Saint-Jean-du-Bruel
Saint-Jean-du-Bruel est une commune française, située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.
Saint-Jean-du-Bruel | |
Pont roman sur la Dourbie. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aveyron |
Arrondissement | Millau |
Intercommunalité | Communauté de communes Larzac et Vallées |
Maire Mandat |
Claude Vidal 2023-2026 |
Code postal | 12230 |
Code commune | 12231 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Jeantais |
Population municipale |
717 hab. (2020 ) |
Densité | 19 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 01′ 23″ nord, 3° 21′ 41″ est |
Altitude | Min. 492 m Max. 1 339 m |
Superficie | 37,23 km2 |
Élections | |
Départementales | Canton de Millau-2 |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.saintjeandubruel.fr |
Elle fait partie de l'ancienne province du Rouergue où l'on parle également le dialecte rouergat, variante du languedocien.
Géographie
Communes limitrophes
Saint-Jean-du-Bruel est limitrophe de cinq autres communes dont trois dans le département du Gard. À l'est, son territoire est distant d'une centaine de mètres de celui d'Alzon.
Site
Le territoire de la commune matérialise une fraction sud du Massif central à cheval sur les Causses et Vallées et les Cévennes aveyronnaises. Il est traversé par la rivière Dourbie au bord de laquelle se trouve le bourg chef-lieu de commune.
En limite du Gard et de l'Aveyron, le village de Saint-Jean-du-Bruel est traversé par la Dourbie, dans une vallée paisible et fertile qui lui a valu de porter le nom de jardin de l'Aveyron. Sa situation géographique le place au centre d'une région riche en contrastes, entre Causses et Cévennes, au pied du Saint-Guiral qui culmine à 1 337 m. Saint-Jean-du-Bruel constitue une petite enclave cévenole en terre aveyronnaise. Les châtaigneraies en témoignent ainsi que les plus anciennes bâtisses où se retrouvent les schistes, le basalte et le granit.
Géologie et relief
L'altitude minimum est de 492 mètres et maximum de 1 339 mètres pour une superficie de 3 723 hectares.
Hydrographie
La Dourbie traverse la commune d'est en ouest.
Plusieurs affluents et sous-affluents prennent leur source sur la commune. Les principaux sont, de l'amont vers l'aval :
- le ruisseau des Crozes (rive gauche) et ses deux affluents, le Valat Grand et le ruisseau des Cabrières ;
- le ruisseau du Viala (rive gauche) ;
- le ruisseau du Bruel (rive gauche) ;
- le ruisseau de Lavaur (rive gauche) ;
- le ruisseau de Saint-Gleys (rive droite) et son affluent le ruisseau des Valettes.
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
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La commune bénéficie d’un « climat semi-continental », ou de marge de montagne, selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'est et le sud-est aveyronais, constitue une transition entre les climats de montagne et le climat océanique altéré[1].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[3]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 23 km à vol d'oiseau de la commune[4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[5], à 10,9 °C pour 1981-2010[6], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[7].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, qui s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[9] - [10] - [11].
Sites Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[13] :
- les « Gorges de la Dourbie », d'une superficie de 7 087 ha sur 6 communes dont 5 dans l'Aveyron et 1 dans le Gard, sont un magnifique ensemble de gorges avec parois et corniches calcaires dont la végétation est formée de pelouses xérothermiques, de landes (parcours à ovins), de taillis de chênes pubescents, de hêtres et de pins sylvestres[14] ;
et un au titre de la « directive Oiseaux »[13] :
- les « Gorges de la Dourbie et causses avoisinants », d'une superficie de 28 057 ha sur 13 communes dont 8 dans l'Aveyron et 5 dans le Gard, qui comprennent une grande partie du causse Noir, du causse du Larzac et du causse Bégon, ainsi que les gorges qui les séparent. Dix-sept espèces de l'annexe 1 se reproduisent sur le site, parmi lesquelles huit espèces de rapaces[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Saint-Jean-du-Bruel comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] - [16] :
- les « Gorges de la Dourbie et ses affluents » (14 060 ha), couvrant 11 communes dont 6 dans l'Aveyron et 5 dans le Gard[17] ;
- les « Gorges de la Virenque et pic de Saint-Guiral » (1 003 ha), couvrant 5 communes dont 2 dans l'Aveyron et 3 dans le Gard[18] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 4] - [16] :
- le « Causse Bégon et Pas de l'Âne Canayère » (2 277 ha), qui s'étend sur 6 communes dont 2 dans l'Aveyron et 4 dans le Gard[19].
- Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
Toponymie
Attestée sous les formes ecclesiam sancti Johanis de Brolio en ll35, a S Jhoan sotz Alga en l258, Sanctus Johannes delBrolh en l326 [20], Saint-Jean-de-Roquefeuil.
Durant la Révolution, la commune porte les noms de Pont-Libre et Sentinelle[21].
Histoire
Deux époques essentielles ont marqué Saint-Jean-du-Bruel : elle a été le berceau de la famille de Roquefeuil, qui tint un rôle important dans l'histoire de la province ; la seconde tient au rôle, pris par Saint-Jean-du-Bruel au cœur des guerres de Religion : autrefois protestant, le bourg chef-lieu de cette commune a subi durement ces guerres de Religion. Le temple protestant a perduré durant ces conflits et la population fut convertie au catholicisme à la suite de la révocation de l'édit de Nantes en 1685.
Politique et administration
Administration municipale
Le , le conseil des ministres a prononcé, sur proposition du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, la dissolution du conseil municipal de la commune[22].
Liste des maires
Population et société
Démographie
Les habitants de Saint-Jean-du-Bruel sont appelés les Saint-Jeantais[24].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2020, la commune comptait 717 habitants[Note 5], en augmentation de 9,97 % par rapport à 2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Sports
Saint-Jean-du-Bruel est le point de départ du Trail du Roc de la Lune[28] et de l'ultra-trail du Pas du diable[29], deux courses d'endurance qui se déroulent à la fin du mois d'avril.
Manifestations culturelles et festivités
Au mois d'août, la ville accueille certains événements du Festival folklorique international du Rouergue, une manifestation qui met à l'honneur les danses traditionnelles[30].
Le , la Saint-Jean est par ailleurs l'occasion d'une fête votive[31].
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 330 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 630 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 220 €[I 1] (20 640 € dans le département[I 2]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 3] | 7,4 % | 8,4 % | 10,4 % |
Département[I 4] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 5] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 350 personnes, parmi lesquelles on compte 69,8 % d'actifs (59,4 % ayant un emploi et 10,4 % de chômeurs) et 30,2 % d'inactifs[Note 7] - [I 3]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1] - [I 6]. Elle compte 151 emplois en 2018, contre 165 en 2013 et 184 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 215, soit un indicateur de concentration d'emploi de 70,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41 %[I 7].
Sur ces 215 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 112 travaillent dans la commune, soit 52 % des habitants[I 8]. Pour se rendre au travail, 78,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 9].
Secteurs d'activités
73 établissements[Note 8] sont implantés à Saint-Jean-du-Bruel au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9] - [I 10].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 73 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 4 | 5,5 % | (17,7 %) |
Construction | 17 | 23,3 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 31 | 42,5 % | (27,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 4,1 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 4 | 5,5 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 2 | 2,7 % | (12,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 7 | 9,6 % | (12,7 %) |
Autres activités de services | 5 | 6,8 % | (7,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 42,5 % du nombre total d'établissements de la commune (31 sur les 73 entreprises implantées à Saint-Jean-du-Bruel), contre 27,5 % au niveau départemental[I 11].
Entreprises
L' entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[32] :
- Camping La Dourbie, terrains de camping et parcs pour caravanes ou véhicules de loisirs (175 k€)
L'économie de la commune est caractérisée par une agriculture traditionnelle extensive basée sur l'élevage pour la production laitière de brebis destinée à l'élaboration des fromages de roquefort, pérail, tome et pour la production de veaux et agneaux destinés à l'engraissement.
Une diversification existe tournée vers le maraîchage, l'apiculture, la production de bois de chauffe et le tourisme rural. Des agriculteurs de la commune et des communes voisines vendent leurs productions agricoles, transformées ou pas, au marché du bourg les jeudis et dimanches matin, en saison estivale.
Des artisans et prestataires de services (métiers du bâtiment, boulanger, conserverie…) existent, ainsi que des commerces présents dans le bourg. Les loisirs influent également sur l'économie communale : locations saisonnières de meublés, camping, randonnée pédestre, vélo tout terrain, découverte nature, pêche de parcours 1re catégorie, chasse à partir du quinze août.
Agriculture
La commune est dans les Grands Causses, une petite région agricole occupant le sud-est du département de l'Aveyron[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 2].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 29 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 18 en 2000 puis à 17 en 2010[35] et enfin à 10 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 66 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[36] - [Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 638 ha en 1988 à 502 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à 50 ha[35].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Les monuments les plus anciens de Saint-Jean-du-Bruel sont préhistoriques :
Le dolmen de Balmarelesse ou Tombeau du Géant ; le dolmen de Barjac ; et le dolmen numéro 3 ; Les menhirs de Barjac A et B ; et les deux autres menhirs (sans nom).
- L'église Saint-Jean-Baptiste reconstruite en 1710.
- Le Pont Vieux du XIIIe siècle.
- Château de Roquefeuil, berceau de la famille de ce nom, dont il reste des ruines sur les hauteurs.
- Le pont neuf du XVIIIe siècle.
- Les halles.
- Musée Noria, écomusée de l'eau, installé dans le Moulin du pont (XIIIe siècle).
- Les chemins creux et drailles agricoles se prêtent à la randonnée pédestre.
- L'étang du Viala et les eaux fraîches de la rivière Dourbie invitent à la baignade avec l'accord des riverains.
L'église. Les halles. Les halles. Four de potier. La Dourbie sous le Pont-Vieux. Chaussée du Pont-Vieux. Station communale.
Patrimoine environnemental
Le territoire de la commune constitue une partie du parc naturel régional des Grands Causses.
Personnalités liées à la commune
- La famille de Roquefeuil.
- François Vivarès (1709-1780), graveur établi à Londres, né à Saint-Jean-du-Bruel.
- Julien Tardieu (1896-1980), ancien président du conseil municipal de la ville de Paris, originaire de la commune où il séjourna et conserva de nombreuses relations. Il y est enterré.
- L'acteur Pierre Richard (1934-), possède une résidence secondaire sur le territoire de la commune.
- René Quatrefages (1944-), historien français spécialiste de l’histoire de l’Espagne, né à Saint-Jean-du-Bruel et maire de la commune de 1983 à 2005.
- Pierre de Bousquet de Florian (1954-), préfet, ex coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme, dont la famille est originaire de la commune où il conserve une résidence de famille.
- Bruno Walther (1972-), entrepreneur en série et spécialiste de l'internet, établi à Saint-Jean-du-Bruel.
- Ludovic Chaker (1979-), spécialiste de la Chine et homme politique, est natif de Saint-Jean-du-Bruel.
Héraldique
Blason | ||
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Détails |
Voir aussi
Bibliographie
- (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. René Quatrefages), Nant : La Cavalariá, La Cobertoirada, L'Espitalet, Sauclièiras, Sent-Joan-del-Bruèlh / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Nant, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-20-3, ISSN 1151-8375, BNF 36685848)
- Jean André, Saint-Guiral : résumé historique sur les traditions et coutumes attachées au rocher de St-Guiral, Saint-Jean-du-Bruel, Association d'histoire et de généalogie de Saint-Jean-du-Bruel, , 32 p., ill., couv. ill. ; 21 cm + erratum (BNF 35521670)
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[2].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
- « ECCE AGNUS DEI » signifie en latin « Voici l'Agneau de Dieu ».
- Cartes
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Jean-du-Bruel » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Jean-du-Bruel » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Jean-du-Bruel » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Jean-du-Bruel » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Jean-du-Bruel et Millau », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
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- « ZNIEFF le « Causse Bégon et Pas de l'Âne Canayère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, page 1621
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Compte rendu du Conseil des ministres du 12 octobre 2022 », sur Gouvernement.fr (consulté le )
- Saint-Jean-du-Bruel. « Les élections municipales partielles auront lieu le 8 janvier 2023 », Le Millavois.
- de Saint-Jean-du-Bruel (12230) sur habitants.fr, consulté le 6 mai 2020.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Jean-du-Bruel - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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- « 12 231 - SAINT JEAN DU BRUEL (Aveyron) », sur L'Armorial des villes et des villages de France (consulté le ).