée de La Châtre à Guéret.

    Le territoire communal est desservi par la ligne 13 du réseau TransCreuse au niveau de la mairie au bourg et d'un abribus au hameau de la Graule[18].

    Urbanisme

    Typologie

    La Forêt-du-Temple est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [19] - [20] - [21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (57,1 %), prairies (35,6 %), forêts (3,7 %), zones urbanisées (3,6 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Les douze hameaux[1] et lieux-dits[1] de la commune sont : l'Ailland, le Bourigeaud, les Chênes, les Fées, les Ganes Garaudes, les Ganettes, le Grand Pommier, les Grandes Chaumes, la Graule, Jappeloup, les Pièces et les Pouges.

    Logement

    En 2019, selon l'INSEE, la commune de la Forêt-du-Temple compte au total 143 logements. Parmi eux, 50,0 % sont des résidences principales, 26,8 % des résidences secondaires et 23,3 % des logements vacants. La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élève à 83,8 %[25].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de La Forêt-du-Temple est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Forêt-du-Temple.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 39,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 135 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 28 sont en en aléa moyen ou fort, soit 21 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[26].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de La Forêt-du-Temple est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].

    Toponymie

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de La Forêt-la-Nation[31].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Urne funéraire antique en verre découverte dans le chef-lieu de la commune et exposée au Musée d'Art et d'Archéologie de Guéret.

    La présence humaine est attestée depuis la Préhistoire. Ainsi, des ateliers de taille d'outils en silex du néolithique, dont une quantité importante est retrouvée au XXe siècle pendant la construction du chemin de fer, ont été repérés sur le territoire de la Forêt-du-Temple[32] - [33]. Plusieurs haches à talon et un anneau de bronze datant de l'âge du bronze ont aussi été trouvés[34].

    À la période gallo-romaine, entre les Ier et IVe siècles, l'inhumation dans la région se faisait en enfermant les cendres et ossements du défunt dans une urne funéraire simple en terre cuite ou en verre de 20 à 25 cm de haut. D'habitude, ces urnes étaient simplement protégées dans un coffre en granit. En Haute Marche, ce genre de sépultures, le plus mis au jour par des fouilles archéologiques, date du IIe et IIIe siècle. À la Forêt-du-Temple, des urnes de métal ont aussi été découvertes[35].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    La localité a été mentionnée pour la première fois comme appartenant à l'ordre du Temple à la fin du XIIe siècle, mais la date exacte fait débat entre les sources[36]. Certaines citent, peut-être par reprise du Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse de 1902 de l'historien André Lecler, son apparition dans le cartulaire d'Aubepierre « vers 1185 » sous le nom de Domus fratum de Templo a la Forest[37] - [38] - [36], litt. en français : « Maison du frère du Temple de la Forêt Â», mais sans plus de précision[36]. D'autres sources citent, quant à elles plus précisément, une donation du seigneur Géraud de Mortroux à l'abbaye cistercienne d'Aubepierre entre 1194 et 1197[36].

    En 1312, la Forêt-du-Temple est citée deux fois dans les actes du procès des Templiers[39] - [36]. L'Ordre est supprimé le 3 avril, tandis que ses biens sont donnés aux Hospitaliers le 2 mai[40].

    Depuis la Renaissance

    La commune de la Forêt-du-Temple a été rattaché à Mortroux le 20 juin 1836, puis rétablie en 1883[37].

    Politique et administration

    La commune dépend de l'arrondissement de Guéret, du canton de Bonnat[41], de la circonscription de la Creuse et de la Communauté de communes Portes de la Creuse en Marche.

    Administration municipale

    La mairie de La Forêt-du-Temple se trouve dans l’ancienne école du village, Place du Pilori.

    • Vue sur le côté sud-est de la mairie depuis la place du Pilori, l’inscription peinte « École des Garçons » est encore visible sur le mur sud-est
      Mairie vue depuis le sud-est.
    • Vue sur le côté sud-est de la mairie depuis la place du Pilori, l’inscription peinte « École des Filles » est encore visible sur le mur sud-est
      Mairie vue depuis le nord-ouest.

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[42].

    Liste des maires

    Carte postale de la gare vers 1920.
    Liste des maires successifs[Note 6]
    Période Identité Étiquette Qualité
    an II an IV Pierre Rigodin commissaire
    an IV an V Maurice Aupennetier agent
    an V an VIII Charles Mercier
    1800 1805 Charles Mercier
    1806 1807 Gaspard Coirier
    1808 1811 Silvain Ribierre
    1812 1822 Silvain Vérinat
    1822 1832 Jean-Baptiste Raveau
    1832 1836 Pierre Mercier
    Jules Destouches
    Louis Michel
    Jean-Joseph Ravaud
    Silvain Peynin
    Silvain Rémi Lefort
    Maxime Peynin
    Henri Peynet
    Roger Chenet
    En cours Éveline Moulin DVG Employée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    Cimetière de la commune.

    Les habitants de la commune sont appelés les Forestiers et les Forestières[43].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].

    En 2020, la commune comptait 145 habitants[Note 7], en augmentation de 3,57 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1886 1891 1896 1901
    235212227276213476464457471
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    498508402401435448408391358
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    337264190163151156142141145
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    La Forêt-du-Temple possède un stade de football.

    La commune a été traversée par la 6e étape du Tour de France 2008[47] et la 8e étape du Tour de France 2011[48].

    Le hameau de la Graule abrite depuis le le Centre fédéral de plongée « La Graule subaquatique ». Profond d'une quarantaine de mètres, il a été créé à la place des anciennes carrières de granit de l'entreprise des Ateliers Maître. La communauté de communes des Portes de la Creuse en Marche en est propriétaire tandis que le comité Centre de la Fédération française d'études et de sports sous-marins en est le gestionnaire[49].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2012, le revenu fiscal médian par ménage était de 14 435 €, pour la Forêt-du-Temple[50].

    La commune comptant moins de 1 000 ménages fiscaux et moins de 2 000 personnes, la part de ménages fiscaux imposés n'a pas été révélée par l’INSEE[50].

    Entreprises

    Le plus gros employeur de la commune est la société d'industrie de pointe Microplan[51], anciens Ateliers Maître. Créée en 1924 et fabricant des pavés de rues avec du granit local, elle est depuis les années 1970 spécialisée en production de pièces de granit pour la métrologie[51].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune ne compte pas de monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques[52] et aucun lieu, monument ou objet répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[53] - [54].

    Église Notre-Dame de La Forêt-du-Temple

    La paroisse de la Forêt-du-Temple comportait une maison templière[37] - [55]. L'église Notre-Dame du XIIe siècle est l'ancienne chapelle de la maison templière, puis hospitalière, restaurée au XIXe siècle[56]. Elle est située au-delà du cimetière, à l'écart du village. Elle contient un bras-reliquaire sculpté sur bois orné d'une estampe répertorié à l'inventaire des monuments historiques[57] - [58].

    Monument aux morts pacifiste

    Le monument aux morts de la commune est une stèle érigée en 1922, commémorant les soldats morts pour la France et une femme[59].

    Situé sur la place devant la mairie, il est constitué d'une stèle de granite posée sur un socle à double assise. Sur la face principale il est inscrit « aux héros de la Forêt-du-Temple morts pour la patrie ». Les noms des vingt-cinq victimes sont inscrits sur les faces latérales tandis que sur la face arrière du monument figure le nom d’Emma Bujardet suivi de l’épitaphe « morte de chagrin »[60]. La municipalité a en effet accepté l'exigence du principal donateur[59], Jean-Baptiste Alexandre Bujardet, d'inscrire le nom de sa femme, morte de chagrin à la suite de la perte de trois fils pendant cette guerre[60]. La mémoire de Mme Bujardet permet aussi d'inscrire ce monument dans la liste des monuments aux morts pacifiste.

    • Face avant du monument aux morts
      Face avant du monument aux morts.
    • Face arrière du monument aux morts
      Face arrière du monument aux morts (mention d'Emma Bujardet).

    Personnalités liées à la commune

    • Bernard Ranty (peintre)[61]
    • François Ravaud (instituteur)[61]

    Héraldique

    Blason de Forêt-du-Temple (La) Blason
    Écartelé : aux 1er et 4e de sinople à une feuille de chêne d'or posée en barre, aux 2e et 3e d'argent à une croix pattée et alésée de gueules[62].
    Détails
    Création Jean-François Binon, adoptée en 2012.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. (fr) Sauf indication contraire, toutes les données de ce tableau proviennent de la « Liste des maires de Creuse » des archives départementales de la Creuse.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Site du Géoportail : La Forêt-du-Temple, carte IGN, consulté le 15 décembre 2013.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Bonnat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre La Forêt-du-Temple et Bonnat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Bonnat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre La Forêt-du-Temple et Déols », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Châteauroux Déols - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Châteauroux Déols - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Châteauroux Déols - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Commune ; La Forêt-du-Temple », sur Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), document non daté (consulté le ).
    16. Museum national d'Histoire naturelle, « INPN - Liste des ZNIEFF dans - Commune : Forêt-du-Temple », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    17. Museum national d'Histoire naturelle, « INPN - Cartographie des espaces protégés sur le territoire français », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    18. Conseil départemental de la Creuse - CD23, « Réseau TransCreuse », sur www.creuse.fr (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. INSEE, « Insee - Chiffres clés : Commune de La Forêt-du-Temple (23084) », sur www.insee.fr (consulté le ).
    26. « Les risques près de chez moi - commune de La Forêt-du-Temple », sur Géorisques (consulté le )
    27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Forêt-du-Temple », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    30. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. A. C., « Séance du 27 février 1930 », Bulletin de la Société préhistorique de France, vol. 27,‎ , p. 90 (lire en ligne, consulté le ).
    33. Varennes 1983, p. 23.
    34. Pierre Abauzit, « L'Age de Bronze en Bourbonnais : Les haches à talon », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 6,‎ , p. 357–358 (DOI 10.3406/racf.1967.1403, lire en ligne, consulté le ).
    35. Varennes 1983, p. 52-53.
    36. Allard 2021, p. 161
    37. André Lecler, Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse, Les Éditions du Bastion, (1re éd. 1902), 810 p., p. 277-278.
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    39. Allard 2021, p. 24
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