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Les Cluses

Les Cluses est une commune française située dans le sud-est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Les Cluses
Les Cluses
La Cluse Haute.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement CĂ©ret
Intercommunalité Communauté de communes du Vallespir
Maire
Mandat
Alexandre Puignau
2020-2026
Code postal 66480
Code commune 66063
DĂ©mographie
Gentilé Clusiens, Clusiennes
Population
municipale
232 hab. (2020 en diminution de 11,11 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 26 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 29â€Č 13″ nord, 2° 50â€Č 21″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 368 m
Superficie 8,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Vallespir-AlbĂšres
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Les Cluses
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Les Cluses
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Les Cluses

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par la riviĂšre de Rome, la riviĂšre de la Coume BouquĂšre et par deux autres cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Les Cluses est une commune rurale qui compte 232 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelĂ©s les Clusiens ou Clusiennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune des Cluses se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  24 km Ă  vol d'oiseau de Perpignan[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  km de CĂ©ret[2], sous-prĂ©fecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Maureillas-las-Illas (2,4 km), Le Perthus (3,2 km), Le Boulou (4,3 km), L'AlbĂšre (4,6 km), Saint-Jean-Pla-de-Corts (4,7 km), Montesquieu-des-AlbĂšres (5,0 km), Villelongue-dels-Monts (6,9 km), CĂ©ret (7,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Les Cluses fait partie du Vallespir, ancienne vicomtĂ© (englobĂ©e au Moyen Âge dans la vicomtĂ© de Castelnou), rattachĂ©e Ă  la France par le traitĂ© des PyrĂ©nĂ©es (1659) et correspondant approximativement Ă  la vallĂ©e du Tech, de sa source jusqu'Ă  CĂ©ret[4].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Situation de la commune.
    Situation de la commune.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 891 hectares. L'altitude des Cluses varie entre 103 et 368 mĂštres[5].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[6].

    Hydrographie

    Le cours d'eau principal est la riviĂšre de la Rome qui traverse la commune du sud vers le nord. AprĂšs avoir pris sa source au sud-est sur le territoire de la commune de L'AlbĂšre, elle conflue dans la riviĂšre de Maureillas, elle-mĂȘme un affluent du Tech, sur le territoire de Maureillas-Las-Illas. Cette riviĂšre possĂšde de nombreux affluents, parmi lesquels, sur le territoire des Cluses :

    • Le CĂČrrec del mas d'en Taulera (rive droite) ;
    • Le CĂČrrec del Noguer (rive gauche) ;
    • Le CĂČrrec d'en Mallol (rive droite).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[8].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[7].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 767 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 5,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 3,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Perthus », sur la commune du Perthus, mise en service en 1989[12] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[13] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 15,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 851,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[14]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et Ă  24 km[15], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[16], Ă  15,7 °C pour 1981-2010[17], puis Ă  16,1 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[19] :

    • « le Vallespir » (47 344 ha), couvrant 18 communes du dĂ©partement[20] ;
    • le « massif des AlbĂšres » (10 837 ha), couvrant 10 communes du dĂ©partement[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Les Cluses est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [22] - [I 2] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (90,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (90,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (62 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (21,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (7,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,1 %), zones urbanisĂ©es (3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Le village se divise entre La Cluse Basse, hameau situé dans la vallée, et La Cluse Haute, autre hameau situé en surplomb et à proximité des anciennes fortifications. De nouveaux quartiers se sont développés dans la vallée dans les secteurs du Mas d'en Forcada et du Mas d'en Payrot.

    Le pont de pierre caractéristique de la Cluse basse sur la riviÚre de la Rome daterait de l'Empire romain (env. de -27 à 476 aprÚs JC), rénové à plusieurs reprises[25] - [26].

    Logement

    Les Cluses comprend en 2011 133 logements, parmi lesquels 82,7 % sont des résidences principales, 8,7 % sont des résidences secondaires et 8,7 % sont vacants. 90,8 % des ménages sont propriétaires de leur logement[I 5].

    Voies routiĂšres

    Transports

    La ligne 533 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan depuis Le Perthus.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune des Cluses est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă  un risque particulier, le risque radon[27] - [28].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech[29].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[30]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaßtre les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomÚne[31]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[32].

    Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations et mouvements de terrains[33].

    • Carte des zones inondables.
      Carte des zones inondables.
    • Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des argiles.
      Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une route Ă  fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[34].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune des Cluses est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[35].

    Toponymie

    Un panneau avec l'ancienne orthographe.

    Le nom de la commune en français est un calque du nom catalan Les Cluses[36]. Jusqu'au , la commune s'appelait L'Écluse[I 6].

    Le lieu est mentionnĂ© dĂšs 673 dans un texte en latin de Julien de TolĂšde sous la forme Castrum clausuras qui dĂ©signe une place fortifiĂ©e (Castrum) protĂ©geant un passage Ă©troit (clausuras). Au IXe siĂšcle, clausuras est raccourci en clusas, au sens proche, dĂ©rivĂ© du verbe cludere signifiant « fermer ». Le mot dĂ©rive peu Ă  peu pour aboutir au catalan Les Cluses, la forme au singulier La Clusa, majoritaire au cours du moyen Ăąge, finissant par laisser place Ă  la forme plurielle. En français, des auteurs, dĂšs le XIIIe siĂšcle, Ă©crivent Ă  tort « L'Écluse » — on aurait fort Ă  faire Ă  trouver une Ă©cluse dans la rĂ©gion. Lors de la RĂ©volution française, Ă  la crĂ©ation des communes en 1790, celle-ci est nommĂ©e d'aprĂšs cette forme erronĂ©e. MalgrĂ© des protestations officielles en 1836, lors desquelles la municipalitĂ© rĂ©clame que le village soit renommĂ© La Clusa, ce nom est conservĂ©[37] jusqu'en 1984, oĂč le calque du catalan Les Cluses est enfin officiellement validĂ©[5].

    Histoire

    Le monument aux morts.

    Pendant la période gallo-romaine, Clausuras, est situé sur la Via Domitia, dont l'ensemble des différents éléments de fortifications romaines, nommé Castrum clausuras et encore en partie visible, était destiné à contrÎler l'accÚs[38].

    Au Moyen Âge, une famille seigneuriale est mentionnĂ©e dĂšs 1021 avec un certain Guillem de ipsas Clusas. Plus tard, le chevalier Guillem-Bernard prĂȘte serment de fidĂ©litĂ© Ă  une date indĂ©terminĂ©e auprĂšs de Bernard III, dernier comte de BesalĂș (de 1097 Ă  1111). Ce serment concerne l'ensemble des possessions de Guillem-Bernard, parmi lesquelles figure le castrum de Clusa. D'autres chevaliers, Bernard et Pons de la Clusa sont mentionnĂ©s en 1198. En 1238, le chĂąteau est aux mains de Berenger de la Clusa, vavasseur de Bernard-Hug de Serralongue, qui a lui-mĂȘme prĂȘtĂ© hommage en 1234 au prĂšs de Ponce IV, comte d'EmpĂșries[38]. Le territoire passe ensuite entre les mains de Ponce de Capmany, puis aprĂšs sa mort en 1292, Ă  sa fille Blanca de Capmany qui le transmet alors par mariage Ă  la famille Creixell, qui le conserve au moins jusqu'en 1356, mais toujours sous la souverainetĂ© des seigneurs de Serralongue-Cabrenç et des comtes d'EmpĂșries. En 1380, le seigneur est dĂ©sormais BĂ©renger III d'Oms et le fief reste dans la famille d'Oms jusqu'en 1670, date Ă  laquelle il est vendu Ă  Francesc Puig i Terrats. Ce dernier ne le conserve pas longtemps, car la seigneurie lui est confisquĂ©e en 1674 par Louis XIV, qui la donne la mĂȘme annĂ©e Ă  Alexandre de Viver, dont les hĂ©ritiers restent propriĂ©taires jusqu'Ă  la RĂ©volution française[39].

    Les Cluses devient commune en 1790. Elle fusionne le avec la commune de L'AlbÚre sous le nom de Perthus, mais redevient indépendante dÚs le . Le , un morceau de territoire lui est amputé, ainsi qu'à la commune de L'AlbÚre, afin de former, définitivement cette fois, la nouvelle commune du Perthus[40].

    Le , la commune intÚgre la Communauté de communes du Vallespir[41].

    Politique et administration

    La mairie.

    Canton

    En 1790 la commune de L'Écluse est incluse dans le canton d'ArgelĂšs au sein du district de CĂ©ret. Elle est rattachĂ©e au canton de Laroque en 1793 puis est transfĂ©rĂ©e au canton de CĂ©ret en 1801, dont elle a fait partie depuis[40] - [5]. À compter des Ă©lections dĂ©partementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton de Vallespir-AlbĂšres.

    Liste des maires

    Localisation des Cluses dans le Vallespir.
    Liste des maires successifs[42]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1801 août 1807 Bonaventure NoguÚres
    août 1807 31 août 1815 Martin Vinyes
    31 août 1815 21 septembre 1815 Jouque
    21 septembre 1815 12 juin 1816 Martin Vinyes
    12 juin 1816 novembre 1831 Joseph Vinyes
    7 novembre 1831 août 1852 Joseph Goutelle
    1er août 1852 novembre 1865 Joseph Marill
    23 novembre 1865 novembre 1891 Joseph Calcine
    29 novembre 1891 mai 1896 Louis Prats
    17 mai 1896 mai 1908 Joseph Marill
    17 mai 1908 mai 1912 Pierre Cardonne
    19 mai 1912 décembre 1919 Pallade Garrigue
    10 décembre 1919 novembre 1922 Louis Prats
    12 novembre 1922 mai 1925 Joseph Marill
    17 mai 1925 mai 1935 Nazaire TaulĂšre
    mai 1935 1944 Joseph Pailles
    1944 octobre 1947 Dominique Cardonne
    26 octobre 1947 mars 1959 Henry Ginestet
    22 mars 1959 1982 Joseph Sola
    1982 mars 2001 Jacques Puignau
    mars 2001 En cours Alexandre Puignau[43] - [44] Horizons[45]

    Politique environnementale

    La commune est membre du SIVU du Tech, dont le président est le maire de Les Cluses, Alexandre Puignau[46].

    Population et société

    DĂ©mographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1365 1378 1470 1515 1553 1643 1709 1720 1730
    19 f25 f5 f8 f7 f11 f14 f22 f25 f
    1755 1767 1774 1789 - - - - -
    31 f112 H25 f20 f-----
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    DĂ©mographie contemporaine

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[48].

    En 2020, la commune comptait 232 habitants[Note 8], en diminution de 11,11 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    130121100155263345397244129
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1471141011059811110714299
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1019382837170595452
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    4967115148165219240246259
    2018 2020 - - - - - - -
    233232-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[50] 1975[50] 1982[50] 1990[50] 1999[50] 2006[51] 2009[52] 2013[53]
    Rang de la commune dans le département 213 141 137 147 144 134 132 132
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Il n'y a pas d'Ă©cole aux Cluses. Les Ă©coles les plus proches se situent Ă  Maureillas-Las-Illas et au Perthus.

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte communale : dernier dimanche de juillet[54].

    Santé

    Il n'y a ni médecin, ni pharmacie sur la commune. Les plus proches sont au Perthus, au Boulou ou à Maureillas-las-Illas.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 103 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 230 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 21 190 â‚Ź[I 7] (19 350 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 9]10,8 %12,6 %17,4 %
    DĂ©partement[I 10]10,3 %12,9 %13,3 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  132 personnes, parmi lesquelles on compte 72 % d'actifs (54,5 % ayant un emploi et 17,4 % de chĂŽmeurs) et 28 % d'inactifs[Note 10] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 2] - [I 12]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 40 en 2013 et 30 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 73, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,7 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 46,4 %[I 13].

    Sur ces 73 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 5 travaillent dans la commune, soit 7 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 94,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 31 517 €[I 16].

    En 2009, le revenu fiscal mĂ©dian des mĂ©nages par unitĂ© de consommation est de 19 877 €. Le revenu net dĂ©clarĂ© moyen par foyer fiscal est de 27 240 € et 53,1 % des foyers fiscaux sont imposables[I 5].

    Emploi

    L'effectif total de l'emploi aux Cluses en 2011 est de 38 personnes, parmi lesquelles 77,9 % sont salariées. L'effectif total a augmenté de 8,5 % de 2006 à 2011[I 5].

    En 2011, le taux d'activité des 15-64 ans est de 70,1 % et le taux de chÎmage de 19,8 %[I 5].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Vestiges des fortifications romaines des Cluses

    Deux ensembles de fortifications romaines sont situées en surplomb de la Via Domitia, de chaque cÎté de la Rome. Le fort de La Cluse constitue l'ensemble de la rive droite et est situé prÚs de la Cluse Haute. Le chùteau dit « des Maures » (bien que n'ayant rien à voir avec les Maures) constitue l'ensemble de la rive gauche et avait une forme de trapÚze de 80 mÚtres de large et 140 mÚtres de long. Il comptait 3 tours carrées. Plusieurs fois remaniées, certains éléments de ces fortifications ont été utilisés jusqu'au XVIIIe siÚcle. Enfin, en contrebas de ces deux ensembles et directement sur la Via Domitia se situe la Porte des Cluses, ancien lieu de contrÎle et frontiÚre entre l'ancienne Gaule et l'ancienne Hispanie.

    L'Ă©glise Sainte-Marie

    L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1974[55].

    L’église, situĂ©e Ă  La Cluse-Haute, est de style prĂ©roman et roman. Elle est probablement construite au Xe siĂšcle et remodelĂ©e aux XIe, XIIe et XIVe siĂšcles[38]. Elle se compose de trois nefs voĂ»tĂ©es en plein cintre outrepassĂ© s’ouvrant sur trois absidioles semi-circulaires voĂ»tĂ©es en cul-de-four, ces derniĂšres communiquent entre elles par un passage Ă©troit propre Ă  la tradition prĂ©romane.

    On y trouve quelques fragments de fresques datĂ©es du XIIe siĂšcle et qui sont de la mĂȘme main que celles de Saint-Martin de Fenollar ; dans l’abside principale on peut encore apercevoir un Christ en majestĂ© entourĂ© de l’alpha et de l’omĂ©ga.

    • Arc entre nef principale et nef secondaire.
      Arc entre nef principale et nef secondaire.
    Le chùteau médiéval

    SituĂ© Ă  proximitĂ© des fortifications romaines de La Cluse-Haute, son aile nord est contiguĂ« Ă  l'Ă©glise Sainte-Marie. Construit vers le XIe siĂšcle, il perd de son intĂ©rĂȘt lorsque le fort de Bellegarde est construit au XIVe siĂšcle et est dĂ©jĂ  en ruines au XVe siĂšcle[38].

    Église Saint-Pierre de Laner
    L'Ă©glise Saint-Pierre de Laner

    Cette église construite vers le XIIe siÚcle fut jadis le siÚge d'une paroisse. Elle est située au nord-est du territoire communal, prÚs du Mas d'en Calcina[38].

    Dolmen de Les Saleres

    Ce dolmen est situé à proximité de l'église Saint-Pierre de Laner.

    L'Ă©glise Saint-Pierre de la Sureda

    Située prÚs de la Cluse-Basse et aujourd'hui disparue, cette église est mentionnée en 1368[38].

    Culture populaire

    Cinéma

    Voir aussi

    Ouvrages

    • B. Boivin, Sur les chemins Ă©ternels des AlbĂšres : Le Perthus, Le Boulou, Les Cluses, Latour-Bas-Elne, B. Boivin, coll. « La quĂȘte aux trĂ©sors »,
    • L'Ă©glise Saint-Nazaire, document de la Mairie: collection "le temps de l'histoire".
    • (ca) « Les Cluses », dans Catalunya romĂ nica, t. XXV : El Vallespir. El Capcir. El DonasĂ . La Fenolleda. El PerapertusĂšs, Barcelone, FundaciĂł EnciclopĂšdia Catalana,

    Articles

    • Marie-Louise Blangy, « Les Cluses – Galla Placidia », Cahiers de la Rome, no 16,‎ , p. 37-40 (ISSN 1248-1793)
    • Georges Castellvi, « Les fouilles du fort de la Cluse Haute », Cahiers de la Rome, no 9,‎ , p. 43-44 (ISSN 1248-1793)
    • Georges Castellvi, « Fiche-site. Les Cluses. Forts romains », Cahiers de la Rome, no 12,‎ , p. 76-80 (ISSN 1248-1793)
    • Georges Castellvi et Pierre Cantaloube, « Plus de 200 ans de routes, les routes entre la Cluse del Mig et le Perthus de l'Ă©poque romaine Ă  nos jours », Cahiers de la Rome, no 21,‎ , p. 47-56 (ISSN 1248-1793)
    • Jacques Chotard, « Saint-Nazaire, martyr, patron de l’église de la Cluse Haute », Cahiers de la Rome, no 12,‎ , p. 67-68 (ISSN 1248-1793)
    • Jacques Chotard, « Les Cluses, entre mairie et Ă©cole », Cahiers de la Rome, no 13,‎ , p. 73-76 (ISSN 1248-1793)
    • Jacques Chotard, « LĂ©gionnaires d’antan nĂ©s aux Cluses – Le Perthus (XIXe s.) », Cahiers de la Rome, no 14,‎ , p. 53-56 (ISSN 1248-1793)
    • V. Moresmau et Georges Castellvi, « Le Moulin (Les Cluses) ou Vue du fort de Bellegarde par M.Melling (vers 1820) », Cahiers de la Rome, no 20,‎ , p. 43-50 (ISSN 1248-1793)
    • A. Vignaud, « L’ñge de Bronze aux Cluses Basses », Cahiers de la Rome, no 13,‎ , p. 18-33 (ISSN 1248-1793)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[9].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune des Cluses » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction des Perpignan » (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    5. Fiche Insee 2011
    6. Fiche de la commune des Cluses, dans le Code géographique officiel, publié sur le site de l'INSEE
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 aux Cluses » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 aux Cluses » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 aux Cluses » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Les Cluses et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Les Cluses et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches des Les Cluses », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 227-228.
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    6. « Plan séisme » (consulté le ).
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Le Perthus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Les Cluses et Le Perthus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Le Perthus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Les Cluses et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune des Cluses », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF « le Vallespir » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « massif des AlbÚres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    30. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
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    35. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », (consulté le )
    36. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, UniversitĂ© de Perpignan, NomenclĂ tor toponĂ­mic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
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    38. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
    39. (ca) « Les Cluses », dans Catalunya romànica, t. XXV : El Vallespir. El Capcir. El Donasà. La Fenolleda. El PerapertusÚs, Barcelone, Fundació EnciclopÚdia Catalana, .
    40. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
    41. Martial Mehr, L'Indépendant, Le Perthus, Les Cluses et L'AlbÚre rejoignent l'intercommunalité, 6 janvier 2014
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    43. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010.
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    45. https://horizonsleparti.fr/comites-municipaux/
    46. L'indépendant du 17/06/13
    47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    50. INSEE, « Population selon le sexe et l'ùge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    51. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    52. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    53. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    54. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    55. « Eglise Sainte-Marie de l'Ecluse-Haute », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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