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Arbéost

ArbĂ©ost [aʁbeɔst] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des Hautes-PyrĂ©nĂ©es, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituĂ©e d'un ensemble de sept vallĂ©es en amont de la ville de Lourdes.

Arbéost
Arbéost
Vue du village.
Blason de Arbéost
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement ArgelĂšs-Gazost
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Nay
Maire
Mandat
Cyrille Fraize
2020-2026
Code postal 65560
Code commune 65018
DĂ©mographie
Gentilé Arbéostois
Population
municipale
82 hab. (2020 en diminution de 3,53 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 5,5 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 59â€Č 57″ nord, 0° 17â€Č 03″ ouest
Altitude Min. 555 m
Max. 2 480 m
Superficie 14,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée des Gaves
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Arbéost
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Arbéost
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Arbéost
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Arbéost

    ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par l'Ouzoum et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le Parc national des PyrĂ©nĂ©es, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « Gabizos (et vallĂ©e d'Arrens, versant sud-est du Gabizos) ») et cinq zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    ArbĂ©ost est une commune rurale qui compte 82 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 1 059 habitants en 1831. Ses habitants sont appelĂ©s les ArbĂ©ostois ou ArbĂ©ostoises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Arbéost se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  39 km Ă  vol d'oiseau de Tarbes[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  15 km d'ArgelĂšs-Gazost[2], sous-prĂ©fecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : FerriĂšres (2,2 km), Arrens-Marsous (7,5 km), Aucun (8,1 km), Gaillagos (9,1 km), Eaux-Bonnes (9,1 km), Arcizans-Dessus (10,3 km), Louvie-Soubiron (10,4 km), BĂ©ost (10,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Arbéost fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particuliÚrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays du val d'Azun, qui bute au nord sur le bassin de Lourdes, à l'est sur la vallée de l'Adour, au sud sur l'Aragon (Espagne) par le Balaïtous et, à l'ouest sur le Béarn (département des Pyrénées-Atlantiques, région Nouvelle-Aquitaine) - [4].

    La commune est limitrophe du département des Pyrénées-Atlantiques.

    GĂ©ologie et relief

    ÉclatĂ© en quartiers, le village dĂ©marre Ă  FerriĂšres sur la rive gauche du ruisseau Lanet par le quartier du Hougarou (555 m) qui constitue son point le plus bas en altitude. De Hougarou en montant vers le col du Soulor, la route va en lacets dans une Ă©troiture boisĂ©e longeant le ravin de l'Ouzoum pour dĂ©boucher sur un vaste cirque dominĂ© par le petit Gabizos (2 639 m) et le pic des Taillades (2 692 m), le pic de la Latte de Bazen (2 472 m), le Mont Laid (1 691 m). À l'entrĂ©e du cirque est le cƓur du village, le Bourg, oĂč se trouvent la mairie-Ă©cole, l'Ă©glise et le cimetiĂšre (autrefois les cafĂ©s, l'auberge, la boulangerie). Du Bourg en abandonnant la route dĂ©partementale 126 pour descendre vers l'Ouzoum, on arrive au quartier des Bourrinquets qui bute sur le domaine bĂ©arnais. En reprenant la 126 au Bourg vers le col du Soulor, sont disposĂ©s de part et d'autre les quartiers des BĂ©zious, Harnassat, Lascoutes, CuyaubĂšre. Les granges d'estives sont Ă©parpillĂ©es dans le cirque du Litor, sous le col du Soulor et sous la route du col d'Aubisque. L'altitude maximale du territoire communal est Ă  2 480 m.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainĂ©e par l'Ouzoum, le ruisseau d'Aout, le ruisseau d'Artigoucoup, le ruisseau de Hougarou, le ruisseau du Lanet et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 26 km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    L'Ouzoum, d'une longueur totale de 33,2 km, prend sa source dans la commune de BĂ©ost et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau Ă  Igon, aprĂšs avoir traversĂ© 8 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[9]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, la tempĂ©rature dĂ©croĂźt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nĂ©bulositĂ© minimale en hiver et maximale en Ă©tĂ©. Les vents et les prĂ©cipitations varient notablement selon le lieu[10].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 5,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 405 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[12] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[13] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Arrens-Marsous », sur la commune d'Arrens-Marsous, mise en service en 1936[14] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[15] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 9,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 146,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[16]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-PyrĂ©nĂ©es », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et Ă  29 km[17], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[18], Ă  12,6 °C pour 1981-2010[19], puis Ă  12,9 °C pour 1991-2020[20].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[21] - [22]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhĂ©sion du Parc National des PyrĂ©nĂ©es[Note 5]. Ce parc national, crĂ©Ă© en 1967, abrite une faune riche et spĂ©cifique particuliĂšrement intĂ©ressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes rĂ©implantĂ©es avec succĂšs, grands rapaces tels le GypaĂšte barbu, le Vautour fauve, le PercnoptĂšre d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tĂ©tras et le discret Desman des PyrĂ©nĂ©es qui constitue l’exemple type de ce prĂ©cieux patrimoine confiĂ© au Parc national et aussi l'Ours des PyrĂ©nĂ©es[23] - [24] - [25].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « gabizos (et vallĂ©e d'Arrens, versant sud-est du Gabizos) »[27], d'une superficie de 2 996 ha, prĂ©sentent une vĂ©gĂ©tation caractĂ©ristique de la haute montagne pyrĂ©nĂ©enne sur calcaire[28].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensĂ©es sur la commune[29] - le « massif montagneux entre ArgelĂšs-Gazost et l'Ouzom » (6 108 ha), couvrant 12 communes dont une dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques et 11 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[30] et le « versant est du Gabizos » (3 108 ha), couvrant 3 communes dont une dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques et deux dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[31] et trois ZNIEFF de type 2[Note 8] - [29] -

    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Arbéost est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [35] - [I 2] - [36]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].

    Vue du hameau du Hougarou.
    La fontaine-lavoir.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (82,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (82,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (55,3 %), forĂȘts (24 %), prairies (17,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (3,6 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 124[I 5].

    Parmi ces logements, 32,4 % sont des résidences principales, 56,3 % des résidences secondaires et 11,3 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Desservie par la route dĂ©partementale D 918 et par la route dĂ©partementale D 126, elle s'Ă©tage le long de cette route de FerriĂšres (550 m) au col du Soulor (1 474 m).

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'ArbĂ©ost est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains, avalanche et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[38]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[39].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Ouzoum. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[40]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999, 2009, 2014, 2021 et 2022[41] - [38].

    ArbĂ©ost est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. L’emploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. D’abord le code forestier et l’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent l’emploi du feu Ă  moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. L’écobuage est quant Ă  lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[42]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arbéost.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[43].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 11,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 116 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 63 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 54 %, Ă  comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[44] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[45].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2014[38].

    La commune est exposĂ©e aux risques d'avalanche. Les habitants exposĂ©s Ă  ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prĂ©vention des risques avalanches (PPRA). Le cas Ă©chĂ©ant, identifier les mesures applicables Ă  l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la piĂšce avec la façade la moins exposĂ©e Ă  l’alĂ©a pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et Ă©quiper cette piĂšce avec un kit de situation d’urgence[46] - [47].

    Toponymie

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[48] qui rapporte les dénominations historiques du village.

    DĂ©nominations historiques :

    Nom occitan : Arbiost.

    Sachant que l'on recense dans toutes les Pyrénées de nombreux toponymes basques, l'origine proto-basque du nom "Arbéost" n'est donc pas à exclure, pouvant provenir de la racine basque narb- « lieu des souches », présente dans les toponymes Narp, Narbaitz, Narbarte, Narbona, Arbonne, Arbon...

    Histoire

    Le village, ancien hameau d'été des communes d'Arrens et de Marsous érigé en paroisse en 1743, appartient au Val d'Azun, une des sept vallées du Lavedan qui constituent la partie sud-occidentale de la Bigorre. Sa position est frontaliÚre avec le Béarn (département des Pyrénées-Atlantiques, région Nouvelle-Aquitaine), le gave Ouzoum marquant la frontiÚre à l'ouest (territoire communal de Louvie-Soubiron en Béarn) ; par la route, l'entrée en Béarn se fait aprÚs le village de FerriÚres (commune du Val d'Azun) par la commune d'Arthez-d'Asson, le gave Ouzoum prenant alors l'appellation d'Ouzom en devenant béarnais.

    La population eut une activitĂ© essentiellement agricole et pastorale. Les chevriers d'ArbĂ©ost Ă©taient rĂ©putĂ©s pour la qualitĂ© du lait de leurs bĂȘtes. Au XIXe siĂšcle, et jusqu'en 1930, certains partaient sur les routes, Ă  la fin de l'Ă©tĂ©, accompagnĂ©s de leur troupeau pour vendre le lait dans les villes : Bordeaux et mĂȘme Paris[49]. Dans les annĂ©es 1930-1962, une grande partie des hommes du village travailla comme mineurs dans la mine de Baburet. Mineurs l'hiver, ils quittaient souvent ce travail Ă  la fin du printemps pour redevenir paysans ou pasteurs, les jeunes s'engageant pour la saison d'Ă©tĂ© dans les hĂŽtels de Lourdes[50].

    Cadastre napoléonien d'Arbéost

    Le plan cadastral napoléonien d'Arbéost est consultable sur le site des Archives départementales des Hautes-Pyrénées[51].

    Politique et administration

    La mairie en 2017.
    Le foyer rural en 2017

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Annie Beuillé
    mars 2008 avril 2009 Pierre LarribĂšre
    avril 2009 juillet 2009 André Mallecot
    juillet 2009 mars 2014 Monique Mech
    mars 2014 mars 2020 André Mallecot SE Retraité
    mars 2020 en cours Cyrille Fraize

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Vallée d'Azun, canton d'Azun (1790), d'Aucun (depuis 1801). Le territoire actuel de la commune d'Arbéost était à l'origine une dépendance des communautés d'Arrens et de Marsous, les habitants obtinrent de former une paroisse () et une communauté autonome ()[52].

    Intercommunalité

    Arbéost appartient à la communauté de communes du Val d'Azun créée en et qui réunit 10 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[55]. En 2020, la commune comptait 82 habitants[Note 10], en diminution de 3,53 % par rapport Ă  2014 (Hautes-PyrĂ©nĂ©es : +0,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7828027769941 059896972968981
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9698709349619841 007900890900
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    803780724620553537474385352
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    26820016414512812111610689
    2014 2019 2020 - - - - - -
    858482------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee Ă  partir de 2006[57].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[58].

    Économie

    Son activitĂ© principale et traditionnelle est agropastorale : saloir et fromages pyrĂ©nĂ©ens vendus sur place et aussi par les producteurs sur les marchĂ©s locaux (Arrens, ArgelĂšs-Gazost, Lourdes, Tarbes, Pau, etc.) ; Ă©levage de vaches, brebis et chĂšvres pour le fromage et la viande auxquels s'ajoutent quelques chevaux et porcs ; prĂ©s de fauche (la vente de fourrage ne semble plus ĂȘtre un secteur d'activitĂ©).

    Sur le quartier des Bourrinquets, une usine hydroélectrique est exploitée par un particulier.

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    Division200820132018
    Commune[I 6]0 %3,4 %4,1 %
    DĂ©partement[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  49 personnes, parmi lesquelles on compte 77,6 % d'actifs (73,5 % ayant un emploi et 4,1 % de chĂŽmeurs) et 22,4 % d'inactifs[Note 11] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 38 emplois en 2018, contre 33 en 2013 et 33 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 41, soit un indicateur de concentration d'emploi de 92,7 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 57,3 %[I 10].

    Sur ces 41 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 31 travaillent dans la commune, soit 76 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 82,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Tourisme

    Le tourisme se développe : gßte d'étape ; beaucoup de maisons sont des résidences secondaires, occupées pour certaines par des natifs ou issus d'anciens habitants acteurs de l'exode rural, pour d'autres par des amoureux de la montagne ayant élu ces lieux ; en 2005, deux d'entre elles appartiennent à des Britanniques.

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Saint-Laurent en 2017.

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts municipal.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    Parti : au premier d'argent Ă  la corneille de sable perchĂ©e sur une branche du mĂȘme, au second de sinople aux deux vaches d'or passant l'une sur l'autre ; le tout sommĂ© d'un chef d'azur chargĂ© d'une fleur de lys d'or accostĂ©e de deux flĂšches du mĂȘme, celle de dextre posĂ©e en barre et celle de senestre posĂ©e en bande.
    Commentaires : Officiel
    • L'Ă©glise en 2017.
      L'Ă©glise en 2017.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[11].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[26].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Arbéost » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune d'Arbéost » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville d' Arbéost
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Arbéost » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Arbéost » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Arbéost et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Arbéost et ArgelÚs-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches d'Arbéost », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
    5. Carte IGN sous GĂ©oportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale d'Arbéost », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. Sandre, « l'Ouzom »
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    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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    15. « Orthodromie entre Arbéost et Arrens-Marsous », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Arrens-Marsous - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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