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Isle (Haute-Vienne)

Isle (Isla en occitan) est une commune française située dans la banlieue sud-ouest de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Isloises et les Islois[1].

Isle
Isle (Haute-Vienne)
Le chĂąteau de Gigondas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté urbaine Limoges Métropole
Maire
Mandat
Gilles BĂ©gout
2020-2026
Code postal 87170
Code commune 87075
DĂ©mographie
Gentilé Isloises, Islois
Population
municipale
7 869 hab. (2020 en augmentation de 4,64 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 390 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 48â€Č 18″ nord, 1° 13â€Č 38″ est
Altitude Min. 208 m
Max. 346 m
Superficie 20,18 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Limoges
(banlieue)
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Limoges-9
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Isle
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Isle
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Isle
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Isle

    Isle est la 5e ville du département, en nombre d'habitants, aprÚs Limoges, Saint-Junien, Panazol et Couzeix.

    GĂ©ographie

    Localisation et accĂšs

    Isle une ville de l'unité urbaine de Limoges, située sur la rive droite de la Vienne, en face de Condat-sur-Vienne, sur la route de Périgueux. Il s'agit d'ailleurs de la ville du département la plus proche de Limoges. Ainsi, la distance de mairie à mairie à vol d'oiseau est de seulement 3,5 km (contre 3,6 pour Panazol).

    Isle est située au sud-ouest de Limoges et s'étend de Limoges à Aixe-sur-Vienne, Condat-sur-Vienne et Verneuil-sur-Vienne.

    Communes limitrophes

    Isle est limitrophe de six autres communes.

    Carte de la commune de Isle et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est également bordée par l'Aurence, affluent de la Vienne, qui l'arrose au nord et à l'ouest.

    Voies de communication et transports

    De nombreuses routes permettent d'accéder à la commune notamment la RN 21 direction Périgueux en venant de Limoges.

    Par bus cette commune est desservie par les lignes 12 et 63 du réseau STCL.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 020 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11,4 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Isle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Limoges, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 10 communes[18] et 187 364 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (67,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (45,9 %), zones urbanisĂ©es (23,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (16 %), forĂȘts (9,2 %), eaux continentales[Note 7] (3,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Isle est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Vienne et l'Aurence. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1999 et 2018[26] - [24]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais des plans de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) « Aurence », approuvĂ© le et « Vienne du Palais Ă  Beynac », approuvĂ© le [27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Isle.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[28]. 25,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [29].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, de Saint-Marc et de VassiviĂšre, des ouvrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[31].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Isle est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[32].

    Toponymie

    Le toponyme proviendrait du latin insula (Ăźle).

    Histoire

    Isle Ă©tait une seigneurie ecclĂ©siastique appartenant aux Ă©vĂȘques de Limoges. Le chĂąteau des Ă©vĂȘques qui Ă©tait Ă  cĂŽtĂ© de l'Ă©glise a Ă©tĂ© dĂ©moli pendant la RĂ©volution. Le poĂšte limousin Jean Rebier « Majoral du FĂ©librige » (1879-1966) a vĂ©cu dans sa propriĂ©tĂ© du hameau du Mas de l'Aurence. L'Ă©crivain Robert Margerit (1910-1988) a vĂ©cu dans la propriĂ©tĂ© de Thias.

    Pendant la Révolution, la paroisse devient une commune. Celle-ci perd, en 1792, environ le quart de sa superficie par la création, dans la partie de son territoire au sud de la Vienne, de la commune de Bosmie-L'Aiguille.

    Les écoles de hameau du Mas de l'Aurence (transférée du Mas des Landes) et de Mérignac ont été fermées en 1993.

    De 1947 à 1953, l'ouest de la commune a disposé d'un adjoint spécial.

    En 1979-1980, le club de la JA Isle Football accÚde au Championnat de France de 4e Division, il y cÎtoya les grandes équipes puis les grands joueurs Jean-Pierre Papin, Christophe Dugarry et Bixente Lizarazu ont foulé la pelouse du stade des Bayles.

    Blasonnement

    Les armoiries de Isle[33] se blasonnent ainsi (XIXe s.) :

    De gueules Ă  la tour d'argent, maçonnĂ©e, ouverte et ajourĂ©e de sable, terrassĂ©e de sinople, adextrĂ©e d'une crosse d'or et senestrĂ©e d'une rose du mĂȘme ; Ă  la bordure cousue d'azur.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[34]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mai 1945 août 1948 Claude Mangematin PCF
    août 1948 mai 1953 Léonard Boissard PCF
    mai 1953 juin 1995 Robert Laucournet PS Assureur
    SĂ©nateur de la Haute-Vienne. Vice-prĂ©sident du SĂ©nat (1968 → 1995)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Limoges-Isle(1973 → 1992).
    juin 1995 mars 2008 Marcel Faucher PS Fonctionnaire du ministÚre de l'Agriculture retraité
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Limoges-Isle (1992 → 2011)
    mars 2008 En cours Gilles Bégout[35] DVG Professeur de faculté
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Limoges-Isle (2011 → 2015)
    Conseiller dĂ©partemental du canton de Limoges-9 (2015 → )
    2e vice-président de Limoges Métropole
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[37].

    En 2020, la commune comptait 7 869 habitants[Note 10], en augmentation de 4,64 % par rapport Ă  2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1501 1241 2141 4361 3921 4801 4821 5311 592
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8091 9271 8901 9512 1072 1392 1352 1482 165
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1762 1932 1742 0012 1232 1072 0432 4352 635
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    2 9614 7905 8086 8637 2927 6917 5477 4887 523
    2018 2020 - - - - - - -
    7 7797 869-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin (XIIIe siĂšcle). L'Ă©difice a Ă©tĂ© inscrit au titre des monuments historique en 1985[40].
    • ChĂąteau et parc des Bayles (propriĂ©tĂ© de la commune)
    • ChĂąteau de Gigondas
    • ChĂąteaux et manoirs de Reignefort, La Chabroulie, Le Gondeau, L'Etoile, Verthamont, Le Caillaud, Le GĂ©nĂ©ty, Envaud, Le Val d'Enraud, Les CourriĂšres.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre de Montbrun, (dĂ©cĂšs Ă  Isle le 19 fĂ©vrier 1457), ecclĂ©siastique qui fut Ă©vĂȘque de Limoges de 1426 Ă  1457.
    • Jean de Barton II, (dĂ©cĂšs Ă  Isle le 13 septembre 1510), ecclĂ©siastique qui fut Ă©vĂȘque de Limoges de 1484 Ă  1510.
    • GrĂ©goire Benoist de Lostende, nĂ© le au lieu-dit Reignefort, mort Ă  MĂącon le . Prisonnier Ă  Baylen, il s’échappe des pontons. Sert au 121e de ligne en 1810. Russie, puis aide de camp du gĂ©nĂ©ral Guilleminot en 1813. BlessĂ© et fait prisonnier le prĂšs de Mayence. Combat Ă  Waterloo en 1815.
    • BenoĂźt Lesterpt-Beauvais, fils de François Lesterpt, avocat, et de DorothĂ©e CƓur-Deroy, est nĂ© Ă  Le Dorat, le . Il a Ă©tĂ© guillotinĂ© Ă  Paris, le , aprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©putĂ© aux États gĂ©nĂ©raux de 1789 et membre de la Convention nationale sa famille avait le chĂąteau de la Chabroulie sur cette mĂȘme commune aujourd'hui propriĂ©tĂ© privĂ©e.
    • Émile MontĂ©gut (1825-1895), essayiste, critique littĂ©raire de la Revue des Deux-Mondes. InhumĂ© Ă  Isle.
    • Jean Rebier (1879-1966), poĂšte, pionnier du fĂ©librige, fondateur de la revue Lemouzi.
    • Robert Margerit (1910-1988), Ă©crivain (Prix Renaudot 1951).
    • RenĂ© Lamarsaude (1912-1972), ancien rugbyman, chroniqueur sportif.
    • Robert Laucournet ( - ), vice-prĂ©sident du SĂ©nat (1968-1995) inhumĂ© Ă  Isle.
    • Robert Savy (1931-), professeur de droit, homme politique français, ancien dĂ©putĂ© et ancien prĂ©sident du Conseil rĂ©gional du Limousin, son pĂšre Ă©tait ici.
    • Jean-Baptiste Gobelet, rugbyman et champion de France avec le Biarritz olympique.
    • Alexis Palisson, rugbyman, 21 sĂ©lections en Ă©quipe de France depuis 2008 ; vainqueur du Tournoi des Six Nations (Grand chelem en 2010) puis Vainqueur du Top 14 avec le club du RC Toulon en 2014.
    • Karena Wihongi, rugbyman.
    • François Duboisset, rugbyman avec le CA Brive ; champion d'Europe 1997 ; vice-champion d'Europe 1998 ; en , il quitte Canal+ pour retourner Ă  Brive en compagnie de Patrick SĂ©bastien, ce dernier ayant repris les rĂȘnes du club. Il est nommĂ© directeur gĂ©nĂ©ral dĂ©lĂ©guĂ© du CABCL. Pendant la Coupe du Monde de rugby 2003 et celle de 2007, il est consultant sur RMC avec notamment son ancien coĂ©quipier briviste Vincent Moscato.
    • Doriane Vidal, championne française de snowboard et vice-championne olympique.

    Jumelages

    Clubs sportifs

    • Jeunesse athlĂ©tique d'Isle (JA Isle)
    • Tennis Club d'Isle
    • Isle AthlĂ©
    • A la Volley (ALV) d'Isle
    • Association d'Arts Martiaux d'Isle (2A.M.I. : Capoeira - KaratĂ©). Missions humanitaires au Maroc.
    • JA ISLE Handball : PrĂ©nationale

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Isle Ă©tait une fois..., Robert Laucournet, EFIP-ISLE, 1996.

    Isle Ă  travers huit siĂšcles d'histoire limousine, Serge du Cray, 1961, Imprimerie Nouvelle, date?

    L'Almanach Limousin 1901, Octave d'Abzac, 1901.

    Archives de la commune d'Isle

    Isle Infos, Marcel Faucher, Maryline Rogerie, EFIP-ISLE, n°7, , 12 pages. Parmi les édifices anciens et modernes, on y retrouve la fontaine d'Isle, seul vestige du chùteau; l'église Saint-Martin, les chùteaux et gentilhommiÚres aux alentours d'Isle; la mairie et son agrandissement; le Mas de l'Aurence, l'école des Bayles, le gymnase et la piscine, le centre culturel et la maison des associations...

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[30].
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. Carte IGN sur GĂ©oportail
    3. « Tout sur la commune », sur www.annuaire-mairie.fr (consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station météofrance Limoges-Bellegarde - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Isle et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Limoges », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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