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Projet (management)

Un projet est — en management d'entreprise — un ensemble finalisĂ© d’activitĂ©s et d’actions entreprises par une « Ă©quipe projet » sous la responsabilitĂ© d'un chef de projet dans le but de rĂ©pondre Ă  un besoin dĂ©fini par un contrat dans des dĂ©lais fixĂ©s et dans la limite d'une enveloppe budgĂ©taire allouĂ©e[1].

Comme exemple de projets célÚbres, on peut citer le « projet Manhattan ».

Le fonctionnement en « mode projet » (proche du prototype) se distingue du fonctionnement en « mode processus » (fabrication en sĂ©rie) en ce sens qu'une activitĂ© conduite en mode projet n'est gĂ©nĂ©ralement pas destinĂ©e Ă  ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e : son cĂŽtĂ© « inĂ©dit et unique » souligne la probabilitĂ© d'ĂȘtre confrontĂ© Ă  un environnement incertain, du fait de l'absence plus ou moins grande d'expĂ©riences ou de pratiques antĂ©rieures.

Par ailleurs, un processus est destiné à durer et n'a pas, en général de date de fin prévue.

Il ne faut pas confondre un tel projet avec un « projet d'entreprise », vision à long terme de l'entreprise à forte composante Ressources Humaines

Phases d'un projet

  • la phase A de faisabilitĂ© du projet. De l'idĂ©e au projet.
  • la phase B de dĂ©finition prĂ©liminaire du projet. En principe, le cahier des charges est verrouillĂ© Ă  l'issue des travaux de phase B.
  • la phase C de dĂ©finition systĂšme pour totalement dĂ©finir les diffĂ©rents aspects du projet (Travaux de phase C). Toutes les liasses de fabrication, nomenclatures, et tous les documents de fabrication sont acquis, la majeure partie des documents de tests est aussi prĂ©dĂ©finie.
  • la phase D de dĂ©veloppement ou de fabrication des sous-systĂšmes et d'intĂ©gration systĂšme.
  • la phase E de tests des sous-systĂšmes et d'Ă©valuation des performances systĂšme.
  • la phase F de transport, de mise Ă  poste et livraison au client (F ou F1 si une phase d'assistance Ă  l'exploitation vient complĂ©ter (F2)la fourniture de services.
  • les travaux en appel en garantie (G).

Ces phases ne sont pas forcément toutes strictement séquentielles ni niveau systÚme, ni au niveau sous-systÚmes. Il peut donc y avoir des chevauchements de phases à chacun des niveaux.

Enjeux d'un projet

Le budget alloué au projet est un élément important. Le fait que le résultat soit incertain a poussé à approfondir ce qui fait qu'un projet puisse aboutir à un succÚs par une analyse de gestion.

Mais il y aurait un risque Ă  rĂ©duire le projet Ă  la seule dimension de sa rĂ©alisation technique. Quelle signification revĂȘt-il pour les hommes qui s'en emparent, le vivent, le subissent ou le font subir ? Dans l'analyse anthropologique qu'il a rĂ©alisĂ©e sur le sujet, Jean Pierre Boutinet[2] a repĂ©rĂ© quatre types de projets:

  • le projet sur l'autre selon le modĂšle de la commande sociale ;
  • le projet pour l'autre selon le modĂšle paternaliste ;
  • le projet avec l'autre selon le modĂšle participatif ;
  • le projet de l'autre selon le modĂšle de l'autonomie.

Tenter lâ€˜Ă©laboration d’une anthropologie du projet, c’est chercher Ă  comprendre comment fonctionne le projet dans diffĂ©rents ensembles culturels. Il y aurait quatre dimensions constitutives de la figure du projet relevant de quatre approches scientifiques distinctes :

  • la nĂ©cessitĂ© vitale (biologie) ;
  • l’enjeu existentiel (phĂ©nomĂ©nologie) ;
  • la perspective pragmatique (praxĂ©ologie) ;
  • l’opportunitĂ© culturelle (ethnologie).

Nature d'un projet

En principe un projet n'est pas une simple idĂ©e jetĂ©e en l'air, mais suppose d'ĂȘtre dĂ©crit et planifiĂ©, par exemple selon la mĂ©thode QQOQCCP

  • Quoi (les actions) ;
  • Qui (les gens concernĂ©s) ;
  • OĂč (les domaines touchĂ©s par le projet, voire les lieux) ;
  • Quand (programmation dans le temps) ;
  • Comment (moyens, mĂ©thodes
) ;
  • Combien (le budget) ;
  • Pourquoi (les motifs et les objectifs).

On doit répondre clairement à ces questions pour bien commencer le projet, et veiller à ce que les objectifs du projet soient clairement bien définis et bien compris par les parties prenantes.

DĂ©marche d'analyse d'un projet

Il est possible de chercher à s'assurer qu'il sera donné toutes les armes pour réussir un projet. Il est possible de réaliser une gestion de projet.

Un projet peut ĂȘtre rĂ©gulĂ© par un plan de dĂ©veloppement ou planifiĂ©, ce qui cloisonne sa progression par des contraintes, en le limitant Ă  des objectifs et des paramĂštres dĂ©terminĂ©s. La planification, l'exĂ©cution et le contrĂŽle de projets de grande envergure demandent parfois la mise en place d'une organisation temporaire, qui consiste en une Ă©quipe de projet et une ou plusieurs Ă©quipes de travail. Un projet nĂ©cessite le plus souvent des ressources humaines (ex: spĂ©cialiste aĂ©rodynamique), matĂ©rielles (ex: machine-outil), logicielles (ex: progiciel de modĂ©lisation gĂ©omĂ©trique) et financiĂšres.

Projet et processus

La gestion des activitĂ©s en «mode processus» doit ĂȘtre distinguĂ©e de celle des activitĂ©s gĂ©rĂ©es en «mode projet»[3]:

Gestion Opérationnelle Gestion de Projets
Univers répétitif, stable Univers inconnu, innovant
Processus récurrent, décisions réversibles Processus historique, décisions irréversibles
Incertitude faible : variables endogĂšnes Incertitude forte : variables exogĂšnes, non contrĂŽlables
Flux de trĂ©sorerie positif, le fonctionnement dĂ©gage un bĂ©nĂ©fice Flux de trĂ©sorerie nĂ©gatif, il faut investir avant d’avoir un retour
DifficultĂ© : Intervenir rapidement en cas de blocage DifficultĂ© : GĂ©rer un « saut dans l’inconnu » complexe

Apparition de la structure de projet

Pendant plusieurs décennies, les entreprises ont cherché à augmenter leur profit en diminuant leurs coûts (amélioration des processus, fusions pour économies d'échelle
).

Mais aujourd'hui cette bataille est perdue d'avance pour les entreprises implantĂ©es dans les pays dĂ©veloppĂ©s en raison de la concurrence irrĂ©sistible des pays en voie de dĂ©veloppement aux coĂ»ts de main d'Ɠuvre imbattables.

Une solution possible est donc de crĂ©er de la valeur en innovant constamment. La structure la mieux adaptĂ©e pour cet objectif d'innovation est celle du projet. En effet elle permet de gĂ©rer un environnement qui ne durera pas (Ă  l'inverse de la production de sĂ©rie) et oĂč les dĂ©cisions seront donc irrĂ©versibles.

Plus tard, la structure de projet se révÚlera aussi utile pour la résolution rapide de problÚmes apparus aprÚs le démarrage de la production.

IntĂ©rĂȘt de l'organisation en mode projet

L'organisation professionnelle en « mode projet » est complĂ©mentaire Ă  celle classiquement pratiquĂ©e par les entreprises depuis le dĂ©but du XXe siĂšcle, Ă  savoir celle en « mode mĂ©tier ». Le croisement des deux concepts donne d'ailleurs naissance Ă  l’organisation matricielle MĂ©tier/Projet pratiquĂ©e depuis les annĂ©es 1980 dans les grandes organisations industrielles.

L'organisation métier était la plus appropriée lorsque la pression du temps sur les entreprises était bien moins grande qu'aujourd'hui, notamment du fait de marchés tirés par la demande. C'est une structuration adaptée à la capitalisation des savoirs et savoir-faire par les spécialistes métier. Malheureusement, cette structure « métier » n'est pas adaptée à la tenue des délais et des budgets.

Le principal avantage de l'organisation en « mode projet » est donc la tenue des délais dans la conception et la livraison des objets du projet et par conséquent des budgets (selon de vieil adage « Time is Money »).

Par ailleurs, l'organisation projet est Ă©galement dotĂ©e d'instruments de mesure des coĂ»ts « Ă  tous les Ă©tages » de telle sorte que chaque dĂ©cideur peut toujours savoir, Ă  tout instant, ce que coĂ»te un projet et quelles sont les ressources financiĂšres dĂ©jĂ  engagĂ©es. Cette caractĂ©ristique propre Ă  l'organisation en « mode projet » permet alors d'appliquer des politiques de management relevant du « pilotage de projet » (ex: planification prĂ©visionnelle, mesure des dĂ©rives, plan d'actions correctives
).

Place des projets dans l'entreprise

Les projets sont gĂ©nĂ©ralement rĂ©alisĂ©s par des entreprises. Le but du projet Ă©tant d’apporter de l’innovation pour augmenter la valeur du produit et donc avoir des produits compĂ©titifs. Seulement, les projets n’ont pas tous la mĂȘme ampleur et toutes les entreprises sont diffĂ©rentes. Ainsi, on voit apparaĂźtre diffĂ©rent type d’entreprise Ă  projet :

à gauche : Projet en coopération; au centre : un projet avec plusieurs entreprises; à droite : une entreprise ayant beaucoup de ressources avec des projets internes et une coentreprise

L’entreprise qui rĂ©alise des projets en coopĂ©ration est une entreprise qui n’a pas les capacitĂ©s ou les ressources pour crĂ©er un projet par ses propres moyens. Elle fait donc appel Ă  des entreprises extĂ©rieures pour rĂ©aliser certaines parties du projet. La sous-traitance peut concerner plusieurs parties du projet et non pas uniquement la production comme on le pense souvent. En effet, une entreprise peut faire appel Ă  une autre entreprise pour la production, mais aussi la conception, l’aspect mercatique
 L’industrie de l’automobile est un bon exemple des entreprises qui effectuent des projets en coopĂ©ration.

Les projets qui sont rĂ©alisĂ©s par plusieurs entreprises sont des projets qui font appel Ă  des domaines complĂštement diffĂ©rents et qui sont donc gĂ©rĂ©s par plusieurs entreprises Ă  niveau d’investissement Ă©quivalent. L’organisation est centrĂ©e sur le projet et non sur les entreprises. Ainsi, ces types de projets ont la nĂ©cessitĂ© d’un coordinateur de projet pour gĂ©rer les diffĂ©rentes ressources humaines. Le domaine du BTP est rĂ©gi par ce type d’organisation oĂč chacune des entreprises apporte une compĂ©tence particuliĂšre (Ă©lectricitĂ©, toiture, maçonnerie
).

La derniĂšre forme d’entreprises concerne celles qui ont la capacitĂ© d’effectuer des petits projets au sein mĂȘme de l’entreprise et qui pour de plus grands projets font appel Ă  d’autres entreprises pour une coentreprise. Ces entreprises ont une multitude de ressources, elles sont donc gĂ©nĂ©ralement de grandes tailles. Ainsi, elles effectuent dans l’entreprise une multitude de petits projets internes. Concernant les grands projets, pour des raisons de ressource ou de prise de risque, ces entreprises font appel Ă  d’autres entreprises pour effectuer des projets en collaboration autrement appelĂ©s des JV. L’industrie des nouvelles technologies utilise ce type d’organisation pour avoir une meilleure compĂ©titivitĂ© dans un marchĂ© difficile.

Acteurs du projet

  • diffĂ©rents corps de mĂ©tier

    différents corps de métier

  • 
 et leurs directions
    
 et leurs directions
  • Les acteurs mĂ©tiers sur le projet
    Les acteurs métiers sur le projet
  • Une personne de rĂ©fĂ©rence sur le projet qui sera, selon les organisations, coordonnateur ou directeur de projet. Il pourra ĂȘtre assistĂ© de :
    Une personne de rĂ©fĂ©rence sur le projet qui sera, selon les organisations, coordonnateur ou directeur de projet. Il pourra ĂȘtre assistĂ© de :
  • Ses adjoints ou assistants
    Ses adjoints ou assistants
  • Des chefs de projet-mĂ©tier
    Des chefs de projet-métier
  • Et enfin des intervenants extĂ©rieurs : consultants, sous-traitants

    Et enfin des intervenants extérieurs : consultants, sous-traitants


Ces acteurs sont liés par :

  • Des relations hiĂ©rarchiques
    Des relations hiérarchiques
  • Des relations plus informelles, de travail, sans ĂȘtre hiĂ©rarchisĂ©es
    Des relations plus informelles, de travail, sans ĂȘtre hiĂ©rarchisĂ©es
Structure fonctionnelle
structure fonctionnelle

Chaque spécialiste métier reste dans sa division et communiquera directement avec ses homologues pour faire les choix relatifs au projet. Dans ce cas il n'y a pas de chef commun. L'implication dans le projet ne se fait que si les acteurs s'y attachent et que leur direction métier peut leur laisser suffisamment de temps.

Structure de coordination de projet
structure de coordination de projet

Le coordonnateur est un gestionnaire du projet : il ne dirige pas tous les acteurs mais il est en relation étroite avec les chefs de projet métier. Les acteurs sont donc déchargés de la tùche de gestion de projet, qui est en plus effectuée de façon plus efficace puisque centralisée. Mais il n'y a toujours pas de direction du projet qui pourrait « concurrencer » les directions métier.

Structure de direction de projet
Structure de direction de projet

Le directeur de projet gagne en pouvoir puisqu'il a un poids hiĂ©rarchique sur les autres participants au projet. Cela lui permettra d'y apporter encore plus de cohĂ©rence en donnant des prioritĂ©s dans la rĂ©alisation des diffĂ©rentes tĂąches du projet plutĂŽt que des conseils qui pouvaient ĂȘtre plus ou moins suivis. Cependant apparaĂźt le problĂšme du conflit de direction puisque les intervenants mĂ©tiers ont maintenant deux chefs : un pour leur mĂ©tier et un pour le projet. Leur comportement risque d'ĂȘtre encore plus imprĂ©visible.

Structure de projet sorti
La structure de projet sorti

Tous les acteurs du projet quittent la structure dans laquelle ils Ă©taient (y compris physiquement : le travail sur le projet se fait souvent en plateau (open-space) pour une meilleure circulation de l'information). La hiĂ©rarchie est maintenant claire et l'efficacitĂ© grandement amĂ©liorĂ©e (plusieurs annĂ©es de dĂ©veloppement gagnĂ©es pour le dĂ©veloppement d'une voiture par exemple). Le problĂšme se pose cependant de la reconversion des diffĂ©rents acteurs Ă  la fin du projet puisqu'ils auront perdu leur compĂ©tence mĂ©tier en ayant passĂ© plusieurs annĂ©es sur des actions variĂ©es. De plus, si l'entreprise n'a pas de projet Ă  proposer directement Ă  la suite, ces acteurs risquent d'ĂȘtre dĂ©bauchĂ©s par des concurrents qui lancent leur projet.

Évolution des montages de projets

Les projets peuvent ĂȘtre organisĂ©s suivant des schĂ©mas complexes (provoquant coĂ»ts et dĂ©lais) du fait qu'ils doivent s'insĂ©rer dans l'organisation prĂ©existante de l'entreprise, elle-mĂȘme complexe. Pour amĂ©liorer leur rendement, les ingĂ©nieurs en management de projet au cours des annĂ©es ont crĂ©Ă© des types de montage visant Ă  simplifier ces schĂ©mas. Les projets sont passĂ©s d’un schĂ©ma traditionnel Ă  celui de l'ingĂ©nierie intĂ©grĂ©e.

Avant les annĂ©es 1980, au dĂ©but de l’apparition des projets, les projets Ă©taient rĂ©gis par le dĂ©veloppement sĂ©quentiel traditionnel. Ce type de montage est le plus simple mais le moins efficace. Les tĂąches passent d’un service Ă  l’autre selon le principe « over the wall ». Un service effectue une action complĂštement puis la passe au service suivant. Ce mode de tĂąches successive n’est pas efficace Ă  cause du temps total du projet qui est la somme du temps de chaque tĂąche.

Dans les annĂ©es 1980, les projets dont le dĂ©veloppement se fait en ingĂ©nierie simultanĂ©e et AV font leur apparition. Contrairement au dĂ©veloppement sĂ©quentiel traditionnel, les tĂąches sont effectuĂ©es le plus possible en mĂȘme temps. La durĂ©e du projet est ainsi trĂšs largement rĂ©duite. Cependant ce type d’organisation de projet demande une organisation lourde pour gĂ©rer tous les services en mĂȘme temps. Pour Ă©viter ce problĂšme, on fait appel Ă  un coordinateur de projet qui permet de gĂ©rer l’ensemble du projet et notamment les relations inter-services. Ainsi, on obtient des projets rapides avec des coĂ»ts rĂ©duits.

Dans les annĂ©es 1990, les projets sont complĂštement restructurĂ©s avec l’apparition de l’ingĂ©nierie intĂ©grĂ©e. Tout le projet est centrĂ© gĂ©ographiquement sur un plateau oĂč tous les services sont reprĂ©sentĂ©s. On obtient ainsi une Ă©quipe pluridisciplinaire. L’absence de corps de mĂ©tier et la centralisation gĂ©ographique du projet permet d’amĂ©liorer nettement la communication au sein du projet. Ainsi, les projets sont encore plus rapides et moins coĂ»teux. Par contre, des problĂšmes apparaissent Ă  la fin du projet. Que faire des acteurs du projet ? En effet, l’entreprise peut les placer sur un autre projet mais tous les projets ne demandent pas les mĂȘmes ressources humaines. Les projets n’ont donc pas d’organisation type mĂȘme si en gĂ©nĂ©ral, ils se rapprochent de certains modĂšles qui ont fait leurs preuves. Chacun des modĂšles a des avantages et des inconvĂ©nients et chaque entreprise souhaitant crĂ©er un projet doit examiner avec prĂ©cision ces ressources et ses exigences pour choisir le type de projet le mieux adaptĂ©.

Bibliographie

Années 1990

  • Psychologie des conduites Ă  projet, Jean-Pierre Boutinet, PUF, 1993
  • Projet et communication dans les universitĂ©s, BĂ©atrice Galinon-MĂ©lĂ©nec, Les Ă©ditions d'organisation, 1991

Années 2000

  • Roger AĂŻm, La Gestion de Projet Introduction historique - Concept de projet - MĂ©thodes de gestion - Structure organisationnelle - Communication, . Éditions Gualino, 2007. (ISBN 978-2-297-00353-7)
  • Alain Amghar, Management de projets. Du savoir-faire au savoir faire faire, Jci, 2002.
  • Alain Asquin, Christophe Falcoz, Thierry Picq, Ce que manager par projet veut dire. Éditions d'Organisation, 2005. (ISBN 2-7081-3261-X)
  • Michel Nekourouh, Savoir manager et diriger les Projets - De la performance Ă  l'excellence en 100 Conseils, Astuces et "Best Practices" , EKM, (ISBN 978-2-953-43653-2)
  • Anthropologie du projet, Jean-Pierre Boutinet, PUF, 2005.

Années 2010

  • Organisez vos projets avec le mind mapping, Pierre Mongin, Dunod, 2011, (ISBN 978-2-10-054903-0)

Notes et références

  1. (fr) Cours de gestion de projet en licence Creative Commons
  2. Anthropologie du projet, Jean Pierre Boutinet, PUF, 2005 et : Psychologie des conduites Ă  projet, Jean Pierre Boutinet, PUF, 1993. En ligne
  3. (fr) cours de gestion de projet en licence Creative Commons

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Voir aussi

Articles connexes

Lien externe

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