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Dolus-d'Oléron

Dolus-d’OlĂ©ron [dɔlys dɔleʁɔ̃] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Charente-Maritime (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).

Dolus-d'Oléron
Dolus-d'Oléron
La Grande-Rue, artÚre historique du centre-ville. Au second plan, le clocher de l'église Saint-André (XVIIe siÚcle).
Blason de Dolus-d'Oléron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement Rochefort
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes de l'Île-d'OlĂ©ron
Maire
Mandat
Thibault Brechkoff
2020-2026
Code postal 17550
Code commune 17140
DĂ©mographie
Gentilé Dolusiens
Population
municipale
3 142 hab. (2020 en diminution de 3,41 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 108 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 54â€Č 43″ nord, 1° 15â€Č 35″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 20 m
Superficie 29,02 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de l'Île d'OlĂ©ron
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Dolus-d'Oléron
Liens
Site web www.ville-dolus-oleron.fr

    Ses habitants sont appelés les Dolusiens et les Dolusiennes[1].

    GĂ©ographie

    L'anse de la Perroche.

    LocalisĂ©e dans la partie mĂ©ridionale de l'Ăźle d’OlĂ©ron, cette citĂ© commerçante de plus de 3 200 habitants est situĂ©e Ă  peu prĂšs Ă  Ă©gale distance de Saint-Pierre-d’OlĂ©ron et du ChĂąteau-d'OlĂ©ron, les deux principales villes de l'Ăźle. PĂŽle Ă©conomique majeur du Pays Marennes-OlĂ©ron, elle abrite une importante zone d’activitĂ© comprenant un des principaux hypermarchĂ©s de l’üle et plusieurs dizaines d’entreprises et de commerces de toutes sortes. BĂ©nĂ©ficiant d’une double façade maritime – sur l’ocĂ©an Atlantique Ă  l’ouest et sur la rade des Basques Ă  l’est, elle compte sur la prĂ©sence de plusieurs plages et d’une anse naturelle, l’anse de la Perroche, oĂč de petits bateaux de plaisance viennent mouiller. La commune accueille Ă©galement un des principaux centres aquatiques du dĂ©partement.

    En dehors du centre-ville historique, Dolus-d’OlĂ©ron se compose de nombreux « villages » (Grand Deau, Petit Deau, La Berguerie, Les BardiĂšres...) Ă  l’identitĂ© forte, organisation traditionnelle de l’habitat sur l’üle, qui tendent cependant Ă  ĂȘtre rattrapĂ©s par l’urbanisation. L’un des principaux est La Perroche, qui conserve un prieurĂ© roman du dĂ©but du XIIe siĂšcle.

    Sur un plan plus général, la commune de Dolus-d'Oléron est localisée dans la partie sud-ouest de la France[Note 1], au centre de la cÎte atlantique dont elle est riveraine, faisant partie du « Midi atlantique »[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Dolus-d'OlĂ©ron est une commune rurale[Note 2] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Dolus-d'OlĂ©ron, une unitĂ© urbaine monocommunale[6] de 3 229 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[7] - [8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9] - [10].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (33,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (40,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (26,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (21,1 %), zones humides cĂŽtiĂšres (19,2 %), zones urbanisĂ©es (14,4 %), prairies (8,7 %), terres arables (2,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,3 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2,1 %), cultures permanentes (1,7 %), zones humides intĂ©rieures (0,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (0,5 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Dolus-d'OlĂ©ron est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[15]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[16].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) du littoral charentais-maritime, regroupant 40 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂŽtiĂšre, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation, mais annulĂ© en 2020[17]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siĂšcles antĂ©rieures Ă  2019 sont celles liĂ©es Ă  la tempĂȘte du , Ă  la tempĂȘte du , aux tempĂȘtes Lothar et Martin des 26 et et Ă  la tempĂȘte Xynthia des 27 et . D’une violence exceptionnelle, la tempĂȘte Xynthia a fortement endommagĂ© le littoral de la Charente Maritime : douze personnes ont perdu la vie (essentiellement par noyade), des centaines de familles ont dĂ» ĂȘtre relogĂ©es, et, sur un linĂ©aire de l’ordre de 400 km de cĂŽte et de 225 km de dĂ©fenses contre la mer, environ la moitiĂ© de ces ouvrages a subi des dommages plus ou moins importants. C’est environ 5 000 Ă  6 000 bĂątiments qui ont Ă©tĂ© submergĂ©s et 40 000 ha de terres agricoles[18]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[19] - [15].

    Dolus-d'OlĂ©ron est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire du massif de l'Ile d’OlĂ©ron, un massif classĂ© Ă  risque dans le plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI), Ă©laborĂ© pour la pĂ©riode 2017-2026 et qui fait suite Ă  un plan 2007-2016[20]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’article L.131-1 du code forestier et l’arrĂȘtĂ© du rĂšglementent l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions[21]. Un autre arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 3] - [20] - [22] - [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Dolus-d'Oléron.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 64,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 4 210 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 2 544 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 60 %, Ă  comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[26].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2005, 2011, 2017 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[27].

    Histoire

    L'édification de plusieurs constructions mégalithiques sur l'ßle atteste d'une présence humaine dÚs le Néolithique. Ces monuments sont désormais détruit, déplacé ou enseveli :

    • Le mĂ©galithe de La ParĂ©e, dĂ©sormais dĂ©truit, Ă©tait composĂ© de deux pierres. La premiĂšre de forme arrondie mesurait m de long sur 1,50 m de large pour une Ă©paisseur de 0,60 m. Elle Ă©tait lĂ©gĂšrement creusĂ©e en auge. La pierre, en forme de disque (diamĂštre m pour 0,50 m d'Ă©paisseur), Ă©tait surnommĂ©e le Palet de Gargantua par les habitants de l'Ăźle. L'ensemble laisse supposer qu'il s'agissait d'une pierre close, du mĂȘme type que les Pierres Closes de Charras.
    • La Galoche de Gargantua se dressait en limite de commune, prĂšs du hameau de Pinturbat, le long du chemin menant de Saint-Pierre Ă  Dolus. Il a Ă©tĂ© depuis dĂ©placĂ© au MusĂ©e de l'Île d'OlĂ©ron. Sur sa face supĂ©rieure, on peut observer une cupule.
    • La Piare des Brandes Ă©tait une Ă©norme pierre visible Ă  marĂ©e basse dans le chenal des Brandes. DĂ©sormais enseveli sous les sĂ©diments depuis le dĂ©but du XIXe siĂšcle, il n'est plus possible de dĂ©terminer le type de ce mĂ©galithe.

    La commune est mentionnée pour la premiÚre fois en 1391[28].

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    CoupĂ© : au 1er d'argent au renard de gueules, passant la tĂȘte de face, au 2e losangĂ© d'azur et d'or au pal de sinople brochant.

    Toponymie

    Le nom du village de Dolus provient du latin Dolut. À la RĂ©volution, la commune a Ă©tĂ© renommĂ©e Sans-Culottes, avant de reprendre le nom de Dolus, puis Dolus-d'OlĂ©ron Ă  partir de 1968[29].

    Politique et administration

    À la suite de la rĂ©forme administrative de 2014 ramenant le nombre de rĂ©gions de France mĂ©tropolitaine de 22 Ă  13, la commune appartient depuis le Ă  la rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu Ă  la rĂ©gion Poitou-Charentes, dont le chef-lieu Ă©tait Poitiers.

    Dolus-d'OlĂ©ron appartient Ă  la CommunautĂ© de communes de l'Ăźle d'OlĂ©ron, structure intercommunale regroupant 21 889 habitants (2011). Une partie de son domaine maritime est compris dans la rĂ©serve naturelle nationale de MoĂ«ze-OlĂ©ron et dans le parc naturel marin de l'estuaire de la Gironde et de la mer des Pertuis, dont le siĂšge est Ă  Marennes.

    Dans les annĂ©es 2010, un spectaculaire bras de fer oppose la municipalitĂ© de Dolus d'OlĂ©ron Ă  la chaĂźne de restauration rapide McDonalds[30]. Certains habitants entendent se mobiliser contre un projet d'ouverture d'un restaurant de la firme amĂ©ricaine[31]. AprĂšs cinq ans de combats judiciaires et de recours, le premier McDonalds de l'Île d'OlĂ©ron finit par ouvrir ses portes Ă  la fin du mois de dĂ©cembre 2019[32] - [33].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 mars 2001 Chantal Cantiant DVD
    (Gaulliste)
    Psychosociologue thérapeute
    Ordre national du MĂ©rite : chevalier (1980), officier (2001),
    commandeur (2011)
    [34]
    mars 2001 mars 2014 Jean-Jacques Bazerbes DVD
    mars 2014 juillet 2020 Grégory Gendre DVG
    (Écologiste)
    Cadre supérieur
    juillet 2020 En cours Thibault Brechkoff DVD Juriste

    Politique environnementale

    La commune de Dolus-d'Oléron adhÚre à la charte Terre Saine du Poitou-Charentes depuis le , s'engageant ainsi à ce que les services des espaces verts de Dolus n'utilisent aucun pesticide[35].

    Le conseil municipal a adopté, le , une motion opposée au traité de libre-échange transatlantique[36].

    Population et société

    DĂ©mographie


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[38].

    En 2020, la commune comptait 3 142 habitants[Note 4], en diminution de 3,41 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0822 1011 6982 0112 1822 1692 1742 2002 228
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0872 1992 2112 2092 2252 2122 1652 0552 058
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0752 0291 9461 7631 7361 6581 6771 6631 604
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 7441 7862 0062 1452 4402 7233 0433 1453 176
    2014 2019 2020 - - - - - -
    3 2533 1443 142------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Saint-AndrĂ© du dĂ©but du XVIIe siĂšcle.
    • PrieurĂ© Saint-MĂ©dard et sa chapelle de la Perroche formant un ensemble comprenant un logis et une chapelle de style roman (dĂ©but du XIIe siĂšcle).
    • La commune de Dolus d'OlĂ©ron dispose de plusieurs plages dont certaines permettent la pĂȘche aux coquillages et crustacĂ©s ; la plage de la Perroche est quant Ă  elle un spot de windsurf et de kite-surf.

    Personnalités liées à la commune

    • Maurice Renard (1875-1939), romancier, inhumĂ© au cimetiĂšre de Dolus.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Certains y voient une appartenance gĂ©ographique au Midi de la France — en rĂ©fĂ©rence au « Midi atlantique » cher au gĂ©ographe Louis Papy - ainsi Dolus-d'OlĂ©ron comme le dĂ©partement de la Charente-Maritime peuvent ĂȘtre rattachĂ©s Ă  deux grands ensembles gĂ©ographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mĂštres minimum de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p. 21
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Dolus-d'Oléron », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    11. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    12. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    15. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Dolus-d'Oléron », sur Géorisques (consulté le )
    16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    17. « Un approfondissement des connaissances sur ces priorités : la cartographie des risques sur les TRI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    18. « cartographie des risques d'inondations du TRI du littoral charentais-maritime », sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    20. « Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consultĂ© le )
    21. « Réglementation des feux en extérieur. », sur www.charente-maritime.gouv.fr, (consulté le )
    22. « Les Obligations Légales de Débroussaillement (OLD). », sur www.charente-maritime.gouv.fr, (consulté le )
    23. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Dolus-d'Oléron », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    28. Dolus d'Oléron sur le site touristique officiel de l'ßle d'Oléron et du bassin de Marennes
    29. « Histoire | Dolus d'Oléron », sur ville-dolus-oleron.fr (consulté le )
    30. ALIX COUTURES, « Un maire se bat pour éviter l'arrivée de McDonald's sur l'ßle d'Oléron », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
    31. « Ouverture controversĂ©e du premier McDonald’s de l’üle d’OlĂ©ron », sur www.20minutes.fr (consultĂ© le )
    32. Le Figaro avec AFP, « Un McDonald's controversé ouvre finalement sur l'ßle d'Oléron », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
    33. « Un restaurant McDonald's controversé ouvre finalement sur l'ßle d'Oléron », sur Franceinfo, (consulté le )
    34. « Terre saine - Votre commune sans pesticides », sur www.terresaine-poitou-charentes.fr (consulté le )
    35. Commune de Dolus d'OlĂ©ron, « DĂ©libĂ©ration n°2015-03/19-01 – Motion sur le traitĂ© Transatlantique de libre-Ă©change (TAFTA) » [PDF], sur www.collectifstoptafta.org (consultĂ© le )
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Liens externes

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