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Dourbies

Dourbies est une commune française située dans l'ouest du département du Gard, en région Occitanie.

Dourbies
Dourbies
Le village de Dourbies.
Blason de Dourbies
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes Causses Aigoual Cévennes
Maire
Mandat
IrĂšne Lebeau
2020-2026
Code postal 30750
Code commune 30105
DĂ©mographie
Gentilé les Dourbiens et les Dourbiennes
Population
municipale
138 hab. (2020 en diminution de 13,21 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2,3 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 03â€Č 51″ nord, 3° 26â€Č 47″ est
Altitude Min. 621 m
Max. 1 440 m
Superficie 60,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Vigan
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Dourbies
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Dourbies
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Dourbies
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Dourbies

    ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par la Dourbie, le TrĂšvezel, le Crouzoulous, le ruisseau de Pueylong, le ruisseau du Lingas et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les CĂ©vennes, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (Les « gorges de la Dourbie et causses avoisinants », le « massif de l'Aigoual et du Lingas » et « les CĂ©vennes »), un espace protĂ©gĂ© (le « Peyrebesse ») et cinq zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Dourbies est une commune rurale qui compte 138 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 1 121 habitants en 1886. Ses habitants sont appelĂ©s les Dourbiens ou Dourbiennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    SituĂ© aux confins du Gard et de l'Aveyron, Ă  une quinzaine de kilomĂštres de l'EspĂ©rou et de sa station de ski de Prat Peyrot, Dourbies, blotti dans la montagne cĂ©venole, est dominĂ© par la crĂȘte du Suquet, avec Ă  ses pieds la Dourbie qui coule au milieu de gorges.

    La commune est limitrophe au sud-ouest du département de l'Aveyron.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits et hameaux

    • Cassanas ;
    • Caucalan ;
    • Campclaux ;
    • Duzas ;
    • L'EspĂ©rou ;
    • Lafont ;
    • Lagrinier ;
    • Les Laupies ;
    • Les Laupiettes ;
    • Le Mas ;
    • Le Mazet ;
    • Le Montet ;
    • Le Mourier ;
    • Prunaret ;
    • Ressançon ;
    • Roucabie ;
    • La RouviĂšre ;
    • Le Viala.

    Hydrographie et relief

    La commune de Dourbies est situĂ©e dans le parc national des CĂ©vennes sur le versant atlantique du massif du mont Aigoual, Ă  30 km au sud-est de Millau. Elle surplombe la Dourbie.

    • La Dourbie (riviĂšre).
      La Dourbie (riviĂšre).
    • La Dourbie en hiver.
      La Dourbie en hiver.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, la tempĂ©rature dĂ©croĂźt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nĂ©bulositĂ© minimale en hiver et maximale en Ă©tĂ©. Les vents et les prĂ©cipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 8,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 5,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 449 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Sauveur-Camprieu », sur la commune de Saint-Sauveur-Camprieu, mise en service en 1998[6] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 8,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 428,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le dĂ©partement de l'Aveyron, mise en service en 1964 et Ă  30 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  10,9 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[12].

    Voies de communication et transports

    Panonceaux directionnels sur le GR7.

    Deux routes pittoresques mais Ă©troites

    • Route dĂ©partementale 151, entre l'EspĂ©rou et le col de la Pierre PlantĂ©e reliant ensuite Saint Jean du Bruel, sur la rive droite de la Dourbie.
    • Route dĂ©partementale qui Ă  partir du village (Pont sur la Dourbie) relie la D 151 Ă  Saint-Jean-du-Bruel par la rive gauche de la Dourbie.

    Le sentier de grande randonnée GR 7 et le Chemin de Saint-Guilhem-le-Désert traversent le territoire communal.

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[13] - [14]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cƓur du Parc national des CĂ©vennes. Ce parc national, crĂ©Ă© en 1967, est un territoire de moyenne montagne formĂ© de cinq entitĂ©s gĂ©ographiques : le massif de l'Aigoual, le causse MĂ©jean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont LozĂšre, les vallĂ©es cĂ©venoles ainsi que le piĂ©mont cĂ©venol[15].

    La commune fait Ă©galement partie des CĂ©vennes, un territoire reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espĂšces animales, 2 300 espĂšces de plantes Ă  fleurs et de fougĂšres, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[16] - [14].

    Quatre autres espaces protégés sont présents sur la commune :

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats[22] :

    • le « massif de l'Aigoual et du Lingas », d'une superficie de 10 546 ha, constituant la ligne de partage des eaux entre MĂ©diterranĂ©e et Atlantique. On y trouve des pelouses et landes qu'on peut qualifier de pseudo-alpines, recĂ©lant des Ă©lĂ©ments floristiques des Alpes et des PyrĂ©nĂ©es en disjonction d'aire. La diversitĂ© spĂ©cifique de l'ensemble du site est remarquable, avec en particulier la prĂ©sence de la trĂšs rare Buxbaumia viridis[23]

    et deux au titre de la directive oiseaux[22] :

    • Les « gorges de la Dourbie et causses avoisinants », d'une superficie de 28 057 ha, qui comprennent une grande partie du Causse noir, du Causse du Larzac et du Causse BĂ©gon, ainsi que les gorges qui les sĂ©parent. Sept espĂšces de l'annexe 1 se reproduisent sur le site, parmi lesquelles huit espĂšces de rapaces[24] ;
    • « les CĂ©vennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant prĂ©cisĂ©ment Ă  la zone centrale du parc national des CĂ©vennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversitĂ© des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiĂ©e : au total, 135 espĂšces d'oiseaux, dont 22 inscrites Ă  l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensĂ©es dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espĂšces de rapaces diurnes et sept nocturnes[25].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[26] :

    • les « gorges de la Dourbie et ses affluents » (14 060 ha), couvrant 11 communes dont 6 dans l'Aveyron et 5 dans le Gard[27] ;
    • les « gorges de la Virenque et Pic de Saint-Guiral » (1 003 ha), couvrant 5 communes dont 2 dans l'Aveyron et 3 dans le Gard[28] ;
    • le « lac des Pises et montagne du Lingas » (1 173 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[29] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [26] :

    • le « causse BĂ©gon et Pas de l'Âne CanayĂšre » (2 277 ha), couvrant 6 communes dont 2 dans l'Aveyron et 4 dans le Gard[30] ;
    • le « massif de l'Aigoual et du Lingas » (28 495 ha), couvrant 17 communes dont 12 dans le Gard et 5 dans la LozĂšre[31].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Dourbies.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Dourbies est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [32] - [I 1] - [33]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (98,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (97,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (66,1 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (32,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1 %), zones urbanisĂ©es (0,8 %), prairies (0,1 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Dourbies est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[35]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[36].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dourbie et le TrĂšvezel. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982 et 1994[37] - [35].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Dourbies.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 30,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 488 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 305 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 63 %, Ă  comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[39].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Dourbies est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[40].

    Toponymie

    Occitan Dourbio, du roman Dorbia, du bas latin Dorbia, Durbia, Derbia, Durbienca, du latin Fluvius Urbio, Ă  rapprocher avec le gaulois dubron qui signifie eau[41].

    Histoire

    Moyen Âge

    Dourbies faisait partie de la viguerie du Vigan et Meyrueis et du diocĂšse de NĂźmes, archiprĂȘtrĂ© de Meyrueis. Ce lieu n'est pas nommĂ© dans le dĂ©nombrement de 1384, mais Ă  en juger par la somme Ă  laquelle cette communautĂ© est imposĂ©e en 1435, elle devait compter au commencement du XVe siĂšcle, six ou sept feux.

    Époque moderne

    Le prieurĂ© de Notre-Dame de Dourbies quoique enclavĂ© dans l'Ă©vĂȘchĂ© d'Alais en 1694 n'en demeura pas moins uni Ă  la mense Ă©piscopale de NĂźmes.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1972 1995 Marius Balsan PS Conseiller (depuis 1947)
    janvier 1999 2014 Jacques Balsan[42] DVD Retraité
    2014 2015 Georges Petit[43] Retraité
    2015 En cours
    (au 24 mai 2020)
    IrÚne Lebeau[44] - [45] LFI Cadre de la fonction publique retraitée[45]
    Suppléante du député Michel Sala

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[47].

    En 2020, la commune comptait 138 habitants[Note 8], en diminution de 13,21 % par rapport Ă  2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8341 0791 0678689781 0261 026905969
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0201 0811 0241 0531 0681 1011 1211 004885
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    865903852689625568515524468
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    383308251223213204190186163
    2018 2020 - - - - - - -
    140138-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte du village le 15 aoĂ»t ;
    • PĂšlerinage au rocher de Saint-Guiral le lundi de PentecĂŽte ;
    • De 1997 Ă  2009, Dourbies constituait un ravitaillement sur la grande course des Templiers au mois d'octobre. Depuis, il en est de mĂȘme mais sur le trail des Hospitaliers le mĂȘme mois.

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 4]6,5 %9,8 %11,6 %
    DĂ©partement[I 5]10,6 %12 %12 %
    France entiĂšre[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  86 personnes, parmi lesquelles on compte 73,3 % d'actifs (61,6 % ayant un emploi et 11,6 % de chĂŽmeurs) et 26,7 % d'inactifs[Note 9] - [I 4]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement, mais supĂ©rieur Ă  celui de la France, alors qu'en 2008 il Ă©tait infĂ©rieur Ă  celui de la France.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 7]. Elle compte 41 emplois en 2018, contre 35 en 2013 et 52 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 53, soit un indicateur de concentration d'emploi de 76,8 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 46 %[I 8].

    Sur ces 53 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 32 travaillent dans la commune, soit 60 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 81,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Secteurs d'activités

    20 Ă©tablissements[Note 10] sont implantĂ©s Ă  Dourbies au [I 11]. Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 40 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (8 sur les 20 entreprises implantĂ©es Ă  Dourbies), contre 30 % au niveau dĂ©partemental[I 12].A noter que ces chiffres concernent la totalitĂ© de la commune en particulier L'EspĂ©rou et que le village centre manque d'une rĂ©elle ouverture vers le tourisme de passage, absence Ă  un exception prĂ©s de restauration, hĂ©bergement limitĂ©.

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations11433
    SAU[Note 11] (ha)1 563379360298

    La commune est dans le Causse Noir, une petite rĂ©gion agricole concernant six communes Ă  l'extrĂȘme-ouest du dĂ©partement du Gard[50]. En 2020, l'orientation technico-Ă©conomique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'Ă©levage d'Ă©quidĂ©s et/ou d' autres herbivores[Carte 4]. Trois exploitations agricoles ayant leur siĂšge dans la commune sont dĂ©nombrĂ©es lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (onze en 1988). La superficie agricole utilisĂ©e est de 298 ha[52] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Secteurs d'activités

    Le village a développé les activités agricoles et pastorales.

    La chĂątaigneraie, les cultures en terrasses, les pĂąturages et la forĂȘt domaniale sont le rĂ©sultat de siĂšcles de labeurs agricoles et forestiers rendus difficiles par le climat et la forte dĂ©clivitĂ© des terrains.

    La vallĂ©e de la Dourbie permettait la culture du seigle sur ces sols granitiques et ces terres siliceuses, cette cĂ©rĂ©ale apportait autrefois aux populations des montagnes la litiĂšre pour les animaux et une matiĂšre premiĂšre le chaume pour recouvrir les toitures. Cette culture est cependant devenue anecdotique, les chĂątaigneraies ne sont quasiment plus entretenues, subsistent les coupes de bois dans les forĂȘts, le pastoralisme et isolement quelques terres ou pĂąturages

    Le tourisme peut devenir, si cela est réellement souhaité, un vecteur économique non négligeable du fait du classement de la région au patrimoine mondial de l'UNESCO[53] et de la typicité du village, le village a été classé par le département et la région « village de caractÚre ».

    Culture locale et patrimoine

    Édifices religieux

    L'Ă©glise paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption de style roman au clocher Ă©lancĂ© (34 mĂštres) a Ă©tĂ© construite par l'architecte FĂ©licien Allard de NĂźmes entre 1883 et 1887 avec l'aide des habitants des environs. À cause de sa grandeur et de son architecture lancĂ©e vers le ciel, imposante mais fine, elle a Ă©tĂ© appelĂ©e par les voisins et la population de Dourbies la cathĂ©drale des CĂ©vennes[54]. Une allocution a Ă©tĂ© prononcĂ©e le 8 juin 1885 par Monseigneur Louis Besson, Ă©vĂȘque de NĂźmes, Ă  l'occasion de la pose de la premiĂšre pierre[55]. Le centenaire a Ă©tĂ© fĂȘtĂ© le 20 septembre 1987.

    Patrimoine culturel

    Dourbies, situé dans les Causses-Cévennes, région inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2011[53], est attaché aux légendes et croyances ancestrales telles que le pic Saint-Guiral et la légende des Trois ermites[56], ainsi qu'à la protection de la nature de la transhumance (lac des Pises). Le parc national des Cévennes accompagne cette valorisation du patrimoine naturel et architectural.

    Construite sur la place du village en 1990, une fontaine préfigure la légende des Trois ermites[56].

    Patrimoine environnemental

    Dourbies est traversé par la Dourbie, qui par sa terminologie gauloise, a inspiré le nom du village, elle coule depuis sa source (proche de l'Espérou) vers Saint-Jean-du-Bruel au milieu de gorges.

    SituĂ© sur le versant Atlantique du massif de l'Aigoual, Ă  une altitude oscillant entre 621 m et 1 440 m, Dourbies offre un paysage typique de montagne cĂ©venole aux vallĂ©es profondes entourĂ©es de plateaux, territoire pastoral Ă  travers les siĂšcles, la commune qui reste un lieu de la transhumance est prisĂ©e pour ses randonnĂ©es pĂ©destres oĂč de nombreux parcours sont prĂ©vus Ă  cet effet.

    Économiquement, l'activitĂ© se tourne plus naturellement vers le Sud-Aveyron et la ville de Millau.

    Les gorges de la Dourbie entre 360 et 850 m d'altitude comportent de nombreux sites classĂ©s, tels que Cantobre, chapelles et Nant. Une route pittoresque au dĂ©part de Dourbies offre des vues d'ensemble.

    Les toits de chaume liés autrefois à la culture florissante du seigle font l'objet d'un projet de valorisation, quelques-uns sont encore visibles au hameau des Laupiettes.

    Le lac des Pises, qui fait partie du parc national des Cévennes, a été classé espace naturel sensible pour les troupeaux des vallées cévenoles par le conseil départemental du Gard, ce qui en fait un espace de protection de la nature et de la transhumance.

    HĂ©raldique

    Blason de Dourbies Blason
    D'azur Ă  la croix d'or cantonnĂ©e de quatre dauphins du mĂȘme.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[21].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[51].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
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    8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Dourbies » (consulté le ).
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    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    8. « Station Météo-France Saint-Sauveur-Camprieu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    55. Louis Besson, ƒuvres pastorales et oratoires de Mgr Besson (1883-1887), 3e sĂ©rie, vol. 2, Retaux-Bray, , 592 p. (lire en ligne), p. 483-487.
    56. Stéphane Barbier, « Village de caractÚre du Gard : Dourbies, le granit des légendes », sur Midi libre, (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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