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Aumessas

Aumessas est une commune française située dans l'ouest du département du Gard, en région Occitanie au sein des chaînes montagneuses des Cévennes. Aumessas a obtenu le label officiel Village de Caractère en 2020 par le Comité Départemental du Tourisme (CDT).

Aumessas
Aumessas
Vue sur le village d'Aumessas.
Blason de Aumessas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays viganais
Maire
Mandat
Philippe Barral
2020-2026
Code postal 30770
Code commune 30025
DĂ©mographie
Population
municipale
230 hab. (2020 en diminution de 1,71 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 11 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 59′ 31″ nord, 3° 30′ 16″ est
Altitude Min. 332 m
Max. 1 449 m
Superficie 21,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Vigan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Vigan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Aumessas
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Aumessas
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Aumessas
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Aumessas
Liens
Site web www.aumessas.fr

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Arre, le Bavezon, le Crouzoulous, le ruisseau d'Albagne, le ruisseau du Lingas et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « massif de l'Aigoual et du Lingas » et « les Cévennes ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Aumessas est une commune rurale qui compte 230 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 1 440 habitants en 1891. Elle fait partie de l'aire d'attraction du Vigan. Ses habitants sont appelĂ©s les Aumessois ou Aumessoises.

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes d’Aumessas
    Dourbies
    Arrigas Aumessas Bréau-Mars
    Arre Bez-et-Esparon

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[1] - [2].

    Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[3].

    La commune fait Ă©galement partie des CĂ©vennes, un territoire reconnu rĂ©serve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes Ă  fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[4] - [5].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[7] :

    • le « massif de l'Aigoual et du Lingas », d'une superficie de 10 546 ha, constituant la ligne de partage des eaux entre MĂ©diterranĂ©e et Atlantique. On y trouve des pelouses et landes qu'on peut qualifier de pseudo-alpines, recĂ©lant des Ă©lĂ©ments floristiques des Alpes et des PyrĂ©nĂ©es en disjonction d'aire. La diversitĂ© spĂ©cifique de l'ensemble du site est remarquable, avec en particulier la prĂ©sence de la très rare Buxbaumia viridis[8]

    et un au titre de la directive oiseaux[7] :

    • « les CĂ©vennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant prĂ©cisĂ©ment Ă  la zone centrale du parc national des CĂ©vennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversitĂ© des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiĂ©e : au total, 135 espèces d'oiseaux, dont 22 inscrites Ă  l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensĂ©es dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espèces de rapaces diurnes et sept nocturnes[9].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂŞt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensĂ©es sur la commune[10] : le « lac des Pises et montagne du Lingas » (1 173 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[11], et la « rivière du Bavezon et ruisseau d'Albagne » (18 ha)[12]

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] - [10] :

    • le « massif de l'Aigoual et du Lingas » (28 495 ha), couvrant 17 communes dont 12 dans le Gard et 5 dans la Lozère[13] ;
    • les « vallĂ©es amont de l'HĂ©rault » (21 533 ha), couvrant 23 communes dont 22 dans le Gard et 1 dans l'HĂ©rault[14].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Aumessas.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Aumessas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [15] - [I 1] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Vigan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,9 %), prairies (4,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,7 %), zones urbanisées (1,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Aumessas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994 et 2003[20] - [18].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aumessas.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 25,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 287 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 226 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 79 %, Ă  comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Aumessas est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

    Histoire

    Moyen Ă‚ge

    Le village d'Aumessas dépendait des possessions de la famille de Roquefeuil[Note 6]. Leurs vassaux, les Azémar, demeuraient au château de la Rode (dit aussi du Cornier).

    Le château du Cornier date vraisemblablement du XIIe siècle.Édifié par les de Roquefeuil, seigneurs dominants, il est remanié en grande partie au XVIe siècle, par la famille du Pont. Les premiers propriétaires sont les seigneurs d'Azémar, originaires du Rouergue. En 1430, le château devient propriété des du Pont.

    Époque moderne

    C'est en 1568 qu'est envoyĂ© un pasteur, Jehan Soleil, Ă  Aumessas. Ce n'est qu'en 1639 que le premier temple est Ă©rigĂ© sur un terrain donnĂ© par Jacques du Pont de la Rode, devant maĂ®tre Guillaume Flory, notaire Ă  Aumessas. Ce temple est dĂ©truit le 17 fĂ©vrier 1688 après la rĂ©vocation de l’Édit de Nantes (17 octobre 1685). Du tas de ruines, ne seront conservĂ©es que la serrure et sa grosse clĂ©. On peut voir, aussi, de belles pierres de taille rĂ©cupĂ©rĂ©es des ruines de l'ancien temple ; elles forment l'angle du mur de soutènement du jardin oĂą se dressait l'ancien lieu de culte. Symboles de la continuitĂ© de la communautĂ© protestante du village, elles sont placĂ©es sur la porte du nouveau temple. Pendant la pĂ©riode qui suit, les services religieux sont cĂ©lĂ©brĂ©s soit au château du Cornier, soit Ă  la maison Nègre de la Viale soit sous les châtaigniers de la Rode, soit « au dĂ©sert Â». Après la destruction du temple, en 1688, le culte rĂ©formĂ© a lieu au château. Son propriĂ©taire, LĂ©vy du Pont de la Rode, met la grande salle du château Ă  la disposition des catholiques d'Aumessas, leur Ă©glise Ă©tant inutilisable. En 1703, deux martyrs pour la foi protestante sont tuĂ©s : Rostang du Pont de la Rode et son cousin Louis du Pont de Bonnels.

    Époque contemporaine

    Le 30 septembre 1816, les protestants d'Aumessas sont autorisés à construire un nouveau temple. Une souscription est lancée et s'étale jusqu'en 1824. La construction est achevée en 1825. En 1862, Aimé Fonzes, bienfaiteur du village, offre, au consistoire presbytéral, une cloche à placer dans le clocher dont il avait financé la construction.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2017 Marie-Renée Laurent
    2017 En cours Philippe Barral

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

    En 2020, la commune comptait 230 habitants[Note 7], en diminution de 1,71 % par rapport Ă  2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8458409111 0069539999909911 074
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0701 0451 0079268609447821 440704
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    683638588504502461383352244
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    247204211213200225228228232
    2017 2020 - - - - - - -
    228230-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 108 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 196 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 17 190 â‚¬[I 4] (20 020 â‚¬ dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    200820132018
    Commune[I 6]11 %9,4 %10,7 %
    DĂ©partement[I 7]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  112 personnes, parmi lesquelles on compte 67 % d'actifs (56,3 % ayant un emploi et 10,7 % de chĂ´meurs) et 33 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. En 2018, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement, mais supĂ©rieur Ă  celui de la France, alors qu'en 2008 il Ă©tait supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Vigan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂ´le[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 44 emplois en 2018, contre 29 en 2013 et 31 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 65, soit un indicateur de concentration d'emploi de 67,8 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 38,3 %[I 10].

    Sur ces 65 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 46 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,1 % les transports en commun, 9,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités

    23 Ă©tablissements[Note 10] sont implantĂ©s Ă  Aumessas au . Le tableau ci-dessous en dĂ©taille le nombre par secteur d'activitĂ© et compare les ratios avec ceux du dĂ©partement[Note 11] - [I 13]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santĂ© humaine et l'action sociale est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 30,4 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (7 sur les 23 entreprises implantĂ©es Ă  Aumessas), contre 13,5 % au niveau dĂ©partemental[I 14]. Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensĂ©e lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (six en 1988)[30] - [Carte 4].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Dolmen d'Arrigas et plusieurs menhirs, tous couchĂ©s.
    • Site druidique au-dessus de Peyraube au lieu-dit Saint-Peyle (ou Saint Peyre).
    • Château de la Rode. Bâtisse fortifiĂ©e Ă©difiĂ©e Ă  l'Ă©cart du hameau principal du village, en bordure de cours d'eau. Ă€ l'origine, elle Ă©tait tenue par la famille d'AzĂ©mar, vassale des barons de Roquefeuil.
    • Maison Marquès du Luc. Demeure situĂ©e sur la place principale et dont la façade regarde le portail de l'Ă©glise. La porte est dĂ©corĂ©e d'un intĂ©ressant chapiteau Ă  trois tĂŞtes provenant d'un bâtiment mĂ©diĂ©val aujourd'hui disparu.
    • Manoir des Charmilles.
    • Ancienne filature Chabal.

    Édifices religieux

    Patrimoine culturel

    Le village a obtenu le label Village de Caractère en 2020.

    Patrimoine naturel

    • Rocher de Saint-Guiral.

    Personnalités liées à la commune

    • AimĂ© Fonzes, industriel, bienfaiteur de la commune.
    • Francis Campestre, Ă©crivain (Les mĂ©moires d'un sourd).

    HĂ©raldique

    Blason d'Aumessas

    Les armes d'Aumessas se blasonnent ainsi :

    D'argent Ă  l'aigle de sable[32].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Aumessas, DĂ©pliant patrimoine, Office de tourisme des CĂ©vennes mĂ©ridionales, 2009.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[6].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Un parchemin de 1285, concernant le mas de La Fobie, paroisse d'Aumessas évoque la famille de Roquefeuil et les moines bénédictins. Archives de l'Académie des Hauts Cantons, Le Vigan, Gard.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[29]
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Aumessas » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Aumessas » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Aumessas » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Aumessas » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    2. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    3. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    4. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    5. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    7. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aumessas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « site Natura 2000 FR9101371 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « site Natura 2000 FR9110033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aumessas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF le « lac des Pises et montagne du Lingas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF la « rivière du Bavezon et ruisseau d'Albagne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF le « massif de l'Aigoual et du Lingas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF les « vallées amont de l'Hérault » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. « Les risques près de chez moi - commune d'Aumessas », sur Géorisques (consulté le )
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