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Entrepreneur

Le terme « entrepreneur » recouvre des acceptions connexes mais distinctes :

  • l'usage courant l'assimile Ă  un chef d'entreprise, tantĂŽt porteur d'un projet d'entreprise en phase de dĂ©marrage, tantĂŽt dirigeant d'une entreprise davantage Ă©tablie, Ă  laquelle le plus souvent il s'identifie Ă©troitement et personnellement ;
  • « entrepreneur » est Ă©galement l'appellation donnĂ©e aux chefs d'entreprise de diffĂ©rents secteurs du bĂątiment ou des travaux publics ;
  • en droit, l'entrepreneur (ou maĂźtre d'Ɠuvre) est « la personne qui — dans un contrat d'entreprise — s'engage Ă  effectuer un travail en rĂ©ponse Ă  la demande d'un maĂźtre d'ouvrage ».
Steve Jobs et Bill Gates en 2007 dans une conférence du nom de : "D5, All things digital"

Le présent article traite de la premiÚre acception.

Personnalité de l'entrepreneur

L'identification de l'entrepreneur à son projet d'entreprise ou à une entreprise établie explique le degré fort de son implication.

À la diffĂ©rence de l'homme d'affaires, l'entrepreneur est fortement investi matĂ©riellement ou moralement dans le dĂ©veloppement et le dĂ©ploiement de son projet. Sa mission est la rĂ©union et la mobilisation de ressources pertinentes, ainsi que la volontĂ© de pĂ©rennisation de celles-ci dans le cadre durable d'une organisation voire d'une institution.

Pourtant, les exemples abondent (voir le destin d'André Citroën en particulier) qui montrent que les qualités indéniables chez un « entrepreneur » ne coïncident pas toujours avec celles du « gestionnaire » :

  • le premier est dotĂ© en principe du leadership et la vision adaptĂ©s aux enjeux et aux risques ;
  • le second dispose normalement des vertus hautement nĂ©cessaires pour assurer la gestion au quotidien des revenus et des charges.

La forte personnalitĂ© de l'entrepreneur, souvent insĂ©parable de l'entreprise qu'il a fondĂ©e ou relancĂ©e et pratiquant un leadership souvent sans partage, fait que sa disparition - lorsque la prise de relais n'est pas suffisamment prĂ©parĂ©e - entraĂźne frĂ©quemment une crise de succession dont les effets Ă  terme peuvent ĂȘtre dĂ©vastateurs, surtout au moment oĂč l'entreprise se sent « orpheline ». Il est donc utile de prendre en compte l'influence que la personnalitĂ© de l'entrepreneur exerce sur son entreprise[1] - [2] - [3].

Selon une Ă©tude d'Ernst & Young, « on ne naĂźt pas entrepreneur, on le devient »[4]. Mais d'autres Ă©tudes soulignent que « les 3/4 des entrepreneurs sont issus d'une famille d'entrepreneurs ». Pour Saras Sarasvathy tout le monde peut devenir entrepreneur, pour cela elle propose la thĂ©orie de l’effectuation[5] qui qualifie la posture entrepreneuriale des individus. L'approche effectuelle[6] est opposĂ©e Ă  l'approche causale[7] mais dans la pratique ces deux phĂ©nomĂšnes se complĂštent dans la vision entrepreneuriale.

En France, l’ñge moyen de l’entrepreneur est de 41 ans. Parmi ce groupe, 2 % ont moins de 25 ans[8]. Une faible proportion d’individus estime avoir les compĂ©tences nĂ©cessaires au dĂ©marrage d’une activitĂ© entrepreneuriale : 38 % contre 43 % au Royaume-Uni et 56 % aux États-Unis[9]. Pour la figure de l'entrepreneur propre Ă  l'entreprise voir l'article : Entreprise.

Évolution de la vision de l'entrepreneur

Les caractéristiques dominantes de la personnalité entrepreneuriale ont évolué.

Les précurseurs : pour Richard Cantillon (1723), l'entrepreneur achÚte des produits et services à un prix certain pour le revendre à un prix incertain sur le marché, aprÚs défraiement des frais de transport[10]. Ce fut le premier qui a attribué à l'entrepreneur un rÎle clé dans le processus économique. Dans son « Essai sur la nature du commerce en général »[10], l'auteur a reconnu le rÎle de l'entrepreneur comme étant un agent économique. L'entrepreneur pour Cantillon « is someone who engages in exchanges for profit, specifically, he is someone who exercises business judgment in the face of uncertainty »[11]. Jean-Baptiste Say (1767-1832) fonde véritablement le concept et lui confÚre une consistance significative. Il définit l'entrepreneur comme l'intermédiaire entre le savant (connaissance) et l'ouvrier (industrie)[12]. Marcel Proust utilise l'image glorifiée de l'entrepreneur pour décrire avec emphase un des personnages du roman La PrisonniÚre (1923) : « C'était un homme, un vrai, un entrepreneur » ;

Joseph Schumpeter redonne à l'entrepreneur[13] une place importante en le désignant comme étant « l'homme de l'innovation »[14] : Parce qu'il incarne et porte le pari de l'innovation, son dynamisme assure la réussite de celle-ci :
« L’entrepreneur est un homme dont les horizons Ă©conomiques sont vastes et dont l’énergie est suffisante pour bousculer la propension Ă  la routine et rĂ©aliser des innovations ». C'est un vĂ©ritable aventurier qui n'hĂ©site pas Ă  sortir des sentiers battus pour innover et entraĂźner les autres hommes Ă  faire autre chose que ce que la raison, la crainte ou l'habitude leur dictent de faire. Il doit vaincre les rĂ©sistances qui s'opposent Ă  toute nouveautĂ© risquant de remettre en cause le conformisme ambiant. L'entrepreneur est beaucoup plus qu'un chef d'entreprise, simple administrateur gestionnaire. Beaucoup plus qu'un rentier-capitaliste, simple propriĂ©taire des moyens de production.

Ainsi, on pourrait soutenir qu'Henry Ford lorsqu'il s'Ă©tablit en 1906 comme chef d'entreprise n'est pas un entrepreneur. Mais qu'il le devient en 1909, lorsque ses usines commencent Ă  fabriquer la fameuse Ford T et font Ă©voluer l'automobile vers le statut d'objet de consommation courante et qu'il met en Ɠuvre le systĂšme de la chaĂźne de montage qui permet Ă  la fois de baisser les coĂ»ts de production et d'accroĂźtre le dĂ©bit de la production, ce qui ouvre la porte Ă  la production de masse.

Autre exemple de véritable entrepreneur avec Alfred Krupp qui concentre verticalement ses entreprises et met en pratique le nouveau procédé de fabrication de l'acier imaginé par l'anglais Henry Bessemer (voir son histoire).

Pour Schumpeter, l'entrepreneur est certes motivé par la réalisation de bénéfices générés par les risques pris et la réussite. Mais, la conception du profit défendue est originale. L'entrepreneur crée de la valeur à l'aide d'un Business Model, comme le salarié et comme lui il est aussi motivé par un ensemble de mobiles irrationnels dont les principaux sont sans doute la volonté de puissance, le goût sportif de la victoire et de l'aventure, ou la joie simple de créer et de donner vie à des conceptions et des idées originales. Pour Schumpeter, le profit est la rémunération de l'initiative créatrice des risques pris par l'entrepreneur. Cette conception est contraire aux économistes classiques qui font du profit la contrepartie des efforts productifs (capital et travail) de l'entrepreneur, ce qui est plutÎt celle du chef d'entreprise. Elle est également contraire à la conception marxiste, qui place l'origine du profit dans la confiscation de la plus-value, c'est-à-dire l'appropriation d'une partie du fruit du travail des salariés, là on trouve plutÎt le rentier-capitaliste.

Dans une pĂ©riode plus rĂ©cente, divers auteurs enrichissent le concept de diverses maniĂšres. Pour W. Sombart (1922), l'entrepreneur est celui qui rĂ©unit les facteurs de production, capital et travail, conduit la production et Ă©tablit les relations entre la production et l'utilisation finale des produits rĂ©alisĂ©s[15]. Sans l'entrepreneur, la crĂ©ation et l'innovation sont impossibles dans le mode de production capitaliste[15]. Il donne aux facteurs de production un rĂŽle vital qu'aucune autre personne ne peut rĂ©aliser Ă  sa place[15]. Mais tous les entrepreneurs n'ont pas la mĂȘme importance : quelques grands entrepreneurs qui dĂ©cident et se responsabilisent sont des leaders dans l'Ă©conomie capitaliste qui tracent le chemin aux autres qui les imitent, les suiveurs[15]. Bien que l'entrepreneur puisse poursuivre plusieurs objectifs (croissance interne, externe et notoriĂ©tĂ© de l'entreprise, augmentation du montant des ventes
), la recherche des bĂ©nĂ©fices reste son but principal[16]. David McClelland (1961) : l’entrepreneur est avant tout motivĂ© par un besoin dĂ©bordant de rĂ©alisations, par « la nĂ©cessitĂ© de construire ». Collins and Moore (1970) (Ă©tude du cas de 150 entrepreneurs) concluent qu’ils sont durs, pragmatiques et conduits par le besoin d’indĂ©pendance et de rĂ©alisation, et peu enclins Ă  se plier Ă  l’autoritĂ©. Peter Drucker dans son ouvrage Les Entrepreneurs (1985), insiste sur l'innovation et l'esprit d'entreprise (entrepreneuriat). Bird (1992) voit les entrepreneurs comme Ă©tant Mercuriels et imprĂ©visibles, sujets Ă  des intuitions, des activitĂ©s cĂ©rĂ©brales intenses, et des dĂ©ceptions. Ce pourquoi ils sont ingĂ©nieux, plein de ressources, malins, opportunistes, crĂ©atifs, et sentimentaux. Busenitz et Barney (1997) dĂ©fendent le fait que les entrepreneurs sont susceptibles d’ĂȘtre trop confiants ou de gĂ©nĂ©raliser trop facilement. Cole (1959), dĂ©finit quatre types d’entrepreneurs : l’innovateur, l’inventeur qui calcule, le promoteur trop optimiste et le constructeur d’organisations. Burton W. Folsom Jr. distingue quant Ă  lui ce qu’il appelle « l’entrepreneur politique » qui cherche le profit pour son affaire en usant de son influence politique afin d’obtenir des faveurs et des accords avec le gouvernement, de « l’entrepreneur de marchĂ© » qui recherche le profit sans mettre en jeu son influence.

Accompagnement des entrepreneurs

L'accompagnement entrepreneurial comme l'a prĂ©sentĂ© Pluchart (2012, p. 220)[17] « recouvre un ensemble de relations ou de mĂ©diations visant Ă  apporter les ressources financiĂšres, matĂ©rielles et immatĂ©rielles nĂ©cessaires au crĂ©ateur ou au repreneur d'entreprise ». Batavia Industrial Center fut la premiĂšre structure d'accompagnement Ă©tabli en 1959 Ă  New York, Etats-Unis[18]. Il prĂ©sente le premier incubateur Ă©tabli. Ces structures n'ont pu se dĂ©velopper qu'Ă  partir des annĂ©es 80, notamment avec la crĂ©ation de la National Business Incubation Association en 1985[18]. Ce dĂ©veloppement s'accĂ©lĂšre dans les annĂ©es qui suivent en rĂ©ponse Ă  la montĂ©e de l'Ă©conomie entrepreneuriale[19]. L'explosion de la bulle internet Ă  la fin des annĂ©es 90 n'a qu'augmentĂ© l'intĂ©rĂȘt accordĂ© Ă  ces structures en favorisant la crĂ©ation d'entreprises innovantes.

L'accompagnement entrepreneurial est prĂ©sentĂ©, par Pluchart (2012), comme un rĂ©seau social. L'auteur, et d'aprĂšs les travaux de Degenne et Forse (1994), dĂ©finit un rĂ©seau social par un ensemble de nƓuds qui combinent des acteurs, groupes d'acteurs ou organisations liĂ©s par des relations formelles ou informelles et par des transferts de ressources. La structure de ce rĂ©seau est caractĂ©risĂ©e par plusieurs Ă©lĂ©ments[20] :

  • structures d'accompagnement : institutions locales (Chambres de commerce et d'industrie, chambre de mĂ©tiers, agence rĂ©gionale de dĂ©veloppement, municipalitĂ©s ou communautĂ©s urbaines, associations spĂ©cialisĂ©es dans l'accompagnement, boutique de gestion, etc.), institutions nationales, Ă©coles ou Ă©tablissements professionnels ou supĂ©rieurs de formation ou de recherche, associations professionnelles ou clubs de dirigeants, sociĂ©tĂ©s de conseil (consultants, banquiers), laboratoires privĂ©s, etc. ;
  • natures de l'accompagnement : techniques (innovations process et innovations produits), stratĂ©giques et commerciales (diversifications et internationalisation), organisationnelles (introduction de nouvelles fonctions et de nouveaux modes relationnels internes et externes) et financiĂšres ;
  • pratiques d'accompagnement : stage d'Ă©tudiants encadrĂ©s par des spĂ©cialistes (chargĂ© de missions institutionnels, universitaires, consultants), interventions individualisĂ©es de consultants ou de chargĂ©s de mission institutionnels, action de sensibilisation et d'information, actions de formation et sĂ©minaires d'Ă©changes d'expĂ©riences ;
  • intensitĂ© de l'accompagnement : dimension temporelle (durĂ©e) et multiplicitĂ© des acteurs: de l'utilisation d'un rĂ©seau de compĂ©tences multiples (institutions locales et nationales, Ă©tablissements d'enseignement supĂ©rieurs ou professionnels, structures privĂ©es ou professionnelles) Ă  l'appui d'une ou de deux structures d'accompagnement.

Aide au financement des entrepreneurs

Le financement des PME est toujours une question cruciale. Le besoin de financement se heurte constamment, d'une part, Ă  la capacitĂ© de l'entreprise Ă  financer son propre dĂ©veloppement, et d'autre part, au souci d'indĂ©pendance de l'entreprise. La capacitĂ© de financement de l'entreprise limite sa vitesse de croissance. Le souci d'indĂ©pendance de l'entreprise peut ĂȘtre un facteur bloquant Ă  son dĂ©veloppement. Des solutions de financement public[21] peuvent permettre de concilier vitesse de croissance et volontĂ© d'indĂ©pendance.

Manifestations dédiées à l'entrepreneuriat

Plusieurs salons dédiés aux entrepreneurs sont organisés pour les PME[22] - [23] et les TPE[24].

Par ailleurs, plusieurs centaines d'organisateurs se mobilisent annuellement en novembre pour la semaine Global entrepreneurship week : en France, 623 Ă©vĂ©nements ont mobilisĂ© 100 000 participants dans 81 villes en 2010 ; Ă  travers le monde, 40 000 Ă©vĂ©nements ont rĂ©uni 10 millions de participants dans 102 pays[25].

Les jeunes entrepreneurs des 20 pays les plus puissants se regroupent en Australie pendant 4 jours dans le cadre du G20 YEA (Young Entrepreneurs’ Alliance). Depuis la crise de 2008, 400 entrepreneurs sont sĂ©lectionnĂ©s pour Ă©mettre une liste de recommandations aux chefs d’État avec pour objectif de relancer la croissance et l’emploi.

Notes et références

  1. Marchesnay M. (2008), Valeurs et responsabilitĂ©s – l’entrepreneur français, entre compĂ©titivitĂ© et lĂ©gitimitĂ©, Sciences de Gestion, no 64, p. 173-186.
  2. Saint-Pierre, J., Cadieux, L. (2011), La conception de la performance : Quels liens avec le profil entrepreneurial des propriĂ©taires dirigeants de PME ?, Revue de l’Entrepreneuriat, vol.11, no 1, pp.7-26.
  3. Bousquet F., (2014), "L'Influence du lien personnel entre l'entrepreneur et le territoire sur l'ancrage territorial des PME", thÚse de doctorat en sciences de gestion, université de Bordeaux, p.20, https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01232234/document [archive]
  4. « On ne naßt pas entrepreneur, on le devient » (version du 28 juillet 2013 sur Internet Archive)
  5. « LA TRANSFORMATION DIGITALE », sur EMS ÉDITIONS (consultĂ© le )
  6. Saras D. Sarasvathy, « Causation and Effectuation: Toward a Theoretical Shift from Economic Inevitability to Entrepreneurial Contingency », The Academy of Management Review, vol. 26, no 2,‎ , p. 243 (ISSN 0363-7425, DOI 10.2307/259121, lire en ligne, consultĂ© le )
  7. David J. Rapp et Michael Olbrich, « From Knightian uncertainty to real‐structuredness: Further opening the judgment black box », Strategic Entrepreneurship Journal,‎ (ISSN 1932-4391 et 1932-443X, DOI 10.1002/sej.1443, lire en ligne, consultĂ© le )
  8. « La Conférence Annuelle des Entrepreneurs » (version du 22 décembre 2013 sur Internet Archive).
  9. Invitation - L'entrepreneuriat en France
  10. Essai sur la nature du commerce en général/Partie I/Chapitre 13
  11. K.V. Nagarajan, « Review of: A history of entrepreneuriship By Robert F. Hebert and Albert N. Link London: Routledge, 2009 », International Journal of Business and Social Science,‎ , p. 241-242
  12. Catherine LĂ©ger-Jarniou, Le Grand Livre de L'Entrepreneuriat, Paris, Dunod, , 448 p., p. 25
  13. Volker Kunz, « Joseph A. Schumpeter, Capitalism, Socialism, Democracy, New York 1942 », dans SchlĂŒsselwerke der Politikwissenschaft, VS Verlag fĂŒr Sozialwissenschaften (ISBN 978-3-531-14005-6, lire en ligne), p. 441–446
  14. Joseph Alois Schumpeter, Business cycle, 1939
  15. W. Sombart, L'apogée du capitalisme, 1922. Traduction française Payot - Paris - 1934. Tome 1 - p. 30-34. Cité par Jacques Wolff, Capitalisme et croissance, textes et bibliographie, éditions cujas, p. 11-12.
  16. W. Sombart, L'apogée du capitalisme, op. cit. p. 55-56. Cité par Jacques Wolff, ... p. 13.
  17. Jean-Jacques Pluchart, « L'accompagnement entrepreneurial », Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels, vol. XVIII, no 45,‎ , p. 217 (ISSN 2262-8401)
  18. Sean M. Hackett, David M. Dilts, « A Systematic Review of Business Incubation Research », The Journal of Technology Transfer,‎ , pp 55–82 (ISSN 1573-7047)
  19. Karim Messeghem, Sylvie Sammut, Didier Chabaud, Camille Carrier et Roy Thurik, « L’accompagnement entrepreneurial, une industrie en quĂȘte de leviers de performance ? », Management international,‎ , p. 65–71.
  20. Dokou, G. k., Gasse, Y., Abiassi, A., & Camion, C., « Influences des pratiques d'accompagnement et de recherche d'information sur la stratĂ©gie des entrepreneurs de PME: L'exemple de la rĂ©gion Nord-Pas-De-Calais », FacultĂ© des sciences de l’administration. UniversitĂ© Laval.,‎ .
  21. Principales aides financiĂšres, APCE
  22. Site officiel du salon des entrepreneurs du MEDEF
  23. Salon PlanĂšte PME de la CGPME
  24. Salon des micro-entreprises des indépendants
  25. Les journées de l'entrepreneur : bilan de l'édition 2010, page 12.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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