Isle (Haute-Vienne)
Isle (Isla en occitan) est une commune française située dans la banlieue sud-ouest de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Isloises et les Islois[1].
Isle | |||||
Le chĂąteau de Gigondas. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Limoges | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine Limoges Métropole | ||||
Maire Mandat |
Gilles BĂ©gout 2020-2026 |
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Code postal | 87170 | ||||
Code commune | 87075 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Isloises, Islois | ||||
Population municipale |
7 869 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 390 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 48âČ 18âł nord, 1° 13âČ 38âł est | ||||
Altitude | Min. 208 m Max. 346 m |
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Superficie | 20,18 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Limoges (banlieue) |
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Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Limoges-9 | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Vienne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Isle est la 5e ville du département, en nombre d'habitants, aprÚs Limoges, Saint-Junien, Panazol et Couzeix.
GĂ©ographie
Localisation et accĂšs
Isle une ville de l'unité urbaine de Limoges, située sur la rive droite de la Vienne, en face de Condat-sur-Vienne, sur la route de Périgueux. Il s'agit d'ailleurs de la ville du département la plus proche de Limoges. Ainsi, la distance de mairie à mairie à vol d'oiseau est de seulement 3,5 km (contre 3,6 pour Panazol).
Isle est située au sud-ouest de Limoges et s'étend de Limoges à Aixe-sur-Vienne, Condat-sur-Vienne et Verneuil-sur-Vienne.
Communes limitrophes
Isle est limitrophe de six autres communes.
Hydrographie
La commune est également bordée par l'Aurence, affluent de la Vienne, qui l'arrose au nord et à l'ouest.
Voies de communication et transports
De nombreuses routes permettent d'accéder à la commune notamment la RN 21 direction Périgueux en venant de Limoges.
Par bus cette commune est desservie par les lignes 12 et 63 du réseau STCL.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973[10] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Isle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Limoges, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[18] et 187 364 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (67,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (45,9 %), zones urbanisĂ©es (23,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (16 %), forĂȘts (9,2 %), eaux continentales[Note 7] (3,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Isle est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă un risque particulier : le risque de radon[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Vienne et l'Aurence. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1999 et 2018[26] - [24]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais des plans de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) « Aurence », approuvĂ© le et « Vienne du Palais Ă Beynac », approuvĂ© le [27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[28]. 25,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [29].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Risque technologique
La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, de Saint-Marc et de VassiviĂšre, des ouvrages de classe A[Note 9]. Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture de cet ouvrage[31].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Isle est classĂ©e en zone 2, Ă savoir zone Ă potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[32].
Toponymie
Le toponyme proviendrait du latin insula (Ăźle).
Histoire
Isle Ă©tait une seigneurie ecclĂ©siastique appartenant aux Ă©vĂȘques de Limoges. Le chĂąteau des Ă©vĂȘques qui Ă©tait Ă cĂŽtĂ© de l'Ă©glise a Ă©tĂ© dĂ©moli pendant la RĂ©volution. Le poĂšte limousin Jean Rebier « Majoral du FĂ©librige » (1879-1966) a vĂ©cu dans sa propriĂ©tĂ© du hameau du Mas de l'Aurence. L'Ă©crivain Robert Margerit (1910-1988) a vĂ©cu dans la propriĂ©tĂ© de Thias.
Pendant la Révolution, la paroisse devient une commune. Celle-ci perd, en 1792, environ le quart de sa superficie par la création, dans la partie de son territoire au sud de la Vienne, de la commune de Bosmie-L'Aiguille.
Les écoles de hameau du Mas de l'Aurence (transférée du Mas des Landes) et de Mérignac ont été fermées en 1993.
De 1947 à 1953, l'ouest de la commune a disposé d'un adjoint spécial.
En 1979-1980, le club de la JA Isle Football accÚde au Championnat de France de 4e Division, il y cÎtoya les grandes équipes puis les grands joueurs Jean-Pierre Papin, Christophe Dugarry et Bixente Lizarazu ont foulé la pelouse du stade des Bayles.
Blasonnement
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Les armoiries de Isle[33] se blasonnent ainsi (XIXe s.) : |
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Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[37].
En 2020, la commune comptait 7 869 habitants[Note 10], en augmentation de 4,64 % par rapport Ă 2014 (Haute-Vienne : â1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Martin (XIIIe siĂšcle). L'Ă©difice a Ă©tĂ© inscrit au titre des monuments historique en 1985[40].
- Chùteau et parc des Bayles (propriété de la commune)
- ChĂąteau de Gigondas
- Chùteaux et manoirs de Reignefort, La Chabroulie, Le Gondeau, L'Etoile, Verthamont, Le Caillaud, Le Généty, Envaud, Le Val d'Enraud, Les CourriÚres.
Personnalités liées à la commune
- Pierre de Montbrun, (dĂ©cĂšs Ă Isle le 19 fĂ©vrier 1457), ecclĂ©siastique qui fut Ă©vĂȘque de Limoges de 1426 Ă 1457.
- Jean de Barton II, (dĂ©cĂšs Ă Isle le 13 septembre 1510), ecclĂ©siastique qui fut Ă©vĂȘque de Limoges de 1484 Ă 1510.
- GrĂ©goire Benoist de Lostende, nĂ© le au lieu-dit Reignefort, mort Ă MĂącon le . Prisonnier Ă Baylen, il sâĂ©chappe des pontons. Sert au 121e de ligne en 1810. Russie, puis aide de camp du gĂ©nĂ©ral Guilleminot en 1813. BlessĂ© et fait prisonnier le prĂšs de Mayence. Combat Ă Waterloo en 1815.
- BenoĂźt Lesterpt-Beauvais, fils de François Lesterpt, avocat, et de DorothĂ©e CĆur-Deroy, est nĂ© Ă Le Dorat, le . Il a Ă©tĂ© guillotinĂ© Ă Paris, le , aprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©putĂ© aux Ătats gĂ©nĂ©raux de 1789 et membre de la Convention nationale sa famille avait le chĂąteau de la Chabroulie sur cette mĂȘme commune aujourd'hui propriĂ©tĂ© privĂ©e.
- Ămile MontĂ©gut (1825-1895), essayiste, critique littĂ©raire de la Revue des Deux-Mondes. InhumĂ© Ă Isle.
- Jean Rebier (1879-1966), poÚte, pionnier du félibrige, fondateur de la revue Lemouzi.
- Robert Margerit (1910-1988), Ă©crivain (Prix Renaudot 1951).
- René Lamarsaude (1912-1972), ancien rugbyman, chroniqueur sportif.
- Robert Laucournet ( - ), vice-président du Sénat (1968-1995) inhumé à Isle.
- Robert Savy (1931-), professeur de droit, homme politique français, ancien député et ancien président du Conseil régional du Limousin, son pÚre était ici.
- Jean-Baptiste Gobelet, rugbyman et champion de France avec le Biarritz olympique.
- Alexis Palisson, rugbyman, 21 sélections en équipe de France depuis 2008 ; vainqueur du Tournoi des Six Nations (Grand chelem en 2010) puis Vainqueur du Top 14 avec le club du RC Toulon en 2014.
- Karena Wihongi, rugbyman.
- François Duboisset, rugbyman avec le CA Brive ; champion d'Europe 1997 ; vice-champion d'Europe 1998 ; en , il quitte Canal+ pour retourner Ă Brive en compagnie de Patrick SĂ©bastien, ce dernier ayant repris les rĂȘnes du club. Il est nommĂ© directeur gĂ©nĂ©ral dĂ©lĂ©guĂ© du CABCL. Pendant la Coupe du Monde de rugby 2003 et celle de 2007, il est consultant sur RMC avec notamment son ancien coĂ©quipier briviste Vincent Moscato.
- Doriane Vidal, championne française de snowboard et vice-championne olympique.
Jumelages
Clubs sportifs
- Jeunesse athlétique d'Isle (JA Isle)
- Football : Division d'Honneur
- Rugby : Fédérale 2
- Badminton Club Isle 87 (BCI 87) : plus gros club de badminton de la région Limousin, interclubs N3
- Judo
- J.A Isle vélo loisir VTT
- Tennis Club d'Isle
- Isle Athlé
- A la Volley (ALV) d'Isle
- Association d'Arts Martiaux d'Isle (2A.M.I. : Capoeira - Karaté). Missions humanitaires au Maroc.
- JA ISLE Handball : Prénationale
Pour approfondir
Bibliographie
Isle Ă©tait une fois..., Robert Laucournet, EFIP-ISLE, 1996.
Isle Ă travers huit siĂšcles d'histoire limousine, Serge du Cray, 1961, Imprimerie Nouvelle, date?
L'Almanach Limousin 1901, Octave d'Abzac, 1901.
Archives de la commune d'Isle
Isle Infos, Marcel Faucher, Maryline Rogerie, EFIP-ISLE, n°7, , 12 pages. Parmi les édifices anciens et modernes, on y retrouve la fontaine d'Isle, seul vestige du chùteau; l'église Saint-Martin, les chùteaux et gentilhommiÚres aux alentours d'Isle; la mairie et son agrandissement; le Mas de l'Aurence, l'école des Bayles, le gymnase et la piscine, le centre culturel et la maison des associations...
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[30].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- Carte IGN sur GĂ©oportail
- « Tout sur la commune », sur www.annuaire-mairie.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Limoges-Bellegarde - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Isle et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
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- « Les Plans de prévention des risques approuvés en Haute-Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
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- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Article R214-112 du code de lâenvironnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur www.haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
- « Les armoiries de la commune », sur blason-des-villes.e-monsite.com (consulté le ).
- « Les maires de la commune », sur FranceGenWeb (consulté le ).
- Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )