AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Arphy

Arphy est une commune française située dans l'ouest du département du Gard en région Occitanie.

Arphy
Arphy
Blason de Arphy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays viganais
Maire
Mandat
Jean-Pierre Gabel
2020-2026
Code postal 30120
Code commune 30015
DĂ©mographie
Gentilé Arphyens
Population
municipale
143 hab. (2020 en diminution de 18,29 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 6,8 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 01â€Č 11″ nord, 3° 35â€Č 52″ est
Altitude Min. 340 m
Max. 1 405 m
Superficie 20,92 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Vigan
(banlieue)
Aire d'attraction Le Vigan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Vigan
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Arphy
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Arphy
GĂ©olocalisation sur la carte : Gard
Voir sur la carte topographique du Gard
Arphy
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Arphy

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par la Dourbie, le Coudoulous, le ruisseau de Pueylong et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les CĂ©vennes, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « massif de l'Aigoual et du Lingas » et « les CĂ©vennes ») et cinq zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Arphy est une commune rurale qui compte 143 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 606 habitants en 1841. Elle est dans l'agglomĂ©ration de Vigan et fait partie de l'aire d'attraction du Vigan. Ses habitants sont appelĂ©s les Arphyens ou Arphyennes.

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes d’Arphy
    Dourbies Val-d'Aigoual
    Bréau-Mars Arphy Mandagout
    Aulas Le Vigan

    La commune d'Arphy s'Ă©tend de la forĂȘt domaniale de l'Aigoual jusqu'Ă  l'entrĂ©e d'Aulas en suivant le Coudoulous. Tout le long sont Ă©tablis plusieurs mas et hameaux.

    Quelques lieux-dits : La Beaumelle, Bions, La Borie, Cap de Coste, La CarriÚre, La Coste, Le Crestat, La FabrÚgue, Le Fesq, Fontainebleau, Galary, Le Gravas, Grimal, Les LauzÚs, La Matte, Les MoliÚres, Le Monna, Montals, Nespoulet, Les Plantiers, Le Poujol, Pratcoustal, Mas Queyrol, Trépadoux, Les Vignals.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 689 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 4,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1989 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[6]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records ARPHY (30) - alt : 427 m 44° 01â€Č 00″ N, 3° 35â€Č 42″ E
    Statistiques établies sur la période 1989-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1989 au 31-12-2020
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,9 1,2 3,3 5,4 8,7 11,6 13,7 13,7 10,2 8,1 4,2 1,5 6,9
    Température moyenne (°C) 5,6 6,3 9 11 15 18,5 20,9 20,9 16,7 13,1 8,7 5,9 12,7
    Température maximale moyenne (°C) 10,3 11,3 14,6 16,7 21,3 25,5 28,3 28,1 23,2 18,2 13,3 10,3 18,5
    Record de froid (°C)
    date du record
    −9
    30.01.05
    −12,3
    12.02.12
    −11
    01.03.05
    −2
    21.04.1997
    0
    01.05.04
    3
    04.06.01
    6
    11.07.1993
    5
    29.08.1998
    2
    29.09.1993
    −5
    25.10.03
    −8
    21.11.1998
    −9,5
    17.12.09
    −12,3
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    22
    20.01.07
    24,1
    24.02.20
    27,5
    31.03.12
    31,5
    08.04.11
    33
    30.05.01
    40,7
    28.06.19
    37
    22.07.06
    38,2
    01.08.20
    36,5
    04.09.06
    32
    12.10.11
    25
    04.11.10
    21
    11.12.1994
    40,7
    2019
    PrĂ©cipitations (mm) 151,3 104,7 85,4 135,9 113,5 72,2 36,5 56,6 166,5 244 209,5 185,1 1 561,2
    Source : « Fiche 30015002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[7] - [8]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cƓur du Parc national des CĂ©vennes. Ce parc national, crĂ©Ă© en 1967, est un territoire de moyenne montagne formĂ© de cinq entitĂ©s gĂ©ographiques : le massif de l'Aigoual, le causse MĂ©jean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont LozĂšre, les vallĂ©es cĂ©venoles ainsi que le piĂ©mont cĂ©venol[9].

    La commune fait Ă©galement partie des CĂ©vennes, un territoire reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espĂšces animales, 2 300 espĂšces de plantes Ă  fleurs et de fougĂšres, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[10] - [11].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats[13] :

    • le « massif de l'Aigoual et du Lingas », d'une superficie de 10 546 ha, constituant la ligne de partage des eaux entre MĂ©diterranĂ©e et Atlantique. On y trouve des pelouses et landes qu'on peut qualifier de pseudo-alpines, recĂ©lant des Ă©lĂ©ments floristiques des Alpes et des PyrĂ©nĂ©es en disjonction d'aire. La diversitĂ© spĂ©cifique de l'ensemble du site est remarquable, avec en particulier la prĂ©sence de la trĂšs rare Buxbaumia viridis[14]

    et un au titre de la directive oiseaux[13] :

    • « les CĂ©vennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant prĂ©cisĂ©ment Ă  la zone centrale du parc national des CĂ©vennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversitĂ© des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiĂ©e : au total, 135 espĂšces d'oiseaux, dont 22 inscrites Ă  l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensĂ©es dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espĂšces de rapaces diurnes et sept nocturnes[15].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensĂ©es sur la commune[16] :

    • les « cascades d'Orgon » (363 ha)[17] ;
    • la « riviĂšre du Coudoulous Ă  Arphy » (13 ha)[18] ;
    • les « tourbiĂšres de Montals et de la CrĂ©made » (145 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[19] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 5] - [16] :

    • le « massif de l'Aigoual et du Lingas » (28 495 ha), couvrant 17 communes dont 12 dans le Gard et 5 dans la LozĂšre[20] ;
    • les « vallĂ©es amont de l'HĂ©rault » (21 533 ha), couvrant 23 communes dont 22 dans le Gard et 1 dans l'HĂ©rault[21].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Arphy.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Arphy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [22] - [I 1] - [23]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine du Vigan, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 6 communes[I 2] et 6 939 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Vigan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (99,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (99,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (96,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,1 %), zones urbanisĂ©es (0,5 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Arphy est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[25]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[26].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dourbie et le Coudoulous. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1994, 1996 et 2011[27] - [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arphy.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 16,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 166 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 136 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 82 %, Ă  comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune d'Arphy est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[31].

    Toponymie

    Nommé dÚs 1417 Mansus de Arfino parrochioe de Aulacio.

    Histoire

    Au Moyen Âge, Arphy dĂ©pend de la ville d'Aulas ; c'est une entitĂ© fĂ©odale ayant le statut d'exploitant agricole. Le hameau est prospĂšre grĂące aux terres alluviales et aux cultures arboricoles trĂšs nombreuses.

    En 1654, le bourgeois Étienne Galary reprĂ©sente le territoire d'Arphy devant le baron d'Hierle. Il est l'un des quatre consuls qui administrent la communautĂ© de la paroisse d'Aulas.

    Durant les troubles religieux, les nombreuses baumes servent de cachettes aux prĂ©dicants et aux insurgĂ©s. Comme en 1698, le berger Grimal hĂ©berge les prĂ©dicants Bas et Brousson. Le fait est Ă©bruitĂ© et leur prĂ©sence dĂ©noncĂ©e. La « Baume du ministre Â» abritera pendant de long mois d'hiver diffĂ©rents pasteurs. En 1732, AndrĂ© Verseils, habitant du hameau de Pracoustals est arrĂȘtĂ© et conduit Ă  Montpellier oĂč il est jugĂ© pour avoir rĂ©pandu des livres interdits et pour avoir favorisĂ© la tenue d'assemblĂ©es clandestines. Il est condamnĂ© aux galĂšres.

    En 1792, Arphy devient commune Ă  part entiĂšre.

    Le domaine de Montals, important ensemble de bĂątiments et de terres depuis l'Ancien RĂ©gime, est acquis par l'État pour le compte des Eaux et ForĂȘts en 1892. Les bĂątiments remaniĂ©s et agrandis deviennent alors un avant-poste du reboisement de l'Aigoual par Georges Fabre et Charles Flahaut. Le domaine servit de logement pour les gardes forestiers jusque dans les annĂ©es 1960 et ont accueilli pendant la Seconde Guerre mondiale les chantiers de jeunesse du groupement Assas dans la rĂ©gion du Vigan[32].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1800 1808 Pierre Toureille
    1808 1813 Jean Maurin
    1813 1816 Théophile Pages
    1816 1817 Pierre Toureille
    1817 1831 Théodore de Quatrefages du Fesq
    1831 1835 Jean Deltruel
    1835 1837 Laurent Fabre
    1837 1840 Germain Poujol
    1840 1843 Jacques Bastide
    1843 1846 François Nougarede
    1846 1848 Germain Poujol
    1848 1848 Pierre Toureille
    1848 1850 Pierre Journet
    1850 1855 Germain Poujol
    1855 1861 Théodore de Quatrefages du Fesq
    1861 1863 Louis Verseils
    1863 1866 Louis Nogarede
    1866 1870 M. Bastide
    1870 1870 M. Fabre
    1870 1871 M. Vauc
    1871 1878 Germain Poujol
    1878 1884 Émile Journet
    1884 1892 Louis Escot
    1892 1896 Palmyre Toureille
    1896 1908 M. Gaubert
    1908 1912 M. Finiels
    1912 1919 Palmyre Toureille
    1919 1920 Louis NogarĂšde
    1920 1925 Charles Tourelle
    1925 1929 Louis Nogarede
    1929 1977 Elisée Pratlong
    mars 2001 2008 Raymond Salles PS
    mars 2008 En cours Jean-Pierre Gabel SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[34].

    En 2020, la commune comptait 143 habitants[Note 8], en diminution de 18,29 % par rapport Ă  2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    450486538491534576606500540
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    504531530540505452421426407
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    409403361320269230226200140
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    12913086122131173166160171
    2015 2020 - - - - - - -
    174143-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 74 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 148 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 17 250 â‚Ź[I 7] (20 020 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 9]10,6 %12,1 %12,8 %
    DĂ©partement[I 10]10,6 %12 %12 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  97 personnes, parmi lesquelles on compte 75,6 % d'actifs (62,8 % ayant un emploi et 12,8 % de chĂŽmeurs) et 24,4 % d'inactifs[Note 10] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Vigan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 18 emplois en 2018, contre 33 en 2013 et 22 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 62, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,4 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 48,5 %[I 13].

    Sur ces 62 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 81,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    18 Ă©tablissements[Note 11] sont implantĂ©s Ă  Arphy au [I 16]. Le secteur des activitĂ©s immobiliĂšres est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 16,7 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (3 sur les 18 entreprises implantĂ©es Ă  Arphy), contre 4,1 % au niveau dĂ©partemental[I 17].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations11253
    SAU[Note 12] (ha)49151215

    La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4]. Trois exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (onze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 15 ha[39] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le temple protestant, construit en 1877 grĂące aux dons importants du consistoire de Hambourg.
    • Filature du Monna, usine de coton puis de soie en 1835. En 1918, fondation de la SociĂ©tĂ© anonyme de Bonneterie des CĂ©vennes.
    • ChĂąteau du Fesq, bĂątiment du XVIIe siĂšcle, rĂ©amĂ©nagĂ© sous la Restauration.
    • Baume du ministre, grotte dans laquelle plusieurs prĂ©dicants se sont cachĂ©s pendant la pĂ©riode du DĂ©sert.
    • Cascades d'Orgon, cascades impressionnantes de 35 mĂštres de haut.

    HĂ©raldique

    Blason d'Arphy

    Les armes d'Arphy se blasonnent ainsi :

    D'azur Ă  la fasce d'or accompagnĂ©e de trois arcs couchĂ©s du mĂȘme, deux en chef et un en pointe[40].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Arphy. DĂ©pliant patrimoine. Office de Tourisme des CĂ©vennes MĂ©ridionales. 2011.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[12].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    12. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 du Le Vigan » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Arphy » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Arphy » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Arphy » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Arphy » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Fiche du Poste 30015002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
    7. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    8. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    9. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    10. « Réserve de biosphÚre des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    11. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arphy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « site Natura 2000 FR9101371 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9110033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Arphy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF les « cascades d'Orgon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF la « riviÚre du Coudoulous à Arphy » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « tourbiÚres de Montals et de la Crémade » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « massif de l'Aigoual et du Lingas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « vallées amont de l'Hérault » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    25. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Arphy », sur Géorisques (consulté le )
    26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    28. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    30. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Arphy », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    31. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    32. Office de tourisme du Pays Viganais
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    38. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    39. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune d'Arphy - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    40. Le blason de la commune sur « Gaso », sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.