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CĂ©cile Gallez

CĂ©cile Gallez, nĂ©e KrĂ€mer le Ă  Raismes et morte le Ă  Saint-Saulve, est une femme politique française. Membre de l’Union pour un mouvement populaire (UMP) puis du parti Les RĂ©publicains (LR), elle est maire de Saint-Saulve de 1977 Ă  2020 et dĂ©putĂ©e du Nord par intermittence entre 2002 et 2010.

CĂ©cile Gallez
Illustration.
Fonctions
Maire de Saint-Saulve
–
(43 ans, 2 mois et 14 jours)
Élection 1977
RĂ©Ă©lection 1983, 1989, 1995, 2001,
2008, 2014
Prédécesseur Fernand Cauchie
Successeur Yves Dusart
Députée française
–
(3 ans, 4 mois et 24 jours)
Élection 17 juin 2007 (supplĂ©ante)
Circonscription 21e du Nord
LĂ©gislature XIIIe (CinquiĂšme RĂ©publique)
Groupe politique UMP
Prédécesseur Jean-Louis Borloo
Successeur Jean-Louis Borloo
–
(4 ans et 11 mois)
Élection 16 juin 2002 (supplĂ©ante)
Circonscription 21e du Nord
LĂ©gislature XIIe (CinquiĂšme RĂ©publique)
Groupe politique App. UMP
Prédécesseur Jean-Louis Borloo
Successeur Jean-Louis Borloo
–
(10 jours)
Élection 1er juin 1997 (supplĂ©ante)
Circonscription 21e du Nord
LĂ©gislature XIe (CinquiĂšme RĂ©publique)
Groupe politique NI
Prédécesseur Jean-Louis Borloo
Successeur Jean-Louis Borloo
ConseillÚre générale du Nord
–
(8 ans, 9 mois et 3 jours)
Élection 27 mars 1994
RĂ©Ă©lection 18 mars 2001
Circonscription Canton d’Anzin
Prédécesseur André Parent
Successeur Jacques Marissiaux
Biographie
Nom de naissance Cécile Estelle KrÀmer
Date de naissance
Lieu de naissance Raismes (France)
Date de dĂ©cĂšs (Ă  86 ans)
Lieu de décÚs Saint-Saulve (France)
Nationalité Française
Parti politique DVD[1]
UMP-PRV
LR
Profession Pharmacienne

CĂ©cile Gallez
Maires de Saint-Saulve

Biographie

Pharmacienne de profession, CĂ©cile Gallez fait son entrĂ©e en politique en 1971 en devenant conseillĂšre municipale, sans Ă©tiquette, de Saint-Saulve (11 033 hab[2]), dans l’agglomĂ©ration de Valenciennes. Élue maire de cette ville pour la premiĂšre fois en 1977, rĂ©Ă©lue depuis Ă  chaque Ă©lection municipale sans interruption, elle a achevĂ© en 2020 son septiĂšme mandat.

Veuve de GĂ©rard Gallez, sans enfant, elle fait valoir ses droits Ă  la retraite en 2000 Ă  l’ñge de 64 ans, soit un an avant l’ñge lĂ©gal de dĂ©part pour les professionnels de santĂ© libĂ©raux[3]. Elle est particuliĂšrement sensible aux questions liĂ©es au handicap, aux personnes ĂągĂ©es, Ă  l’autonomie et Ă  la dĂ©pendance.

Depuis le , elle dĂ©tient le record du plus long majorat Ă  Saint-Saulve (43 ans, 2 mois et 14 jours), dĂ©passant la durĂ©e de majorat de François-Joseph Moreau (34 ans, 3 mois et 12 jours), de 1813 Ă  1847[4].

Le , elle est Ă©levĂ©e au grade de chevalier dans l’ordre national de la LĂ©gion d’honneur par le prĂ©fet du Nord, Dominique Bur, pour les actions civiles rendues Ă  la Nation[5].

Le , à la suite de la renonciation du maire de Berck, Jean-Marie Krajewski, à briguer un nouveau mandat, elle devient également le maire en fonction le plus ùgé du Nord-Pas-de-Calais[6] - [7].

Maire de Saint-Saulve

La mairie de Saint-Saulve.

Sous sa municipalitĂ©, CĂ©cile Gallez a fait le choix d’insister sur les domaines de la culture (espace AthĂ©na, bibliothĂšque pour tous), l’éducation, la jeunesse (halte-garderie de la PĂ©piniĂšre, maison des jeunes et de la culture), les infrastructures (tramway de Valenciennes), le dĂ©veloppement dĂ©mographique et Ă©conomique (rĂ©habilitation des immeubles de la PĂ©piniĂšre, dĂ©veloppement de la zone industrielle de Valenciennes – Saint-Saulve) et les Ă©quipements sportifs (salle des sports Schuman et centre aquatique).

Elle rencontre Ă©galement des moments difficiles, comme le comblement des carriĂšres souterraines du RĂŽleur en 1986[8], l’abandon du projet de tramway au dĂ©but des annĂ©es 2010 au profit d’un bus Ă  haut niveau de service[9], la fermeture en 2017 de l’usine Vallourec qu’elle a vu naĂźtre[10], mais le soutien Ă  la municipalitĂ© et sa popularitĂ© personnelle restent Ă©levĂ©s au sein de la population.

AprĂšs sa sixiĂšme rĂ©Ă©lection en , elle s’est attachĂ©e au rĂ©amĂ©nagement de l’avenue Charles-de-Gaulle, Ă  la rĂ©novation de la place du 8-Mai-1945, Ă  l’accessibilitĂ© des Ă©tablissements recevant du public (mairie, bibliothĂšque, Ă©coles, Ă©glise) ainsi qu’au cadre de vie (amĂ©nagement de la citĂ© du Bosquet, parc urbain du RĂŽleur, concours des villes et villages fleuris, installation de la vidĂ©osurveillance dans certains quartiers de la ville)[11].

À plusieurs reprises, CĂ©cile Gallez fait part publiquement de son optimisme et de sa confiance en l’avenir de sa ville, malgrĂ© le contexte Ă©conomique particuliĂšrement difficile. Ainsi, en , interviewĂ©e par La Voix du Nord, elle estime n’avoir « rien fait de gĂ©ant » et affirme que « l’argent, c’est le nerf de la guerre. Des idĂ©es, j’en ai mais sans argent
 », rĂ©pĂ©tant que « Saint-Saulve n’est pas une commune riche »[11].

Un classement publiĂ© le sur le site linternaute.com place CĂ©cile Gallez en 293e position sur les 777 maires des villes de 10 000 Ă  50 000 habitants, avec une note pour son action de 10,16⁄20[12].

Aux Ă©lections municipales de 2014, elle se reprĂ©sente en renouvelant la moitiĂ© de son Ă©quipe[13] et l’emporte dĂšs le premier tour avec 74,67 % des suffrages exprimĂ©s, notamment face Ă  son adversaire socialiste (16,72 %). Elle dispose ainsi d’une majoritĂ© de 30 conseillers sur 33, ce qui lui permet d’ĂȘtre rĂ©Ă©lue maire le , rassemblant sous son nom les 30 voix des Ă©lus de sa liste, ainsi qu’une voix de l’opposition[14].

Les dĂ©buts de son septiĂšme mandat Ă  la mairie sont marquĂ©s par une attention particuliĂšre Ă  la dĂ©mocratie de proximitĂ©, notamment par la signature du nouveau contrat de ville qui permet entre autres la crĂ©ation d’un conseil citoyen, et par la mise en place du dispositif de « citoyens vigilants » sur la commune. L’annĂ©e 2014 est aussi celle des grands travaux avec le rĂ©amĂ©nagement de la mairie et le remplacement du terrain de schiste du complexe sportif par un terrain en gazon synthĂ©tique, l’amĂ©nagement de l’espace de proximitĂ© du Bosquet, la rĂ©fection de la salle Coubertin, le plan de dĂ©placements urbains pour faciliter la circulation des piĂ©tons, des cyclistes et des vĂ©hicules[15].

En 2015, les Ă©lus socialistes et communistes au conseil municipal dĂ©noncent la mauvaise gestion pratiquĂ©e par l’exĂ©cutif, les projets de travaux d’amĂ©nagements « somptuaires et prĂ©somptueux » et la politique de recrutement privilĂ©giant les sympathisants de droite et le non-remplacement des dĂ©parts Ă  la retraite[16] - [17] - [18].

Pour fĂȘter ses 80 ans, le , les colistiers de CĂ©cile Gallez lui organisent un anniversaire surprise Ă  la salle des fĂȘtes de Saint-Saulve. Cette rĂ©ception a suscitĂ© des interrogations et des critiques au sein de la population[19] et parmi ses opposants, qui y voient un parallĂšle avec l’augmentation des impĂŽts locaux[19] - [20]. La mĂȘme annĂ©e, la maire a dĂ» faire face au dĂ©cĂšs de deux conseillers municipaux, Jean Letellier et Jean-Marc Hochart, respectivement en aoĂ»t et en septembre[21] - [22].

L’annĂ©e 2017 marque ses 40 annĂ©es Ă  la tĂȘte de la municipalitĂ©. Elle entreprend Ă  nouveau une longue sĂ©rie de travaux en commençant par la dĂ©molition et la reconstruction de l’üle de la mairie, et l’entretien des bĂątiments et des « 42 km de rues »[23].

Députée du Nord

Le , elle est Ă©lue comme supplĂ©ante du dĂ©putĂ© Jean-Louis Borloo dans la vingt et uniĂšme circonscription du Nord. Lorsque celui-ci est nommĂ© au gouvernement, en , elle prend sa succession Ă  l’AssemblĂ©e nationale Ă  partir du , pour dix jours, comme d’autres supplĂ©ants de dĂ©putĂ©s nommĂ©s au gouvernement, et ce jusqu’à la fin de la XIe lĂ©gislature, alors que l’AssemblĂ©e ne se rĂ©unit plus.

Le , elle est de nouveau supplĂ©ante de Jean-Louis Borloo (le ticket est Ă©lu avec 63,88 % des voix au second tour) et fait son retour Ă  l’AssemblĂ©e nationale Ă  partir du . Elle y siĂšge pendant la quasi-totalitĂ© de la XIIe lĂ©gislature. Elle est alors apparentĂ©e au groupe UMP et membre de la commission des Affaires culturelles, familiales et sociales.

En 2005, CĂ©cile Gallez vote pour l’adoption du traitĂ© constitutionnel europĂ©en[24] et du projet de Charte de l’environnement[25].

Pour les Ă©lections lĂ©gislatives de 2007, elle est encore une fois supplĂ©ante de Jean-Louis Borloo (Ă©lu avec 53,69 % des voix dĂšs le premier tour). Celui-ci Ă©tant nommĂ© au gouvernement le , elle siĂšge Ă  nouveau au palais Bourbon Ă  partir du , pour la XIIIe lĂ©gislature (2007-2012). SiĂ©geant d’office chez les non-inscrits pour les trois premiers jours de la lĂ©gislature, elle rejoint le groupe UMP le [26], et est membre de la commission des Affaires sociales.

Le , elle prĂ©sente une proposition de loi permettant une plus grande mobilisation de logements sociaux, par deux mesures en faveur de l’investissement immobilier locatif : une exonĂ©ration d’ISF sur les logements ainsi louĂ©s, et une exonĂ©ration fiscale totale sur les revenus locatifs[27].

Lors du CongrĂšs du Parlement du , elle vote en faveur du traitĂ© de Lisbonne et de la rĂ©vision constitutionnelle qui l’accompagne[28].

Le , elle reçoit Ă  Saint-Saulve le prĂ©sident de la RĂ©publique Nicolas Sarkozy, accompagnĂ© de Jean-Louis Borloo, ministre d’État, ministre de l’Écologie, de Laurent Wauquiez, secrĂ©taire d’État chargĂ© de l’Emploi et de ValĂ©rie LĂ©tard, secrĂ©taire d’État chargĂ©e la SolidaritĂ©[29].

En , CĂ©cile Gallez est l’auteure d’un rapport sur l’hĂ©bergement des personnes ĂągĂ©es et handicapĂ©es en Belgique, usuellement nommĂ© Rapport Gallez[30].

En , alors que le gouvernement prĂ©pare une rĂ©forme des retraites repoussant l’ñge de dĂ©part Ă  la retraite, CĂ©cile Gallez se dit attentive aux « gens qui ont travaillĂ© dur », Ă  « la vĂ©ritable pĂ©nibilitĂ© du travail » ainsi qu’aux « gĂ©nĂ©rations Ă  venir ». Elle dĂ©clare qu’elle votera cette loi « nĂ©cessaire », mais sous rĂ©serve que « tout le monde s’accorde sur la pĂ©nibilitĂ© et les polypensionnĂ©s »[3].

Le , elle est l’invitĂ©e de Nathalie Cuman dans l’émission Le DĂ©putĂ© du Jour, sur LCP[31].

Le , elle cĂšde sa place Ă  Jean-Louis Borloo, un mois aprĂšs la fin de ses fonctions gouvernementales.

InterrogĂ©e sur son bilan Ă  l’AssemblĂ©e, elle estime avoir travaillĂ© du mieux possible, mais dĂ©clare ne pas avoir apprĂ©ciĂ© les sĂ©ances de questions au gouvernement : « ça ne reflĂšte pas le boulot qu’on fait. Celles que j’ai posĂ©es Ă©taient techniques, rien d’autre », ajoutant que « le travail le plus intĂ©ressant, c’est en commission ». Elle se fĂ©licite notamment d’avoir pu apporter sa « touche personnelle » Ă  la loi de financement de la sĂ©curitĂ© sociale[32].

Pour les Ă©lections lĂ©gislatives de 2012, alors qu’elle avait Ă©tĂ© pressentie pour lui succĂ©der, elle est Ă  nouveau dĂ©signĂ©e supplĂ©ante de Jean-Louis Borloo[33]. Le ticket est rĂ©Ă©lu le , en obtenant 55,83 % des voix au second tour[34].

AprĂšs la dĂ©mission de Jean-Louis Borloo, elle devient la dĂ©putĂ©e supplĂ©ante de Laurent Degallaix, maire de Valenciennes. Se prĂ©sentant comme le ticket « lĂ©gitime » pour succĂ©der Ă  l’ancien ministre[35], le binĂŽme est Ă©lu le , au second tour de l’élection lĂ©gislative partielle, avec 72,14 % des suffrages exprimĂ©s.

Autres engagements nationaux et locaux

En 1994, elle est Ă©lue conseillĂšre gĂ©nĂ©rale dans le canton d’Anzin. RĂ©Ă©lue en 2001, elle doit cependant dĂ©missionner du conseil gĂ©nĂ©ral du Nord en 2002 pour cumul de mandats.

CĂ©cile Gallez est Ă©galement la 1re vice-prĂ©sidente de la communautĂ© d’agglomĂ©ration de Valenciennes MĂ©tropole depuis sa crĂ©ation le jusqu’au , et avait auparavant dirigĂ© la communautĂ© de communes de la VallĂ©e de l’Escaut, entre 1993 et 2000. À partir du , elle est conseillĂšre communautaire[36].

En , elle adresse à tous les Saint-Saulviens une lettre de soutien à Hervé Brouillard, son adjoint, candidat divers droite aux élections cantonales[37].

Pour l’élection prĂ©sidentielle de 2012, elle donne son parrainage d’élue Ă  Nicolas Sarkozy[38].

En 2014, elle soutient la candidature de Laurent HĂ©nart pour l’élection du nouveau prĂ©sident du Parti radical[39].

En , elle se mobilise aux cĂŽtĂ©s des salariĂ©s de l’usine Vallourec aprĂšs l’annonce de la fermeture du laminoir de Saint-Saulve, Ă  laquelle s’ajoute la suppression de 300 emplois au 1er trimestre 2017[40]. L’intĂ©gralitĂ© des affichages municipaux sont remplacĂ©s par des affiches portant le slogan « Nous sommes tous Vallourec France » sur fond orange et bleu (les couleurs de Vallourec). Ce slogan est diffusĂ© sur le site internet de la commune et utilisĂ© lors de la manifestation de soutien du Ă  Valenciennes[41]. L’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, CĂ©cile Gallez avait reçu en mairie de Saint-Saulve une dĂ©lĂ©gation de syndicalistes de l’usine et obtenu une entrevue Ă  Bercy avec le ministre de l’Économie et de l’Industrie, Emmanuel Macron, qui a exprimĂ© la vigilance du gouvernement sur les recapitalisations de Vallourec[42].

Dans le cadre de la primaire prĂ©sidentielle des RĂ©publicains de 2016, elle indique qu’elle ira voter mais ne communique pas sa position de vote[43].

Elle est candidate aux élections sénatoriales de 2017 dans le Nord, en derniÚre position sur la liste « République et territoires » conduite par Valérie Létard[44].

Retrait progressif de la vie politique

CĂ©cile Gallez confie dĂšs 2010, Ă  l’ñge de 74 ans, sa volontĂ© de « dĂ©cĂ©lĂ©rer doucement » mais de « ne pas tout arrĂȘter en mĂȘme temps »[32].

Selon certains dĂ©tracteurs, le faible crĂ©dit de la gauche locale pourrait aussi favoriser les scores de CĂ©cile Gallez, rĂ©Ă©lue trĂšs largement au premier tour lors des derniers renouvellements municipaux[45]. Pourtant, elle affirme ne pas souhaiter briguer un nouveau mandat en 2020, et annonce son intention de cĂ©der le fauteuil de maire Ă  son 1er adjoint en fin de mandat[14], « pour prĂ©parer la succession »[8]. Dans le mĂȘme temps, elle indique qu’elle restera maire « le plus longtemps possible »[14].

Elle émet cependant le souhait de poursuivre son engagement dans une autre voie, et de ne pas rester « inerte »[8].

En 2017, elle ne se représente pas comme députée suppléante aux élections législatives, et apporte son soutien à Béatrice Descamps et Laurent Degallaix[46].

AprĂšs 43 annĂ©es passĂ©es comme maire de Saint-Saulve et 49 ans en politique, elle ne se reprĂ©sente pas aux Ă©lections municipales de 2020 ; son premier adjoint, Yves Dusart, par ailleurs vice-prĂ©sident du conseil dĂ©partemental du Nord, est dĂ©signĂ© comme tĂȘte de liste de la majoritĂ© municipale pour lui succĂ©der[47].

CĂ©cile Gallez meurt le Ă  Saint-Saulve, Ă  l’ñge de 86 ans[48]. De nombreuses personnalitĂ©s de tous bords politiques lui rendent hommage, dont le ministre de l’IntĂ©rieur GĂ©rald Darmanin[49]. Sa dĂ©pouille est exposĂ©e dans la salle des mariages de la mairie de Saint-Saulve pour un hommage populaire[50], avant ses obsĂšques le en l’église Saint-Martin, en prĂ©sence notamment de Xavier Bertrand, prĂ©sident du conseil rĂ©gional des Hauts-de-France, et de nombreux maires et Ă©lus du dĂ©partement du Nord[51].

DĂ©tail des mandats et fonctions

Mandat de député

Mandat départemental

Mandat municipal

  • 14/03/1971 - 12/03/1977 : conseillĂšre municipale de Saint-Saulve
  • 13/03/1977 - 13/03/1983 : maire de Saint-Saulve
  • 14/03/1983 - 19/03/1989 : maire de Saint-Saulve
  • 20/03/1989 - 18/06/1995 : maire de Saint-Saulve
  • 19/06/1995 - 18/03/2001 : maire de Saint-Saulve
  • 19/03/2001 - 15/03/2008 : maire de Saint-Saulve (sa liste l’emporte au 1er tour avec 77,47 % des voix)[52]
  • 16/03/2008 - 28/03/2014 : maire de Saint-Saulve (sa liste l’emporte au 1er tour avec 66,78 % des voix)[53]
  • 29/03/2014 - 27/05/2020 : maire de Saint-Saulve (sa liste l’emporte au 1er tour avec 74,67 % des voix)[54]

Mandat intercommunal

ActivitĂ©s Ă  l’AssemblĂ©e nationale

Commission permanente

Commission spéciale et commission ad hoc

  • Commission spĂ©ciale chargĂ©e d’examiner le projet de loi relatif Ă  la bioĂ©thique
    • 10/11/2010 - 14/12/2010 : membre

Office parlementaire

  • Office parlementaire d’évaluation des politiques de santĂ©
    • 02/03/2004 - 19/06/2007 : membre

DĂ©corations

Le , elle se voit remettre la médaille du Sénat par le président de la chambre haute, Gérard Larcher, en présence de Valérie Létard et Laurent Degallaix[56]. Le suivant, elle est nommée « prodige de la République » par le préfet du Nord, Michel Lalande[57].

Notes et références

  1. Source : Cellule PCF « Plantive » de Saint-Saulve
  2. Source : INSEE 1999
  3. Source : Valenciennes Maville.com
  4. Source : Ville de Saint-Saulve
  5. Source : La Voix du Nord
  6. Source : DailyNord
  7. Source : La Voix du Nord
  8. Source : La Voix du Nord
  9. Source : La Voix du Nord
  10. Source : France Bleu
  11. Source : La Voix du Nord
  12. Source : L’Internaute
  13. Source : La Voix du Nord
  14. Source : La Voix du Nord
  15. Source : Ville de Saint-Saulve
  16. Source : Saint-Saulve Ambition
  17. Source : Cellule PCF « Plantive » de Saint-Saulve
  18. Source : Cellule PCF « Plantive » de Saint-Saulve
  19. Source : La Voix du Nord
  20. Source : La Voix du Nord
  21. Source : Ville de Saint-Saulve
  22. Source : La Voix du Nord
  23. Source : Va-Infos.fr
  24. Source : Assemblée nationale
  25. Source : Assemblée nationale
  26. Source : Assemblée nationale
  27. Source : Assemblée nationale
  28. Source : Assemblée nationale
  29. Source : Roubaix au Centre
  30. Source : La Documentation française
  31. [vidéo] Visionner la vidéo sur Dailymotion
  32. Source : Valenciennes Maville.com
  33. Source : La Croix
  34. Source : MinistĂšre de l’IntĂ©rieur
  35. Source : La Voix du Nord
  36. Source : Valenciennes MĂ©tropole
  37. Source : Saint-Saulve Ambition
  38. Source : Les Échos
  39. [vidéo] Visionner la vidéo sur YouTube
  40. Source : France 3 Hauts-de-France
  41. Source : La Voix du Nord
  42. Source : Le Parisien
  43. Source : La Voix du Nord
  44. Source : La Voix du Nord
  45. Source : DailyNord
  46. Source : La Voix du Nord
  47. Source : La Voix du Nord
  48. Source : La Voix du Nord
  49. Source : France 3 Hauts-de-France
  50. Source : L'Observateur
  51. Source : Va-Infos.fr
  52. Source : Annuaire Mairie
  53. Source : MinistĂšre de l’IntĂ©rieur
  54. Source : MinistĂšre de l’IntĂ©rieur
  55. DĂ©cret du portant promotion et nomination, paru au Journal officiel no 0097 du (texte 5).
  56. Source : La Voix du Nord
  57. Source : La Voix du Nord

Voir aussi

Articles connexes

Sources

Liens externes

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