Verneuil-sur-Vienne
Verneuil-sur-Vienne (VernuÚlh en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Verneuil-sur-Vienne est surnommée les jardins de Limoges. Ses habitants sont appelés les Verneuillais(es)[1].
Verneuil-sur-Vienne | |||||
Vue sur le bourg et la campagne environnante. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Limoges | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine Limoges Métropole | ||||
Maire Mandat |
Pascal Robert 2020-2026 |
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Code postal | 87430 | ||||
Code commune | 87201 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Verneuillais(es) | ||||
Population municipale |
4 886 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 142 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 50âČ 58âł nord, 1° 07âČ 39âł est | ||||
Altitude | Min. 180 m Max. 402 m |
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Superficie | 34,52 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Limoges (banlieue) |
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Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Aixe-sur-Vienne | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Vienne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.verneuil-sur-vienne.fr | ||||
C'est le seul village viticole de Haute-Vienne.
GĂ©ographie
Localisation
La commune de Verneuil-sur-Vienne est situĂ©e Ă l'ouest de Limoges (Ă environ 10 km) dans un secteur compris entre la route d'AngoulĂȘme (RN 141) et la Vienne.
Communes limitrophes
Agriculture
Le vignoble de Verneuil couvrait au XVIIIe siÚcle 20 % des terres de la commune. Depuis 1994, une association de passionnés travaille avec succÚs à la réhabilitation de la vigne.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973[9] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 11,4 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Verneuil-sur-Vienne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Limoges, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[17] et 187 364 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (73 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (35,8 %), prairies (25,4 %), forĂȘts (19,5 %), zones urbanisĂ©es (11,2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,1 %), mines, dĂ©charges et chantiers (1,6 %), eaux continentales[Note 7] (1,6 %), terres arables (1 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,8 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Verneuil-sur-Vienne est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Vienne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[25] - [23]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « Vienne d'Aixe Ă Saillat », approuvĂ© le [26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[27]. 7,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [28].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[23].
Risque technologique
La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, de Saint-Marc et de VassiviĂšre, des ouvrages de classe A[Note 9]. Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture de cet ouvrage[30].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Verneuil-sur-Vienne est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[31].
Toponymie
Les mentions anciennes de la localité sont : Vernolio v.1315[32], Vernolio XVI[32].
L'étymologie de Verneuil est issu du gaulois verna "aulne, aulnaie" + -ialo "domaine, village", et signifie "Domaine des Aulnes"[33] - [34]. Ce toponyme souvent se rattache à une zone marécageuse.
Histoire
- Les premiĂšres traces de vigne Ă Verneuil datent de 1503. Dans les annĂ©es 1780, sur la commune, 270 ha de vignes Ă©taient en exploitation, soit environ, 20 % des terres cultivĂ©es. Entre 1870 et 1890, le phylloxĂ©ra va anĂ©antir le vignoble, ramenant les surfaces de 3700 Ă 170 ha pour le dĂ©partement de la Haute-Vienne. GrĂące Ă la persĂ©vĂ©rance des vignerons de cette Ă©poque, le vignoble de Verneuil fut un des rares Ă ĂȘtre prĂ©servĂ©. Jusquâen 1980, on comptait plusieurs hectares plantĂ©s en vigne dont quatre hectares en exploitation Ă la Merlie, petit hameau de la commune. Puis pour diverses raisons, lâexploitation de la vigne a Ă©tĂ© abandonnĂ©e, privant Verneuil de son vignoble et des traditionnelles vendanges.Câest en 1990, quâune bande de nostalgiques dĂ©cidĂšrent, derriĂšre Gilbert PĂ©tiniaud maire de Verneuil, de tout mettre en Ćuvre pour relancer la vigne Ă Verneuil. Au dĂ©part, lâidĂ©e Ă©tait de replanter quelques ceps, faire un peu de vin, et organiser des fĂȘtes autour de la vigne et du vin.
Lâassociation les « Amis du RosĂ© de Verneuil » a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1993, suivie par la crĂ©ation de la SCEA les « Vignerons de Verneuil ».
- Le chùteau de Pennevayre hébergea le roi Louis XI. Le chùteau de Pennevayre "féodale" des quatre demeures nobles de Verneuil.
Autour d'un bĂątiment du XIIIe siĂšcle, des ailes furent ajoutĂ©es au XIVe siĂšcle puis au XVIe siĂšcle. Elles sont dotĂ©es d'un systĂšme dĂ©fensif pour temps de troubles (tour d'angle aujourd'hui disparue, fenĂȘtres grillĂ©es cĂŽtĂ© rue, ouvertures oblongues pour les tirs d'arquebuse). Le chĂąteau fut la demeure noble du fief de Pennevayre, mouvant de la vicomtĂ© de Limoges. La famille Pennevayre est attestĂ©e plusieurs fois au cours des XIIIe et XIVe siĂšcles, presque toujours en tant que chevaliers du vicomte. En , se rendant Ă Saint-Junien, le roi Louis XI fut hĂ©bergĂ© en ce chĂąteau⊠à partir du XVIe siĂšcle, le fief de Pennevayre fut la propriĂ©tĂ© de la famille Bermondet. En 1576, Georges Bermondet le vendit Ă Pierre Mauple, dont la famille fut seigneur de Pennevayre jusqu'au XVIIIe siĂšcle. Toutefois, quelques annĂ©es plus tard, en 1780, le chĂąteau n'Ă©tait plus qu'un "vieux chĂąteau servant de logement aux domestiques", et au XIXe siĂšcle, il fut transformĂ© en bĂątiment d'exploitation, puis progressivement laissĂ© Ă l'abandon. Cependant, elle a conservĂ© quelques beaux restes Ă l'intĂ©rieur : cheminĂ©es Ă hottes blasonnĂ©es et Ă fines colonnettes, escalier aux allures de loggia Ă l'italienne, hauts plafonds aux poutres moulurĂ©es.
- Autel gallo-romain
Il est situé au lieu-dit le Pérou au sud de la Boilerie, entre deux parcelles de champs sur la droite. Propriétaire : la commune de Verneuil-sur-Vienne.
Historique : Il est constituĂ© d'une table en granit et est isolĂ© dans un champ Ă cĂŽtĂ© d'un chĂȘne. Dans le domaine religieux, un autel est une table sacrĂ©e servant au sacrifice rituel ou au dĂ©pĂŽt dâoffrandes. Ătymologiquement, on retrouve dans le mot « autel » deux notions : la hauteur (du latin altar qui donne lâitalien altare, Ă la fois Ă©lĂ©vation et profondeur, comme dans lâexpression « haute mer ») et la nourriture (du latin alere, alimenter, sustenter).
- Le pont de la Gabie
C'est la riviÚre de la Vienne qui coule sous ce magnifique pont. Propriétaires : une partie est à la commune de Verneuil-sur-Vienne et l'autre partie appartient à la commune de Saint-Priest-sous-Aixe.
Historique : Le Pont comporte sept arches construites de 1862 Ă 1865 (Ă©poque 3e quart du XIXe siĂšcle) Ă lâamont des vestiges dâun ancien pont gallo-romain dit le pont des Piles. Il est Ă©difiĂ© au milieu du XIXe siĂšcle, en partie avec les pierres restantes des piles de l'ancien pont situĂ© environ 200 mĂštres en aval, qu'empruntait la grande voie romaine de Lyon Ă Saintes. Il est Ă©difiĂ© par Charles Trote, entrepreneur Ă Romorantin, avec des pierres extraites dâune carriĂšre situĂ©e sur la commune de Cognac-la-ForĂȘt. Cette voie venait de La Merlie, passait aux Richards et rejoignait le Queyroix, oĂč elle croisait le grand chemin de Limoges Ă Saint-Junien. Plusieurs toponymes ont des origines romaines : Pagnac, Greignac et Chardaillac, la Boine. Il fut la victime de nombreuses explosions durant la guerre de 1939 Ă 1945 et fut dĂ©truit plusieurs fois par les rĂ©sistants pour Ă©viter les assaillants ennemis de le traverser. Ils Ă©taient donc obligĂ©s de faire un grand dĂ©tour pour aller passer sur le pont dâAixe-sur-Vienne ou sur celui de Saint-Victurnien. Reconstruit systĂ©matiquement, il fut restaurĂ© il y a une dizaine dâannĂ©es.
- Limoges-Les Vaseix :
Le prĂ©sident Emmanuel Macron vient en visite dans le but de promouvoir les « Ă©tats gĂ©nĂ©raux de lâalimentation ».
Blasonnement
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Les armoiries de Verneuil-sur-Vienne se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[38].
En 2020, la commune comptait 4 886 habitants[Note 10], en augmentation de 3,43 % par rapport Ă 2014 (Haute-Vienne : â1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Pierre-Ăšs-Liens de Verneuil-sur-Vienne de style Roman Limousin XIIe siĂšcle, XVe siĂšcle, le clocher a Ă©tĂ© refait au XIXe siĂšcle, travaux nĂ©cessaires de consolidations. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[41].
- ChĂąteau de Pennevayre, presque en ruine.
- Pont de la Gabie, aux bords de Vienne.
- La forĂȘt des Vaseix dont son lycĂ©e agricole de Limoges Les Vaseix
- Le dolmen de La Croix-du-Breuil, situé route du Dolmen, entre la D 47a1 et la D 2000.
ZNIEFF
La commune prĂ©sente deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1.
- VallĂ©e de la Vienne du moulin de la Mie au Daumail[42]. La zone s'Ă©tend des deux cĂŽtĂ©s de la Vienne sur les communes de Saint-Priest-sous-Aixe, Aixe-sur-Vienne, Verneuil-sur-Vienne. Elle est remarquable pour ses zones humides, et prairies humides, ses rpisylves et ses chĂȘnaies-charmaies, Dans cette zone se trouve, sur la rive droite de la Vienne, le sentier d'interprĂ©tation de MayĂ©ras.
- VallĂ©e de la Vienne au Mas-Marvent[43]. La zone s'Ă©tend des deux cĂŽtĂ©s de la Vienne, sur les communes de Saint-Yrieix-sous-Aixe, Saint-Victurnien, Sainte-Marie-de-Vaux, Verneuil-sur-Vienne.âLe site est limitĂ© Ă la zone la plus escarpĂ©e de la vallĂ©e. Des rives abruptes Ă©mergent des rochers crĂ©ant des zones de courant important dans le cours d'eau.[44]â
- Le sentier d'interprétation de Mayéras
- Me ruisseau FĂ©lix
Personnalités liées à la commune
- Louis XI logea au chĂąteau de Pennevayre.
- Pierre Mourier, (1766-1844), gĂ©nĂ©ral français de la RĂ©volution Francaise et de lâEmpire. Fils d'autre Pierre Mourier, sieur des Granges en Verneuil-sur-Vienne, nĂ©gociant en bois
- François Mitterrand est liĂ© Ă Limoges. En remontant encore dans lâarbre gĂ©nĂ©alogique de la famille maternelle de PĂ©tronille, les Du Soulier, on trouve des ancĂȘtres Ă Saint-Auvent (les grands-parents de PĂ©tronille), Saint-Laurent-sur-Gorre, et Verneuil-sur-Vienne, au XVIIe siĂšcle.
- Marcel Rigout, né en 1928 à Verneuil/Vienne, ancien député et ancien ministre.
- Richard Dacoury, joueur de basket au CSP Limoges, a résidé à Verneuil-sur-Vienne.
- Michael Brooks, joueur de basket au CSP Limoges, a résidé à Verneuil-sur-Vienne.
- Théo VimpÚre, cycliste, a résidé à Verneuil-sur-Vienne.
- Claude Bolotny, ancien joueur français de basket-ball, puis entraßneur et responsable technique y réside.
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[29].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 23/09/2008.
- Carte IGN sur GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Limoges-Bellegarde - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- Article R214-112 du code de lâenvironnement
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- NEGRE (E.) Toponymie générale de la race (1990), t. 1, p. 180-181.
- DELAMARRE (X.) Dictionnaire de la langue Gauloise (2003), p.
- https://www.sh6e.com/activites/histoire-du-6eme/necrologie-des-anciens-membres
- Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise paroissiale Saint-Pierre-Ús-Liens », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- La ZNIEFF 740006179 âVallĂ©e de la Vienne du moulin de la Mie au Daumailâ sur le site INPN
- La ZNIEFF 740006180 âVallĂ©e de la Vienne au Mas-Marventâ sur le site INPN
- op. cit. p. 2