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Îles Tuamotu

Les Ăźles Tuamotu[2], aussi connues sous l'expression toponymique archipel des Tuamotu[3], constituent un archipel de 76 atolls[4] situĂ© dans le Nord-Ouest de l'ocĂ©an Pacifique Sud et faisant partie de la PolynĂ©sie française. Ce vaste ensemble insulaire trĂšs dispersĂ© (allant de Mataiva au nord-ouest aux Gambier au sud-est) s'Ă©tend sur une longueur de 1 762 km selon une direction allant de l'ouest-nord-ouest vers l'est-sud-est. Les Ăźles dĂ©pendent administrativement de la subdivision Tuamotu-Gambier.

Îles Tuamotu
Archipel des Tuamotu
Les Tuamotu (au milieu et en violet) sur la carte de la Polynésie française
Les Tuamotu (au milieu et en violet) sur la carte de la Polynésie française
GĂ©ographie
Pays Drapeau de la France France
Archipel Tuamotu
Localisation Océan Pacifique
CoordonnĂ©es 18° 47â€Č 47″ S, 141° 35â€Č 02″ O
Superficie 850 km2
Nombre d'Ăźles 76 atolls
Île(s) principale(s) Anaa, Fakarava, Hao, Makemo, Manihi, Rangiroa, Tikehau
GĂ©ologie Atoll
Administration
Statut Forme un district

Collectivité d'outre-mer Polynésie française
DĂ©mographie
Population 15 510 hab. (2007[1])
DensitĂ© 18,25 hab./km2
Gentilé Pa'umotu
Autres informations
Fuseau horaire UTC-10
Géolocalisation sur la carte : océan Pacifique
(Voir situation sur carte : océan Pacifique)
Îles Tuamotu
Îles Tuamotu
Géolocalisation sur la carte : Polynésie française
(Voir situation sur carte : Polynésie française)
Îles Tuamotu
Îles Tuamotu
Atolls en France

Tuamotu signifie en tahitien « les ßles au large », l'archipel se trouvant à l'est de Tahiti. Les habitants des Tuamotu sont les Pa'umotu, mot qui désigne également leur langue. L'archipel était appelé aussi ßles Pomotou et ßles Baisses[5].

Histoire

Peuplement polynésien

Le peuplement des Tuamotu, consĂ©cutif Ă  celui de la PolynĂ©sie par des populations austranĂ©siennes installĂ©es aux Fidji vers -1500, s'est le plus probablement dĂ©roulĂ© Ă  partir de 300 de notre Ăšre en provenance de l'archipel de la SociĂ©tĂ©, dont les Ăźles ont servi de base de dispersion dans les siĂšcles qui ont suivi aux populations de navigateurs s'aventurant, d'atoll en atoll, vers l'est et s'Ă©tablissant lĂ  oĂč les conditions de vie Ă©taient favorables, avant d'essaimer Ă  nouveau. Le peuplement polynĂ©sien de l'essentiel de l'archipel des Tuamotu aurait Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© entre l'an 300 et l'an 1100[6].

Découverte par les Européens

PremiÚre carte des Tuamotu publiée en 1768 par Bougainville lors de son passage . Apparaissent Les Quatre Facardins (actuel Vahitahi), l'ßle des Lanciers (actuel Akiaki) et l'ßle de la Harpe (actuel Hao).

Le , Fernand de Magellan dĂ©couvre San Pablo, une des deux Ăźles InfortunĂ©es qu'Ă©voque Antonio Pigafetta, selon toute vraisemblance Puka Puka, premier atoll du Pacifique Ă  ĂȘtre dĂ©couvert par les EuropĂ©ens. John Byron y passe en 1765 et en 1768, Louis Antoine de Bougainville s’aventure au sein de l'archipel sur sa route pour Tahiti, mais il faudra encore de nombreuses annĂ©es avant que les EuropĂ©ens ne terminent l’exploration de ce groupe d'Ăźles : le dernier atoll dĂ©couvert fut Ahe, le par Charles Wilkes.

PĂ©riode moderne

Ces atolls passent sous protectorat français en 1844. Anciennement appelĂ©es sous le nom local « Ăźles Pƍmotu » signifiant « Îles de la nuit » (car positionnĂ© Ă  l'occident de Tahiti)[7], nommĂ© par la suite « Ăźles Paumotu » (pau signifiant « capturĂ©es » ou « vaincues »[8]) en raison de leur conquĂȘte historique par les Tahitiens, les dĂ©putĂ©s de l'archipel Ă  l'assemblĂ©e de Papeete font valoir entre 1850 et 1851 leur volontĂ© de leur donner le nom de Tuamotu, signifiant « Ăźles Lointaines », ce qui est entĂ©rinĂ© par le protectorat français en 1852[9]. Elles sont dĂ©finitivement annexĂ©es par la France en 1880.

GĂ©ographie

SituĂ© entre le 134° et 150° de longitude ouest et 14° et 24° de latitude sud, l'archipel mesure 1 762 km de long et en moyenne 340 km de large. Il couvre une superficie de 800 000 km2. En 2007, l'archipel Ă©tait peuplĂ© de 15 510 habitants.

Atolls et Ăźles

Certains atolls (eux-mĂȘmes souvent composĂ©s de plusieurs Ăźles Ă©mergentes et ilots, rĂ©cifs ou bancs) et Ăźles isolĂ©es sont groupĂ©s gĂ©ographiquement, et forment des groupes et sous-groupes. Les principaux atolls sont Anaa, Fakarava, Hao, Makemo, Manihi, Rangiroa, Tikehau et Mataiva.

Sauf mention contraire, les noms cités dans les listes ci-dessous désignent des atolls et donnent souvent leur nom à leur ßle principale (et non des ßles isolées ou des ßles secondaires des atolls auxquelles elles se rattachent géologiquement).

Groupe Actéon

Îles Deux Groupes

Îles du DĂ©sappointement

Îles du Duc de Gloucester

Îles du Roi Georges

Îles Palliser

Îles Raevski

Autres atolls isolés des Tuamotu

Îles Gambier

Les ßles Gambier sont désignées souvent comme un archipel séparé de celui des Tuamotu. Il s'agit en fait de deux atolls proches (ainsi qu'un atoll submergé en faible profondeur formant des récifs dangereux pour la navigation), formant la partie sud-est habitée de la commune de Gambier (qui comprend aussi plusieurs atolls inhabités au sud-est des Tuamotu, listés dans la section précédente) :

  • Atoll de Gambier, qui comprend au centre du lagon (en dehors des motus de la couronne rĂ©cifale) plusieurs Ăźles hautes (et plusieurs Ăźlots rocheux rattachĂ©s) dont :
  • Atoll de Temoe (au sud-est de l'atoll de Gambier et souvent rattachĂ© gĂ©ographiquement Ă  lui, les eaux territoriales des deux atolls sont limitrophes)

Ces deux atolls sont rattachés avec les ßles Tuamotu dans la subdivision administrative des Tuamotu-Gambier.

GĂ©ologie

Toutes les Ăźles des Tuamotu (sauf Makatea et Tikei qui cependant se sont formĂ©es Ă  l’origine de cette façon) sont formĂ©es d'un Ă©troit banc de sable (partiellement Ă©mergĂ©) recouvrant une double barriĂšre de corail formĂ©e sur l’atoll d’un ancien volcan, dont le cratĂšre central s’est effondrĂ© mais dont les pentes internes et externes ont vu naĂźtre les rĂ©cifs coralliens. Ces anciens volcans se sont formĂ©s au-dessus des nombreux points chauds qui bordent les fractures tout autour de la profonde mais fine plaque tectonique du Pacifique Sud[10].

Parfois, seul le massif corallien interne (de formation plus rĂ©cente) a pu Ă©merger, protĂ©gĂ© des courants ocĂ©aniques par le massif corallien externe constamment battu par les flots, alors qu’entre les deux se sont accumulĂ©s les sables, pris Ă  ces massifs coralliens ou aux plus anciennes roches volcaniques. Progressivement, ces sables recouvrent le massif corallien interne dont le rayon va se rĂ©duire autour de la cheminĂ©e centrale de plus en plus abrupte alors que leur niveau s’élĂšve, tandis que le massif corallien externe peut aussi voir son rayon se rĂ©duire par l’érosion des vagues amenant les sables (ou par la mort des coraux causĂ©e par l’acidification des eaux ocĂ©aniques).

Souvent des passes maritimes se sont formĂ©es avec le lagon central, oĂč peuvent subsister encore des bancs de sable ou Ăźlots secondaires. Ces passes font souvent l’objet de puissants courants de marĂ©e (essentiels Ă  la vie du lagon, d'une part pour les oxygĂ©ner, et d’autre part pour le fragile massif corallien intĂ©rieur, trĂšs sensible aux variations d'aciditĂ© des eaux) qui ne renouvellent cependant que partiellement les eaux (souvent profondes et acides) de l’ancienne cheminĂ©e volcanique au centre des plus grands lagons (mĂȘme si subsistent aussi des fractures sous-marines plus profondes traversant les flancs externes de l’ancien cratĂšre formĂ© de roches volcaniques accumulĂ©es et spongieuses).

Il est mĂȘme possible que le massif corallien interne ne puisse jamais parvenir Ă  se dĂ©velopper si ces passes marines sont insuffisantes (ou si les Ă©missions acides dans la cheminĂ©e effondrĂ©e remontent de façon trop importante) et le lagon ne peut subsister que si l’effondrement du volcan ne se poursuit pas avant que les flancs aient Ă©tĂ© renforcĂ©s par le massif corallien externe. De tels cas se produisent avec des atolls aujourd'hui complĂštement submergĂ©s presque en permanence (hormis quelques rĂ©cifs) et dont ne subsistent que des bancs de sable peu profonds et instables, oĂč parviennent difficilement Ă  se fixer les coraux (condamnant alors l’ancien atoll Ă  une Ă©rosion rapide et un effondrement en grande profondeur si rien ne vient les soulever par une reprise de la poussĂ©e volcanique).

Toutes les Ăźles Ă©mergĂ©es des atolls forment aussi de prĂ©cieux refuges pour de nombreux oiseaux (Ă  cause des distances importantes qui les sĂ©parent) : elles ont ainsi vu s’accumuler des dĂ©pĂŽts parfois importants de guano, trĂšs riches en phosphates (notamment Ă  Makatea) qui basifient et Ă©lĂšvent les anciens sols acides (et mĂȘlĂ©s des squelettes d‘autres espĂšces marines vivant sur les sols Ă©mergĂ©s ou dans le lagon).

En raison de la trĂšs faible altitude des terres Ă©mergĂ©es, elles sont facilement submergĂ©es partiellement par l’élĂ©vation temporaire du niveau marin (lors de tempĂȘtes, cyclones tropicaux ou tsunamis d’origine tellurique), ce qui maintient une salinitĂ© importante des sols que ne submergent pas les marĂ©es, et qui peut raser certains bancs de sable ou agrandir ou dĂ©placer les passes marines entre eux. De plus les ressources en eau douce (d’origine atmosphĂ©rique) y sont trĂšs rares car elles ne peuvent pas facilement ĂȘtre accumulĂ©es sur ces sols spongieux gorgĂ©s de sel.

Les anciens atolls de Makatea et Tikei (issus de volcans les plus anciens ou plus petits) ont vu leur lagon se combler (presque totalement pour Tikei) aprĂšs l’élĂ©vation du corail et l’accumulation des sables puis des guanos (qui ont impermĂ©abilisĂ© certains sols et permis la conservation de quelques ressources en eau douce). Makatea a pu ainsi voir se dĂ©velopper une maigre (mais fragile) couche fertile au-dessus, couvrant presque toute l’üle et propice Ă  une vie aĂ©rienne plus dense et Ă  l’accumulation de dĂ©pĂŽts vĂ©gĂ©taux.

Les ßles Gambier ont une origine géologique différente.

Climat

Le climat est chaud sur l’ensemble des Ăźles. La tempĂ©rature moyenne est d’environ 26 °C, elle est relativement constante tout au long de l’annĂ©e. Il n’y a ni source, ni riviĂšre, ni lac ; la seule façon d’avoir de l’eau douce est de recueillir l’eau de pluie. La moyenne des prĂ©cipitations est d’environ 1 400 mm an−1. Elles sont assez bien rĂ©parties dans l’annĂ©e, les mois de septembre et octobre sont un peu plus pluvieux.

Environnement

ForĂȘts humides tropicales
des Tuamotu
ÉcorĂ©gion terrestre - Code OC0115[11]
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Végétation de l'atoll Pukarua.
Conservation
Statut[14] :
Critique / En danger
EspÚces menacées[15] :
11
Ressources web :

L'archipel constitue une Ă©corĂ©gion terrestre dans la classification du Fonds mondial pour la nature sous le nom de « forĂȘts humides tropicales des Tuamotu ». Elle appartient au biome des forĂȘts de feuillus humides tropicales et subtropicales de l'Ă©cozone ocĂ©anienne.

Le maigre sol des Ăźles de corail ne favorise pas la diversitĂ© vĂ©gĂ©tale et ne permet gĂ©nĂ©ralement qu’une agriculture de subsistance. Les cocotiers, Ă  partir desquels est extrait le coprah, ont une grande importance Ă©conomique pour ces Ăźles. Sur certaines d’entre elles on cultive aussi la vanille. Les principales cultures sont l’igname, le taro et l’arbre Ă  pain ainsi que d’autres fruits tropicaux.

La feuille du pandanus est traditionnellement utilisée pour faire des chapeaux et couvrir les toits des habitations (mais elle est de plus en plus remplacée par la tÎle ondulée.)

La faune est essentiellement composĂ©e d’oiseaux, d’insectes et de quelques reptiles. Il n’y a que 57 espĂšces d’oiseaux dont dix sont endĂ©miques et treize sont menacĂ©es. En revanche les fonds marins sont d'une exceptionnelle richesse. Les lagons grouillent de vie ; plus de 400 espĂšces de poissons peuplent ces lieux magiques. Cette variĂ©tĂ© a fait des Tuamotu une des plus belles destinations du monde pour la plongĂ©e sous-marine. Les eaux cristallines permettent d'y cultiver les cĂ©lĂšbres perles noires, rares et uniques au monde.

DĂ©mographie

Au recensement de 2007, il y avait 15 510 habitants aux Ăźles Tuamotu[1] soit une densitĂ© de 18 hab/kmÂČ. La population Ă©tait de 14 876 en 2002 et 8 100 en 1983. En 2002, 769 habitants vivaient Ă  moins de 400 kilomĂštres des Ăźles Moruroa et Fangataufa (ancienne base d’essais nuclĂ©aires).

Langues

La langue officielle de l'archipel est le français. Cependant, la langue des Tuamotu, le pa'umotu, est reconnue comme langue rĂ©gionale de la RĂ©publique française. La langue mangarĂ©vienne est parlĂ©e aux Ăźles Gambier, tandis qu’un dialecte marquisien est utilisĂ© Ă  Puka Puka.

Administration

Drapeau des Tuamotu

Gouvernement

L'archipel est dirigé par une principauté depuis plus de 120 ans. On raconte qu'en 1892, le roi Rangiroa, en raison de la mauvaise entente qui régnait entre la population paumotu, a fui le territoire, sans avoir décidé de sa succession. Il était du devoir de son fils de se manifester pour reprendre le contrÎle des terres polynésiennes, ce qu'il a fait.

Communes

La division des Tuamotu-Gambier (au sein de la PolynĂ©sie française) se compose de seize communes couvrant la plus grande partie des atolls dans l'Archipel des Tuamotu et une commune couvrant les deux atolls rĂ©cents des Ăźles Gambier (ainsi que les quatre atolls du Groupe ActĂ©on et les trois atolls isolĂ©s de Maria Est, Marutea Sud et Morane, tous situĂ©s au sud-est des Tuamotu). Ces communes prennent souvent leur nom de l’üle principale des atolls qu’elles administrent, alors que de nombreux petits atolls sont aujourd’hui inhabitĂ©s de façon permanente mais convertis en espaces naturels protĂ©gĂ©s :

Vue du lagon intérieur de Fakarava depuis un ponton proche du village de Rotoava

Divisions Ă©lectorales

Les Ăźles Tuamotu forment deux des six circonscriptions Ă©lectorales de l’AssemblĂ©e de la PolynĂ©sie française. À l’est de l’archipel, la circonscription Ă©lectorale des « Ăźles Gambier et Tuamotu » compte la commune de Gambier et onze autres communes : Anaa, Fangatau, Hao, Hikueru, Makemo, Napuka, Nukutavake, Pukapuka, Reao, Tatakoto et Tureia. À l’ouest, la circonscription Ă©lectorale des « Ăźles Tuamotu ouest » compte cinq communes : Arutua, Fakarava, Manihi, Rangiroa et Takaroa.

Économie

L'Ă©conomie des Tuamotu repose sur le tourisme, la perliculture, la pĂȘche et la culture du coprah. Le seul vignoble de PolynĂ©sie française se trouve Ă  Rangiroa.

Notes et références

  1. Population des subdivisions administratives de PolynĂ©sie française, 16 847 habitants pour le district des Îles Tuamotu-Gambier, dont 1 337 habitants pour Gambier
  2. [PDF] Conseil national de l'Information géographique.
  3. National Geospatial-Intelligence Agency
  4. Tuamotu sur le site de l'encyclopédie Larousse.
  5. C. de Varigny (1887): "L'Océanie Moderne: III. Iles Pomotou, iles Marquises, Nouvelle-Calédonie, Australie et Nouvelle-Zélande". Revue des Deux Mondes, troisiÚme période, tome 82, numéro 4, pages 906-933.
  6. Des séries de fouilles archéologiques ont mis au jour sur Reao des « fosses de culture » destinées à la production de taros remontant à l'an 1120 ± 40 ans, ce qui constitue la plus ancienne datation de ce type faite aux Tuamotu bien que Reao soit l'un des atolls les plus orientaux de l'archipel. In Les fosses de culture dans les Tuamotu par Jean-Michel Chazine, Journal de la Société des océanistes, no 80, tome 41, 1985. pp. 25-32.
  7. Gilbert Cuzent, « L'Archipel de la Société (L'annexion de Tahiti à la France) », Bulletin de la Société Académique de Brest, 2e série, tome X, 1884-1885, Imprimerie Société l'Océan, Brest, pp. 101-195.
  8. « Entries for Tahitian », sur pollex.shh.mpg.de (consulté le )
  9. Étienne Avalle, Notices sur les colonies françaises, Ă©ditions Challamel aĂźnĂ©, Paris, 1866, [lire en ligne], pp. 632-633.
  10. (en) Liste des sommets sous-marins sur le Seamount Catalog.
  11. (en) D. M. Olson, E. Dinerstein, E. D. Wikramanayake, N. D. Burgess, G. V. N. Powell, E. C. Underwood, J. A. D'Amico, I. Itoua, H. E. Strand, J. C. Morrison, C. J. Loucks, T. F. Allnutt, T. H. Ricketts, Y. Kura, J. F. Lamoreux, W. W. Wettengel, P. Hedao et K. R. Kassem, « Terrestrial Ecoregions of the World: A New Map of Life on Earth », BioScience, vol. 51, no 11,‎ , p. 935-938.
  12. (en) D. M. Olson, E. Dinerstein, R. Abell, T. Allnutt, C. Carpenter, L. McClenachan, J. D’Amico, P. Hurley, K. Kassem, H. Strand, M. Taye et M. Thieme, The Global 200 : A representation approach to conserving the earth's distinctive ecoregions, Washington DC, Conservation Science Program, World Wildlife Fund-US, (lire en ligne)
  13. (en) G. Kier, J. Mutke, E. Dinerstein, T. H. Ricketts, W. KĂŒper, H. Kreft et W. Barthlott, « Global patterns of plant diversity and floristic knowledge », Journal of Biogeography, vol. 32,‎ , p. 1107–1116 (DOI 10.1111/j.1365-2699.2005.01272.x, lire en ligne), donnĂ©es et carte consultables dans the Atlas of Global Conservation.
  14. (en)World Wildlife Fund, « WildFinder: Online database of species distributions », , données et carte consultables dans the Atlas of Global Conservation.
  15. (en) J. M. Hoekstra, J. L. Molnar, M. Jennings, C. Revenga, M. D. Spalding, T. M. Boucher, J. C. Robertson, T. J. Heibel et K. Ellison, The Atlas of Global Conservation : Changes, Challenges, and Opportunities to Make a Difference, Berkeley, University of California Press, (lire en ligne), données et carte consultables dans the Atlas of Global Conservation.

Annexes

Bibliographie

  • Alexandre Juster, L'histoire de la PolynĂ©sie française en 101 dates, les Ă©ditions de Moana, 2016, (ISBN 978-2-9556860-1-0)

Articles connexes

Liens externes

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