L'AlbĂšre
L'AlbÚre est une commune française située dans le sud-est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.
LâAlbĂšre | |||||
Le hameau de Saint-Jean vu depuis le sentier menant au dolmen de la Balma de Na Cristiana. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | CĂ©ret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Vallespir | ||||
Maire Mandat |
Marc de Besombes-Singla 2020-2026 |
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Code postal | 66480 | ||||
Code commune | 66001 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Albériens, Albériennes | ||||
Population municipale |
70 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 4,1 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 42° 29âČ 01âł nord, 2° 53âČ 41âł est | ||||
Altitude | Min. 266 m Max. 1 116 m |
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Superficie | 17,10 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Vallespir-AlbĂšres | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
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ExposĂ©e Ă un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par la riviĂšre de Rome et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
L'AlbÚre est une commune rurale qui compte 70 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 384 habitants en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Albériens ou Albériennes.
GĂ©ographie
Localisation
La commune de l'AlbÚre se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontaliÚre avec l'Espagne (Catalogne)[I 1].
Elle se situe à 24 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à 12 km de Céret[2], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Le Perthus (3,3 km), Montesquieu-des-AlbĂšres (4,0 km), Les Cluses (4,6 km), Villelongue-dels-Monts (4,8 km), Laroque-des-AlbĂšres (5,4 km), Saint-GĂ©nis-des-Fontaines (6,9 km), Maureillas-las-Illas (7,0 km), Le Boulou (7,0 km).
Sur le plan historique et culturel, la commune est en extrémité sud du Roussillon, une ancienne province du royaume de France qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[6].
Paysages et relief
La commune est située dans le massif des AlbÚres. Sa superficie est de 1 710 ha. Elle varie en altitude entre 266 mÚtres au voisinage de la commune du Perthus et 1 128 mÚtres au Roc dels Tres Termes[7]. Le hameau de Saint-Jean est à une altitude de 538 m et celui de Saint-Martin à une altitude de 631 m[8].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[11].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[10].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Perthus », sur la commune du Perthus, mise en service en 1989[15] et qui se trouve Ă 3 km Ă vol d'oiseau[16] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 15,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 851,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et Ă 24 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă 15,7 °C pour 1981-2010[20], puis Ă 16,1 °C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[22] : la « crĂȘte du pic d'Aureille » (270 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[23] et les « crĂȘtes de pic Neoulos » (366 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [22] : le « massif des AlbĂšres » (10 837 ha), couvrant 10 communes du dĂ©partement[25].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
L'AlbÚre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [26] - [I 2] - [27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (95,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (94,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (89,3 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,4 %), prairies (1,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (1,4 %)[28].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
La route départementale D 71 est la principale voie d'accÚs à la commune de L'AlbÚre. En provenance du Perthus, elle fait le tour du territoire de la commune et revient au Perthus.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de l'AlbĂšre est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier, le risque radon[29] - [30].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech[31].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[32]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaßtre les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à -vis de ce phénomÚne[33].
- Carte des zones inondables.
- Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de l'AlbĂšre est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[34].
Toponymie
Le nom de la commune a sans doute pour origine le nom du massif des AlbĂšres dont il fait partie (voir cet article pour l'Ă©tymologie du nom du massif, qui est controversĂ©e). Si le nom du massif apparaĂźt souvent au pluriel dans les textes du moyen Ăge et en français et au singulier en catalan (L'Albera), le nom de la commune reste au singulier : L'AlbĂšre en français, L'Albera en catalan[35] - [36].
Histoire
Le peuplement de L'AlbÚre se fait initialement autour de deux églises, chacune constituant un hameau distinct : Sant Marti de Montforcat (mentionnée en 844) et Sant Joan de l'Albera (mentionnée en 1089)[8].
Le , la commune intÚgre la communauté de communes du Vallespir[37].
Politique et administration
Canton
En 1790 la commune de L'AlbÚre est incluse dans le canton d'ArgelÚs au sein du district de Céret. Elle est rattachée au canton de Laroque en 1793 puis revient au canton d'ArgelÚs en 1801. Elle est ensuite rattachée au canton de Céret le [38]. à compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton de Vallespir-AlbÚres.
Liste des maires
Jumelages
- Cantallops, Catalogne, Espagne, depuis [44].
Population et société
DĂ©mographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
DĂ©mographie contemporaine
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[46].
En 2020, la commune comptait 70 habitants[Note 9], en diminution de 13,58 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Il n'y a pas d'Ă©cole Ă L'AlbĂšre. L'Ă©cole la plus proche se situe au Perthus.
Manifestations culturelles et festivités
- FĂȘte patronale : ;
- FĂȘte communale : 2e dimanche d'aoĂ»t[53].
Santé
Il n'y a pas de médecin à L'AlbÚre. Les médecins les plus proches se situent au Perthus.
Sports
Deux sites d'escalade existent sur la commune, le Roc Fouirous, situĂ© proche du col de l'Ouillat[54], Ă©quipĂ© et frĂ©quentĂ© depuis la fin des annĂ©es 1980, puis encore rĂ©cemment rĂ©Ă©quipĂ©, et le Sant Cristau, rocher connu en tant que site militaire d'importance pendant la bataille du Boulou, est un site de terrain d'aventure, frĂ©quentĂ© dans les annĂ©es 1990, actuellement moins connu. Il y a aussi sur le versant sud, le roc du Midi, trĂšs remarquable depuis la plaine, oĂč des grimpeurs et alpinistes ont grimpĂ© et ouvert des voies.
Ăconomie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 11,6 % | 15 % | 18 % |
DĂ©partement[I 6] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entiĂšre[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 48 personnes, parmi lesquelles on compte 85,7 % d'actifs (67,6 % ayant un emploi et 18 % de chÎmeurs) et 14,3 % d'inactifs[Note 10] - [I 5]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 2] - [I 8]. Elle compte 22 emplois en 2018, contre 21 en 2013 et 17 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 32, soit un indicateur de concentration d'emploi de 69,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,7 %[I 9].
Sur ces 32 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 53 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 73,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,7 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
- La Balma de Na Cristiana : dolmen situé prÚs de Saint-Jean de l'AlbÚre, au pied du pic Saint-Christophe.
- L'Ă©glise Saint-Jean : Ă©glise romane.
- Ăglise Saint-Martin de l'AlbĂšre : autre Ă©glise romane.
- Chapelle Saint-Christophe de l'AlbÚre (ou de Sant Cristau) : chapelle à l'état de ruines, mentionnée en 1368 (capela de Sent Xristau d'Albera). Elle est située prÚs de l'ancien chùteau du XIe siÚcle sur le pic Saint-Christophe[8].
- Tour à signaux de la fin du XIIIe siÚcle : à l'état de ruines, elle est située sur le pic Saint-Christophe[8].
- L'Ă©glise Saint-Martin.
- Le Balma de Na Cristiana.
Personnalités liées à la commune
- Joseph-François Reste de Roca (1879-1976) : la famille Reste de Roca est originaire de L'AlbÚre[55] ;
- Jacques Loew (1908-1999) : prĂȘtre dominicain qui sĂ©journa Ă Saint-Jean de l'AlbĂšre.
Voir aussi
Bibliographie
- LluĂs Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : L'AlbĂšre », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- L'AlbÚre sur le site de l'Institut géographique national
- Site officiel de la mairie
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de l'AlbÚre » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de l'Perpignan » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à l'AlbÚre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à l'AlbÚre » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre L'AlbÚre et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre L'AlbÚre et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de l'L'AlbÚre », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 222-225.
- L'AlbĂšre.net
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Le Perthus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre L'AlbÚre et Le Perthus », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Le Perthus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre L'AlbÚre et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de l'AlbÚre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « crĂȘte du pic d'Aureille » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
- « ZNIEFF les « crĂȘtes de pic Neoulos » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
- « ZNIEFF le « massif des AlbÚres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de l'AlbÚre », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur https://www.irsn.fr, (consulté le )
- Basseda 1990, p. 295.
- (ca)(fr)Institut dâEstudis Catalans, UniversitĂ© de Perpignan, NomenclĂ tor toponĂmic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
- Martial Mehr, L'Indépendant, Le Perthus, Les Cluses et L'AlbÚre rejoignent l'intercommunalité, 6 janvier 2014
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- « Liste des maires de l'Albere depuis l'An III de la République », sur lalbere.net (consulté le ).
- MairesGenWeb
- Marc De Besombes-Singla Ă©lu nouveau maire sur lindependant.fr, 22 mai 2013
- Réélection 2014 : « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
- « L'AlbĂšre : Jumelage avec Cantallops », L'IndĂ©pendant,â , p. 19.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'ùge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- Roc Fouirous, camptocamp.org
- L'AlbĂšre.net