Henri Dupont-Delporte
Henri-Jean-Pierre-Antoine, baron Dupont-Delporte (° - Boulogne-sur-Mer ✝ - Paris VIIIe) est un haut fonctionnaire et homme politique français du XIXe siècle.
Henri Dupont-Delporte | |
Henri Dupont-Delporte en grand uniforme de préfet à broderies d'argent, portant la croix d'officier de la Légion d'honneur, celle de l'ordre royal des Deux-Siciles et l'ensemble de grand-officier de l'ordre de Charles III d'Espagne, vers 1831-1835 | |
Fonctions | |
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Préfet de l'Ariège | |
– | |
Législature | Empire français |
Prédécesseur | Pierre-François Brun |
Successeur | Aimé Jean François Chassepot de Chapelaine |
Préfet du Taro | |
– | |
Législature | Empire français |
Prédécesseur | Hugues Nardon |
Successeur | Dissolution du département |
Préfet du Nord | |
– jusqu'à la fin des Cent-Jours | |
Législature | Empire français (Cent-Jours) |
Prédécesseur | Joseph Jérôme Siméon |
Successeur | Charles Joseph Dupleix de Mézy |
Préfet de la Seine-Inférieure | |
– | |
Législature | Royaume de France |
Prédécesseur | Achille Libéral Treilhard |
Successeur | Charles Deschamps |
Membre de la Chambre des pairs | |
– | |
Législature | Royaume de France |
Biographie | |
Nom de naissance | Henri-Jean-Pierre-Antoine Dupont |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Boulogne-sur-Mer ( Royaume de France) |
Date de décès | |
Lieu de décès | Ancien 8e arrondissement de Paris ( Empire français) |
Sépulture | Cimetière de Montmartre |
Nationalité | France |
Diplômé de | École centrale du Pas-de-Calais « Université de jurisprudence » de Paris |
Profession | Juriste |
Résidence | Château d'Égligny |
Préfets napoléoniens | |
Biographie
L'Empire
Henri-Jean-Pierre-Antoine Dupont nait à Boulogne-sur-Mer le , d'une famille honorable et ancienne dont plusieurs membres s'étaient distingués dans l'administration et les emplois publics, anoblie sous Louis XV, pour services rendus à l'agriculture et notamment à cause de l'introduction des béliers mérinos[1].
Destiné lui-même à marcher sur leurs traces, il fait d'excellentes études : d'abord à l'École centrale du Pas-de-Calais (Boulogne), où il obtient les premiers prix, notamment celui d’histoire, le 29 thermidor an VII[2], lors de la distribution des prix, constitué de l’ouvrage Œuvres philosophiques de Paw en 7 volumes. Il y obtient aussi une mention honorable en grammaire générale. Il se rend ensuite à Paris et entre à l'Université de jurisprudence : là, de nouveaux succès l'attendent ; il conquiert la place d'honneur et est proclamé parmi les lauréats les plus distingués.
Il entre, à 22 ans à peine (), comme auditeur de 3e classe au Conseil d'État et est attaché au ministre de la Justice. Il est ensuite chargé d’affaires à Bayonne au moment où se négociait la couronne d'Espagne.
Quelques mois après, envoyé à Berlin par l'empereur Napoléon Ier, il est chargé des administrations publiques du royaume de Prusse, en l'absence des ministres d'État prussiens qui s'étaient retirés devant le vainqueur, et, par un décret daté de Berlin (), il est investi des fonctions d'administrateur en chef des mines et usines des pays conquis.
Nommé, le , inspecteur général des vivres de la guerre, il remplit pendant quelque temps, par intérim, la place de directeur général, est appelé, le à la préfecture de l'Ariège, et publie une Statistique des mines de ce département, imprimée sur l'invitation du ministre de l'Intérieur.
- Portrait de M. Dupont Delporte, auditeur, Berlin, 1807,
- Portrait de M. Dupont Delporte, auditeur, dessin à la plume, 1806.
Le , il est appelé à la préfecture des États de Parme et de Plaisance réunis à l'Empire français sous le nom du département du Taro[3], où il a à rétablir l'ordre et la paix. Il y déploie un réel talent, faisant preuve d’esprit de conciliation et de prudence, appliquant sa devise : « soumettre et se faire aimer[2] ». Ce pays venait d'être ravagé par des insurrections meurtrières. L'administration française était en pleine désorganisation ; en peu de mois, le nouveau et habile préfet parvient à rétablir l'ordre et la paix que les circonstances les plus graves ne purent troubler. Il crée une maison centrale, un dépôt de mendicité, qui devient bientôt un grand établissement de détention, plusieurs écoles publiques ; il donne une organisation nouvelle et plus humanitaire aux « asiles des aliénés » ; il augmente et enrichit les musées, fait ouvrir la route de la Spizza, réorganise l'académie de peinture, et rend enfin d'éminents services que les populations reconnurent par des inscriptions et en donnant son nom à des places et monuments publics qui le conservent encore. Au cours de son administration, il supprime aussi l'université de Parme et déclasse l'Académie des beaux-arts[4]. Il avait organisé dans les villes de Parme et de Plaisance un service d'hôpitaux et d'ambulance, qui fut loué par une lettre autographe du vice-roi et dans un ordre du jour du major-général de l'armée d'Italie.
Lorsqu'en 1813, la guerre s'approcha de cette partie de l'Empire, M. le baron Dupont-Delporte organisa les corps auxiliaires levés dans le pays qui résistèrent aux premiers efforts des alliés, et servit d'intermédiaire aux négociations tentées entre le roi de Naples et le vice-roi d'Italie.
Ce fut en témoignage de sa haute satisfaction que l'Empereur nomma Dupont-Delporte maître des requêtes, par décret du mois de , daté de Saint-Dizier. Ce dernier était déjà Baron de l'Empire depuis le et membre de la Légion d'honneur.
Toujours en , il est chargé de recevoir le pape Pie VII et d'assister, en qualité de commissaire du gouvernement français, à la remise qui fut faite de Sa Sainteté aux alliés par le colonel Lagorce, en présence du prince Esterházy, commissaire de l'empereur d'Autriche et du général Fontana, commissaire du roi de Naples. Après être resté pendant quatre mois, enfermé dans la ville de Plaisance, alors assiégée par le roi de Naples et les troupes alliées, il en sort quelques heures avant leur entrée, n'ayant pas voulu obtempérer à l'invitation qui lui avait été faite d'assister à la remise du pays. En cette circonstance, M. le baron Dupont-Delporte reçut un témoignage de l'estime publique, car les autorités locales et la population presque entière l'accompagnèrent jusqu'au-delà des fortifications.
À la chute de l'Empire, Dupont-Delporte, attaché à Napoléon Ier par la reconnaissance, refusa de porter son encens à la nouvelle couronne, se retira de la scène publique et vécut dans la retraite la première Restauration.
Les Cent-Jours
À son retour de l'île d'Elbe, le à minuit, l'Empereur s'empressa de récompenser son noble dévouement en lui confiant un poste d'honneur : il lui envoya sa nomination de ministre provisoire de l'Intérieur, mais Carnot ayant été appelé définitivement à ce ministère, le baron Dupont-Delporte y resta quelques jours en qualité de secrétaire général pour aider à son organisation.
Il est ensuite nommé, par décret du , préfet du département du Nord, avec des attributions extraordinaires qui s'étendaient sur plusieurs départements, et sur cette frontière que la guerre menaçait d'envahir. Là, il pourvoit aux approvisionnements de réserve de l'armée, à celui des places fortes, forma, avec les gardes nationales mobiles du Nord et de l'Est, un corps destiné à la garnison de ces places, et contribue de tout son pouvoir à la résistance. Dupont-Delporte sert loyalement et jusqu'à sa dernière heure, la cause impériale.
Ce n'est que le 12 juillet, et après l'injonction de faire reconnaître l'autorité du roi, qu'il publie la proclamation suivante :
« S.M. Louis XVIII est remontée sur son trône. Des ordres viennent d'être donnés par l'autorité militaire pour que les couleurs blanches soient arborées. Je ne doute pas qu'en ces grandes circonstances vous ne laissiez éclater les sentiments d'amour patriotique que vous avez si souvent énergiquement exprimés.[5] »
Après la seconde rentrée de Louis XVIII, il se démit de ses fonctions et se retira à son château d'Égligny (Seine-et-Marne) avec sa famille où il s’adonna aux travaux d’agriculture suivant la tradition familiale[2].
Monarchie de Juillet
1830 arriva : les couleurs tricolores, auxquelles il avait voué le culte de toute sa vie, resplendirent de nouveau au soleil de juillet, et le roi Louis-Philippe Ier ayant fait appel à son patriotisme, il accepta la préfecture de la Seine-Inférieure, qu'il garda jusqu'au .
Commandeur, puis grand officier de la Légion d'honneur, il avait été élevé, par Louis-Philippe Ier, à la dignité de pair de France, le . Le baron était également membre honoraire de la Société libre d'émulation du commerce et de l'industrie de la Seine-Inférieure, de l'Académie de Rouen[6]) et de l'Association normande.
Pendant sa longue administration, il fait d'immenses travaux et accomplit de grandes choses dans le département : la canalisation de la basse Seine est entreprise, les ports de mer agrandis, les églises et les monuments publics, Saint-Ouen, le palais de justice réparés ou terminés.
« On a dû[1] » à ce magistrat :
- En 1831, époque de disette et de révolution, l'application d'un système pour la répression de la mendicité, lequel consistait à créer des ressources, dans chaque commune de la Seine-Inférieure, par la réparation générale des chemins vicinaux et d'autres travaux pour les indigents valides, des distributions pour les infirmes, des colonnes mobiles pour la répression des mendiants et des vagabonds ;
- Quelques années après, la création d'un vaste réseau de routes départementales qui liaient ensemble les routes royales, les villes, les chefs-lieux de canton, les villages où se tenaient des foires et de grands marchés ;
- La réforme complète des principales prisons ;
- La séparation des âges, selon la qualification des délits, celle des condamnés, l'introduction du travail ;
- La formation d'un Musée des Antiquités (1831), qui eut pour origine le produit des fouilles du théâtre romain de Lillebonne et les dons du public ;
L'augmentation des bibliothèques par un appel fait aux hommes de lettres, qui furent invités à leur offrir les livres qu'ils écrivaient ;
- Il établit le comité central de salubrité et des comités d'arrondissements, institution nécessaire dans un pays de fabrique.
- Il créa aussi une école d'agriculture et une autre « de chimie rurale ».
- Il organisa dans les ports et sur les bords de la Seine, un service pour le sauvetage « des noyés et des asphyxiés ».
C'est dans ses fonctions que, le au Val-de-la-Haye, il présida, sous les ordres du prince de Joinville, aux côtés du général Teste et de Henry Barbet maire de Rouen, aux solennités célébrées lors la translation de la dépouille de Napoléon Bonaparte, de retour de Sainte-Hélène, du navire la Normandie vers le vapeur la Dorade 3.
En 1844, l'Association normande tenant à Neufchâtel-en-Bray son congrès agricole et industriel, le baron Dupont-Delporte vint le présider le jour de la distribution des primes et prit part à un banquet de 300 couverts qui eut lieu sur la place publique à l'issue de la séance.
En 1850, Dupont-Delporte fit partie, au titre de délégué de l'Association normande, du Congrès des délégués des Sociétés savantes, dirigé par l'Institut des provinces : il siégeait près de son ami le baron de Stassart, ancien président du sénat belge, lequel devait le suivre de bien près dans la tombe.
La Révolution française de 1848 mit fin à sa carrière politique. Lorsque cette Révolution éclata, entouré de sa famille, aimée et sympathique à la population, il reçut, en quittant Rouen, l'expression des regrets, des témoignages d'affection, de reconnaissance, et les adieux des notabilités, des fonctionnaires, des employés de son administration, voir de la ville entière[7].
Il est inhumé dans une chapelle de la 19e division du cimetière Montmartre, avenue Cordier.
Fonctions
- Inspecteur général des vivres de la guerre () ;
- Préfet de l'Ariège (appelé le 27 juillet, en poste en - 1810)
- Préfet du Taro ( - 1814) ;
- Secrétaire général du ministère de l'Intérieur (Cent-Jours) ;
- Préfet du Nord ( (Cent-Jours)) ;
- Préfet de la Seine-Inférieure ( - )
- Membre de la Chambre des pairs ( - 1848)
- Au Conseil d'État :
- Auditeur de 3e classe près le ministre de la Justice () ;
- Auditeur près la section de législation (1806-1808) ;
- Rattaché à la commission du contentieux (1807) ;
- En service extraordinaire (1808-1814) ;
- Auditeur de 2de classe (1812) ;
- Maître des requêtes en service extraordinaire () ;
- Conseiller d'État (1831-1848).
Titres
- 1er Baron Dupont-Delporte et de l'Empire (décret du , lettres patentes du )
Distinctions
- Légion d'honneur :
- « Légionnaire » (), puis,
- Officier (), puis,
- Commandeur (), puis,
- Grand officier de la Légion d'honneur ().
Armoiries
Figure | Blasonnement |
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Armes du baron Dupont-Delporte et de l'Empire (décret du , lettres patentes du )
Écartelé : aux 1 et 4, d'azur, à la barre d'argent, acc. de deux léopards lionnés contournés d'or ; au 2, des barons tirés du Conseil d'État brochant ; au 3, de gueules, à une licorne naissante d'argent.[8] |
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Armes du baron Dupont-Delporte, pair de France ()
Écartelé: aux 1 et 4, d'azur, à la barre d'argent, acc. de deux léopards lionnés contournés d'or ; aux 2 et 3, de gueules, à une licorne naissante d'argent.[8] - [2] |
Union et postérité
Henri-Jean-Pierre-Antoine était le fils aîné de Pierre Benoît Dupont (né vers 1752), négociant à Boulogne, et de Jeanne Delporte[9]. Il avait un frère cadet, Benoît Casimir Eusèbe Dupont de Caperoy[10] (né en 1786), auditeur au Conseil d'État, préfet des Hautes-Pyrénées pendant les Cent-Jours.
Le baron Dupont-Delporte épousa, le , Jeanne Alix Bernarde Sirugue« -Maret » (°1785 - Vitteaux (province de Bourgogne) ✝ - Paris). Celle-ci était la fille de Marc-Antoine Sirugue, dit Sirugue-Maret, ( - Vitteaux ✝ - Rouen), Docteur en médecine, maire de Vitteaux (1783-1791), député à la Convention nationale (1795), colonel de gendarmerie, député de la Côte-d'Or au Corps législatif (1808-1814), chevalier Sirugue et de l'Empire (1808), 1er baron Sirugue et de l'Empire (1814) et Anne Maret (1757-1828), sœur du duc de Bassano et du comte Maret). Napoléon en personne signe à leur contrat de mariage[2].
Ensemble, ils eurent :
- Hugues Camille Henri Napoléon (° - Parme (département du Taro) ✝ - Grenoble), 2e baron Dupont-Delporte, commandant au 7e régiment de hussards, chevalier de la Légion d'honneur ([11]), marié avec Marie de Skripitzine (° - Saint-Pétersbourg ✝ - Gières), dont :
- Théodore Hugues Henri (° - Paris ✝ - Grenoble), 3e baron Dupont-Delporte, centralien (promotion 1869), ingénieur des Arts et Manufactures (Paris), capitaine au 27e régiment de marche (campagne de 1870-1871, armée de la Loire), ingénieur en chef « de la voie » à la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée, chevalier de la Légion d'honneur ([12]), marié le à Grenoble, avec Marguerite Mathilde Robert (1854-1921), fille d'un officier, maire d'Hauterives. Ils eurent au moins :
- une fille ;
- un fils ;
- Pierre-Eugène (1878-1942), 4e baron Dupont-Delporte, chef de bataillon (1926), officier de la Légion d'honneur, Croix de Guerre (1914-1918), marié avec Gabrielle (1884-1973), fille de Marie Gabriel Alphonse Ludovic Putecotte de Renéville (née en 1857) :
- Leur descendance compte parmi les familles subsistantes de la noblesse d'Empire ;
- Henri Eugène Napoléon (° - Gières ✝ 1907), hussard au 12e (1869), saint-cyrien (1872), capitaine au 22e régiment de dragons (), chevalier de la Légion d'honneur ([13]),
- Théodore Hugues Henri (° - Paris ✝ - Grenoble), 3e baron Dupont-Delporte, centralien (promotion 1869), ingénieur des Arts et Manufactures (Paris), capitaine au 27e régiment de marche (campagne de 1870-1871, armée de la Loire), ingénieur en chef « de la voie » à la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée, chevalier de la Légion d'honneur ([12]), marié le à Grenoble, avec Marguerite Mathilde Robert (1854-1921), fille d'un officier, maire d'Hauterives. Ils eurent au moins :
- Henri ( ✝ tué en en attaquant une barricade) ;
- Pierre Napoléon[14] (° - Paris VIIIe ✝ - Avignon), député du Pas-de-Calais (1849-1851), marié le (à Paris Xe), avec Camille Perrin-Solliers ( ✝ ), dont :
- Jeanne Marie, mariée, le (Paris VIIIe), avec Henri Camille Coste de Champéron (° ✝ 1915), capitaine de cavalerie territoriale, dont postérité ;
- Claire ( ✝ 1881), mariée le avec Emmanuel Gabriel Bigot de La Robillardière (° - Brest ✝ - Le Havre), capitaine de frégate[15], dont une fille.
Notes et références
- Association normande, Annuaire des cinq départements de la Normandie, vol. 21, Caen, (lire en ligne).
- Marcel Charles Abel Fournet, « fournetmarcel.free.fr », L’Ecole Centrale de Boulogne-sur-mer (1798-1803) : Que sont ses anciens élèves devenus ? - A) Henri DUPONT, dit Dupont-Delporte (consulté le )
- « napoleonica.org » (consulté le )
- Référence et correspondances administratives dont une correspondance intéressante sur le pillage des œuvres artistiques : 2543.
- Louis Gabriel Michaud, Biographie des hommes vivants : Histoire par ordre alphabétique de la vie publique de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs actions ou leurs écrits, vol. 2, CA-EZ, L.G. Michaud, (lire en ligne)
- Alexandre Héron, Liste générale des membres de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen de 1744-1745 à 1900-1901, Rouen, Léon Gy, 1903 [lire en ligne].
- Société libre d'émulation du commerce et de l'industrie de la Seine-Inférieure
- Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887
- « Sœur des grands industriels qui ont défriché nos terres, amélioré notre race ovine par le croisement avec des sujets anglais, augmenté le produit des toisons et leur utilisation dans la fabrication des étoffes »
- Source
- La célèbre inconnue de Prosper Mérimée, « roglo.eu », Jeanne Delporte, (consulté le )
- « www.napoleonica.org », Dupont de Caperoy, Benoît Casimir Eusèbe, (1786-?) (consulté le )
- « Cote LH/857/16 », base Léonore, ministère français de la Culture
- « Cote LH/857/19 », base Léonore, ministère français de la Culture
- « Cote LH/857/17 », base Léonore, ministère français de la Culture
- « Dupont-Delporte (Pierre Napoléon) », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition] [texte sur Sycomore]
- Emmanuel Gabriel Bigot de La Robillardière (°28 août 1811 - Brest ✝12 mai 1879 - Le Havre), enrôlé dans la Marine royale française (1827), enseigne de vaisseau (port de Brest), embarqué sur la frégate, participant au blocus de Buenos Aires (1840-1841), lieutenant de vaisseau (), chevalier de la Légion d'honneur (3 septembre 1845).
- Source
- « Cote LH/238/61 », base Léonore, ministère français de la Culture
- « Emmanuel Gabriel BIGOT de La ROBILLARDIÈRE », sur gw4.geneanet.org (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- (Collectif), Bulletin de la Société libre d'émulation du commerce et de l'industrie de la Seine-Inférieure, Rouen, Alfred Péron, (lire en ligne) ;
- Association normande, Annuaire des cinq départements de la Normandie, vol. 21, Caen, (lire en ligne) ;
- « Dupont-Delporte (Henri-Jean-Pierre-Antoine, baron) », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition] ;
Articles connexes
- Famille Maret de Bassano
- Liste des premiers préfets français (1800-1815)
- Liste des préfets de l'Ariège
- Liste des préfets du Nord
- Duché de Parme et Plaisance
- Taro (département)
- Liste des membres de la noblesse d'Empire
- Armorial des barons de l'Empire
- Familles subsistantes de la noblesse d'Empire
- Liste des préfets de la Seine-Maritime
- Liste des préfets de la Seine-Inférieure
- Musée départemental des antiquités (Rouen)
- Société libre d'émulation de la Seine-Maritime
Liens externes
- Ressource relative à la vie publique :
- Ressource relative aux militaires :
- « Dupont-Delporte », sur napoleonica.org (consulté le )
- « Portrait de M. Dupont Delporte, auditeur (1806) », sur napoleonica.org (consulté le )
- « Henri Dupont-Delporte », sur dans la base de données Roglo (consulté le )
- « Henri Dupont-Delporte », sur gw4.geneanet.org (consulté le )
- Marcel Charles Abel Fournet, « L’Ecole Centrale de Boulogne-sur-mer (1798-1803) : Que sont ses anciens élèves devenus ? - A) Henri DUPONT, dit Dupont-Delporte », sur fournetmarcel.free.fr (consulté le )