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Bouilly-en-GĂątinais

Bouilly-en-Gùtinais est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Bouilly-en-GĂątinais
Bouilly-en-GĂątinais
La mairie.
Blason de Bouilly-en-GĂątinais
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Pithiviers
Intercommunalité Communauté de communes du Pithiverais
Maire
Mandat
Philippe Verneau
2020-2026
Code postal 45300
Code commune 45045
DĂ©mographie
Gentilé Bouillerins[1]
Population
municipale
311 hab. (2020 en diminution de 8,26 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 19 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 05â€Č 46″ nord, 2° 17â€Č 07″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 122 m
Superficie 15,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pithiviers
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Malesherbes
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Bouilly-en-GĂątinais
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Bouilly-en-GĂątinais
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Bouilly-en-GĂątinais
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Bouilly-en-GĂątinais

    Toponymie

    On retrouve les dénominations de Boilly ou Boily. La commune a été désignée sous le nom de Bouilly, appellation toujours utilisée dans le langage courant.

    L'actuelle dĂ©nomination Bouilly-en-GĂątinais est officialisĂ©e par dĂ©cret ministĂ©riel en date du , en mĂȘme temps que 15 autres communes du dĂ©partement[2].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Carte de la commune de Bouilly-en-GĂątinais et des communes limitrophes.

    La commune de Bouilly-en-GĂątinais se trouve dans la quadrant nord du dĂ©partement du Loiret, dans la rĂ©gion agricole du GĂątinais riche[3] - [4]. À vol d'oiseau, elle se situe Ă  35,2 km d'OrlĂ©ans[5], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  9,0 km de Pithiviers[6], sous-prĂ©fecture, et Ă  9,0 km de Pithiviers, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie de Pithiviers[4].

    Les communes les plus proches sont : Courcelles (2,6 km), Vrigny (3,3 km), Bouzonville-aux-Bois (3,7 km), Ascoux (4,3 km), Chambon-la-ForĂȘt (4,4 km), Nancray-sur-Rimarde (4,7 km), Laas (5,7 km), Boynes (6,3 km), Courcy-aux-Loges (6,3 km) et YĂšvre-la-Ville (6,4 km)[7].

    La commune est divisée en deux parties distinctes : le bourg et le hameau de Verrines qui compte chacun autant d'habitants.

    Sa proximitĂ© de la forĂȘt d'OrlĂ©ans et de la riviĂšre Rimarde place la commune comme dernier rempart de la zone de grande culture du GĂątinais.

    Lieux-dits et Ă©carts

    Verrines, Le Marchais, Bel Air, L'Annorville, Clérembault et Le Plessis

    GĂ©ologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă  mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[8].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque, l'Ăšre gĂ©ologique la plus rĂ©cente sur l'Ă©chelle des temps gĂ©ologiques, dĂ©butant il y a 66 millions d'annĂ©es. La formation la plus ancienne est du calcaire de Pithiviers remontant Ă  l’époque MiocĂšne de la pĂ©riode NĂ©ogĂšne. La formation la plus rĂ©cente est des alluvions rĂ©centes des lits mineurs remontant Ă  l’époque HolocĂšne de la pĂ©riode Quaternaire. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « n°328 - Pithiviers » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[9] - [10] et sa notice associĂ©e[11].

    Carte géologique de la commune.
    Ère PĂ©riode Époque Formations gĂ©ologiques
    CĂ©nozoĂŻque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    HolocĂšne
    Fz :alluvions récentes des lits mineurs, HolocÚne
    FC :alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires, HolocÚne
    PléistocÚne
    NĂ©ogĂšne
    (2.58 - 23.03)
    PliocĂšne
    p-qFCC :sables de LozÚre ou alluvions des '-Cailloutis culminants'-, PliocÚne supérieur à PléistocÚne inférieur, terrasse à +50 à 60 m
    MiocĂšne
    m2MSO :marnes et sables de l'Orléanais, Burdigalien
    m2MCO :marnes et calcaires de l'Orléanais, Burdigalien
    m1MBl :marne de Blamont, Aquitanien
    m1CPi :calcaire de Pithiviers, Aquitanien
    PaléogÚne
    (23.03 - 66.0)
    OligocÚne non présent
    ÉocĂšne non prĂ©sent
    PaléocÚne non présent

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l’Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 15,96 km2[12] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 16,02 km2[10]. Son relief est relativement plat puisque la dĂ©nivelĂ©e maximale atteint 24 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 98 m et 122 m[15].

    Zones nationales d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Le territoire communal de Bouilly-en-GĂątinais comprend une ZNIEFF[INPN 1] de type 2[Note 2], dĂ©nommĂ©e « Massif forestier d'OrlĂ©ans ». D'une superficie de 36 086 hectares, elle s'Ă©tend sur 37 communes, dont Bouilly-en-GĂątinais[DREAL 1]. Son altitude varie entre 126 et 174 m[INPN 2]. La forĂȘt d'OrlĂ©ans repose pour l'essentiel sur des terrains de nature comparable Ă  celle des terrains de la Sologne (Burdigalien) Ă©pandus sur le coteau de Beauce. Les formations vĂ©gĂ©tales sont donc plutĂŽt acidoclines Ă  acidiphiles avec des secteurs secs et d'autres trĂšs humides. L'intĂ©rĂȘt dĂ©passe les contours complexes du massif domanial et s'Ă©tend Ă©galement aux lisiĂšres et enclaves privĂ©es qui le prolongent[INPN 3].

    Histoire

    Aux temps de la Gaule, Bouilly était située à la frontiÚre des peuplements des Sénons à l'est et des Carnutes à l'ouest.

    Sous l'Ancien Régime, jusqu'à la départementalisation en 1790 puis à la réorganisation des diocÚses qui s'est ensuivie, Bouilly était déjà rattachée au diocÚse d'Orléans, à la différence de nombre de paroisses auxquelles on a adjoint le suffixe « du-Gùtinais » ou « en-Gùtinais », et qui étaient généralement rattachées à l'ancien diocÚse de Sens.

    Urbanisme

    Typologie

    Bouilly-en-Gùtinais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pithiviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Voies de communication et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de Bouilly-en-GĂątinais (avec indication du trafic routier 2014).

    Risques naturels et technologiques

    La commune de Bouilly-en-GĂątinais est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© trĂšs faible). Elle est Ă©galement exposĂ©e Ă  un risque technologique : le risque de transport de matiĂšres dangereuses [21]. Entre 1989 et 2019, deux arrĂȘtĂ©s ministĂ©riels ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle ont Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune pour des inondations et coulĂ©es de boues[22].

    Risques naturels

    Le territoire de la commune peut ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[23].

    Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[24]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. Une grande partie sud du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[25].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante[26]. La commune, Ă  l’instar de l’ensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque trĂšs faible[22].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque de transport de matiÚres dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'un itinéraire structurant supportant un fort trafic (l'autoroute A19)[21] - [27].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse de Bouilly acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[28] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[29]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[30].

    La commune change de dénomination en 1933 et prend le nom de Bouilly-en-Gùtinais. Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[31].

    Positionnement de la commune de Bouilly-en-Gùtinais dans la communauté de communes du Pithiverais.

    La commune est membre de la Communauté de communes de Beauce et du Gùtinais depuis sa création le [32] jusqu'au , date à partir de laquelle elle fait partie de la communauté de communes du Pithiverais[33].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă  la veille des États gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse de Bouilly Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique Ă  l'ancien diocĂšse d'OrlĂ©ans, sur le plan judiciaire au bailliage royal de YĂšvre-le-ChĂątel[34], sur le plan militaire au gouvernement d'OrlĂ©ans et sur le plan administratif Ă  la gĂ©nĂ©ralitĂ© d'OrlĂ©ans[35].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Bouilly-en-GĂątinais est alors incluse dans le canton de Vrigny, le district de Pithiviers et le dĂ©partement du Loiret[36].

    La recherche d’un Ă©quilibre entre la volontĂ© d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exĂ©cution et le contrĂŽle des lois d’une part, et la volontĂ© d’accorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 Ă  1838[37]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă  dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'État. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit Ă  la crĂ©ation de rĂ©gions[38]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[39]. L'acte II intervient en 2003-2006[40], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Bouilly-en-Gùtinais aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom PĂ©riode Type Évolution du dĂ©coupage territorial
    DistrictPithiviers1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Pithiviers de 1790 à 1795[31] - [36]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[41].
    CantonVrigny1790-1801Administrative et électoraleLe 10 février 1790, la municipalité de Bouilly est rattachée au canton de Vrigny[42]. Les cantons acquiÚrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    Beaune1801-1806Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă  rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă  31[43]. Bouilly-en-GĂątinais est alors rattachĂ©e par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X (30 septembre 1801) au canton de Beaugency[44] - [31].
    Pithiviers1806-2015En 1806, la commune est rattachée au canton de Pithiviers[45].
    Malesherbes2015-ÉlectoraleLa loi du [46] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [47] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au nouveau canton de Malesherbes[47]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale dĂ©diĂ©e Ă  l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[48].
    ArrondissementPithiviers1801-1926AdministrativeBouilly-en-GĂątinais est rattachĂ©e Ă  l'arrondissement de Pithiviers par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X (30 septembre 1801)[31] - [44].
    OrlĂ©ans1926-1942Sous la TroisiĂšme RĂ©publique, en raison d'un endettement considĂ©rable et de l'effort nĂ©cessaire pour la reconstruction post-PremiĂšre Guerre mondiale, la France traverse une crise financiĂšre. Pour rĂ©duire les dĂ©penses de l’État, Raymond PoincarĂ© fait voter plusieurs dĂ©crets-lois rĂ©formant en profondeur l’administration française : 106 arrondissements sont ainsi supprimĂ©s, dont ceux de Gien et de Pithiviers dans le Loiret par dĂ©cret du 10 septembre 1926[49]. Bouilly-en-GĂątinais est ainsi transfĂ©rĂ©e de l'arrondissement de Pithiviers Ă  celui d'OrlĂ©ans[50] - [51].
    Pithiviers1942-AdministrativeLa loi du 1er juin 1942 rétablit l'arrondissement de Pithiviers[51]. Bouilly-en-Gùtinais est alors rattachée à l'arrondissement de Pithiviers[52].
    Circonscription lĂ©gislative5e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[53] - [54]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[55]. La rĂ©forme n'affecte pas Bouilly-en-GĂątinais qui reste rattachĂ©e Ă  la cinquiĂšme circonscription[56].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Bouilly-en-GĂątinais est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire[52], Ă  la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivitĂ©s territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal de Bouilly-en-GĂątinais, commune de moins de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin majoritaire plurinominal Ă  deux tours, les Ă©lecteurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[57], pour un mandat de six ans renouvelable[58]. Il est composĂ© de 11 membres[59]. L'exĂ©cutif communal, est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1892 mai 1908 Firmin Bourgeois
    mai 1908 mai 1912 Brethereau - Couture
    mai 1912 1918 Désiré Languille
    1918 mai 1929 Désiré Marois Agriculteur
    mai 1929 mai 1935 Anselme Bourgeois Agriculteur
    mai 1935 octobre 1947 Désiré Pallu Agriculteur
    octobre 1947 mars 1959 Marcel Chassinat Agriculteur
    mars 1959 mars 1971 Raymond Laveau Agriculteur
    mars 1971 mars 1989 André Luchard Agriculteur
    mars 1989 mars 2001 Serge Verneau Agriculteur
    mars 2001 mars 2014 Gilles Luchard Agriculteur
    mars 2014 mai 2020 Philippe Verneau[60] Agriculteur
    mai 2020 En cours Philippe Verneau[60] - [61] Agriculteur

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    Au 31 dĂ©cembre 2016, la commune est membre du SITOMAP de la rĂ©gion Pithiviers, crĂ©Ă© en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 5], des emballages mĂ©nagers recyclables et des encombrants en porte Ă  porte et du verre en points d’apport volontaire[62]. Un rĂ©seau de huit dĂ©chĂšteries accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferraille, cartons
). La dĂ©chĂšterie la plus proche de la commune est situĂ©e sur la commune de Pithiviers[63].

    L'Ă©limination et la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets mĂ©nagers et de ceux issus de la collecte sĂ©lective sont effectuĂ©es dans l'outil de traitement appelĂ© BEGEVAL[64], installĂ© Ă  Pithiviers et gĂ©rĂ© par le syndicat de traitement Beauce GĂątinais Valorisation (BGV) qui regroupe le territoire des trois syndicats de collecte : SMETOM, SITOMAP et SIRTOMRA. Cet outil est composĂ© d’un centre de valorisation matiĂšre qui trie les emballages issus de la collecte sĂ©lective, les journaux-magazines et les cartons de dĂ©chĂšteries, et d’un centre de valorisation Ă©nergĂ©tique qui incinĂšre les ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles et le tout-venant incinĂ©rable des dĂ©chĂšteries ainsi que les refus du centre de tri[65].

    Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes du Pithiverais en application de la loi NOTRe du [66].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[67]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurĂ©es par le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable de Bouzonville-aux-Bois - Bouilly-en-GĂątinais, un syndicat crĂ©Ă© en 1946 desservant deux communes (Bouilly-en-GĂątinais et Bouzonville-aux-Bois)[68] - [69] - [70]. La loi NOTRe du 7 aoĂ»t 2015 prĂ©voit que le transfert des compĂ©tences « eau et assainissement » vers les communautĂ©s de communes sera obligatoire Ă  compter du . Le transfert d’une compĂ©tence entraĂźne de facto la mise Ă  disposition gratuite de plein droit des biens, Ă©quipements et services publics utilisĂ©s, Ă  la date du transfert, pour l'exercice de ces compĂ©tences et la substitution de la communautĂ© dans les droits et obligations des communes[71] - [72].

    Assainissement

    La compĂ©tence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usĂ©es, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrĂŽle des raccordements aux rĂ©seaux publics de collecte[73], est assurĂ©e par la commune elle-mĂȘme[74]. La commune est raccordĂ©e Ă  une station d'Ă©puration situĂ©e sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacitĂ© nominale de traitement est de 370 EH, soit 56 m3/jour. Cet Ă©quipement utilise un procĂ©dĂ© d'Ă©puration de type filtre Ă  sable[75] - [76].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[77]. La CommunautĂ© de communes de Beauce et du GĂątinais a crĂ©Ă© en 1999 un service public d'assainissement non collectif (SPANC) qui a pour missions la vĂ©rification de la conception et de l’exĂ©cution des ouvrages pour les installations neuves ou rĂ©habilitĂ©es et la vĂ©rification pĂ©riodique du bon fonctionnement et de l’entretien des installations existantes[78] - [79]. Depuis le , c'est la communautĂ© de communes du Pithiverais qui assure ce service, Ă  la suite de la fusion des communautĂ©s de communes de Beauce et du GĂątinais, du CƓur du Pithiverais et du Plateau Beauceron.

    Prix de l'eau

    Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, Ă©lectricitĂ©, produits de traitement, renouvellement du matĂ©riel, analyses, Ă©limination des dĂ©chets, etc.)[80]. L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement publie la description actualisĂ©e des services publics d'eau potable et d'assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[81]. Le prix au m3 est calculĂ© pour une consommation annuelle de 120 m3 (rĂ©fĂ©rence INSEE)[82].

    DomaineCommune201020112012201320142015
    Eau potableBouilly-en-GĂątinaisNC[83]NC[84]NC[85]1,45[86]1,45[87]1,45[88]
    Loiret1,76[89]1,7[90]1,66[91]1,69[92]
    France1,93[89]1,96[90]2,00[91]2,03[92]
    AssainissementBouilly-en-GĂątinaisNC[83]NC[84]NC[85]2,95[87]3,18[88]
    Loiret2,07[89]2,19[90]2,25[91]2,38[92]
    France1,73[89]1,82[90]1,85[91]1,89[92]

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[93]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[94].

    En 2020, la commune comptait 311 habitants[Note 6], en diminution de 8,26 % par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    452452459434517509502514545
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    559523506491491469478456427
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    395378380340328314298302287
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    240247261277260302313314344
    2015 2020 - - - - - - -
    329311-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee Ă  partir de 2006[95].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La vocation économique y est principalement agricole avec une tradition de la culture de la pomme de terre en plus des cultures traditionnelles (blé, orge, maïs, colza et betteraves à sucre).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Martin.

    Dans le bourg, l'église Saint-Martin restaurée est ornée de vitraux modernes, don d'un habitant de la commune.

    La mare, située sur la route de Vrigny, avec son pavement et sa ceinture de murs est représentative des aménagements effectués pour abreuver les animaux.

    HĂ©raldique

    Blason de Bouilly-en-GĂątinais Blason
    D'argent fretté d'azur de six piÚces, les claires-voies centrales chargées de quatre roses de gueules.
    DĂ©tails
    Adopté le 30 octobre 2017.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire gĂ©ographique et mĂ©thodique de la RĂ©publique française en 120 dĂ©partements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 1, OrlĂ©ans, MinistĂšre de l'Instruction publique, (lire en ligne)
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 2, OrlĂ©ans, MinistĂšre de l'Instruction publique, (lire en ligne)
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870, 511 p. (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, prĂ©sentation en ligne)
    • Jean-Louis Masson, Provinces, dĂ©partements, rĂ©gions : l'organisation administrative de la France, Paris, Fernand Lanore, , 703 p. (ISBN 2-85157-003-X, lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Inventaire national du patrimoine naturel

    Site de la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Centre-Val de Loire

    Autres sources

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    95. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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