Banassac-Canilhac
Banassac-Canilhac est une commune française, située dans le département de la LozÚre en région Occitanie.
Banassac-Canilhac | |
Le centre de la commune. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | LozĂšre |
Arrondissement | Mende |
Intercommunalité | Communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn |
Maire Mandat |
David Rodrigues 2020-2026 |
Code postal | 48500 |
Code commune | 48017 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
1 078 hab. (2020) |
Densité | 44 hab./km2 |
Population agglomération |
3 177 hab. (2020) |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 26âČ 13âł nord, 3° 12âČ 03âł est |
Altitude | Min. 499 m Max. 940 m |
Superficie | 24,68 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | La Canourgue (banlieue) |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de la Canourgue |
LĂ©gislatives | Circonscription de la LozĂšre |
Localisation | |
Liens | |
Site web | banassac-canilhac.fr/ |
De statut administratif commune nouvelle, elle est issue de la fusion simple le des deux communes de Banassac et Canilhac.
GĂ©ographie
Communes limitrophes
La commune est limitrophe du département de l'Aveyron.
Hydrographie
La commune est traversée par le Lot, qui est rejoint à hauteur de Banassac par l'Urugne.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par l'autoroute A75 ainsi que par la gare de Banassac - La Canourgue sur la ligne des Causses.
Par ailleurs, la commune se situe à la fois sur le parcours du sentier de grande randonnée 6 (GR6) et du GR 60 relevant à la fois du chemin de Saint-Guilhem et du sentier de grande randonnée de pays (GRP) "Tour du Causse de Sauveterre".
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montagnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bertholene », sur la commune de BertholĂšne, mise en service en 1987[7] et qui se trouve Ă 34 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 052,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le dĂ©partement de l'Aveyron, mise en service en 1964 et Ă 39 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 10,9 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Banassac-Canilhac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Canourgue, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 3 177 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Banassac-Canilhac est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire Ă risques importants d'inondation (TRI) de Mende-Marvejols, regroupant 17 communes concernĂ©es par un risque de dĂ©bordement du Lot et de la Colagne ainsi que de certains de leurs affluents, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[24]. Les Ă©vĂ©nements antĂ©rieurs Ă 2014 les plus significatifs sont les crues du , une crue cĂ©venole de rĂ©fĂ©rence (3,95 m mesurĂ©s Ă Mende), et des 4 et , une crue mĂ©diterranĂ©enne (3,80 m mesurĂ©s Ă Mende). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă 300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[25]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1994, 2003 et 2020[26] - [22].
Banassac-Canilhac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[27]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du , abrogeant un arrĂȘtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 5] - [27] - [28].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines), des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements diffĂ©rentiels[29]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 34,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (15,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 594 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 44 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 7 %, Ă comparer aux 14 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 1].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[32].
La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage du Charpal, un ouvrage de classe B[Note 6]. Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture d'un de ces ouvrages[34].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Banassac-Canilhac est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[35].
Toponymie
Le nom de la commune est composé par la juxtaposition des noms des deux communes fondatrices.
Histoire
La nouvelle commune est effective depuis le 1er janvier 2016 ; il s'agit d'une fusion simple, sans création de communes déléguées[36].
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune de Banassac-Canilhac est membre de la communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn[37], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à La Canourgue. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[38].
Sur le plan administratif, elle est rattachĂ©e Ă l'arrondissement de Mende, Ă la circonscription administrative de l'Ătat de la LozĂšre et Ă la rĂ©gion Occitanie[37].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Canourgue pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[37], et de la circonscription de la LozÚre pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[39].
Liste des maires
Communes fondatrices
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (derniÚre pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Banassac (siĂšge) |
48017 | CC Aubrac-Lot-Causse | 17,41 | ||
Canilhac | 48033 | CC Aubrac-Lot-Causse | 7,27 |
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2020, la commune comptait 1 078 habitants[Note 7], en augmentation de 3,26 % par rapport Ă 2014 (LozĂšre : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est un peu plus jeune que celle du département. En 2018, le taux de personnes d'un ùge inférieur à 30 ans s'élÚve à 29,6 %, soit un taux comparable à la moyenne départementale (29,7 %). Le taux de personnes d'un ùge supérieur à 60 ans (29,2 %) est inférieur au taux départemental (32,5 %).
En 2018, la commune comptait 532 hommes pour 524 femmes, soit un taux de 50,38 % d'hommes, supérieur au taux départemental (49,96 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Antoine du Viala. L'Ă©difice est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base MĂ©rimĂ©e et Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral RĂ©gion Occitanie[43]. De nombreux objets sont rĂ©fĂ©rencĂ©s dans la base Palissy (voir les notices liĂ©es)[43].
- Ăglise Saint-MĂ©dard de Banassac. L'Ă©difice est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base MĂ©rimĂ©e et Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral RĂ©gion Occitanie[44]. De nombreux objets sont rĂ©fĂ©rencĂ©s dans la base Palissy (voir les notices liĂ©es)[44].
- Ăglise Saint-Vincent de Canilhac. L'Ă©difice a Ă©tĂ© inscrit au titre des monuments historiques en 2017[45].
- Ăglise Saint-MĂ©dard de Banassac.
- L'intérieur de l'église Saint-Médard.
- Ăglise Saint-Vincent de Canilhac.
Personnalités liées à la commune
- Raymond de Canillac, prĂ©lat nĂ© Ă Canilhac vers 1300, archevĂȘque de Toulouse.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[33].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Site de l'Insee
Autres sites
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Bertholene - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Banassac-Canilhac et BertholÚne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Bertholene - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Banassac-Canilhac et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
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- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
- « cartographie des risques d'inondations du TRI de Mende-Marvejols », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Les risques majeurs dans la LozÚre », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « DĂ©fense des forĂȘts contre l'incendie (DFCI) », sur www.lozere.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Les risques majeurs dans la LozĂšre », sur www.lozere.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Les risques majeurs dans la LozÚre », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Banassac-Canilhac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Les risques majeurs dans la LozÚre », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- Article R214-112 du code de lâenvironnement
- « Les risques majeurs dans la LozÚre », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
- « ArrĂȘtĂ© n° 2015-272-0003 du 29 septembre 2015 portant crĂ©ation de la commune nouvelle de Banassac-Canilhac », sur PrĂ©fecture de la LozĂšre, (consultĂ© le ), p. 212-214.
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Banassac-Canilhac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la LozÚre (avant et aprÚs la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- « Le maire David Rodrigues officiellement réélu », sur Midi Libre, (consulté le ).
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la LozĂšre (48) », (consultĂ© le ).
- « Ăglise paroissiale Saint-Antoine », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Ăglise paroissiale Saint-MĂ©dard », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Ăglise Saint-Vincent de Canilhac », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le ).