Dolus-d'Oléron
Dolus-dâOlĂ©ron [dÉlys dÉleÊÉÌ] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Charente-Maritime (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).
Dolus-d'Oléron | |||||
La Grande-Rue, artÚre historique du centre-ville. Au second plan, le clocher de l'église Saint-André (XVIIe siÚcle). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Charente-Maritime | ||||
Arrondissement | Rochefort | ||||
IntercommunalitĂ© | CommunautĂ© de communes de l'Ăle-d'OlĂ©ron | ||||
Maire Mandat |
Thibault Brechkoff 2020-2026 |
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Code postal | 17550 | ||||
Code commune | 17140 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Dolusiens | ||||
Population municipale |
3 142 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 108 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 54âČ 43âł nord, 1° 15âČ 35âł ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 20 m |
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Superficie | 29,02 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de l'Ăle d'OlĂ©ron | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Charente-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.ville-dolus-oleron.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Dolusiens et les Dolusiennes[1].
GĂ©ographie
LocalisĂ©e dans la partie mĂ©ridionale de l'Ăźle dâOlĂ©ron, cette citĂ© commerçante de plus de 3 200 habitants est situĂ©e Ă peu prĂšs Ă Ă©gale distance de Saint-Pierre-dâOlĂ©ron et du ChĂąteau-d'OlĂ©ron, les deux principales villes de l'Ăźle. PĂŽle Ă©conomique majeur du Pays Marennes-OlĂ©ron, elle abrite une importante zone dâactivitĂ© comprenant un des principaux hypermarchĂ©s de lâĂźle et plusieurs dizaines dâentreprises et de commerces de toutes sortes. BĂ©nĂ©ficiant dâune double façade maritime â sur lâocĂ©an Atlantique Ă lâouest et sur la rade des Basques Ă lâest, elle compte sur la prĂ©sence de plusieurs plages et dâune anse naturelle, lâanse de la Perroche, oĂč de petits bateaux de plaisance viennent mouiller. La commune accueille Ă©galement un des principaux centres aquatiques du dĂ©partement.
En dehors du centre-ville historique, Dolus-dâOlĂ©ron se compose de nombreux « villages » (Grand Deau, Petit Deau, La Berguerie, Les BardiĂšres...) Ă lâidentitĂ© forte, organisation traditionnelle de lâhabitat sur lâĂźle, qui tendent cependant Ă ĂȘtre rattrapĂ©s par lâurbanisation. Lâun des principaux est La Perroche, qui conserve un prieurĂ© roman du dĂ©but du XIIe siĂšcle.
Sur un plan plus général, la commune de Dolus-d'Oléron est localisée dans la partie sud-ouest de la France[Note 1], au centre de la cÎte atlantique dont elle est riveraine, faisant partie du « Midi atlantique »[2].
Urbanisme
Typologie
Dolus-d'Oléron est une commune rurale[Note 2] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dolus-d'Oléron, une unité urbaine monocommunale[6] de 3 229 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7] - [8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9] - [10].
La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (33,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (40,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (26,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (21,1 %), zones humides cĂŽtiĂšres (19,2 %), zones urbanisĂ©es (14,4 %), prairies (8,7 %), terres arables (2,3 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2,1 %), cultures permanentes (1,7 %), zones humides intĂ©rieures (0,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (0,5 %)[14].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Dolus-d'OlĂ©ron est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[15]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[16].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire Ă risques importants d'inondation (TRI) du littoral charentais-maritime, regroupant 40 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂŽtiĂšre, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation, mais annulĂ© en 2020[17]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siĂšcles antĂ©rieures Ă 2019 sont celles liĂ©es Ă la tempĂȘte du , Ă la tempĂȘte du , aux tempĂȘtes Lothar et Martin des 26 et et Ă la tempĂȘte Xynthia des 27 et . Dâune violence exceptionnelle, la tempĂȘte Xynthia a fortement endommagĂ© le littoral de la Charente Maritime : douze personnes ont perdu la vie (essentiellement par noyade), des centaines de familles ont dĂ» ĂȘtre relogĂ©es, et, sur un linĂ©aire de lâordre de 400 km de cĂŽte et de 225 km de dĂ©fenses contre la mer, environ la moitiĂ© de ces ouvrages a subi des dommages plus ou moins importants. Câest environ 5 000 Ă 6 000 bĂątiments qui ont Ă©tĂ© submergĂ©s et 40 000 ha de terres agricoles[18]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[19] - [15].
Dolus-d'OlĂ©ron est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du massif de l'Ile dâOlĂ©ron, un massif classĂ© Ă risque dans le plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI), Ă©laborĂ© pour la pĂ©riode 2017-2026 et qui fait suite Ă un plan 2007-2016[20]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. Lâarticle L.131-1 du code forestier et lâarrĂȘtĂ© du rĂšglementent l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions[21]. Un autre arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 3] - [20] - [22] - [23].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 64,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 4 210 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 2 544 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 60 %, Ă comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[26].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2005, 2011, 2017 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[27].
Histoire
L'édification de plusieurs constructions mégalithiques sur l'ßle atteste d'une présence humaine dÚs le Néolithique. Ces monuments sont désormais détruit, déplacé ou enseveli :
- Le mĂ©galithe de La ParĂ©e, dĂ©sormais dĂ©truit, Ă©tait composĂ© de deux pierres. La premiĂšre de forme arrondie mesurait 2 m de long sur 1,50 m de large pour une Ă©paisseur de 0,60 m. Elle Ă©tait lĂ©gĂšrement creusĂ©e en auge. La pierre, en forme de disque (diamĂštre 2 m pour 0,50 m d'Ă©paisseur), Ă©tait surnommĂ©e le Palet de Gargantua par les habitants de l'Ăźle. L'ensemble laisse supposer qu'il s'agissait d'une pierre close, du mĂȘme type que les Pierres Closes de Charras.
- La Galoche de Gargantua se dressait en limite de commune, prĂšs du hameau de Pinturbat, le long du chemin menant de Saint-Pierre Ă Dolus. Il a Ă©tĂ© depuis dĂ©placĂ© au MusĂ©e de l'Ăle d'OlĂ©ron. Sur sa face supĂ©rieure, on peut observer une cupule.
- La Piare des Brandes était une énorme pierre visible à marée basse dans le chenal des Brandes. Désormais enseveli sous les sédiments depuis le début du XIXe siÚcle, il n'est plus possible de déterminer le type de ce mégalithe.
La commune est mentionnée pour la premiÚre fois en 1391[28].
HĂ©raldique
Blasonnement :
CoupĂ© : au 1er d'argent au renard de gueules, passant la tĂȘte de face, au 2e losangĂ© d'azur et d'or au pal de sinople brochant. |
Toponymie
Le nom du village de Dolus provient du latin Dolut. à la Révolution, la commune a été renommée Sans-Culottes, avant de reprendre le nom de Dolus, puis Dolus-d'Oléron à partir de 1968[29].
Politique et administration
à la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.
Dolus-d'Oléron appartient à la Communauté de communes de l'ßle d'Oléron, structure intercommunale regroupant 21 889 habitants (2011). Une partie de son domaine maritime est compris dans la réserve naturelle nationale de Moëze-Oléron et dans le parc naturel marin de l'estuaire de la Gironde et de la mer des Pertuis, dont le siÚge est à Marennes.
Dans les annĂ©es 2010, un spectaculaire bras de fer oppose la municipalitĂ© de Dolus d'OlĂ©ron Ă la chaĂźne de restauration rapide McDonalds[30]. Certains habitants entendent se mobiliser contre un projet d'ouverture d'un restaurant de la firme amĂ©ricaine[31]. AprĂšs cinq ans de combats judiciaires et de recours, le premier McDonalds de l'Ăle d'OlĂ©ron finit par ouvrir ses portes Ă la fin du mois de dĂ©cembre 2019[32] - [33].
Liste des maires
Politique environnementale
La commune de Dolus-d'Oléron adhÚre à la charte Terre Saine du Poitou-Charentes depuis le , s'engageant ainsi à ce que les services des espaces verts de Dolus n'utilisent aucun pesticide[35].
Le conseil municipal a adopté, le , une motion opposée au traité de libre-échange transatlantique[36].
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[38].
En 2020, la commune comptait 3 142 habitants[Note 4], en diminution de 3,41 % par rapport Ă 2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-AndrĂ© du dĂ©but du XVIIe siĂšcle.
- Prieuré Saint-Médard et sa chapelle de la Perroche formant un ensemble comprenant un logis et une chapelle de style roman (début du XIIe siÚcle).
- La commune de Dolus d'OlĂ©ron dispose de plusieurs plages dont certaines permettent la pĂȘche aux coquillages et crustacĂ©s ; la plage de la Perroche est quant Ă elle un spot de windsurf et de kite-surf.
- La mairie.
- L'Ă©glise Saint-MĂ©dard.
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Maurice Renard (1875-1939), romancier, inhumé au cimetiÚre de Dolus.
Voir aussi
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Certains y voient une appartenance gĂ©ographique au Midi de la France â en rĂ©fĂ©rence au « Midi atlantique » cher au gĂ©ographe Louis Papy - ainsi Dolus-d'OlĂ©ron comme le dĂ©partement de la Charente-Maritime peuvent ĂȘtre rattachĂ©s Ă deux grands ensembles gĂ©ographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 7 mĂštres minimum de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Les gentilés de Charente-Maritime
- Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p. 21
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Dolus-d'Oléron », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
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- « Loi relative Ă lâamĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Dolus-d'Oléron », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Un approfondissement des connaissances sur ces priorités : la cartographie des risques sur les TRI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- Dolus d'Oléron sur le site touristique officiel de l'ßle d'Oléron et du bassin de Marennes
- « Histoire | Dolus d'Oléron », sur ville-dolus-oleron.fr (consulté le )
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- « Ouverture controversĂ©e du premier McDonaldâs de lâĂźle dâOlĂ©ron », sur www.20minutes.fr (consultĂ© le )
- Le Figaro avec AFP, « Un McDonald's controversé ouvre finalement sur l'ßle d'Oléron », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
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- « Terre saine - Votre commune sans pesticides », sur www.terresaine-poitou-charentes.fr (consulté le )
- Commune de Dolus d'OlĂ©ron, « DĂ©libĂ©ration n°2015-03/19-01 â Motion sur le traitĂ© Transatlantique de libre-Ă©change (TAFTA) » [PDF], sur www.collectifstoptafta.org (consultĂ© le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.